Interlude
Ce journal a pour but de raconter l'aventure de ma conquête féminine, il est écrit au passé mais les histoires sont bel et bien récentes ou en cours. Mon texte est divisé en Chapitre pour chacune de mes target, la division des actes servira a raconter la suite de l'évolution de mes relations avec les filles des dits chapitres.
La conquête
Chapitre 1 FTS : acte 1
A l'époque, je participais à des forums d'échange politique, avec cette envie de confronter mes idées dans des lieues qui me sont opposées, c'est dans cette " croisade " que j'avais atterri sur FTS. J'ai toujours aimé la confrontation, avec un penchant pour la provocation et les sujets polémiques. Je pense être un authentique rebelle et ce caractère m'a coûté parfois très cher.
J'avais ouvert un sujet sur la prostitution relativement remarqué. Au vu du ton que j'avais employé, j'étais surpris par l'ouverture d'esprit de certains intervenants, qui ont su éviter la réduction psychologique et ne pas se laisser emporter par mes provocations. Alors que mon premier compte était banni avant que je puisse exprimer clairement mon opinion. Je prenais la décision d'oublier pour un temps la partie politique pour essayer de voir ce que je pouvais apprendre des personnes avec qui je venais de me confronter.
À force de lire les messages des intervenants, je découvrais des personnages sympathiques et passionnés, avec qui je partage ce même interêt pour les dynamiques sociales. Après de nombreuses lectures, je prenais enfin la décision d'affronter les plaies les plus profondes et douloureuse de ma Psychée. Je savais que le chemin serait long et douloureux mais j'étais décidé a changer.
A l'époque, je participais à des forums d'échange politique, avec cette envie de confronter mes idées dans des lieues qui me sont opposées, c'est dans cette " croisade " que j'avais atterri sur FTS. J'ai toujours aimé la confrontation, avec un penchant pour la provocation et les sujets polémiques. Je pense être un authentique rebelle et ce caractère m'a coûté parfois très cher.
J'avais ouvert un sujet sur la prostitution relativement remarqué. Au vu du ton que j'avais employé, j'étais surpris par l'ouverture d'esprit de certains intervenants, qui ont su éviter la réduction psychologique et ne pas se laisser emporter par mes provocations. Alors que mon premier compte était banni avant que je puisse exprimer clairement mon opinion. Je prenais la décision d'oublier pour un temps la partie politique pour essayer de voir ce que je pouvais apprendre des personnes avec qui je venais de me confronter.
À force de lire les messages des intervenants, je découvrais des personnages sympathiques et passionnés, avec qui je partage ce même interêt pour les dynamiques sociales. Après de nombreuses lectures, je prenais enfin la décision d'affronter les plaies les plus profondes et douloureuse de ma Psychée. Je savais que le chemin serait long et douloureux mais j'étais décidé a changer.
Chapitre 2 Céline : acte 1
J'étais inscrit sur adopteunmec depuis plus d'un an, mais je ne répondais pas a mes messages, jusqu'à ce que je tombe sur le profil de Céline. Nos premier échanges étaient très stimulants et je sentais une belle rencontre, j'étais enfin prêt a franchir le cap du virtuel avec elle, on avait un nombre incalculable de points en commun. Pourtant, je ne le savais pas encore, mais j'allais m'engluer dans un des pièges les plus classiques des sites de rencontres.
Après un mois et demi de discussion, elle demandait a me voir ( cent kilomètres nous séparait ), je lui avais proposé de venir dans ma ville la veille de notre rendez-vous, ce que bien sûr, elle refusa. J'ai ensuite tenté de placer plusieurs dates qu'elle déclina. Le temps passant, en regardant l'historique de nos conversations, je réalisais que l'ont avait échangé pas moins de deux milles messages en quatre mois et demi. Mais malgré son intérêt et ses relances, elle continuait a refuser mes dates. Il faut dire que je melangeais un jeu parfois trés bon avec des bourdes grotesque.
J'avais finit par lui dire que j'allais arrêter nos discutions, elle me répondit qu'elle était désolée, mais qu'elle ne se sentait pas prête a faire des rencontres. J'avais du mal à l'admettre, mais je prenais conscience que j'avais chuté dans un one-iitis démentiel. Je commençais a me comporter de manière très étrange, j'étais tellement frustré que je continuais à lui envoyer encore et toujours des messages qu'elle ne prenait même plus la peine de lire.
Drôle d'histoire virtuelle sans contact réelle : de la découverte, des rires, de la sexualisation virtuelle, des embrouilles et une rupture. J'étais bouleversé tout en ayant conscience de l'irrationalité de mon comportement. Je ressentais des sentiments pour un personnage que je n'avais jamais vu. L'idée que je m'étais faite d'elle n'était que l'idée que je voulais me faire d'un idéal féminin vers lequel je tends, mon esprit avait comblé par l'imagination ce que mes sens ne pouvaient percevoir : sa gestuelle, sa voix, sont odeurs, ses mimiques, sont comportement, ses amis et sa vie.
J'étais bouleversé par la représentation d'une femme qui n'existait que dans ma tête, et non pas par la personne qu'elle pouvait être. Elle n'aurait pu être que différente de l'idée que je m'en étais faite. J'étais frustré, avec ce ressenti très douloureux de ne pas avoir eu l'opportunité de la voir, de lui montrer qui j'étais, comme si j'avais perdue un matche que je n'avais pas pu jouer. Je savais que ce n'était pas moi qu'elle rejetait, mais une projection de ma personne.
Pourtant, je n'arrivais plus a discuter ou a m'investir avec d'autres filles sur des sites de rencontres, je m'étais forcé a placer six dates mais j'avais fini par toutes les annuler. Au final, j'avais pris la décision de clôturer mon compte et d'oublier cette phase délirante de ma vie, les rencontres par internet ne m'intéressaient plus. C'est dans ce contexte pour le moins particulier que j'allais faire la connaissance tout à fait réelle d'amandine.
J'étais inscrit sur adopteunmec depuis plus d'un an, mais je ne répondais pas a mes messages, jusqu'à ce que je tombe sur le profil de Céline. Nos premier échanges étaient très stimulants et je sentais une belle rencontre, j'étais enfin prêt a franchir le cap du virtuel avec elle, on avait un nombre incalculable de points en commun. Pourtant, je ne le savais pas encore, mais j'allais m'engluer dans un des pièges les plus classiques des sites de rencontres.
Après un mois et demi de discussion, elle demandait a me voir ( cent kilomètres nous séparait ), je lui avais proposé de venir dans ma ville la veille de notre rendez-vous, ce que bien sûr, elle refusa. J'ai ensuite tenté de placer plusieurs dates qu'elle déclina. Le temps passant, en regardant l'historique de nos conversations, je réalisais que l'ont avait échangé pas moins de deux milles messages en quatre mois et demi. Mais malgré son intérêt et ses relances, elle continuait a refuser mes dates. Il faut dire que je melangeais un jeu parfois trés bon avec des bourdes grotesque.
J'avais finit par lui dire que j'allais arrêter nos discutions, elle me répondit qu'elle était désolée, mais qu'elle ne se sentait pas prête a faire des rencontres. J'avais du mal à l'admettre, mais je prenais conscience que j'avais chuté dans un one-iitis démentiel. Je commençais a me comporter de manière très étrange, j'étais tellement frustré que je continuais à lui envoyer encore et toujours des messages qu'elle ne prenait même plus la peine de lire.
Drôle d'histoire virtuelle sans contact réelle : de la découverte, des rires, de la sexualisation virtuelle, des embrouilles et une rupture. J'étais bouleversé tout en ayant conscience de l'irrationalité de mon comportement. Je ressentais des sentiments pour un personnage que je n'avais jamais vu. L'idée que je m'étais faite d'elle n'était que l'idée que je voulais me faire d'un idéal féminin vers lequel je tends, mon esprit avait comblé par l'imagination ce que mes sens ne pouvaient percevoir : sa gestuelle, sa voix, sont odeurs, ses mimiques, sont comportement, ses amis et sa vie.
J'étais bouleversé par la représentation d'une femme qui n'existait que dans ma tête, et non pas par la personne qu'elle pouvait être. Elle n'aurait pu être que différente de l'idée que je m'en étais faite. J'étais frustré, avec ce ressenti très douloureux de ne pas avoir eu l'opportunité de la voir, de lui montrer qui j'étais, comme si j'avais perdue un matche que je n'avais pas pu jouer. Je savais que ce n'était pas moi qu'elle rejetait, mais une projection de ma personne.
Pourtant, je n'arrivais plus a discuter ou a m'investir avec d'autres filles sur des sites de rencontres, je m'étais forcé a placer six dates mais j'avais fini par toutes les annuler. Au final, j'avais pris la décision de clôturer mon compte et d'oublier cette phase délirante de ma vie, les rencontres par internet ne m'intéressaient plus. C'est dans ce contexte pour le moins particulier que j'allais faire la connaissance tout à fait réelle d'amandine.
Chapitre 3 Amandine : Acte 1
J'étais en pleine digestion de ma " relation " virtuelle quand ma sœur invita l'une de ses copines a un repas de famille. Trois jours plus tard, j'apprenait qu'elle avait complètement craqué pour moi, que je représenterais la tentation pour son couple. Quelques semaines plus tard, je l'avais recroisée de nouveau dans un bar lors d'un anniversaire.
Troublée par mon attitude ambiguë et subitement renfermé, elle avait décidé de prendre les devants pour ne plus me lâcher de la soirée. Elle me disait que j'avais un beau corps et un beau visage, que j'étais un belle homme et que mes yeux bleu claire la faisaient craquer, que j'étais au-dessus de la masse. En sont absence, une autre copine a ma sœur m'avait pris par la main pour m’emmener dehors, dix minutes plus tard Amandine nous avez rejoint : les deux me faisaient la cour sous les yeux envieux de trois jeunes fêtard.
N'importe qui aurait vue sa confiance augmenter après cette soirée, mais j'étais pourtant incapable de ressentir la moindre emotion. J'étais en contradiction profonde avec l'image que j'avais de moi-même et les compliments d'une très jolie femme. Mon cerveau se perdait dans les méandres d'une dissonance cognitive étrange. Entre l'indifférence d'une fille qui ne m'avait jamais vue et l'éloge d'une autre que j'avais devant moi. A l'heure d'aujourd'hui, je ne sait toujours pas ce que je désire faire avec cette fille et je me sent toujours autant paralysée. Mais compte tenue de mon passif atypique, ce n'est pas tellement troublant.
J'étais en pleine digestion de ma " relation " virtuelle quand ma sœur invita l'une de ses copines a un repas de famille. Trois jours plus tard, j'apprenait qu'elle avait complètement craqué pour moi, que je représenterais la tentation pour son couple. Quelques semaines plus tard, je l'avais recroisée de nouveau dans un bar lors d'un anniversaire.
Troublée par mon attitude ambiguë et subitement renfermé, elle avait décidé de prendre les devants pour ne plus me lâcher de la soirée. Elle me disait que j'avais un beau corps et un beau visage, que j'étais un belle homme et que mes yeux bleu claire la faisaient craquer, que j'étais au-dessus de la masse. En sont absence, une autre copine a ma sœur m'avait pris par la main pour m’emmener dehors, dix minutes plus tard Amandine nous avez rejoint : les deux me faisaient la cour sous les yeux envieux de trois jeunes fêtard.
N'importe qui aurait vue sa confiance augmenter après cette soirée, mais j'étais pourtant incapable de ressentir la moindre emotion. J'étais en contradiction profonde avec l'image que j'avais de moi-même et les compliments d'une très jolie femme. Mon cerveau se perdait dans les méandres d'une dissonance cognitive étrange. Entre l'indifférence d'une fille qui ne m'avait jamais vue et l'éloge d'une autre que j'avais devant moi. A l'heure d'aujourd'hui, je ne sait toujours pas ce que je désire faire avec cette fille et je me sent toujours autant paralysée. Mais compte tenue de mon passif atypique, ce n'est pas tellement troublant.
Chapitre 4 Élise
J'étais sortie avec Élise il y as de nombreuses années, bien avant que je sois confronté a mes blocages actuels. C'était un amour passionnel qui me semblait réciproque, à ses côtés, je ressentais une véritable osmose. Mais alors que notre relation commençait à battre de l'aile, j'ai survécu a un accident qui me laissa une grave séquelle sur mon pied. Dans le plâtre pendant plus de six mois et subissant intervention chirurgicale sur intervention chirurgicale, j'étais devenue un electron libre totalement incontrôlable, je n'étais que l'ombre de moi même.
Élise me largua pour sortir le lendemain avec un vieux loubard que je détestais profondément. Quand j'ai pu remarcher, j'ai chuté dans la délinquance. Tout mon cercle social de l'époque m'avait rejeté, même ma propre famille me détestait. J'avais frôler plusieurs fois la mort dans des rixe violente, je ne pouvais même plus sortir de chez moi sans prendre le risque de recevoir des coups. C'est dans ce cloisonnement total que j'ai chuté dans la dépression.
Je m'en suis sortie par la pratique intensive de sport divers et varié, allant au-delà des lourdes difficulté fonctionnelles liées a mon handicap, et par une fascination débordante pour la littérature. J'avais repris des études et renoué une relation saine avec ma famille quand on me détecta une maladie de chrone, affection auto-immune douloureuse et incurable Malgré tout, j’ai aujourd'hui la chance d'avoir des amis de longue de date et une vie épanouie, pourtant, durant toutes ces années, j'ai toujours refusé qu'une femme puisse entrer dans ma vie. Mais il arrive un jour ou aprés avoir remonter toute les pentes, ont finit par se rendre compte qu'il reste encore une chose a aller chercher pour vivre pleinement sa vie. Ce sentiment plus profond, humain et intime qu'une simple revanche matériel et spirituelle sur la vie.
J'étais sortie avec Élise il y as de nombreuses années, bien avant que je sois confronté a mes blocages actuels. C'était un amour passionnel qui me semblait réciproque, à ses côtés, je ressentais une véritable osmose. Mais alors que notre relation commençait à battre de l'aile, j'ai survécu a un accident qui me laissa une grave séquelle sur mon pied. Dans le plâtre pendant plus de six mois et subissant intervention chirurgicale sur intervention chirurgicale, j'étais devenue un electron libre totalement incontrôlable, je n'étais que l'ombre de moi même.
Élise me largua pour sortir le lendemain avec un vieux loubard que je détestais profondément. Quand j'ai pu remarcher, j'ai chuté dans la délinquance. Tout mon cercle social de l'époque m'avait rejeté, même ma propre famille me détestait. J'avais frôler plusieurs fois la mort dans des rixe violente, je ne pouvais même plus sortir de chez moi sans prendre le risque de recevoir des coups. C'est dans ce cloisonnement total que j'ai chuté dans la dépression.
Je m'en suis sortie par la pratique intensive de sport divers et varié, allant au-delà des lourdes difficulté fonctionnelles liées a mon handicap, et par une fascination débordante pour la littérature. J'avais repris des études et renoué une relation saine avec ma famille quand on me détecta une maladie de chrone, affection auto-immune douloureuse et incurable Malgré tout, j’ai aujourd'hui la chance d'avoir des amis de longue de date et une vie épanouie, pourtant, durant toutes ces années, j'ai toujours refusé qu'une femme puisse entrer dans ma vie. Mais il arrive un jour ou aprés avoir remonter toute les pentes, ont finit par se rendre compte qu'il reste encore une chose a aller chercher pour vivre pleinement sa vie. Ce sentiment plus profond, humain et intime qu'une simple revanche matériel et spirituelle sur la vie.
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