Aborder une fille: Qui, Où et Quand (Sondage)

Note : 24

le 28.05.2019 par Whaleshark

31 réponses / Dernière par Owen le 02.06.2019, 07h30

Pour celles et ceux qui veulent discuter et demander des conseils rencontres et séduction; comment faire avec cette fille ou ce mec; et plus généralement, comment pécho / trouver l'amour à l'ère du swipe left, notamment quand on est ni mannequin, ni un ninja de la drague.
Petit sondage.

Relire les reports d’antan de certains PUA francophones et anglophones donne l’impression qu’ils accostent des filles n’importe ou, n’importe quand et dans n’importe quelle situation. Que ça devient presque leur vie et que c’est la seule façon de progresser.

Je suis curieux de savoir quelle est la réalité dans la communauté.


Abordez-vous des parfaites inconnues?

Si oui, dans quels contextes? (soirées, bars, rue, centre commercial, transports en commun, école, travail…)

Le faites-vous qu’avec des filles qui vous plaisent? Ou aussi avec d’autres, pour “s’entrainer”?

Y accordez-vous un moment hebdomadaire consacre a la sarge, ou uniquement lorsque l’opportunité se présente?

Etes-vous prêts a renoncer a quelque chose de plus urgent pour saisir une occasion qui ne se représentera peut être pas et aller parler a une fille qui vous plait?

Combien de personnes par semaine en moyenne?

Merci de vos réponses :)
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [+1] Intéressant le 28.05.19, 22h21 par Safrania95
  • [+2] Bonne idée ! le 29.05.19, 13h18 par Nonchalance

Hello à tous !

Je me pose les mêmes questions et attends les réponses avec impatience :lol:
<< S'inquiéter, c'est souffrir deux fois >> Anonyme

<< L'homme est certes libre de faire ce qu'il veut, mais il ne peut vouloir ce qu'il veut >> Arthur Schopenhauer

J'aborde personnellement les filles quand le contexte pour moi s'y prête.

Il y a cette caissière qui me plait à Carrefour, je sais qu'elle est attirée (ca se voit dans ses yeux, c'est assez troublant), mais j'ai décidé de ne pas y aller car elle est au taff et qu'il y a des gens. Cela la mettrait mal à l'aise. Du coup si un jour je la croise sans autres clients, je ferai peut être un mouvement, en attendant je me contente de savoir que je lui plais.

Du coup dans la rue c'est rare, mais comme je suis assez sociable, il m'arrive de discuter avec de parfaites inconnues, mais je n'ai pas forcément vocation à aller plus loin que le plaisir du flirt dans l'instant présent. C'est peut être un défaut, mais je me connais, si j'avais un méga coup de coeur, j'amorcerais quelque chose.

Donc : tout improvisé, et j'essaie de ne pas m'imposer dans la drague. En général une approche indirecte ca passe tres bien. Blusher (paix a son âme) parlait d'aborder en utilisant ce qui se trouve autour de soi comme prétexte à la discussion. Je trouve ca tres pertinent.
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [+1] Intéressant le 31.05.19, 05h46 par Whaleshark

Abordez-vous des parfaites inconnues?
>Oui. Si ce ne sont pas de parfaites inconnues, c'est aller saluer quelqu'un, pas de l'abordage;)

Si oui, dans quels contextes? (soirées, bars, rue, centre commercial, transports en commun, école, travail…)
>Tout ce qui me parait approprié. Le plus important des contextes dans le contexte étant le mien, et celui de la fille.
Pour le mien, j'y reviendrai parce que ça répond à une autre question, et celui de la fille, c'est simplement si elle parait hostile à cela (pas juste fermée mais en mode activement défensif /évitant, ou en mode "va chier"), pas branchée sur cette longueur d'ondes là car pressée avec des trucs importants à faire et pas d'espace dans lequel me glisser dans sa vie.
Je sais qu'on peut être la jolie bulle d'oxygène dans la journée de merde de la nana, et si je sens que je peux l'être, je le fais, mais honnêtement; c'est bien trop rare quand la nana est préoccupée ou vraiment pas ouverte que ça sert à rien d'en rajouter pour faire partie de la cohorte de mecs qu'elle maudira à tort ou à raison entre copines.

Le faites-vous qu’avec des filles qui vous plaisent? Ou aussi avec d’autres, pour “s’entrainer”?
>Qu'avec des filles qui me plaisent exceptionnellement. Je n'aurai pas l'impulsion sinon. En tous cas, pour la drague. Pour l'entrainement, voir la suite.

Y accordez-vous un moment hebdomadaire consacré à la sarge, ou uniquement lorsque l’opportunité se présente?
>Quand ça se présente. Je n'ai jamais pu sarger en sessions. C'était contre-nature en fait pour moi. L'abordage à la demande (et pour s'entrainer), bizarrement je n'y suis jamais arrivé. Par contre, le faire à l'envie, dans la rue ça a toujours marché très positivement (pour me bouger, et pour les résultats, donc c'est très incitatif pour rester dans cette dynamique).
Et en sorties nocturnes, disons que dans ce contexte là, on est vraiment dans un contexte où tout le monde drague, ça n'a plus rien qui sort de l'ordinaire, donc .Juste d'être plus ou moins centré sur le milieu où tu sors et l'amusement, ou juste centré sur les nanas/

Êtes-vous prêts à renoncer à quelque chose de plus urgent pour saisir une occasion qui ne se représentera peut être pas et aller parler a une fille qui vous plait?
>ça m'est arrivé par le passé. Aujourd'hui, je ne suis plus sur mon field d'origine, et j'ai sans doute une perception moins fine de la situation ce qui a tendance à me faire renoncer, et souvent plus en mouvement pour le boulot. Et c'est con, mais j'ai pas envie de me mettre dans des situations compliquées pour la moindre nana. Parce que même si elle a une putain d'allure, en général, notre ressenti est faussé et c'est juste qu'elle a un beau cul et de beaux yeux. Ou un bon rimmel et un jean form fitting.
Je drague non plus pas du tout dans le cadre du taf. C'est pas parce que ça passerait pas, parce que je ferais pas ça comme un bourrin. C'est juste que ça me paraît pas adéquat, et j'ai du mal à sortir de cette impression.
Je me dis aussi que où que j'aille, y aura souvent des nanas à aborder. Donc à moins que la nana ait montré un truc unique dans une micro-interaction, je vais souvent pas sortir de ma voie pour en faire trop juste pour elle.
Jusqu'à ce que tu en fasses une vraie rencontre, elle est interchangeable et remplaçable. C'est après que ça devient unique. Mais sinon, si stylée, si belle, si énergique qu'elle soit, il y en aura d'autres comme elles ou mieux.
Donc pas vraiment de raisons de le faire s'il y a plus important.
Quand j'ai le temps, par contre, ça peut très bien devenir ma priorité.

Combien de personnes par semaine en moyenne?
>quand j'avais du temps, ça pouvait être 2 ou 3 fois par semaine en fonction des rencontres, en dehors des sorties nocturnes. Aujourd'hui, c'est plus de l'ordre d'une fois ou deux par mois au quotidien (hors sorties), mais c'est parce que je vais moins sortir de mon chemin pour aller aborder une nana dans des contextes en mouvement, et aussi parce que faut être honnête, j'ai perdu l'état d'esprit et je bloque un peu (alors qu'avant, je ne me posais jamais la question, même au début). Alors qu'aborder hors flirt ne me pose pas vraiment de problème.
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [+2] Intéressant le 31.05.19, 05h45 par Whaleshark
"Les gens déplorent les effets dont ils chérissent les causes"

Owen a écrit : J’aborde personnellement les filles quand le contexte pour moi s'y prête.

Il y a cette caissière qui me plait à Carrefour, je sais qu'elle est attirée (ça se voit dans ses yeux, c'est assez troublant), mais j'ai décidé de ne pas y aller car elle est au taff et qu'il y a des gens. Cela la mettrait mal à l'aise. Du coup si un jour je la croise sans autres clients, je ferai peut être un mouvement, en attendant je me contente de savoir que je lui plais.

Du coup dans la rue c'est rare, mais comme je suis assez sociable, il m'arrive de discuter avec de parfaites inconnues, mais je n'ai pas forcément vocation à aller plus loin que le plaisir du flirt dans l'instant présent. C'est peut être un défaut, mais je me connais, si j'avais un méga coup de coeur, j'amorcerais quelque chose.

Donc : tout improvisé, et j'essaie de ne pas m'imposer dans la drague. En général une approche indirecte ca passe tres bien. Blusher (paix a son âme) parlait d'aborder en utilisant ce qui se trouve autour de soi comme prétexte à la discussion. Je trouve ca tres pertinent.

Salut Owen,

Ton approche en tant qu'ancien de FTS me surprend.
Je me souviens encore de l'époque de FTS ou on s'encourageait à aborder toute fille qui nous plait, dans le but de progresser et de ne pas manquer une opportunité. Et je pense que quand bien même ça pouvait être émotionnellement fatiguant, cette approche avait beaucoup d'avantages.
Un sentiment de proactivité et une amélioration constante.
Pour reprendre l'exemple de la caissière, quand je me retrouve dans une situation semblable et que je ne tente rien, je me sens coupable. Ses collègues sont à côte, et alors ? En effet, c'est gênant. Mais c'est aussi une excellente raison de montrer que j'ai encore plus de couilles en le faisant en face d'eux sans me cacher. Sans compter que tu repousses tes limites et ta zone de confort.
Après j'ai aussi beaucoup de moments de trouille ou je ne bouge pas, mais dans l'idéal je ne considère pas ça comme quelque chose de bien.

Si tu te contentes d'aborder que les filles qui te plaisent de façon extraordinaire, n'as-tu pas peur de perdre tes moyens ?
De plus, aborder beaucoup de filles donne le sentiment que tout le monde est accessible et est rempli d'une infinité de belles partenaires potentielles, et ça permet de ne pas se focaliser sur une seule le moment venu.


Onmyoji a écrit : Abordez-vous des parfaites inconnues ?
>Oui. Si ce ne sont pas de parfaites inconnues, c'est aller saluer quelqu'un, pas de l'abordage;)

Si oui, dans quels contextes ? (soirées, bars, rue, centre commercial, transports en commun, école, travail…)
>Tout ce qui me parait approprié. Le plus important des contextes dans le contexte étant le mien, et celui de la fille.
Pour le mien, j'y reviendrai parce que ça répond à une autre question, et celui de la fille, c'est simplement si elle parait hostile à cela (pas juste fermée mais en mode activement défensif /évitant, ou en mode "va chier"), pas branchée sur cette longueur d'ondes là car pressée avec des trucs importants à faire et pas d'espace dans lequel me glisser dans sa vie.
Je sais qu'on peut être la jolie bulle d'oxygène dans la journée de merde de la nana, et si je sens que je peux l'être, je le fais, mais honnêtement ; c'est bien trop rare quand la nana est préoccupée ou vraiment pas ouverte que ça ne sert à rien d'en rajouter pour faire partie de la cohorte de mecs qu'elle maudira à tort ou à raison entre copines.
Salut Onmyoji,
J'aime ta réponse et je suis plutôt d'accord avec, même si j'ai tendance à ignorer le fait qu'une fille ait l'air fermée. C'est difficile de vraiment savoir à l'avance, et souvent on peut avoir de très bonnes surprises. Et parfois, quand bien même elle est réellement fermée, n'est pas un challenge supplémentaire d'arriver la faire s'ouvrir et changer son mood?
Onmyoji a écrit : Le faites-vous qu’avec des filles qui vous plaisent ? Ou aussi avec d’autres, pour “s’entrainer” ?
>Qu'avec des filles qui me plaisent exceptionnellement. Je n'aurai pas l'impulsion sinon. En tous cas, pour la drague. Pour l'entrainement, voir la suite.
Après avoir relu l'article "Ayez envie de baiser", j'aurais tendance à aussi aborder celles qui me plaisent tout court. Aussi parce que le caractère de la personne peut beaucoup compenser son physique pas transcendant.
Onmyoji a écrit : Êtes-vous prêts à renoncer à quelque chose de plus urgent pour saisir une occasion qui ne se représentera peut-être pas et aller parler à une fille qui vous plait ?
>ça m'est arrivé par le passé. Aujourd'hui, je ne suis plus sur mon field d'origine, et j'ai sans doute une perception moins fine de la situation ce qui a tendance à me faire renoncer, et souvent plus en mouvement pour le boulot. Et c'est con, mais j'ai pas envie de me mettre dans des situations compliquées pour la moindre nana. Parce que même si elle a une putain d'allure, en général, notre ressenti est faussé et c'est juste qu'elle a un beau cul et de beaux yeux. Ou un bon rimmel et un jean form fitting.
Je drague non plus pas du tout dans le cadre du taf. C'est pas parce que ça passerait pas, parce que je ferais pas ça comme un bourrin. C'est juste que ça me paraît pas adéquat, et j'ai du mal à sortir de cette impression.
Je me dis aussi que où que j'aille, y aura souvent des nanas à aborder. Donc à moins que la nana ait montré un truc unique dans une micro-interaction, je vais souvent pas sortir de ma voie pour en faire trop juste pour elle.
Jusqu'à ce que tu en fasses une vraie rencontre, elle est interchangeable et remplaçable. C'est après que ça devient unique. Mais sinon, si stylée, si belle, si énergique qu'elle soit, il y en aura d'autres comme elles ou mieux.
Donc pas vraiment de raisons de le faire s'il y a plus important.
Quand j'ai le temps, par contre, ça peut très bien devenir ma priorité.

Combien de personnes par semaine en moyenne?
>quand j'avais du temps, ça pouvait être 2 ou 3 fois par semaine en fonction des rencontres, en dehors des sorties nocturnes. Aujourd'hui, c'est plus de l'ordre d'une fois ou deux par mois au quotidien (hors sorties), mais c'est parce que je vais moins sortir de mon chemin pour aller aborder une nana dans des contextes en mouvement, et aussi parce que faut être honnête, j'ai perdu l'état d'esprit et je bloque un peu (alors qu'avant, je ne me posais jamais la question, même au début). Alors qu'aborder hors flirt ne me pose pas vraiment de problème.
Ça m'intéresse de savoir qu'est qui a opère le changement qui fait que tu bloques maintenant et que tu ne bloquais pas avant. Si aujourd'hui tu abordes une ou deux fois par mois (et je suppose que tu ne closes pas à chaque fois), quelle est ta façon privilégiée de rencontrer des filles ? En soirée ?
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [+1] Constructif le 31.05.19, 09h55 par Onmyoji

Whaleshark a écrit :Ton approche en tant qu'ancien de FTS me surprend.
Je me souviens encore de l'époque de FTS ou on s'encourageait à aborder toute fille qui nous plait, dans le but de progresser et de ne pas manquer une opportunité. [...]
Ses collègues sont à côte, et alors ? En effet, c'est gênant. Mais c'est aussi une excellente raison de montrer que j'ai encore plus de couilles en le faisant en face d'eux sans me cacher. Sans compter que tu repousses tes limites et ta zone de confort.
Que tu cherches à repousser tes limites c'est cool et si c'est gênant pour toi, c'est ton affaire.
Le problème c'est quand c'est gênant / stressant pour la fille aussi. Et typiquement sur un lieu de travail, ou tard le soir dans une ruelle sombre, etc. il y a des contextes qui ne se prêtent pas forcément bien à la drague. Question d'intelligence sociale et d'empathie.
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [+1] Constructif le 31.05.19, 09h54 par Onmyoji
  • [+1] Absolument le 31.05.19, 14h57 par Perlambre

Ton approche en tant qu'ancien de FTS me surprend.
Je me souviens encore de l'époque de FTS ou on s'encourageait à aborder toute fille qui nous plait, dans le but de progresser et de ne pas manquer une opportunité. Et je pense que quand bien même ça pouvait être émotionnellement fatiguant, cette approche avait beaucoup d'avantages.
Un sentiment de proactivité et une amélioration constante.
Pour reprendre l'exemple de la caissière, quand je me retrouve dans une situation semblable et que je ne tente rien, je me sens coupable. Ses collègues sont à côte, et alors ? En effet, c'est gênant. Mais c'est aussi une excellente raison de montrer que j'ai encore plus de couilles en le faisant en face d'eux sans me cacher. Sans compter que tu repousses tes limites et ta zone de confort.
Après j'ai aussi beaucoup de moments de trouille ou je ne bouge pas, mais dans l'idéal je ne considère pas ça comme quelque chose de bien.
Je suis un ancien de FTS, peut être, mais je n'ai jamais été trop à l'aise avec le SPU et ce genre d'abordage incessant.

Pourquoi? Car en réalité c'est très tendancieux de draguer une fille à son travail. La plupart des meufs mignonnes se font draguer au travail, et ce de maniere pas forcément subtile ou classe. Plutot que se démarquer en étant plus couillu, je préfère me démarquer en prenant ca en compte et en n'étant pas un gros lourd.

Donc ma position c'est :

Je ne drague pas une fille au travail, sauf si on a eu une interaction vraiment cool, que je sens que c'est ok, et qu'il n'y a pas de collègues autour qui pourraient la faire chier avec ca. Alors faut rester subtil, y'a parfois des boulevards ouverts au chopage de numéro, mais dans l'incertitude, je m'en abstient.

Donc, dans le cas de la caissière, je sens que je lui plais, mais qu'elle n'ose pas forcément communiquer du fait de la présence d'autre client, je vais pas moi en rajouter une couche.

Si je la croise dans la rue, je lui dirai "eh tu serais pas la caissière de carrefour?" je discuterai avec elle et je l'espere finirai par l'embrasser quelques jours plus tard.

(L'avantage des petites villes c'est que c'est envisageable).

Petit point : je veux pas diaboliser l'idée de s'entrainer, mais il faut vraiment se poser la question de ce qui compte le plus entre son progres perso et le fait d'être potentiellement un creep ou un gros lourd. Réussir à trouver cette nuance c'est une des clés de la séduction, et je pense qu'elle n'est pas à mettre de côté pendant qu'on aborde.

(Et puis encore une fois, une petite approche polie et ouverte avec un "je sais que le contexte s'y prete mal, mais je me demandais si vous vouliez boire un café cette semaine?" ca fonctionne tres bien).

De maniere général, les filles n'aiment pas sentir qu'elles sont percues comme un objet, un trophée, un but à atteindre.

Il serait sympa/opportun d'avoir l'avis des demoiselles concernant l'abordage en rue & co :)

J'ai vu il y a deux jours un mec aborder une fille en pleine rue en journée en lui disant qu'elle est belle, la fille l'a remercié et est partie comme s'il lui avait demandé de l'argent, alors que le mec présentait bien, n'avait pas été intrusif, avait gardé ses distances, ...

En soirée je pense que c'est un mythe que les filles veulent être abordées, elles sortent avant tout pour s'amuser entre copines. Après oui il y a aussi des chasseuses, mais je pense que c'est plus fréquent chez les mecs de sortir pour (tenter de) ramener.

Moi j'aborde plutôt en bar dansant/boîte, quand l'envie me prend, je pense que c'est ça le plus important.

La réceptivité de la personne dépendant aussi de son état d'esprit à l'instant t.
- no pain, no gain -

En réalité, les trois quarts des fois (voire plus), c'est tres désagréable d'être abordé dans la rue / au travail (si j'en crois mes copines).

Evidemment, elles apprécient toutes une approche respectueuse faite par un type beau, cool, fun etc. etc.

Pas de souci quand c'est BIEN fait.

Le probleme c'est le paradigme de "pour bien aborder, il faut aborder un max", qui sous entend que la plupart du temps, on débute sans le faire bien (logique). Donc pour passer de la case "relou" à la case "mec cool qui aborde sans avoir l'air d'y toucher", on va faire chier un bon nombre de nanas.

Du coup, est ce vraiment pertinent (éthique?) comme stratégie?

Mais sur ce sujet ce serait plus opportun de forker (quoique le débat m'intéresse pas mal : quelles sont les alternatives à l'abordage à la chaine? aborder un max est il signe qu'on est quelqu'un de séduisant? de mes propres observations, c'est a mettre en perspective. Genre BEAUCOUP).

D'autant plus que dans la rue c'est rare que les gens s'y baladent par plaisir (du moins en Belgique, le temps ne s'y prête pas trop), donc si une personne y est c'est pour une raison bien précise : faire une course, aller chercher son enfant, rendez-vous médical, entre deux entretiens professionnels, ... du coup la personne a la tête ailleurs (pas réceptive) et verra ça comme une perte de temps.

C'est aussi une question de mentalité : je pense qu'en Espagne, Italie, les pays chauds, ... les abords sont beaucoup plus fréquents et acceptés, alors que chez nous les gens sont " coincés ".
Je pense que c'est aussi pour ça que les applis de rencontres ont beaucoup de succès.

Mais je reste persuadé que c'est la femme qui décide si elle rentre avec un gars ou pas (mon côté féministe ^^), je pense que le meilleur entraînement c'est de sociabiliser un maximum et avec tout le monde, être à l'aise, savoir faire rire, avoir de la répartie, ... et ne pas voir les femmes comme des proies mais des êtres à part entière.
Je connais des mecs qui ne savent voir les femmes autrement que comme à baiser/à ne pas baiser, une soirée réussie est une soirée où on a ramené, ... ils ont beaucoup de succès sur des soirées, mais dans la vie vraie aucune amitié féminine réelle...
- no pain, no gain -

Dams007 a écrit :D'autant plus que dans la rue c'est rare que les gens s'y baladent par plaisir (du moins en Belgique, le temps ne s'y prête pas trop), donc si une personne y est c'est pour une raison bien précise : faire une course, aller chercher son enfant, rendez-vous médical, entre deux entretiens professionnels, ... du coup la personne a la tête ailleurs (pas réceptive) et verra ça comme une perte de temps.
Marche dans Paris un samedi après-midi, tu verras que 95% des gens sont là pour profiter de leur après-midi, flâner, se promener, passer un moment entre amis, regarder les spectacles de rue...

Marches-y le soir et tu verras que 95% des gens y sont pour aller en soirée, se baladent gaiement d'un bar à un autre, etc.

La rue comme tunnel froid ne permettant que d'aller à un point A à un point B c'est vraiment une narration bidon. C'est un lieu vivant la rue.
Dams007 a écrit :En soirée je pense que c'est un mythe que les filles veulent être abordées, elles sortent avant tout pour s'amuser entre copines.
Yes d'ailleurs les femmes n'aiment pas le sexe, naissent dans les choux et sentent la vanille. J'en veux pour preuve ma mère qui a 50 ans et 3 enfants mais est toujours vierge.
Si elles mettent des robes courtes et moulantes c'est avant tout parce que c'est confortable, l'attention masculine que cela leur confère n'est qu'un effet secondaire indésirable :roll:

Alors non les femmes ne sortent pas tout le temps juste pour se faire aborder mais de là à faire comme si c'était anecdotique voir que l'abordage était dérangeant...
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [+1] Ca va mieux en le disant le 31.05.19, 14h17 par Onmyoji
  • [+1] Oui le 31.05.19, 15h01 par Perlambre
  • [+1] Absolument le 03.06.19, 22h25 par ChantePaul

ça a déjà été beaucoup débattu et je suis pas du côté des idées qui veulent qu'il n'y a pas de problème quand c'est bien fait/ tu as de la valeur.
Même si on est respectueux, beau, pas intrusif, ça peut être désagréable pour la fille, même si dans d'autres circonstances elle accueillerait bien le truc. Tout ça, parce qu'elle n'a pas envie à ce moment-là, ou qu'elle a déjà subi un ou plusieurs mauvais abordages ou simplement, des abordages qui la parasitent dans son activité, ou que c'est simplement pas le moment.
Pareil, je considère qu'il faut déjà pas mal d'intelligence sociale pour aborder hors des circonstances socialement acceptables pour ça (pour lesquelles il en faut déjà), donc lâcher des gens dans la rue en se disant que c'est formateur pour eux, pour moi ça contribue aux faits que les femmes trouvent lourdingues.
Même si c'est une goutte d'eau dans l'océan des parasites, des racailles, des agresseurs, et des quelques mecs qui font ça bien.
Pareil pour les filles au travail. Elles ne peuvent que rarement se permettre de réagir si elles se sentent importunées (en dehors du monde de la nuit, où la réaction des équipes est plus correcte en général), avec en plus la pression que si elles répondent quelque chose de désagréable pour le mec, celui-ci sait où la trouver.

Ne pas manquer d'opportunité, ce n'est pas tellement ce qui est important.
Il vaut mieux que chaque fille que tu abordes ait un super ressenti à la fin.
On ne peut pas prévoir à l'avance, certes, mais on peut quand même faire un tri pour éviter les situations où on a le plus de potentiel à ce que ce soit mal perçu, qu'on fasse ça bien et avec respect ou pas.
Qu'on soit respectueux ou pas, on peut très bien passer pour un casse-couilles si on arrive comme un cheveux sur la soupe.
Le problème n'est pas non plus que ce soit gênant pour toi, mais que ça puisse l'être pour elle. Donc pas que tu puisses montrer que tu as plus de couilles, mais que pour elle, ça puisse montrer que tu n'as pas le minimum d'intelligence sociale qui fait que tu perçois les limites inhérentes à sa situation.
Ton journal montre bien que tu as de manière général plutôt une bonne intelligence sociale, et les journaux que tu mentionnes étaient pour la plupart ceux de mecs doués, mais j'ai quand même vu parfois des mecs très bons partir en ayant l'impression que l'interaction avait été super pour les filles, et celles-ci faisaient des têtes dégoûtées ou carrément moqueuses après, ou tenaient des propos qui confirmaient qu'elles ne pensaient pas de bien du gars. Alors, oui, si elles sont hypocrites on y peut rien, et ce serait plus faciles si elles disaient vraiment ce qu'elles pensent pour pas "être lourds malgré nous" (si on sait respecter un non), mais on peut pas leur en vouloir de prendre des précautions.

Pour le sentiment d'accessibilité, tu peux l'avoir, ainsi que le fait qu'il y a beaucoup de filles à rencontrer, sans pour autant faire de l'abordage à la chaine.

Après, évidemment d'accord avec Syd, on peut aussi le faire, et certaines sont ouvertes à ça (d'autant plus en soirée). C'est une évidence. Mais c'est vrai que le fait qu'un bon abordage bien fait par quelqu'un d'un cool puisse rester désagréable est contre intuitif, et ça prend plus de temps de revenir sur cette idée reçue (ou le concept de "s'entrainer sur des inconnues"). Fondamentalement, je n'ai rien contre l'abordage, je pense juste qu'il faut pas faire chier les gens. ça fait partie du jeu
Le problème, c'est qu'il faut aussi tenir compte des x% que ça dérange, même si c'est mineur (c'est sans doute pas 3/4 même si c'est pas 1% non plus). Parce que sur le total ça fait un grand nombre de nanas, et ce sont les plus vocales. Y a rarement des nanas qui vont crier leur amour de l'abordage. Et si elles le font, elles se font conspuer, cf. Catherine Deneuve. Par contre, beaucoup vont râler pour avoir la caisse de résonance des réseaux sociaux, et vont avoir une anecdote, même fake, pour pas passer pour la nana qu'on aborde pas. Donc, la proportion n'a rien de facilement mesurable, mais dans tous les cas, il serait bien de le prendre en compte. Même si ce n'est pas pour se conformer au féminisme radical, mais juste par respect pour celles que ça dérange vraiment (et le faire "en s'entrainant", augmente vraiment les chances que ça dérange vraiment)
Salut Onmyoji,
J'aime ta réponse et je suis plutôt d'accord avec, même si j'ai tendance à ignorer le fait qu'une fille ait l'air fermée. C'est difficile de vraiment savoir à l'avance, et souvent on peut avoir de très bonnes surprises. Et parfois, quand bien même elle est réellement fermée, n'est pas un challenge supplémentaire d'arriver la faire s'ouvrir et changer son mood?
Plusieurs choses:
-comme dit, je suis d'accord, on ne peut pas vraiment savoir d'avance
-je suis assez fainéant, j'aime bien que la nana ait déjà un intérêt pour moi ou qu'elle en ait facilement.
Une nana qui montre des résistances, tu peux peut-être l'avoir, mais si c'est dû à autre chose qu'une mauvaise perception de sa part à l'origine, tu risques d'en subir les conséquences à long terme, parce que le naturel revient facilement (d'autant plus au cours des crises)
-d'une perspective uniquement séduction, en dehors de l'attitude même, je ne suis pas toujours pas certain qu'on puisse séduire une nana qui moins que de l'intérêt, n'a pas d'attirance intrinsèque, ou qui a une répulsion sincère (pas du type "je suis trop attirée et je perds le contrôle, c'est insupportable donc je blackliste le mec en rationalisant") pour ce qu'on peut être, que ce soit parce qu'on a certains traits de personnalité, qu'on fasse partie d'un groupe social ou qu'on ait un look ou une gueule qui ne soit pas son type.
Et comme il est difficile de savoir si son attitude fermée est due à nous, à l'abordage dans ce contexte ou à sa répulsion, si je sens que la nana est fermée (elle peut l'être par anticipation, parce qu'elle sent notre intérêt et qu'elle veut éviter l'abordage), ou qu'elle bloque dans les premières secondes, j'insiste rarement .


Onmyoji a écrit : Après avoir relu l'article "Ayez envie de baiser", j'aurais tendance à aussi aborder celles qui me plaisent tout court. Aussi parce que le caractère de la personne peut beaucoup compenser son physique pas transcendant.
Comme dit, ce n'est pas un choix. Je n'ai pas l'impulsion sinon. Mais le fait de me plaire ça peut évidemment passer par autre chose que le physique.
Ça m'intéresse de savoir qu'est qui a opère le changement qui fait que tu bloques maintenant et que tu ne bloquais pas avant. Si aujourd'hui tu abordes une ou deux fois par mois (et je suppose que tu ne closes pas à chaque fois), quelle est ta façon privilégiée de rencontrer des filles ? En soirée ?
Soirées dans un cercle connu ou sdr.
Pour le reste, je pense qu'il y a plusieurs facteurs. Le fait d'avoir changé de field, d'avoir moins mes marques, de sentir que c'est plus compliqué parce que l'époque et le milieu changent, le fait d'être moins centré sur les nanas ou dans le besoin de faire des rencontres, moins enclin à dévier de mes objectifs pour une nana quelconque,
et quelques autres choses dans mon état d'esprit. C'est pas forcément positif, ou mû par de bonnes raisons, mais ce sont les miennes, et j'avoue que je m'en fous un peu. ça a toujours été du bonus, je ne cours plus après la "magie" d'une belle rencontre. Pour moi, c'est un peu illusoire, même si ça reste des moments appréciables.
"Les gens déplorent les effets dont ils chérissent les causes"

C'est inutile de débattre de la question "doit-on encore envoyer des mecs au niveau 0 aborder dans la rue des nanas par centaines ?" alors que ça fait des années qu'on ne le fait plus. Ca fait longtemps que le SPU est très minoritaire sur FTS voir a presque disparu.

Syd_ a écrit :
Dams007 a écrit :D'autant plus que dans la rue c'est rare que les gens s'y baladent par plaisir (du moins en Belgique, le temps ne s'y prête pas trop), donc si une personne y est c'est pour une raison bien précise : faire une course, aller chercher son enfant, rendez-vous médical, entre deux entretiens professionnels, ... du coup la personne a la tête ailleurs (pas réceptive) et verra ça comme une perte de temps.
Marche dans Paris un samedi après-midi, tu verras que 95% des gens sont là pour profiter de leur après-midi, flâner, se promener, passer un moment entre amis, regarder les spectacles de rue...

Marches-y le soir et tu verras que 95% des gens y sont pour aller en soirée, se baladent gaiement d'un bar à un autre, etc.

La rue comme tunnel froid ne permettant que d'aller à un point A à un point B c'est vraiment une narration bidon. C'est un lieu vivant la rue.
Dams007 a écrit :En soirée je pense que c'est un mythe que les filles veulent être abordées, elles sortent avant tout pour s'amuser entre copines.
Yes d'ailleurs les femmes n'aiment pas le sexe, naissent dans les choux et sentent la vanille. J'en veux pour preuve ma mère qui a 50 ans et 3 enfants mais est toujours vierge.
Si elles mettent des robes courtes et moulantes c'est avant tout parce que c'est confortable, l'attention masculine que cela leur confère n'est qu'un effet secondaire indésirable :roll:

Alors non les femmes ne sortent pas tout le temps juste pour se faire aborder mais de là à faire comme si c'était anecdotique voir que l'abordage était dérangeant...
Mais non je n'écris absolument pas que c'est dérangeant d'aborder une femme, je pense juste que les femmes ne sortent pas spécialement pour pécho.

Comme écrit plus haut, je suis pro-féministe, donc si une femme a des " moeurs légers " (aucun souci pour le sexe sans se connaître) j'en ai RAF et ça m'attirera d'autant plus car je me dis que je passerai un bon moment ^^

Après oui c'est plus facile en soirée car on est embrumé par la liberté et l'alcool, les corps s'expriment par la danse et les jeux de regard, on est hors de son quotidien habituel, ...

Concernant les te nues vestimentaires affriolantes j'ai aussi rencontré pas mal de filles qui me disaient s'habiller de la sorte car elles aimaient se savoir dévorées du regard et aimer se sentir désirées, mais ne cherchaient pas spécialement à consommer (le sexe était secondaire, voire tertaire, au désir et à l'envie créés chez les mecs).

Comme m'a dit une ancienne conquête (était-ce elle ou moi la proie ? ^^) : " Si une fille a les sous-vêtements assortis, c'est qu'elle avait prévu de ramener " :blbl:

Je pense qu'on devraient pouvoir aborder partout et à toute heure, que ça devrait être naturel, mais que dans les faits c'est différents (notamment avec Metoo & co).
- no pain, no gain -

Syd_ a écrit :C'est inutile de débattre de la question "doit-on encore envoyer des mecs au niveau 0 aborder dans la rue des nanas par centaines ?" alors que ça fait des années qu'on ne le fait plus. Ca fait longtemps que le SPU est très minoritaire sur FTS voir a presque disparu.
C'est clair qu'il y a quelques années le crédo était beaucoup plus de rentrer dans le lard pour se forger, viser la quantité, les récits vantant les conquêtes Fc, Nc, Kc, ... sur une soirée, maintenant c'est révolu cette période.

C'était un peu la période de la découverte des " super pouvoirs " ^^
- no pain, no gain -

Syd_ a écrit :C'est inutile de débattre de la question "doit-on encore envoyer des mecs au niveau 0 aborder dans la rue des nanas par centaines ?" alors que ça fait des années qu'on ne le fait plus. Ca fait longtemps que le SPU est très minoritaire sur FTS voir a presque disparu.
La question est un peu posée par Whaleshark. Après, c'est beaucoup moins suggéré, cela dit, beaucoup de gens qui commencent sur FTS reprennent les traces des anciens, qu'on les y pousse ou pas.
Parce qu'ils ont créé "un mythe".
C'est donc pas inutile d'en reparler.
J'ai aussi complété mon post sur certains aspects.
"Les gens déplorent les effets dont ils chérissent les causes"

C'est inutile de débattre de la question "doit-on encore envoyer des mecs au niveau 0 aborder dans la rue des nanas par centaines ?" alors que ça fait des années qu'on ne le fait plus. Ca fait longtemps que le SPU est très minoritaire sur FTS voir a presque disparu.
Surtout que je ne suis pas certain que ce soit le meilleur endroit en terme de ratio "aborder / pécho".

Owen a écrit :
C'est inutile de débattre de la question "doit-on encore envoyer des mecs au niveau 0 aborder dans la rue des nanas par centaines ?" alors que ça fait des années qu'on ne le fait plus. Ca fait longtemps que le SPU est très minoritaire sur FTS voir a presque disparu.
Surtout que je ne suis pas certain que ce soit le meilleur endroit en terme de ratio "aborder / pécho".
C'était plus une école pour oser se lancer et affronter la peur du râteau...
- no pain, no gain -

Avis féminin :

Le contexte est vraiment déterminant pour moi. Le boulot c’est niet, j’ai loupé des opportunités mais tant pis je préfère m’abstenir que de donner prise à des ragots au sein de ma boîte ou d’avoir un ex sous les yeux au quotidien en cas de rupture.

Je ne vois pas d’inconvénient à la drague de rue, cela va dépendre 1/ de la façon de faire du mec, 2/ de mon état d’esprit.

Pour l’état d’esprit, deux cas de figure :
- suis pressée, en retard, dans ce cas il est tout à fait possible que je ne m’aperçoive même pas de la tentative tant mon esprit est préoccupé
- suis décontractée donc je vais scanner le mec et si son abordage est courtois il aura droit à un sourire et pourquoi pas un début de conversation, plus si affinités voire même plus plus.

En ce qui concerne la façon de faire :
Comme dit plus haut l’abordage doit être courtois, et puis il faut que je sente que le mec s’amuse, qu’il est décontracté, que sa vie ne dépend pas de l’interaction.
L’accroche est banale/originale ? De la répartie si je lui adresse une réponse ? Les premières secondes sont déterminantes.

Et si je le scanne c’est bien sûr pour voir s’il est à mon goût mais aussi (surtout) pour décrypter son langage non verbal : sa façon de se tenir, bien campé, timide ? Ses mains, dans les poches ? Souriant ou pas ? Regard direct ou fuyant ?

La drague en soirée, bar etc. « Les filles sortent avant tout pour s’amuser avec leurs copines »… tout dépend de ce que l’on met derrière le terme « s’amuser ». Perso je n’ai jamais refusé une opportunité mâle au prétexte d’être avec mes copines. Nous nous adorons mais à vrai dire lorsque nous sortons c’est pour titiller du mec, ça fait largement partie de notre amusement.
Avons-nous pour autant des « mœurs légères » ? Avons-nous besoin d’être embrumées par l’alcool ? Non.

Perlambre a écrit :Avis féminin :

Le contexte est vraiment déterminant pour moi. Le boulot c’est niet, j’ai loupé des opportunités mais tant pis je préfère m’abstenir que de donner prise à des ragots au sein de ma boîte ou d’avoir un ex sous les yeux au quotidien en cas de rupture.

Je ne vois pas d’inconvénient à la drague de rue, cela va dépendre 1/ de la façon de faire du mec, 2/ de mon état d’esprit.

Pour l’état d’esprit, deux cas de figure :
- suis pressée, en retard, dans ce cas il est tout à fait possible que je ne m’aperçoive même pas de la tentative tant mon esprit est préoccupé
- suis décontractée donc je vais scanner le mec et si son abordage est courtois il aura droit à un sourire et pourquoi pas un début de conversation, plus si affinités voire même plus plus.

En ce qui concerne la façon de faire :
Comme dit plus haut l’abordage doit être courtois, et puis il faut que je sente que le mec s’amuse, qu’il est décontracté, que sa vie ne dépend pas de l’interaction.
L’accroche est banale/originale ? De la répartie si je lui adresse une réponse ? Les premières secondes sont déterminantes.

Et si je le scanne c’est bien sûr pour voir s’il est à mon goût mais aussi (surtout) pour décrypter son langage non verbal : sa façon de se tenir, bien campé, timide ? Ses mains, dans les poches ? Souriant ou pas ? Regard direct ou fuyant ?

La drague en soirée, bar etc. « Les filles sortent avant tout pour s’amuser avec leurs copines »… tout dépend de ce que l’on met derrière le terme « s’amuser ». Perso je n’ai jamais refusé une opportunité mâle au prétexte d’être avec mes copines. Nous nous adorons mais à vrai dire lorsque nous sortons c’est pour titiller du mec, ça fait largement partie de notre amusement.
Avons-nous pour autant des « mœurs légères » ? Avons-nous besoin d’être embrumées par l’alcool ? Non.
Je vais devoir changer mon post car il semble manifestement être mal compris ! :p

Je voulais dire que je pense que sortir pour chasser je pense que c'est plus un trucs de mecs, dont le but est de ramener et fait l'objet d'une soirée réussie ou pas.
Mœurs légères j'avais mis entre guillemets, je voulais exprimer une fille qui s'amuse sexuellement et qui assume.
Une femme qui prend les devants je trouve ça d'autant plus attirant car je me dis que ce n'est pas une prude et que je vais passer un " sale " quart d'heure ^^

Pas le besoin d'être embrumé par l'alcool, loin de là, mais que ça peut jouer sur le côté relax et détendu (et parfois amener à des situations bien fun).
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [0] Pas de problème ! le 31.05.19, 15h12 par Perlambre
- no pain, no gain -

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