Hello,
Je suis fts depuis 2007 et ça m'a beaucoup appris, ça et beaucoup d'autres choses
de la vie mais. Disons que depuis le temps je suis passé d'un mec plutôt embarrassé avec les filles, à un mec qui n'a plus vraiment de problème.
A mes débuts, je me souviens avoir été prisonnié de ma propre obsession pour une
fille (qui a évidemment fui sous le déluge d'attention que je daignais lui
accorder). Je me rappelle très bien, car j'avais posté un message tellement
caricatural des erreurs à ne pas faire pour séduire que Jean-Baptiste (Busher)
avait décidé par sa longue réponse, de me punir devant tous les membres pour
l'exemple, pointant une à une mes erreurs grossières (vous ne le retrouverez pas
ce post car j'ai également changé de pseudo). Je me souviens très bien lui en
avoir voulu, m'être dit "mais c'est qui ce mec qui se permet de me juger ?", avoir
répondu quelques balivernes pathétiques. Avec le temps, une fois mon égo
dissipé, ce message m'avait en fait le plus grand bien.
C'est d'ailleurs, pour ça que je me tourne vers vous en ce moment même, je sais
que Jean-Baptiste est assez actif sur le forum, et j'apprécie souvent sa
pertinence et sa manière subtile de distiller son message. Bien évidemment je suis ouvert à tous les avis, et.... j’arrête la pub pour Blusher.
Voila la situation dans laquelle je le situe actuellement :
Je suis en couple depuis 2 ans et demi avec une fille. On est très bien ensemble,
par contre on est également très conscient du fait que c'est parfois compliqué de ne pas avoir envie d'ailleurs. On a beaucoup parlé mais on a jamais vraiment pris de décision sur l’infidélité si ce n'est qu'on ne considère pas que flirter en soirée, embrasser quelqu'une vaut la peine d'être mentionné. Par contre, sur ce qui est des infidélités d'une nuit, on a jamais vraiment statué.. sauf sur le fait qu'on s'est toujours dit qu'on ne veut pas se quitter si cela ça arrive.
vous vous doutez de la suite.. je passe assez vite le mélodrame :
Hier soir on avait chacun une soirée, pour rentrer chez moi, je fais un crochet chez elle de manière non prévue (c'est sur le chemin, je le ne fais jamais), je savais qu'il y a ait une soirée chez elle, j'arrive chez , elle n'est pas là, regards embarrassés de chacune de ses copines + explications foireuses avec différentes versions à la clé, je comprends assez vite, son téléphone était éteint.
Peu après, un numéro inconnu m'appelle et c'est donc depuis le téléphone de son amant d'un mois qu'elle se signale, à la demande expresse d'une de ses amies. Je lui demande de venir me rejoindre chez moi pour parler, chose qu'elle fait.
J'en suis là. On a dormi ensemble (enfin dans le même lit), elle me jure qu'elle m'aime, et moi je n'ai aucun avis, vraiment ! J'ai fait défilé à peu près, toutes les possibilités dans ma tête, moi je ne vois rien, je ne sais absolument pas quoi faire ou comment réagir... mis en part en vous décrivant ces faits.
Je sais que j'aime cette fille, mais j'ai peur de la confiance entamée et de la rechute. Je n'ai pas peur d'être seul par contre, je l'ai déjà fait. J'ai peur aussi de succomber à la facilité en acceptant out, j'ai peur d'être faible et j'ai peur que cela soit trop facile pour elle (je ne sais pas si ces peurs sont justifiées)
voila merci à vous de m'avoir lu jusque là, je n'ai pas le courage de corriger mes fautes et je m'en excuse d'avance.
en couple, heureux, et puis...
La situation n'est pas encore très claire, tu as bien parlé avec elle concernant cette relation avec son amant, savoir pourquoi elle a fait ça et sans t'en parler ?
Comme tu l'as dit, si vous êtes prêts à avoir une relation libre ça peut ne pas être un problème, mais c'est déjà plus genant qu'elle t'ai caché une vérité qui allait forcément finir par se savoir, puisque toutes ses copines étaient au courant si j'ai bien compris.
Bref je pense qu'il va te falloir encore parler avec elle et que vous puissiez vous dire les choses à fond sur tout ces sujets.
Comme tu l'as dit, si vous êtes prêts à avoir une relation libre ça peut ne pas être un problème, mais c'est déjà plus genant qu'elle t'ai caché une vérité qui allait forcément finir par se savoir, puisque toutes ses copines étaient au courant si j'ai bien compris.
Bref je pense qu'il va te falloir encore parler avec elle et que vous puissiez vous dire les choses à fond sur tout ces sujets.
deuxième jour
(J'écris parce que ça me permet de mettre mes idées au clair)
bon la bonne nouvelle est que j'ai réussi à dormir une heure de plus , soit le double
deuxième bon point, elle a quitté son amant, en frontal, il a tenté de la convaincre de partir avec elle, mais il obtenu une fin de non recevoir.
le troisième point positif, c'est que je la crois.
Alors oui, on a beaucoup parlé, dans mon esprit c'est clair qu'elle m'aime, qu'elle est vraiment triste, et c'est clair qu'elle avait un peu sous-estimé les conséquences de cet acte. Acte manqué par ailleurs, car c'est clair aussi que si elle avait absolu voulu que ça ne sache pas, elle s'y serait pris autrement. De mon côté, je suis absolument sur que j'ai envie de rester avec elle, mais également absolument sur que je la quitterai s'il le faut.
Hier matin, j'ai fait en sorte de lui faire penser que j'allais la quitter, j'avoue que c'était un peu un bluff car je n'en avais pas vraiment envie, je me disais que c'était important qu'elle ressente le fait de me perdre, je veux pas que ce soit trop facile.
Hier soir, je suis sorti avec mes potes, du coup elle habite toujours sur mon trajet retour.
Elle est resté chez elle et m'a envoyé pas mal de messages pour que je vienne la rejoindre (en mode début de relation), offre que j'ai accepté d'autant que c'est plus pratique pour moi et que l'alcool aide à accepter la facilité.
Par contre je pensais pas que je serais autant atteint, j'ai pas fermé l’œil de la nuit, tellement que je me suis barré ce matin alors qu'elle dormait encore. Ce qui me ramène au même endroit qu'hier et à peu près à la même heure, devant mon PC a raconter ma life.
Bref je lui fais confiance, je pense qu'elle pourra me faire confiance aussi, mais mon problème du moment c'est que j'ai vraiment les idées vraiment noires, je ressasse en boucle son amourette éphémère. Je ne sais toujours pas trop quoi penser : mettre de la distance ? et du temps ? Ou prendre sur moi et tout simplement accepté son faux-pas.
Je ne sais pas.
Du coup hier j'ai appelé ma grand mère, son mari est mort récemment, elle est vielle et devient aveugle. Quand elle décroche elle a une putain de banane, on parle de chose simple, elle va bien. Ca m'aide à comprendre le sens du verbe "relativiser".
(J'écris parce que ça me permet de mettre mes idées au clair)
bon la bonne nouvelle est que j'ai réussi à dormir une heure de plus , soit le double
deuxième bon point, elle a quitté son amant, en frontal, il a tenté de la convaincre de partir avec elle, mais il obtenu une fin de non recevoir.
le troisième point positif, c'est que je la crois.
Alors oui, on a beaucoup parlé, dans mon esprit c'est clair qu'elle m'aime, qu'elle est vraiment triste, et c'est clair qu'elle avait un peu sous-estimé les conséquences de cet acte. Acte manqué par ailleurs, car c'est clair aussi que si elle avait absolu voulu que ça ne sache pas, elle s'y serait pris autrement. De mon côté, je suis absolument sur que j'ai envie de rester avec elle, mais également absolument sur que je la quitterai s'il le faut.
Hier matin, j'ai fait en sorte de lui faire penser que j'allais la quitter, j'avoue que c'était un peu un bluff car je n'en avais pas vraiment envie, je me disais que c'était important qu'elle ressente le fait de me perdre, je veux pas que ce soit trop facile.
Hier soir, je suis sorti avec mes potes, du coup elle habite toujours sur mon trajet retour.
Elle est resté chez elle et m'a envoyé pas mal de messages pour que je vienne la rejoindre (en mode début de relation), offre que j'ai accepté d'autant que c'est plus pratique pour moi et que l'alcool aide à accepter la facilité.
Par contre je pensais pas que je serais autant atteint, j'ai pas fermé l’œil de la nuit, tellement que je me suis barré ce matin alors qu'elle dormait encore. Ce qui me ramène au même endroit qu'hier et à peu près à la même heure, devant mon PC a raconter ma life.
Bref je lui fais confiance, je pense qu'elle pourra me faire confiance aussi, mais mon problème du moment c'est que j'ai vraiment les idées vraiment noires, je ressasse en boucle son amourette éphémère. Je ne sais toujours pas trop quoi penser : mettre de la distance ? et du temps ? Ou prendre sur moi et tout simplement accepté son faux-pas.
Je ne sais pas.
Du coup hier j'ai appelé ma grand mère, son mari est mort récemment, elle est vielle et devient aveugle. Quand elle décroche elle a une putain de banane, on parle de chose simple, elle va bien. Ca m'aide à comprendre le sens du verbe "relativiser".
Salut !
J'ai plus ou moins vécu la même situation que toi il y a un mois et demi (relation longue, elle a un amant sur une durée courte, découverte fortuite, etc...)
Au début j'ai fait comme toi : on continue, seconde chance, elle me dit qu'elle regrette, je sens de la sincérité, etc.... sauf qu'elle lui a reparlé. S'en est suivi un sale bordel : rupture, on se revoit, on se remet ensemble, je m’accroche, ELLE demande un break....
Nos histoires n'auront peut être pas la même tournure, mais comprends que dans vos têtes à tous les 2 c'est le Bronx.
Maintenant je vais te dire ce que j'aurais fait avec le recul :
Après avoir appris la nouvelle, j'en aurais discuté longuement avec elle, puis j'aurais proposé un break. Pourquoi ? Pour faire le point. Pour que chacun réfléchisse à ce qu'il s'est passé, pourquoi ça s'est passé, ce qu'on veut VRAIMENT, sur ce qu'on est devenu, etc...
Si au bout de quelques jours/semaines, tu penses que, honnêtement, votre couple a encore de l'avenir, qu'un second souffle est possible, alors pourquoi pas.
Mais aujourd'hui, tu as trop le nez dans le guidon, cette pensée intrusive d'imaginer la scène où elle est avec l'autre t'affecte énormément et t'empêche de réfléchir calmement. Tu ne peux pas mener un travail sur toi nécessaire aujourd'hui.
J'ai plus ou moins vécu la même situation que toi il y a un mois et demi (relation longue, elle a un amant sur une durée courte, découverte fortuite, etc...)
Au début j'ai fait comme toi : on continue, seconde chance, elle me dit qu'elle regrette, je sens de la sincérité, etc.... sauf qu'elle lui a reparlé. S'en est suivi un sale bordel : rupture, on se revoit, on se remet ensemble, je m’accroche, ELLE demande un break....
Nos histoires n'auront peut être pas la même tournure, mais comprends que dans vos têtes à tous les 2 c'est le Bronx.
Maintenant je vais te dire ce que j'aurais fait avec le recul :
Après avoir appris la nouvelle, j'en aurais discuté longuement avec elle, puis j'aurais proposé un break. Pourquoi ? Pour faire le point. Pour que chacun réfléchisse à ce qu'il s'est passé, pourquoi ça s'est passé, ce qu'on veut VRAIMENT, sur ce qu'on est devenu, etc...
Si au bout de quelques jours/semaines, tu penses que, honnêtement, votre couple a encore de l'avenir, qu'un second souffle est possible, alors pourquoi pas.
Mais aujourd'hui, tu as trop le nez dans le guidon, cette pensée intrusive d'imaginer la scène où elle est avec l'autre t'affecte énormément et t'empêche de réfléchir calmement. Tu ne peux pas mener un travail sur toi nécessaire aujourd'hui.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] Constructif le 26.07.15, 19h09 par Vinsanity
- [+1] Intéressant le 27.07.15, 19h56 par mctyson
- [+1] Constructif le 04.08.15, 00h51 par Lenny2stras
Où en sont concrètement les limites de votre relation ?
Dans tes réponses à aucun moment on sait clairement où ça en est. Elle n'a aucunement sous estimé quoique ce soit à partir du moment où vous n'avez rien défini d'autres que vous ne vous quitterez pas si vous couchez avec quelqu'un d'autre. Ce qui signifie que coucher avec quelqu'un pourrait arriver.
Je suis surpris que tu parles de faux pas. Le faux-pas est de ne pas avoir statué sur votre sexualité avec un autre partenaire. Quand est-il actuellement ? Lui as-tu parlé de tes difficultés à oublier son amourette ?
Dans tes réponses à aucun moment on sait clairement où ça en est. Elle n'a aucunement sous estimé quoique ce soit à partir du moment où vous n'avez rien défini d'autres que vous ne vous quitterez pas si vous couchez avec quelqu'un d'autre. Ce qui signifie que coucher avec quelqu'un pourrait arriver.
Je suis surpris que tu parles de faux pas. Le faux-pas est de ne pas avoir statué sur votre sexualité avec un autre partenaire. Quand est-il actuellement ? Lui as-tu parlé de tes difficultés à oublier son amourette ?
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] Constructif le 27.07.15, 11h11 par Cellar Door
Hello,
tout d'abord, merci pour de m'avoir lu et merci pour vos réponses.
Je ressens un peu moins le besoin d'écrire ce matin mais je vais le faire quand même.
Ca va beaucoup mieux, on a beaucoup beaucoup parlé et combattu pas mal de mes (nos) peurs. Un truc qui m'a fait beaucoup de bien et que je lui ai dit en début de crise : "je vais te poser beaucoup de questions, voire des questions de merde, et toi tu me répondras, tu répondras à tout, même et surtout : quand ma curiosité deviendra excessive" Pourquoi ? simplement parce que je sais que l'imagination humaine est toujours supérieure à la vérité brute.
Exemple : vous avez couché combien de fois ensemble ? si elle répond : "Pourquoi tu veux savoir ça ? ça te regarde pas, ça va te faire du mal". La nuit suivante dans la tête, ça donne : ils ont baisé 400 fois ensemble dans le mois, ils ne s' arretaient que pour aller faire pipi, ils dormaient sur un champs miné de capotes usagées.
par contre si elle répond : "8 ou 9 je crois, on a mis des capotes"
dans ma tête ça fait : "ha ok, 8 ou 9 fois.. j'ai 8 ou 9 fois a encaisser en fait, ok."
Du coup, elle s'est preté au "jeu" sans broncher, j'ai posé à peu près toutes les questions possibles et imaginables et ça m'a fait beaucoup de bien. Réusltat des courses, je commence à ne plus avoir aucune question à poser, et mon imagination est cantonnée dans un coffre fort sur laquelle il y a écrit "REALITE". Pour ce qui est de l'amant je n'ai plus aucun doute, je sais maintenant q'uil s'agissait d'une relation de complement, je peux presque aller lui serrer la main si je le croise dans la rue demain.
Autre chose, au fil de nos conversations, j'ai compris un truc qui me parait maintenant évident. C'est surtout à moi de prendre sur moi, d'accepter, de mettre mon égo de côté, de me defaire de me doutes et de refaire confiance. Et finalement les pièces du puzzle se remttent une à une à leur place. Je peux commencer à répondre à vos questions : pourquoi elle a fait ça ? Parce que elle avait besoin de mettre un coup de fouet à notre relation, elle me sentait trop "facile", elle voulait rebattre les cartes et jouer avec le feu, elle doutait un peu de mon amour aussi. Elle voulait voir ce que notre relation avait dans le bide. Ca c'était pour la partie inconsciente. Et consciemment ça donne quoi ? et ben elle avait juste envie d'un coup de bite avec quelqu'un d'autre pour se rapeller comment ça fait, pour constater qu'elle est encore belle, désirable et bien vivante.
Pour répondre à la question du faux-pas et des limites ? Je crois après coup qu'il est impossible de définir une limite. La seule limite c'est de ne pas dépasser le seuil d'acceptation de son partenaire. J'ai toujours été plutôt "fort" avec elle, j'ai toujours été son pilier. Du coup quand elle me teste, elle m'envoie un sacré putain d'uppercut au menton. Je veux bien concèder que j'ai fini dans les cordes mais ça va. Je suis là, je vascille mais je suis débout sur le ring, et j'ai hâte de disputer le prochain round. Par ailleurs, en ce moment, on se désire comme au début de notre relation, j'ai l'impression qu'on est revenu deux ans auparavant, je frissone quand je la caresse, je lui mange la bouche pour l'embrasser, on baise comme des ados qui découvrent qu'ils ont du poil sur le pubis.
bref, j'ai bon espoir ce matin, mais promis je vous tiens au jus si jamais je me trompe.
tout d'abord, merci pour de m'avoir lu et merci pour vos réponses.
Je ressens un peu moins le besoin d'écrire ce matin mais je vais le faire quand même.
Ca va beaucoup mieux, on a beaucoup beaucoup parlé et combattu pas mal de mes (nos) peurs. Un truc qui m'a fait beaucoup de bien et que je lui ai dit en début de crise : "je vais te poser beaucoup de questions, voire des questions de merde, et toi tu me répondras, tu répondras à tout, même et surtout : quand ma curiosité deviendra excessive" Pourquoi ? simplement parce que je sais que l'imagination humaine est toujours supérieure à la vérité brute.
Exemple : vous avez couché combien de fois ensemble ? si elle répond : "Pourquoi tu veux savoir ça ? ça te regarde pas, ça va te faire du mal". La nuit suivante dans la tête, ça donne : ils ont baisé 400 fois ensemble dans le mois, ils ne s' arretaient que pour aller faire pipi, ils dormaient sur un champs miné de capotes usagées.
par contre si elle répond : "8 ou 9 je crois, on a mis des capotes"
dans ma tête ça fait : "ha ok, 8 ou 9 fois.. j'ai 8 ou 9 fois a encaisser en fait, ok."
Du coup, elle s'est preté au "jeu" sans broncher, j'ai posé à peu près toutes les questions possibles et imaginables et ça m'a fait beaucoup de bien. Réusltat des courses, je commence à ne plus avoir aucune question à poser, et mon imagination est cantonnée dans un coffre fort sur laquelle il y a écrit "REALITE". Pour ce qui est de l'amant je n'ai plus aucun doute, je sais maintenant q'uil s'agissait d'une relation de complement, je peux presque aller lui serrer la main si je le croise dans la rue demain.
Autre chose, au fil de nos conversations, j'ai compris un truc qui me parait maintenant évident. C'est surtout à moi de prendre sur moi, d'accepter, de mettre mon égo de côté, de me defaire de me doutes et de refaire confiance. Et finalement les pièces du puzzle se remttent une à une à leur place. Je peux commencer à répondre à vos questions : pourquoi elle a fait ça ? Parce que elle avait besoin de mettre un coup de fouet à notre relation, elle me sentait trop "facile", elle voulait rebattre les cartes et jouer avec le feu, elle doutait un peu de mon amour aussi. Elle voulait voir ce que notre relation avait dans le bide. Ca c'était pour la partie inconsciente. Et consciemment ça donne quoi ? et ben elle avait juste envie d'un coup de bite avec quelqu'un d'autre pour se rapeller comment ça fait, pour constater qu'elle est encore belle, désirable et bien vivante.
Pour répondre à la question du faux-pas et des limites ? Je crois après coup qu'il est impossible de définir une limite. La seule limite c'est de ne pas dépasser le seuil d'acceptation de son partenaire. J'ai toujours été plutôt "fort" avec elle, j'ai toujours été son pilier. Du coup quand elle me teste, elle m'envoie un sacré putain d'uppercut au menton. Je veux bien concèder que j'ai fini dans les cordes mais ça va. Je suis là, je vascille mais je suis débout sur le ring, et j'ai hâte de disputer le prochain round. Par ailleurs, en ce moment, on se désire comme au début de notre relation, j'ai l'impression qu'on est revenu deux ans auparavant, je frissone quand je la caresse, je lui mange la bouche pour l'embrasser, on baise comme des ados qui découvrent qu'ils ont du poil sur le pubis.
bref, j'ai bon espoir ce matin, mais promis je vous tiens au jus si jamais je me trompe.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Like ! le 27.07.15, 11h10 par The_PoP
- [0] Intéressant le 27.07.15, 11h10 par Cellar Door
C'est bien que la situation aille mieux. La communication est un ciment du couple.
Par contre en deux phrases, tu viens de faire un joli paradoxe. S'il est impossible de définir une limite, comment savoir que tu ne dois pas dépasser le seuil d'acceptation de ton partenaire ? Quel est le seuil de ta copine et quel est le tien dans ce cas ?
CumShotWagnerLove a écrit :
Je crois après coup qu'il est impossible de définir une limite. La seule limite c'est de ne pas dépasser le seuil d'acceptation de son partenaire.
Par contre en deux phrases, tu viens de faire un joli paradoxe. S'il est impossible de définir une limite, comment savoir que tu ne dois pas dépasser le seuil d'acceptation de ton partenaire ? Quel est le seuil de ta copine et quel est le tien dans ce cas ?
Là ou je le rejoins c'est que même en communiquant beaucoup il est parfois difficile de connaitre sa propre limite. Et même quand on pense la connaitre, cette-ci évolue avec les années et les désirs.
Sujet très intéressant qui apporte de bonnes réflexions sur le couple libre et le papillonnage.
Sujet très intéressant qui apporte de bonnes réflexions sur le couple libre et le papillonnage.
pour préciser ma pensée, j'aurais du ajouter un mot :
Par définiton, comme il s'agit d'une estimation, on ne le saura qu'après coup. D'où toute la difficulté de l'exercice.
Je crois qu'il est impossible de définir une limite. La seule limite c'est de ne pas dépasser le seuil d'acceptation estimé de son partenaire.
Cellar Door a écrit :Là ou je le rejoins c'est que même en communiquant beaucoup il est parfois difficile de connaitre sa propre limite. Et même quand on pense la connaitre, cette-ci évolue avec les années et les désirs.
Sujet très intéressant qui apporte de bonnes réflexions sur le couple libre et le papillonnage.
Je suis parfaitement d'accord sur ce point. C'est intéressant d'en parler car en vivant la situation aussi, cela aide à poser les limites - se rendre compte qu'il est difficilement acceptable d'avoir un amant régulier ou autre, par exemple. C'est sûr que les deux ne trouveront pas exactement la limite précise.
Si j'ai tilté sur les limites, c'est parce que le flou, qui entoure " avoir une aventure avec quelqu'un" et "ne pas en avoir", est très grande. Conservent-ils ou non cette liberté sexuelle ? Parce que la situation peut se reproduire à nouveau. Je n'arrive pas à savoir ce qui a été décidé à ce niveau par les deux à la lecture de ces posts.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] En effet le 27.07.15, 14h48 par Cellar Door
Oui, ça me parait évident, chacun conserve sa liberté sexuelle, ou plutôt sa possibilité d'être une personne sexuée. L'idée c'est d'être un couple sans être enfermé par la notion de couple. Tout est dans la nuance et dans l'intelligence émotionelle de chacun.
Disons que si tu pouvais essayer d'être plus pragmatique, ça aiderait surement.
En gros tu acceptes qu'elle puisse passer la nuit avec un mec, mais pas que ça devienne son amant ? Ou tu pourrais être d'accord si tu étais au courant dès le début et que l'idée ne te dérangerait pas ? Là on est dans du concret, parce que l'intelligence émotionnelle sinon c'est pas très clair.
En gros tu acceptes qu'elle puisse passer la nuit avec un mec, mais pas que ça devienne son amant ? Ou tu pourrais être d'accord si tu étais au courant dès le début et que l'idée ne te dérangerait pas ? Là on est dans du concret, parce que l'intelligence émotionnelle sinon c'est pas très clair.
ben non justement, cette expérience me démontre le contraire.
Je suis pourtant quelqu'un d'ultra pragmatique et cartésien, j'aime les stats, le poker, les processus de validation, les schémas directeurs...
Mais typiquement là, si on m'avait exposé l'histoire à laquelle j'allais être confronté et si on m'avait demandé : "accepterais-tu cela ?" j'aurais dit "no way" et pourtant je l'accepte. Du coup non, ça me parait impossible d'établir des règles strictes, si on établit des règles strictes alors justement, on est plus dans la liberté. D'ailleurs, c'était bien là la diffculté à laquelle on avait été confronté lorsqu'on avait abordé le sujet avant que cela arrive.
Exemple absurde : disons qu'on dit que la règle est la transparence absolue. Comment on fait ? Imaginons que demain, Je me trouve une meuf en boite, je la ramène chez moi. Je fais quoi, j'envoie un texto à ma meuf sur le chemin ? "chérie, là je suis en chemin pour mettre une cartouche à une petite que j'ai rencontré en boite. à demain, je t'aime". Tu vois bien, c'est impossible. Alors on fait comment ? on se le dit le lendemain ? et si le lendemain, c'est son anniversaire avec toute la famille, est-ce qu'on se le dit quand même au risque de lui faire de la peine toute sa journée d'anniversaire ? (je sais c'est triste). Tout ça pour dire que c'est impossible d'émettre des règles strictes, car justement il n'y a que des cas particuliers et c'est pour ça que je dis qu'il faut faire preuve d'intelligence et de discernement. On peut : oui mais il faut bien reflechir à comment, quand et quand y mettre fin. Je crois qu'il faut faire confiance à l'autre et croire en sa capacité à faire ce discernement. C'est assez complexe, je veux bien l'entendre, mais de toute façon je crois que la vie de couple est complexe.
Je suis pourtant quelqu'un d'ultra pragmatique et cartésien, j'aime les stats, le poker, les processus de validation, les schémas directeurs...
Mais typiquement là, si on m'avait exposé l'histoire à laquelle j'allais être confronté et si on m'avait demandé : "accepterais-tu cela ?" j'aurais dit "no way" et pourtant je l'accepte. Du coup non, ça me parait impossible d'établir des règles strictes, si on établit des règles strictes alors justement, on est plus dans la liberté. D'ailleurs, c'était bien là la diffculté à laquelle on avait été confronté lorsqu'on avait abordé le sujet avant que cela arrive.
Exemple absurde : disons qu'on dit que la règle est la transparence absolue. Comment on fait ? Imaginons que demain, Je me trouve une meuf en boite, je la ramène chez moi. Je fais quoi, j'envoie un texto à ma meuf sur le chemin ? "chérie, là je suis en chemin pour mettre une cartouche à une petite que j'ai rencontré en boite. à demain, je t'aime". Tu vois bien, c'est impossible. Alors on fait comment ? on se le dit le lendemain ? et si le lendemain, c'est son anniversaire avec toute la famille, est-ce qu'on se le dit quand même au risque de lui faire de la peine toute sa journée d'anniversaire ? (je sais c'est triste). Tout ça pour dire que c'est impossible d'émettre des règles strictes, car justement il n'y a que des cas particuliers et c'est pour ça que je dis qu'il faut faire preuve d'intelligence et de discernement. On peut : oui mais il faut bien reflechir à comment, quand et quand y mettre fin. Je crois qu'il faut faire confiance à l'autre et croire en sa capacité à faire ce discernement. C'est assez complexe, je veux bien l'entendre, mais de toute façon je crois que la vie de couple est complexe.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Intéressant le 27.07.15, 18h36 par The_PoP
Complètement d'accord avec toi. Mais je ne parlais pas de règles strictes, je parlais de communiquer de manière un peu plus pragmatique, nuance.
Parler avec ta nana de certaines situations qui ont des chances d'arriver, c'est une manière efficace d'identifier vers ou on peut aller, et de mieux réagir lorsque ça arrivera.
Si tu ne fais que parler de respect de l'autre et que tu réagis sur le coup lorsqu'un événement arrive, tu prends selon-moi le risque de moins bien gérer la situation.
Parler avec ta nana de certaines situations qui ont des chances d'arriver, c'est une manière efficace d'identifier vers ou on peut aller, et de mieux réagir lorsque ça arrivera.
Si tu ne fais que parler de respect de l'autre et que tu réagis sur le coup lorsqu'un événement arrive, tu prends selon-moi le risque de moins bien gérer la situation.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] 100% d'accord le 27.07.15, 17h20 par CumShotWagnerLove
- [0] Intéressant le 27.07.15, 18h46 par The_PoP
Comme Cellar, au lieu de jeter tout once de réflexion, tu devrais plutôt te poser un certain nombre de question pour y voir plus clair de manière plus globale sans pouvoir faire face à toutes les situations. Si on prend par l'absurde aussi pour raisonner à ne rien anticiper, tu tomberas sur elle en train d'embrasser un mec et c'est clairement pas ce que tu as envie de vivre à mon avis.
Aussi, avoir certaines règles n'empêchent pas d'être libre.
Une piste qui peut aider :
https://lesfessesdelacremiere.wordpress ... de-couple/
Aussi, avoir certaines règles n'empêchent pas d'être libre.
Une piste qui peut aider :
https://lesfessesdelacremiere.wordpress ... de-couple/
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Bonne idée ! le 29.07.15, 11h44 par mistermint
C'est bien de répeter ce que dit Cellar door, mais si je peux me permettre tu n'as fait que le répéter "en moins bien" et en plus condescedant.
Je te dis juste que je me rends compte qu'il est impossible de fixer des regles, mais ça ne m'empêche pas d'être pleinement conscient du fait qu'échanger un maximum et imaginer cerains scénarios plausibles rend notre couple plus fort.. Je ne t'ai d'ailleurs pas attendu pour le faire, et c'est d'ailleurs grace à ça qu'on va parvenir à surmonter ce passage compliqué.
Désolé, je suis un peu susceptible ce matin.
Je te dis juste que je me rends compte qu'il est impossible de fixer des regles, mais ça ne m'empêche pas d'être pleinement conscient du fait qu'échanger un maximum et imaginer cerains scénarios plausibles rend notre couple plus fort.. Je ne t'ai d'ailleurs pas attendu pour le faire, et c'est d'ailleurs grace à ça qu'on va parvenir à surmonter ce passage compliqué.
Désolé, je suis un peu susceptible ce matin.
Tu peux m'expliquer le but de ton message à part passer ta frustration sur moi sans aucune raison apparente ?CumShotWagnerLove a écrit :C'est bien de répeter ce que dit Cellar door, mais si je peux me permettre tu n'as fait que le répéter "en moins bien" et en plus condescedant.
Je te dis juste que je me rends compte qu'il est impossible de fixer des regles, mais ça ne m'empêche pas d'être pleinement conscient du fait qu'échanger un maximum et imaginer cerains scénarios plausibles rend notre couple plus fort.. Je ne t'ai d'ailleurs pas attendu pour le faire, et c'est d'ailleurs grace à ça qu'on va parvenir à surmonter ce passage compliqué.
Désolé, je suis un peu susceptible ce matin.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Du calme le 29.07.15, 12h04 par Cellar Door
Te faire remarquer qu'il n'est pas obligatoire d'être condescendant pour être constructif
CumShotWagnerLove a écrit :Te faire remarquer qu'il n'est pas obligatoire d'être condescendant pour être constructif
C'était clairement pas mon but de l'être.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Cool le 29.07.15, 14h19 par CumShotWagnerLove
Sujet très intéressant.
Il y a juste une chose qui se dégage tout au long du topic et sur laquelle je bloque. Avant d'essayer d'expliquer clairement, je tiens juste à préciser une chose pour partir sur de bonnes bases: je n'ai absolument rien contre le papillonnage et le libertinage ou toute autre forme de relation libérée et sortant du cadre de la relation exclusive. J'ai même beaucoup de respect et d'admiration pour les gens qui parviennent à atteindre une harmonie à ce niveau là. Perso, je n'y suis pas encore parvenu, je tiens à l'exclusivité dans mon couple même si je sais que cela signifie aussi être en contradiction avec des choses qui font partie de la nature humaine, notamment le phénomène d'habituation et l'effet Coolidge, qui nous poussent à vouloir de la diversité dans nos partenaires sexuels.
Ceci étant dit, ce que je remarque CumShotWagnerLove c'est que j'ai comme l'impression que tu as accepté cette infidélité mais pas forcément pour de bonnes raisons. Attention, je ne cherche pas à te vexer, t'accuser de quoi que ce soit. C'est juste une impression que j'ai à la lecture de tes interventions.
C'est comme si, au lieu d'en avoir discuté en amont avec ta copine, avoir déterminé que tu pouvais l'accepter, et la laisser s'amuser avec un autre homme, tu avais découvert cette autre relation et fini par avaler la pilule de force. Encore une fois, je peux me tromper, mais j'ai tout de même l'impression que tu en as chié, ça t'a fait du mal. Que tu l'acceptes, et que tu sois même prêt à aller serrer la main de son amant, c'est tout à ton honneur. Mais est-ce pour de bonnes raisons? Est-ce que c'est vraiment parce que ta vision des choses est: ok, on a eu 2 ans et demi de relation exclusive, on peut s'autoriser à avoir de petites aventures à gauche à droite.
Ou est-ce que tu as fini par accepter pour 1/ ne pas la perdre ou 2/ parce que tu "penses" que c'est comme cela qu'on doit réagir, parce que sur FTS, Blusher, ou n'importe qui d'autre aurait dit que la relation libre est la seule qui soit en adéquation avec la réalité et donc qu'on doit accepter?
Encore une fois je ne prône pas la relation exclusive au détriment d'autres formes plus libres de relation. Je dis juste qu'il faut aussi s'écouter, et que si tu acceptes des choses alors qu'on fond tu en souffres, que tu n'en dors plus de la nuit, est-ce que ça en vaut vraiment la peine?
Alors après, peut-être que cette expérience était nécessaire pour te faire parvenir à ce degré d'acceptation, le fait d'être mis au pied du mur t'auras permis de te poser vraiment la question et tu en es venu à la conclusion que oui, tu l'acceptes et, non, cela ne te fait plus souffrir. Et dans ce cas, ce fut un mal pour un bien.
Il y a juste une chose qui se dégage tout au long du topic et sur laquelle je bloque. Avant d'essayer d'expliquer clairement, je tiens juste à préciser une chose pour partir sur de bonnes bases: je n'ai absolument rien contre le papillonnage et le libertinage ou toute autre forme de relation libérée et sortant du cadre de la relation exclusive. J'ai même beaucoup de respect et d'admiration pour les gens qui parviennent à atteindre une harmonie à ce niveau là. Perso, je n'y suis pas encore parvenu, je tiens à l'exclusivité dans mon couple même si je sais que cela signifie aussi être en contradiction avec des choses qui font partie de la nature humaine, notamment le phénomène d'habituation et l'effet Coolidge, qui nous poussent à vouloir de la diversité dans nos partenaires sexuels.
Ceci étant dit, ce que je remarque CumShotWagnerLove c'est que j'ai comme l'impression que tu as accepté cette infidélité mais pas forcément pour de bonnes raisons. Attention, je ne cherche pas à te vexer, t'accuser de quoi que ce soit. C'est juste une impression que j'ai à la lecture de tes interventions.
C'est comme si, au lieu d'en avoir discuté en amont avec ta copine, avoir déterminé que tu pouvais l'accepter, et la laisser s'amuser avec un autre homme, tu avais découvert cette autre relation et fini par avaler la pilule de force. Encore une fois, je peux me tromper, mais j'ai tout de même l'impression que tu en as chié, ça t'a fait du mal. Que tu l'acceptes, et que tu sois même prêt à aller serrer la main de son amant, c'est tout à ton honneur. Mais est-ce pour de bonnes raisons? Est-ce que c'est vraiment parce que ta vision des choses est: ok, on a eu 2 ans et demi de relation exclusive, on peut s'autoriser à avoir de petites aventures à gauche à droite.
Ou est-ce que tu as fini par accepter pour 1/ ne pas la perdre ou 2/ parce que tu "penses" que c'est comme cela qu'on doit réagir, parce que sur FTS, Blusher, ou n'importe qui d'autre aurait dit que la relation libre est la seule qui soit en adéquation avec la réalité et donc qu'on doit accepter?
Encore une fois je ne prône pas la relation exclusive au détriment d'autres formes plus libres de relation. Je dis juste qu'il faut aussi s'écouter, et que si tu acceptes des choses alors qu'on fond tu en souffres, que tu n'en dors plus de la nuit, est-ce que ça en vaut vraiment la peine?
Alors après, peut-être que cette expérience était nécessaire pour te faire parvenir à ce degré d'acceptation, le fait d'être mis au pied du mur t'auras permis de te poser vraiment la question et tu en es venu à la conclusion que oui, tu l'acceptes et, non, cela ne te fait plus souffrir. Et dans ce cas, ce fut un mal pour un bien.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] Pertinent le 29.07.15, 15h11 par Cellar Door
- [+1] Intéressant le 29.07.15, 15h22 par hardofflas
- [+1] Constructif le 29.07.15, 15h26 par Fate
- [+2] Constructif le 31.07.15, 18h59 par Blusher
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