Drogué à la réflexion

Note : 0

le 19.06.2014 par animale

16 réponses / Dernière par selenien le 22.02.2015, 22h10

Etat d'esprit / psychologie / dev perso / vie intérieure.
Un forum pour celles et ceux qui s'intéressent au dev perso, à l'équilibre intérieur, à la psychologie. Surmonter ses blocages, ses croyances limitantes, nourrir et développer ses forces, etc.
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Salut les gens,

Dans ma quête de développement perso j'avance, et je viens de me rendre compte, que j'avais touché un point crucial. Je vous avais dit dans mon topic précédent (sur l'hypersensibilité), que la moindre petite stimulation pouvait m'entraîner dans des états assez délirants.

Il me semble que c'est connecté à un autre phénomène. Je pense avoir compris pourquoi je n'agissais pas plus que ça, pourquoi je ne me bougeais pas plus que ça l'arrière-train pour finir mes projets ou mes devoirs.
Je m'explique. FK disait dans son article que pour commencer à prendre le dessus sur la procrastination, il était important d'identifier la chose qui nous apporte le plus de bien (ou le moins de mal), que le fait d'agir.

Eh bien il me semble que cette chose, c'est la réflexion. Mais du genre agréable. Je passe mes journées libres, à écouter de la musique tout en lisant des articles sur l'actualité, la psychologie, la politique, etc... et le fait de connecter des idées entre elles me fait un bien fou. Si bien que j'ai le sentiment que je pense tout le temps, je n'ai pas ces moments où le cerveau ne fait rien et se repose. Il me semble qu'en moyenne je connecte 10 idées, émotions, couleurs... bref des stimuli, entre eux, en une minute. Et souvent ça peut être des choses totalement différentes.
C'est pour moi vital : si je le fais pas j'ai l'impression qu'on va me débrancher le cerveau et que je vais me mettre à pleurer, ou que je vais avoir peur du vide (j'ai eu un moment comme ça pendant 2-3 secondes où je ne pensais pas et des larmes me montaient). Attention c'est une image, ça fait peut-être schyzo dit comme ça mais ce que je veux dire c'est que si je ne "mousse" pas des stimuli, que je m'arrête, je vais mourir (comme une image de grand noir qui apparaîtrait dans mon cerveau).

Et donc par conséquent si j'agis, je vais avoir le sentiment au bout d'un certain temps de m'essouffler, de m'étouffer, et je vais donc abandonner mon effort. Car il faudra que je mette moins d'intensité à réfléchir, et plus à être dans l'action.

Ca peut s'améliorer, se contrecarrer ça ? :)
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [0] Bienvenue ! le 19.06.14, 13h54 par Terrigan
  • [0] Pas convaincu le 19.06.14, 21h49 par Iskandar
  • [0] Blah blah blah le 19.06.14, 22h27 par Raven
  • [0] Mauvais forum, fais gaffe le 26.12.14, 01h13 par sebz9999

(J'ai mis "bienvenue" parce que je suis pareil)

Ce qui me paraît positif c'est de constater à quel point l'action est bénéfique pour toi.

En fait tu as identifié tes réflexes et pulsions premières quand tu ne réfléchis pas à ce que tu vas faire --> La superglande - réflexion.

Mais quand tu te bouges, je ne crois pas que ce soit l'horreur, je pense que c'est plutôt l'idée de ne pas être dans ta bulle de réflexion qui est angoissante.

A partir de là c'est le premier pas qui coûte, à savoir sortir de la bulle de superglande - réflexion, et ensuite ça va.

On retombe sur le "il faut", en l'espèce "il faut se bouger", mais c'est pas tant que ça un effort. La notion d'effort est plus fantasmée que réelle, et à la fin, regarde comme tu te sens bien quand tu bouges...

PS: tu pourrais éditer le titre de ton post? Parce que "drogue" sans l'accent, ça pique les yeux...
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Pour bien aimer les femmes il faut aimer le monde.
Car les femmes ne sont qu'une infime partie du monde
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je connais aha, tu fais du sport ? si oui à quel fréquence ? est la procrastination n'est pas forcement mauvais ^^

le sport aide à canaliser son énergie, si ton corps est apaiser,fatiguer ton esprit le sera aussi est inversement,sinon tu as sans doute peur d'être seul alors tu pense sans cesse parce que ta peur du néant....

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Ahah, justement non ^^ ça fait 2 ans que je n'en fais plus de façon régulière. Je prévois de reprendre à la rentrée, mais en club cette fois. Je suis allé faire un peu de course avec 2-3 potes de promo, mais pas de façon aussi régulière qu'eux. Au bout d'un moment je n'arrivais pas à suivre physiquement donc j'ai stoppé.
Et quelque part c'est vrai que de laisser le temps passer à penser à des choses, ça donne l'impression de remplir une sensation de manque. Mais en fait ça le diffère !

D'ailleurs en faisant un test cardiaque avec un pote hier, j'ai été surpris d'être à 90 pulsations par minute au repos... c'est pas très normal ^^ mais en même temps quand on n'a plus d'activité physique... j'étais à 65 de mémoire quand je faisais de l'exercice.

Pas convaincu, désolé.

Tu ressens quoi quand tu ne penses à "rien". Attention, je ne t'ai pas demandé à quoi tu penses, mais ce que tu ressens. Décris-le par des sensations physiques plutôt, ça me parle plus.
C'est toujours toujours le cas ? Le matin au réveil après une bonne nuit, comme le midi avec la dalle et le soir quand tu es crevé ?
Ton "besoin de penser" est toujours lié au même état émotionnel, ou tu le ressens dans des états finalement assez différents ? Le même type d’événements (tristes, joyeux, excitants, etc...) déclenche ce état, ou il arrive peut importe le type d’événements qui te sont arrivés précédemment ?

Et inversement, quand tu "agis", que ressens-tu ? As-tu peur ? Es-tu angoissé ? Ressens-tu de la colère, comme si tu perdais ton temps ? Autre chose ? As-tu des manifestations physiques de ce que tu décris ?

Pour répondre, ne te bases pas sur tes souvenirs. Fais-le test dans les jours qui suivent, puis répond. Et dernière chose: bien sûr, NE PENSE PAS quand tu expérimentes ce que je te demande. NE TE PROJETTE PAS, N'IMAGINE PAS ce que tu ressentirais dans les situations que je te demande. VIS-LES, EXPERIMENTES-LES, ET ENSUITE DONNE UNE REPONSE. A POSTERIORI donc.

Le but, c'est bien de te focaliser sur ce que tu ressens sur l'instant, dans ta tête et dans ton corps. Pas sur ce que tu penses.

@ animale: En dehors de ta pensée, contrairement à ta peur manifeste du "vide", tu va trouver des émotions (et bien d'autres choses, mais pas du vide !). Si des larmes monte quand tu n'es pas enfermé dans le mental, et bien laisse les monter, et pleure si il le faut. Tu es humain, et donc, tu ressens.

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Iskandar a écrit :Pas convaincu, désolé.

Tu ressens quoi quand tu ne penses à "rien". Attention, je ne t'ai pas demandé à quoi tu penses, mais ce que tu ressens. Décris-le par des sensations physiques plutôt, ça me parle plus.
C'est toujours toujours le cas ? Le matin au réveil après une bonne nuit, comme le midi avec la dalle et le soir quand tu es crevé ?
Ton "besoin de penser" est toujours lié au même état émotionnel, ou tu le ressens dans des états finalement assez différents ? Le même type d’événements (tristes, joyeux, excitants, etc...) déclenche ce état, ou il arrive peut importe le type d’événements qui te sont arrivés précédemment ?

Et inversement, quand tu "agis", que ressens-tu ? As-tu peur ? Es-tu angoissé ? Ressens-tu de la colère, comme si tu perdais ton temps ? Autre chose ? As-tu des manifestations physiques de ce que tu décris ?

Pour répondre, ne te bases pas sur tes souvenirs. Fais-le test dans les jours qui suivent, puis répond. Et dernière chose: bien sûr, NE PENSE PAS quand tu expérimentes ce que je te demande. NE TE PROJETTE PAS, N'IMAGINE PAS ce que tu ressentirais dans les situations que je te demande. VIS-LES, EXPERIMENTES-LES, ET ENSUITE DONNE UNE REPONSE. A POSTERIORI donc.

Le but, c'est bien de te focaliser sur ce que tu ressens sur l'instant, dans ta tête et dans ton corps. Pas sur ce que tu penses.
Ce que je ressens quand je ne pense à rien : l'impression de me prendre un coup de massue sur la tête, notamment quand je me réveille. Quand je mets beaucoup de temps à me réveiller, je finis par avoir la dalle, et là j'ai 2 choses qui se mélangent : l'envie de rester au lit et celle d'aller me préparer à manger, donc je finis par avoir un mal de ventre de plus en plus important jusqu'à ce que je me décide à y aller. (mais quand je rentre de temps en temps chez papa-maman, je n'ai pas ce problème pour la cuisine donc j'ai juste le cas où je me sens assommé au réveil)
J'ai remarqué que ça m'arrivait juste le matin. Après le midi, et le soir, je suis lancé, c'est-à-dire que je me sens plus énergique. Mais je préfère passer mon temps à faire des jeux, ou lire des articles. A certains moments je me sens presque coupable de dépenser des heures entières à "tourner dans le vide", mais je continue car pas envie d'affronter le travail qui m'attend.

Quand j'agis, trois cas de figure.
- Quand je réussis à faire quelque chose, et que au préalable j'ai clairement défini dans quel cadre cette tâche s'effectuait, je continue à avancer, avec une sorte de fougue, de poussée d'adrénaline qui généralement me permet de continuer à piloter un projet sans trop de problème. C'est rare, mais ça arrive.
- Quand je réussis à faire une tâche mais que je n'ai pas déterminé dans quel cadre elle s'inscrivait, je prends un plaisir fou à la réussir, mais c'est un plaisir qui me bloque, dans le sens où il est si fort qu'il me paralyse. (trop grande satisfaction ?)
- Quand je n'arrive pas à faire une tâche, j'ai tendance à être de plus en plus énervé (normal) 5 fois sur 10. Sinon je repousse cette tâche dans le temps.

Après il y a peut-être d'autres facteurs qui jouent. Notamment le fait de penser trop aux filles, surtout quand je n'en ai pas sous le coude :p c'est ce qui me pousse à passer des heures et des heures sur FTS... comme si une recherche compulsive d'informations me calmait. Et du coup ça devient de plus en plus difficile de quitter la fenêtre du forum ;P je pense alors que je suis plus avancé alors qu'en réalité j'ai juste pris l'information théorique sur un nombre plus important de situations. Et sur le moyen terme tourner à vide parce que on veut goûter à de la moule mais que on n'a pas les ressources pour le faire, c'est assez destructeur dans le sens où on laisse d'autres pans de sa vie se dégrader. En y réfléchissant, et après discussion avec un pote expérimenté niveau filles, j'ai réalisé que toute ma vie j'ai attiré sexuellement pas mal de filles mais que je n'ai pas concrétisé parce que mes problèmes étaient plus complexes, qu'une histoire de techniques de drague. Je parle bien entendu des filles que je connais un minimum.

Et un autre facteur, qui a peut-être moins d'importance, mais qui compte quand même. J'avais le projet d'intégrer une école d'ingénieur dans la ville où j'étudie. J'ai de bons résultats mais actuellement insuffisants pour être admissible, vu la concurrence en IUT, et le nombre de places accordées aux universitaires. Pendant près d'un an je me suis infligé tout seul une pression pour avoir un classement qui me permettait de rester dans les clous. Mission accomplie au premier semestre, au deuxième je ne pense pas. Les profs avec qui j'en ai parlé m'ont dit qu'il était possible pour moi de faire une école d'ingénieurs mais dans une autre ville. Je dois rester dans la ville où j'étudie pour raisons financières. Donc je me suis renseigné sur une solution que je croyais être "de repli".
J'ai entendu parler d'une formation, à niveau master professionnel, donc plus axé sur la pratique. Comme en école d'ingénieur. Peut-être que certains ici connaissent cette formation, ça s'appelle MIAGE. Il y a de la gestion, des langues, de la communication, des maths, de l'ingénierie, des projets... bref c'est très très complet. Et il y a plus de places octroyées initialement, en L3, que dans l'école d'ingénieurs de ma ville. C'est une formation qui est vraiment recherchée par les entreprises, et en moyenne les miagistes ont un taux d'emploi de 90% en CDI.
Après, ce n'est pas parce que c'est la fac, que le niveau est ridicule, il me semble. Car à compter du M1, les étudiants en MIAGE sont écrémés à chaque semestre, car il y a une sélection sur dossier et entretien. Et au-delà du salaire qui est en moyenne entre 35K€ et 40K€ par an, les possibilités d'évolution sont très intéressantes. On peut approfondir ses connaissances au niveau technique, mais aussi faire du pilotage de projet, ou du management, ou du commercial. Un cousin qui travaille dans une grande entreprise informatique à Paris (FiaNet) m'a dit que dans sa boîte du moins, les étudiants de MIAGE ne souffraient pas la comparaison avec les étudiants passés par des écoles d'ingé.

Donc psychologiquement j'ai commencé à lâcher l'objectif école d'ingé, pour me concentrer progressivement vers MIAGE. Ca me met une pression moins importante sur les épaules mais je ne serai pas malheureux dans l'avenir si j'arrive jusqu'au bout.

Comme le dit cette vieille phrase: "Stop thinking, start acting". Le mental c'est bien, mais à un moment donné, il faut agir. Agir c'est bouger pour soi, dans le monde. Si tu agis, tu va trouver que tout ce que tu sais (au sens du savoir théorique) peu prendre vie dans le monde. Et quand ça prend vie dans le monde, ça renvois du feedback, à savoir, des informations que tu n'aurais jamais pu avoir autrement qu'en ayant agit.

animale a écrit :Après il y a peut-être d'autres facteurs qui jouent. Notamment le fait de penser trop aux filles, surtout quand je n'en ai pas sous le coude :p c'est ce qui me pousse à passer des heures et des heures sur FTS... comme si une recherche compulsive d'informations me calmait. Et du coup ça devient de plus en plus difficile de quitter la fenêtre du forum ;P je pense alors que je suis plus avancé alors qu'en réalité j'ai juste pris l'information théorique sur un nombre plus important de situations. Et sur le moyen terme tourner à vide parce que on veut goûter à de la moule mais que on n'a pas les ressources pour le faire, c'est assez destructeur dans le sens où on laisse d'autres pans de sa vie se dégrader. En y réfléchissant, et après discussion avec un pote expérimenté niveau filles, j'ai réalisé que toute ma vie j'ai attiré sexuellement pas mal de filles mais que je n'ai pas concrétisé parce que mes problèmes étaient plus complexes, qu'une histoire de techniques de drague. Je parle bien entendu des filles que je connais un minimum.
C'est pas bon tout ça, et tu le sais bien.

Et tu connais la solution --> moins de temps sur FTS.

Edit: à part pour ton journal, car il parle de tes actes Image

FTS fait partie de la sphère de l'internet, sphère qui est nocive pour ce style de profil psychologiques:
- cyberaddiction
- procrastination, inactivité, repli sur soi
- (et en ce qui concerne les filles) difficultés à sortir rencontrer des filles.

C'est tout à fait possible de ne pas avoir de filles dans sa vie, même à draguer de loin, pendant un certain temps.

Cependant, avoir une phase "off" tout en s'obsédant sur le sujet sur des forums internet, c'est pas sain.

Je le dis autrement: si tu ne peux pas ou ne veux pas "te faire chier" avec des histoires de gonzesses, ne te fais pas chier à te documenter sur... des histoires de gonzesses.

***

Je te conseille donc d'arrêter pour un temps de surfer sur FTS

Ou alors au contraire de te bouger et de te remettre à rencontrer des filles.

Logique.
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Car les femmes ne sont qu'une infime partie du monde
Nous aussi d'ailleurs...

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Ouaip. Et si j'ai envie malgré tout de parler de mes états d'humeur en général ? Je sens que je manque d'air malgré le fait que je recontacte peu à peu des gens dont une fille qui m'a proposé de la voir (en mode social mais quand même), à la rentrée.

Je vais te dire la vérité Terrigan, je me sens pas bien du tout, c'est pas forcément lié aux filles mais j'ai vécu récemment un événement douloureux (licenciement) et je suis terriblement en colère que ça me soit tombé comme ça là-dessus. J'aurais voulu engueuler ma chef et lui foutre 2 claques tellement elle m'a gonflé cette connasse, mais je serais passé pour un gros cinglé :s

Animal,

Tu me fais beaucoup pensé au cas de certaines personnes appelés " haut potentiels ".

Une multitude de caractéristiques les caractérise dont beaucoup qui semble te correspondre.

- le cerveau qui réfléchit sans cesse tel une drogue
- hyperstimulation
- grande capacité à faire des liens entre les choses (qui peuvent êtres de domaines très différents) dues à un mode de pensée différents (en arborescence).
- une difficulté dans les relations sociales dues en partie à une perception du monde différente. Une impression de décalage avec les autres.

Et une multitude d'autres caractéristiques, peut-être es tu concerné.

( Animal, je voulais noter ton post par " mauvais esprit " et pas par " mauvais forum )

Tu me fait penser a moi a mes tout début, le fait est que ton message pourrait laisser entendre que ton cerveau est en fonctionnement maximum. Ce qui supposerais une certaines forme d'intelligence " supérieur " a la moyenne.

De mon expérience, il y as de forte chance que tu ne soit en rien différent du reste de tes amis ou de ceux qui compose le gros de la société[/i]. Très certainement, ton activité " intellectuelle extrême" n'ais surement rien d'autre qu'une échappatoire a ton inadaptation sociale. Le mécanisme étant : je suis inadapté social car je suis trop intelligent, ce qui est une ritournelle sémantique qui t'exclurais de facto des autres. Je ne suis pas apte a dire que c'est précisément ton cas, mais c'est ce que m'évoque tout court texte, je parle plus de ressenties personnel, c'est approximatif, je le reconnais, mais je pense que ça pourrais te donner quelques pistes.

Ta sur-intellectualisation supposé est certainement concentré sur une échappatoire a ta véritable problématique, qui est : que tu ne possède pas ou peu de compétence sociale ( Hormis les cas des génies extrême ) Il te faut te poser la question la dessus : as tu une activité cérébrale supérieur a la moyenne, ou est tu en réalité comme tout le monde, ta suractivité cérébrale est-elle mise en place comme une échappatoire. Il te faut certainement admettre que tu est comme tous le monde. Ton problème n'ais pas d'ordre intellectuelle mais sociale, et l'un et l'autre ne sont pas forcément lié. Ton inactivité que tu noi dans la réflexion n'ais pas obligatoirement une marque d'intelligence ou de différenciation.

Le but étant de te dire que si tu te noit dans la réflexion, ce n'est pas forcément parce que tu es supérieurement intelligent mais qu'il y as des raisons que seul toi connait qui te pousse a te noyer dans cette réflexion, et qu'il te faut trouver ces raisons sans tomber dans le travers de te dire que tu trop cérébrale pour être sociable. C'est un piège dans lequel beaucoup tombe.
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [0] C'est pas si simple le 26.12.14, 00h46 par Poivron
  • [+2] En effet le 26.12.14, 01h03 par Mr.Smooth
  • [0] lol le 26.12.14, 02h19 par Blusher

doublon...

@sebz
Ton message... On se croirait dans Fight Club :D

"Vous n'êtes pas exceptionnels"

@animale

Parfois écrire fait plus de mal que de bien. C'est une activité créative retorse qui n'aide pas forcément à être créatif. Dans un bon roman il ne faut pas hésiter à couper les passages introspectifs et se concentrer sur l'action, l'intrigue. Quand je relis les quelques tentatives de journaux intimes que j'ai faite, je suis super étonnée du fait que ce n'est pas aussi intéressant que je le croyais. D'abord parce que c'est déprimant: j'écrivais surtout les choses négatives. Et pourtant, il m'arrivait des choses géniales en même temps, juste, je mettais la focale au mauvais endroit. Pareil, ça m'a aidé à relativiser quand j'ai réalisé que mon état d'esprit était vachement lié aux saisons et leurs températures/luminosité : déprime en hiver, boost au printemps, niaque d'enfer en été et reboost en automne.

Le sport a déjà été évoqué. Mais d'autres activités artistiques sont plus propices au lâcher prise : peinture, dessin, musique. Sinon achète de la pâte à modeler, fait du coloriage, refait des trucs que tu faisais enfant et qui ne mobilisaient pas ton intellect et qui te donnaient juste un plaisir sensoriel et instantané.

De toute façon, si tu décides d'entamer une thérapie : ils te proposeront souvent les arts créatifs et la méditation.

ploum a écrit :@sebz Ton message... On se croirait dans Fight Club
Je ne pensais pas a Fight club, même si parfois, c'est bon de rapeller qu'on est tous différent a notre manière mais qu'on a rien de foncièrement différent des autres. Mon message c'est surtout de dire a Animal qu'il peut être facile de se complaire dans un supposé élitisme intellectuel qui justifierais ses problèmes. Mais que ce n'est pas la solution, et que dans la majorité des cas, cet élitisme n'est pas justifié par une intelligence supérieur mais par une asociabilité caractérisé.

Ce membre a été banni de FTS, en raison de manquements répétés au règlement. Un membre peut être banni automatiquement si sa note descend trop bas (ou trop vite), ou manuellement par un modérateur. Les propos de ce membre n'engagent que lui et ne reflètent pas les opinions des utilisateurs de FTS.
sebz9999 a écrit :( Animal, je voulais noter ton post par " mauvais esprit " et pas par " mauvais forum )

De mon expérience, il y as de forte chance que tu ne soit en rien différent du reste de tes amis ou de ceux qui compose le gros de la société[/i]. Très certainement, ton activité " intellectuelle extrême" n'ais surement rien d'autre qu'une échappatoire a ton inadaptation sociale. Le mécanisme étant : je suis inadapté social car je suis trop intelligent, ce qui est une ritournelle sémantique qui t'exclurais de facto des autres. Je ne suis pas apte a dire que c'est précisément ton cas, mais c'est ce que m'évoque tout court texte, je parle plus de ressenties personnel, c'est approximatif, je le reconnais, mais je pense que ça pourrais te donner quelques pistes.

Ta sur-intellectualisation supposé est certainement concentré sur une échappatoire a ta véritable problématique, qui est : que tu ne possède pas ou peu de compétence sociale ( Hormis les cas des génies extrême ) Il te faut te poser la question la dessus : as tu une activité cérébrale supérieur a la moyenne, ou est tu en réalité comme tout le monde, ta suractivité cérébrale est-elle mise en place comme une échappatoire. Il te faut certainement admettre que tu est comme tous le monde. Ton problème n'ais pas d'ordre intellectuelle mais sociale, et l'un et l'autre ne sont pas forcément lié. Ton inactivité que tu noi dans la réflexion n'ais pas obligatoirement une marque d'intelligence ou de différenciation.
Je déterre ce topic, car c'est intéressant d'avoir un recul dessus.

Quand je suis chez moi ouais, je pense à plein de trucs. Plein d'informations qui passent mais je ne sais pas forcément toutes les traiter. Si on ramène l'intelligence au côté performance, efficacité, clairement non je ne suis pas un génie. D'après mes souvenirs j'ai passé un test de QI jeune et j'étais un peu en-dessous de la moyenne. J'ai toujours eu de bons résultats scolaires (15, sans travailler jusqu'en seconde) mais je n'étais pas meilleur qu'un autre pour résoudre des problèmes mathématiques. Même dans mon domaine d'étude (informatique) et des années de pratique je ne suis pas au niveau de jeunes ados qui après un an d'entraînement participent à des olympiades internationales. Bref tout ça pour dire que j'admets être un peu loin de la surdouance même si j'ai réussi quelques trucs sympas dans ma vie ;)

Par rapport au côté social j'arrive pas en fait à me définir par rapport à une catégorie bien définie. Genre les rockeurs, sportifs, artistes... j'ai plein de casquettes mais fondamentalement je suis paumé pour me ranger dans une catégorie, un style de vie à part entière.

Le problème que j'ai je pense c'est la trouille. Je ne me lâche pas suffisamment ou alors à des moments vraiment pas propices à ça. Que ce soit à l'université ou dans des associations, je connais beaucoup de monde mais je ne vais pas beaucoup plus loin. C'est pire encore quand je suis dans des soirées organisées par des associations dont je suis membre. Je me sens empoté, voilà le bon mot. Donc je reste le plus en retrait possible pour ne pas dire, faire de conneries ou de trucs surfaits.

Mon problème avec les filles vient de là, c'est clair comme de l'eau de roche. Et je me plaignais il y a quelques semaines d'être tardif niveau sexualité, mais en n'y réfléchissant ce n'est pas ça le problème. Le problème c'est que j'ai peur et que je n'ose pas y aller, foncer. J'ai beau avoir envie d'une fille, j'ai peur quand on commence à se rapprocher l'un de l'autre, et à se coller. Je suis perdu et je ne sais plus quoi faire. J'ai peur de la caresser, peur de la tripoter, peur de l'embrasser, peur aussi qu'elle refuse cela et qu'elle en parle à tous ses amis, et qu'elle me colle une réputation pas terrible.

je me reconnais sur pas mal de points dans tes dire animale et le pire c'est que je ne sais pas trop comment m'y prendre pour arranger ça .
je passe aussi mon temps a réfléchir ,à bosser mes petits trucs dans mon coin (J’étudie l' informatique) ce qui n'arrange pas les choses niveau social .
Car les gens me prennent de temps en temps pour une sort de geek.
Je pense aussi que pour ne pas me prendre la tête avec mon problème de fille je me force a penser sans arrêt et quand le problème revient sur la table ,je recommence.
finalement quand je m'en rend compte je suis partager entre le plaisir de me cultiver le la peine de ne pas pouvoir réglé mes soucis.
Je ne pense pas être un génie (je glande souvent en cours mais j'ai une bonne mémoire du coup j’esquive pas mal de trucs).

Tu parle de te définir ,Je pense que le fait de choisir une casquette n'est pas une bonne chose car ta personnalité est un tous...(j'ai aussi essayer de me définir par ce système de cases , résultat : je n'étais alaise dans aucune de ces cases) .
Donc a mon avis laisse couler ...
Tu dit avoir peur d'un rapprochement mutuelle ,c'est déjà un pas si je peut me le permettre car moi je n'ose même pas les aborder. Quand je le fait je passe pour un mec mystérieux/sans intérêt qui ne parais pas intéresser ce qui me tue tous mes "pseudo plan".
Âpres le fait de ne pas savoir s'y prendre avec une fille peut être harassant et embarrassant et sa quiconque ici peut le comprendre.
J’espère que tu réussiras a réglé ton problème , si quelqu'un a une idée qui pourrait faire avancer les gens comme animale ou moi nous sommes preneurs? .

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