Faire des rencontres à "mi-vie"
Salut
Le titre est un peu provocateur, mais je veux montrer par ce biais une certaine problématique. A noter que je ne cherche pas à faire des rencontres "à tout prix". Je me demande juste comment faire.
J'approche de la quarantaine, j'ai fondé ma famille qui n'a pas tenu la route. Quelque part, je pourrais dire que j'ai "fait ma vie". Mais elle n'est pas finie !
Le cadre actuel :
J'ai trois enfants en bas âge (5 à 10 ans) dont je m'occupe seul une semaine sur deux, sur une plage horaire assez étendue alors. J'ai des potes célibataires et sans enfants, avec qui je sors quand possible. Dans des soirées, au resto, etc ... J'ai d'autres potes en couple et avec eux aussi des enfants, qui me reçoivent en général chez eux.
La problématique :
Faire des rencontres.
Je ne pense pas faire mon âge. Je peux me faire draguer par des nanas bien plus jeunes, comme des femmes de mon âge. Je n'aime pas trop me faire draguer par des nanas plus jeunes.
Je suis quelqu'un de sociable, qui n'a pas de mal à aller au contact des autres. Bref, à créer du lien. Par le passé, j'ai souvent rencontré mes nanas par le biais de réseau de connaissances. De visu, et en établissant le contact.
Mes potes célibataires cherchent à faire des rencontres. Le problème, c'est que je ne peux les voir qu'une semaine sur deux. Pas simple d'entretenir du lien ainsi, d'autant plus qu'ils ont leurs activités. Mes potes en couple, ben, ils s'en foutent.
Ce que je vois comme "problème", c'est celui des activités plus que celui du réseau. De par ma situation, je ne peux pas vraiment entretenir une activité simplement. Je suis plutôt "coincé" quand j'ai mes gosses, et "libre" autrement. Je pourrais prendre une baby-sitter et sortir la semaine où j'ai mes gosses. Sauf que derrière je vais ramer niveau sommeil et organisation. Je dis ça, ce n'est pas pour trouver une excuse. C'est du vécu. Ce sera sans doute plus facile quand mes enfants seront plus grands et autonomes.
La solution envisagée :
J'en arrive à me dire que la meilleure solution pour rencontrer des femmes, c'est de passer par des sites de rencontres. Je trouve cela tout sauf naturel. Encore une fois, les rencontres que je faisais, c'était de visu. Le courant passait ou pas, mais c'était de visu.
Les sites de rencontres, ça me donne l'impression que c'est un "supermarché des relations". Genre "tiens, elle a l'air pas mal, voyons voir". Et très sincèrement, je déteste draguer ou être dragué comme ça. Je ressens ça comme "choisis ton bout de viande" ou "sois choisi comme un bout de viande". Je n'aime pas non plus "le filtre de l'écran", on peut faire passer ce qu'on veut.
______________________________________________________________________________
Que verriez-vous comme possibilités pour faire des rencontres dans mon cas ? Voire comme axes d'amélioration ?
Éventuellement, comment avez-vous fait ?
Le titre est un peu provocateur, mais je veux montrer par ce biais une certaine problématique. A noter que je ne cherche pas à faire des rencontres "à tout prix". Je me demande juste comment faire.
J'approche de la quarantaine, j'ai fondé ma famille qui n'a pas tenu la route. Quelque part, je pourrais dire que j'ai "fait ma vie". Mais elle n'est pas finie !
Le cadre actuel :
J'ai trois enfants en bas âge (5 à 10 ans) dont je m'occupe seul une semaine sur deux, sur une plage horaire assez étendue alors. J'ai des potes célibataires et sans enfants, avec qui je sors quand possible. Dans des soirées, au resto, etc ... J'ai d'autres potes en couple et avec eux aussi des enfants, qui me reçoivent en général chez eux.
La problématique :
Faire des rencontres.
Je ne pense pas faire mon âge. Je peux me faire draguer par des nanas bien plus jeunes, comme des femmes de mon âge. Je n'aime pas trop me faire draguer par des nanas plus jeunes.
Je suis quelqu'un de sociable, qui n'a pas de mal à aller au contact des autres. Bref, à créer du lien. Par le passé, j'ai souvent rencontré mes nanas par le biais de réseau de connaissances. De visu, et en établissant le contact.
Mes potes célibataires cherchent à faire des rencontres. Le problème, c'est que je ne peux les voir qu'une semaine sur deux. Pas simple d'entretenir du lien ainsi, d'autant plus qu'ils ont leurs activités. Mes potes en couple, ben, ils s'en foutent.
Ce que je vois comme "problème", c'est celui des activités plus que celui du réseau. De par ma situation, je ne peux pas vraiment entretenir une activité simplement. Je suis plutôt "coincé" quand j'ai mes gosses, et "libre" autrement. Je pourrais prendre une baby-sitter et sortir la semaine où j'ai mes gosses. Sauf que derrière je vais ramer niveau sommeil et organisation. Je dis ça, ce n'est pas pour trouver une excuse. C'est du vécu. Ce sera sans doute plus facile quand mes enfants seront plus grands et autonomes.
La solution envisagée :
J'en arrive à me dire que la meilleure solution pour rencontrer des femmes, c'est de passer par des sites de rencontres. Je trouve cela tout sauf naturel. Encore une fois, les rencontres que je faisais, c'était de visu. Le courant passait ou pas, mais c'était de visu.
Les sites de rencontres, ça me donne l'impression que c'est un "supermarché des relations". Genre "tiens, elle a l'air pas mal, voyons voir". Et très sincèrement, je déteste draguer ou être dragué comme ça. Je ressens ça comme "choisis ton bout de viande" ou "sois choisi comme un bout de viande". Je n'aime pas non plus "le filtre de l'écran", on peut faire passer ce qu'on veut.
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Que verriez-vous comme possibilités pour faire des rencontres dans mon cas ? Voire comme axes d'amélioration ?
Éventuellement, comment avez-vous fait ?
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Tout ça pour dire quoi ? le 23.08.14, 16h53 par Blusher
- [+1] Intéressant le 23.08.14, 20h04 par Sathinelilly
- [+1] Courage le 29.08.14, 15h38 par Terrigan
En quoi c'est un problème de sortir une semaine sur deux?
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Ca va mieux en le disant le 23.08.14, 16h53 par Blusher
Le titre est un clickbait.Le titre est un peu provocateur, mais je veux montrer par ce biais une certaine problématique. A noter que je ne cherche pas à faire des rencontres "à tout prix". Je me demande juste comment faire.
Il est volontairement excessif et tu le reconnais.
D'autant qu'au vu de ta situation, on peine à trouver un véritable problème... autre que:
Les mariages, je ne te l'apprends pas, durent moins longtemps que du temps de nos grands-parents.J'approche de la quarantaine, j'ai fondé ma famille qui n'a pas tenu la route. Quelque part, je pourrais dire que j'ai "fait ma vie". Mais elle n'est pas finie ! Image
+ : On n'est pas pieds et points liés à une relation qui nous bouffe.
- : La nécessité de développer son intelligence adaptative pour évoluer dans un contexte où le changement est un constante représente un véritable défi. Ce défi, c'est celui d'une quête de sens (dans son acceptation polysémique: signification, sensation, direction)
Tu as des enfants; ça c'est fait.Le cadre actuel :
J'ai trois enfants en bas âge (5 à 10 ans) dont je m'occupe seul une semaine sur deux, sur une plage horaire assez étendue alors. J'ai des potes célibataires et sans enfants, avec qui je sors quand possible. Dans des soirées, au resto, etc ... J'ai d'autres potes en couple et avec eux aussi des enfants, qui me reçoivent en général chez eux.
D'aucuns se mettraient la pression pour un faire après 40 ans, pas toi.
Tu as des amis célibataires et tu fais des sorties. Parfait
Autant dire, tu as le choix. Nous avons sensiblement le même âge et je confirme: il s'agit d'un âge idéal pour sortir autant avec des filles plus jeunes que plus âgées (ou du même âge) selon tes préférences. Une période bénie.Je ne pense pas faire mon âge. Je peux me faire draguer par des nanas bien plus jeunes, comme des femmes de mon âge. Je n'aime pas trop me faire draguer par des nanas plus jeunes.
Tes aptitudes relationnelles te permettent de faire des rencontres sans difficulté.Je suis quelqu'un de sociable, qui n'a pas de mal à aller au contact des autres. Bref, à créer du lien. Par le passé, j'ai souvent rencontré mes nanas par le biais de réseau de connaissances. De visu, et en établissant le contact.
Une fois n'est pas coutume, je vais faire un détour par ma situation présente. Je vis une semaine ou 10 jours par mois à Paris, le reste à Amsterdam. Je m'organise pour relancer mon réseau et j'invite plusieurs personnes d'un coup quand je ne peux pas caser tout le monde. Mon réseau est du coup devenu plus dense. Cela amène à privilégier la qualité des moments à leur quantité.Mes potes célibataires cherchent à faire des rencontres. Le problème, c'est que je ne peux les voir qu'une semaine sur deux. Pas simple d'entretenir du lien ainsi, d'autant plus qu'ils ont leurs activités.
Voir un ami deux fois pendant une semaine et pas la semaine suivante ne provoque pas la fin de ladite amitié.
Tu es libre la moitié du temps.Ce que je vois comme "problème", c'est celui des activités plus que celui du réseau. De par ma situation, je ne peux pas vraiment entretenir une activité simplement. Je suis plutôt "coincé" quand j'ai mes gosses, et "libre" autrement. Je pourrais prendre une baby-sitter et sortir la semaine où j'ai mes gosses. Sauf que derrière je vais ramer niveau sommeil et organisation. Je dis ça, ce n'est pas pour trouver une excuse. C'est du vécu. Ce sera sans doute plus facile quand mes enfants seront plus grands et autonomes.
Le reste du temps, tu peux occasionnellement libérer une soirée en prenant une baby-sitter.
Ce n'est quand même pas la mer à boire, j'ai des potes et des copines dans la même situation qui s'en sortent très bien.
Ta conclusion est complètement incongrue.J'en arrive à me dire que la meilleure solution pour rencontrer des femmes, c'est de passer par des sites de rencontres. Je trouve cela tout sauf naturel. Encore une fois, les rencontres que je faisais, c'était de visu. Le courant passait ou pas, mais c'était de visu.
Les sites de rencontres, ça me donne l'impression que c'est un "supermarché des relations". Genre "tiens, elle a l'air pas mal, voyons voir". Et très sincèrement, je déteste draguer ou être dragué comme ça. Je ressens ça comme "choisis ton bout de viande" ou "sois choisi comme un bout de viande". Je n'aime pas non plus "le filtre de l'écran", on peut faire passer ce qu'on veut.
Si tu fais des sorties, que tu as du temps au moins une semaine sur deux ET que ta préférence va au rencontres en réel, eh bien fais des rencontres en réel. Rien dans ton message n'indique que celles-ci soient difficiles et encore moins impossibles.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] Absolument le 25.08.14, 12h46 par splifstarz
- [+1] Pertinent le 25.08.14, 15h58 par Sclavie
Et même je suis en train de penser, si tu emmènes tes enfants au parc et que tu vois une femme qui te plait, tu peux toujours engager la conversation et faire connaissance
D'autant qu'un père célibataire, ça donne une image rassurante.
D'autant qu'un père célibataire, ça donne une image rassurante.
C'est ce qu'on dit oui.Ash a écrit :Et même je suis en train de penser, si tu emmènes tes enfants au parc et que tu vois une femme qui te plait, tu peux toujours engager la conversation et faire connaissance
D'autant qu'un père célibataire, ça donne une image rassurante.
http://www.parentingscience.com/sexy-dads.html
Bonne question, merci.Ash a écrit :En quoi c'est un problème de sortir une semaine sur deux?
En fait, le problème n'est pas tant de sortir une semaine sur deux, mais l'image que cela donne. Enfin ... C'est comme ça que je le ressens. En résumant à l'extrême, j'ai l'impression que mes potes me voient une semaine comme un gars célibataire, et l'autre semaine comme un gars "casé" qui ne bouge pas. Ça s'en ressent dans leurs réactions. Ils ne se prennent pas la tête, ils prévoient leurs sorties "sans interruption". Ceci dit, je me fais peut-être des idées. Je ne leur ai jamais demandé.
Je ne me rappelais pas de ce terme. Je ne l'ai pas fait pour attirer l'attention, c'était plus une sémantique que je voulais rigolote . C'est vraiment une question que je me pose. Et à vous aussi, en l'occurrence.Blusher a écrit :Le titre est un clickbait.
Il est volontairement excessif et tu le reconnais.
Tout à fait. Le sens et la direction où je veux aller, je les connais. Effectivement, je ne les ai pas précisé.Blusher a écrit :Les mariages, je ne te l'apprends pas, durent moins longtemps que du temps de nos grands-parents.
+ : On n'est pas pieds et points liés à une relation qui nous bouffe.
- : La nécessité de développer son intelligence adaptative pour évoluer dans un contexte où le changement est un constante représente un véritable défi. Ce défi, c'est celui d'une quête de sens (dans son acceptation polysémique: signification, sensation, direction)
C'est même l'inverse, je ne veux plus d'enfants. Je ne veux pas subir une pression pour en avoir.Blusher a écrit :Tu as des enfants; ça c'est fait.
D'aucuns se mettraient la pression pour un faire après 40 ans, pas toi.
Huit ans dans les couches, ça vous vaccine un homme, croyez moi . Ma troisième, que j'adore, est arrivée sur un "accident". Je ne veux plus ça. On est d'accord, c'est une "peur", c'est chez moi, et je gère. Rajoutez à ça l'envie de "protéger" mes enfants, à ne pas faire "défiler" des amantes pour qu'ils ne subissent pas d' "abandons répétés", et donc leur présenter "tardivement", vous avez alors toutes les contraintes que je me mets, pour eux.
Ce qui me fait plutôt me retourner vers les "mamans", donc des femmes de mon âge, voire légèrement plus. Et perso, je n'en rencontre pas trop quand je sors. A moins que je n'aille pas aux bons endroits ? Vous me direz, je vais aux endroits où mes potes vont ...
Pas tant que ça. Un peu ce que je réponds à Ash.Blusher a écrit :Tu as des amis célibataires et tu fais des sorties. Parfait
Ce choix, cette "abondance", c'est plus une gêne en ce qui me concerne. Ok, je vais passer un bon moment avec une femme plus jeune, mais ça n'ira pas plus loin.Blusher a écrit :Autant dire, tu as le choix. Nous avons sensiblement le même âge et je confirme: il s'agit d'un âge idéal pour sortir autant avec des filles plus jeunes que plus âgées (ou du même âge) selon tes préférences. Une période bénie.
Merci . Ça, je suis bien d'accord, ça nécessite de s'organiser. Mais justement, à privilégier la qualité du moment, ça rend la partie rencontre avec des femmes plus difficile. Selon moi je veux dire. Mes potes, je les connais depuis vingt ans. Quand on se voit, on délire, on s'amuse. Ça met une bonne ambiance, ça attire le monde. Mais je ne ressens plus la même chose que lorsqu'on était plus jeune, où des groupes se mélangeaient et ça donnait des bonnes fiestas. Peut-être qu'on est trop "entre nous" du coup. A creuser ...Blusher a écrit :Une fois n'est pas coutume, je vais faire un détour par ma situation présente. Je vis une semaine ou 10 jours par mois à Paris, le reste à Amsterdam. Je m'organise pour relancer mon réseau et j'invite plusieurs personnes d'un coup quand je ne peux pas caser tout le monde. Mon réseau est du coup devenu plus dense. Cela amène à privilégier la qualité des moments à leur quantité.
Voir un ami deux fois pendant une semaine et pas la semaine suivante ne provoque pas la fin de ladite amitié.
A la limite, ce n'est pas tant la fréquence qui me gêne. Mais l'action sur la durée.Blusher a écrit :Tu es libre la moitié du temps.
Le reste du temps, tu peux occasionnellement libérer une soirée en prenant une baby-sitter.
Ce n'est quand même pas la mer à boire, j'ai des potes et des copines dans la même situation qui s'en sortent très bien.
Je veux bien le croire. Mais c'est pour ça que je pose la questionBlusher a écrit :Ta conclusion est complètement incongrue.
... . Justement, je sens que c'est plus difficile qu'avant, alors que je ne suppose pas avoir changé outre mesure. Hormis les contraintes dont je parle plus haut. D'où ma question.Blusher a écrit :Si tu fais des sorties, que tu as du temps au moins une semaine sur deux ET que ta préférence va au rencontres en réel, eh bien fais des rencontres en réel. Rien dans ton message n'indique que celles-ci soient difficiles et encore moins impossibles.
Ça, je peux vous dire, il n'y a même pas mieux pour draguer !Ash a écrit :Et même je suis en train de penser, si tu emmènes tes enfants au parc et que tu vois une femme qui te plait, tu peux toujours engager la conversation et faire connaissance
D'autant qu'un père célibataire, ça donne une image rassurante.
En te lisant, j'ai la sensation que ce qui te gène c'est que tu ne te sens pas entouré par la constance d’un petit groupe qui est à la fois source de réconfort et impulsion auxiliaire dans la dynamique de rencontres et d’ouverture aux autres que tu essaies d’opérer. C'est le coté alternatif et non régulier de ces présences qui t'interpelle.Acr0bate a écrit : En fait, le problème n'est pas tant de sortir une semaine sur deux, mais l'image que cela donne. Enfin ... C'est comme ça que je le ressens. En résumant à l'extrême, j'ai l'impression que mes potes me voient une semaine comme un gars célibataire, et l'autre semaine comme un gars "casé" qui ne bouge pas. Ça s'en ressent dans leurs réactions. Ils ne se prennent pas la tête, ils prévoient leurs sorties "sans interruption". Ceci dit, je me fais peut-être des idées. Je ne leur ai jamais demandé.
C’est de l’ordre du ressentis…et ça mériterait que tu te demandes ce qui te gène dans le fait de te sentir (peut-être à tort) exclu à mi temps.
Peut-être que le plus difficile dans tout ça est que tu envisages la prochaine madame Acrobate sous l’angle du rapport à tes enfants.Acr0bate a écrit : Justement, je sens que c'est plus difficile qu'avant, alors que je ne suppose pas avoir changé outre mesure. Hormis les contraintes dont je parle plus haut. D'où ma question.
Que tu sois attentif à être en contact avec des femmes avec lesquels tu puisses imaginer un quotidien avec tes enfants est sain, rationnel et parfaitement entendable. Mais quand on choisit quelqu’un avec qui partager sa vie c’est quand même avant tout pour soi. Si elle saura construire avec toi un univers épanouissant et qui puisse te rendre heureux, je pense que tes enfants ne seront pas mécontents d’avoir un papa radieux avec qui grandir.
Je n’ai pas la sensation que tu sois dans la recherche de rencontres multiples. C’est pour ça que je me permets de faire cette hypothèse.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] Intéressant le 25.08.14, 16h03 par Sclavie
Croyance limitante parfaitement infondée.Ce choix, cette "abondance", c'est plus une gêne en ce qui me concerne. Ok, je vais passer un bon moment avec une femme plus jeune, mais ça n'ira pas plus loin.
Je ne pensais pas en rencontrant une jeune fille de 19 ans qu'elle serait 6 ans plus tard un partenaire aimante, stable, intelligente et mûre avec qui le futur se construit au quotidien.
A fortiori, si tu tombes sous le charme d'une fille de 25-30 ans lors d'une sortie, qu'est-ce qui t'empêche d'envisager une relation avec?
Quant à la question de tes enfants, ce n'est pas eux qui vivent ta vie amoureuse, comme l'a rappelé justement Lenny, c'est TA vie. C'est un coup à leur en vouloir a posteriori du sacrifice consenti.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] C'est pas si simple le 23.08.14, 20h05 par Sathinelilly
Bien sûr c'est sa vie... mais ce n'est pas si simple ! Quand on "brise" ce que l'on a mis tant d'attention à construire, on se sent coupable et on veut limiter les dommages colatéraux. Mes enfants sont plus grands que ceux d'Acr0bate mais il est tout à fait hors de question qu'ils me voient avec un autre homme que leur père pour l'instant. Après une séparation, il y a un cap compliqué à dépasser.Blusher a écrit : Quant à la question de tes enfants, ce n'est pas eux qui vivent ta vie amoureuse, comme l'a rappelé justement Lenny, c'est TA vie. C'est un coup à leur en vouloir a posteriori du sacrifice consenti.
Au rythme de la garde partagée, on en devient presque schizophrène. En semaine A, on est un père/une mère parfaite parce qu'on veut être présent à 100% pour eux, parce qu'on ne veut pas que notre ex puisse nous reprocher le moindre "manquement", mais aussi simplement parce qu'on est heureux d'en profiter.
En semaine B, on respire, on kiffe le 0 contrainte mais on n'en reste pas moins parent, on ne peut plus se permettre de se planter, on a déjà grillé notre joker
Bon sinon Acr0bate, tu peux tout de même envisager des relations sans engagement sans passer par des sites de rencontres, des hommes et des femmes comme toi et moi, il y en a. Perso, je privilégie les after work.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] Bonne idée ! le 23.08.14, 21h24 par Blusher
- [+1] C'est pas faux le 25.08.14, 16h04 par Sclavie
Vous y allez fort, mais merci .
Je n'aurai pas dit exclu, mais on pourrait le voir ainsi. La vie aidant, mon groupe de potes s'est plus ou moins scindé en deux (célibataires/parents). Je me ressentais plutôt moteur à l'époque, à fédérer tout le monde. Le terme qui m'est venu à l'esprit dit est "différent sans être différent". Ça rejoint ce que tu dis plus bas. Je me vois aussi comme un père, même si je suis célibataire. Peut-être n'ai-je pas fait l'amalgame des deux ? ...
Je ne pense pas que je leur en aurais voulu. Je suis responsable de mes choix, pas eux des miens. Et être père, c'est tout sauf un sacrifice. Ça apporte son lot de joies .
Après oui, j'ai moi aussi besoin de sécurité affective. Mais c'est bien normal vu mon parcours. J'essaye de tendre vers ça.
J'entends ce que tu me dis quant au futur qui se construit au quotidien. Oui, il faut tomber sur la bonne partenaire .
C'est pour ça aussi que si je fais une rencontre, ça me limitera en terme de disponibilité. Le "une semaine sur deux". C'est ... compliqué ...
Et parce que justement, tu ne profites plus que de la moitié de leurs vies. Et ça passe très vite ...
Je sais qu'il y a des personnes comme nous. C'est juste que je n'ai pas l'impression de trouver les bons endroits. Un peu ce que tu dis avec "Ta mère la MILF". T'es dans un bar avec des "jeunes". Ok, c'est cool, tu t'amuses, mais ...
Pareil pour les afterwork, c'est ce que je fais avec mes potes. Mais je n'ai pas l'impression que ce soit concluant.
Ceci dit, on discute plus du pourquoi que du comment. Si je vous suis, vous me dites que ça ne change rien pour rencontrer des personnes. Faut que je creuse ...
A dire vrai, pour la notion de groupe, c'est plus une question d'habitude. J'ai toujours fait des rencontres ainsi. L'impulsion en elle-même ne me gêne pas, si j'en suis à envisager de passer par des sites de rencontres. J'ai d'ailleurs fait des rencontres sans être en groupe.Lenny2stras a écrit :En te lisant, j'ai la sensation que ce qui te gène c'est que tu ne te sens pas entouré par la constance d’un petit groupe qui est à la fois source de réconfort et impulsion auxiliaire dans la dynamique de rencontres et d’ouverture aux autres que tu essaies d’opérer. C'est le coté alternatif et non régulier de ces présence qui t'interpellent.
C’est de l’ordre du ressentis…et ça mériterait que tu te demandes ce qui te gène dans le fait de te sentir (peut-être à tort) exclu à mi temps.
Je n'aurai pas dit exclu, mais on pourrait le voir ainsi. La vie aidant, mon groupe de potes s'est plus ou moins scindé en deux (célibataires/parents). Je me ressentais plutôt moteur à l'époque, à fédérer tout le monde. Le terme qui m'est venu à l'esprit dit est "différent sans être différent". Ça rejoint ce que tu dis plus bas. Je me vois aussi comme un père, même si je suis célibataire. Peut-être n'ai-je pas fait l'amalgame des deux ? ...
Bien obligé. Le "package" que j'apporte à une future relation, c'est "Acrobate et ses enfants". Avec les limitations que cela induit.Lenny2stras a écrit :Peut-être que le plus difficile dans tout ça est que tu envisages la prochaine madame Acrobate sous l’angle du rapport à tes enfants.
Lenny2stras a écrit :Que tu sois attentif à être en contact avec des femmes avec lesquels tu puisses imaginer un quotidien avec tes enfants est sain, rationnel et parfaitement entendable. Mais quand on choisit quelqu’un avec qui partager sa vie c’est quand même avant tout pour soi.
Juste ... Très juste. Vous venez de faire sauter un verrou, merci . Oui, je ne suis pas assez "égoïste", et c'est pourtant la base. Je suis un homme avant d'être un père.Blusher a écrit :Quant à la question de tes enfants, ce n'est pas eux qui vivent ta vie amoureuse, comme l'a rappelé justement Lenny, c'est TA vie. C'est un coup à leur en vouloir a posteriori du sacrifice consenti.
Je ne pense pas que je leur en aurais voulu. Je suis responsable de mes choix, pas eux des miens. Et être père, c'est tout sauf un sacrifice. Ça apporte son lot de joies .
C'est tout le mal que je leur souhaite, et que je me souhaite.Lenny2stras a écrit :Si elle saura construire avec toi un univers épanouissant et qui puisse te rendre heureux, je pense que tes enfants ne seront pas mécontents d’avoir un papa radieux avec qui grandir.
Après oui, j'ai moi aussi besoin de sécurité affective. Mais c'est bien normal vu mon parcours. J'essaye de tendre vers ça.
Bien vu . MerciLenny2stras a écrit :Je n’ai pas la sensation que tu sois dans la recherche de rencontres multiples. C’est pour ça que je me permets de faire cette hypothèse.
J'en suis content pour toi . Quelque part je t'envie. Ceci dit, c'est sans doute une histoire de repères différents. En ce qui me concerne, c'est plus un choix volontaire qu'une croyance limitante.Blusher a écrit :Croyance limitante parfaitement infondée.
Je ne pensais pas en rencontrant une jeune fille de 19 ans qu'elle serait 6 ans plus tard un partenaire aimante, stable, intelligente et mûre avec qui le futur se construit au quotidien.
J'entends ce que tu me dis quant au futur qui se construit au quotidien. Oui, il faut tomber sur la bonne partenaire .
"L'horloge biologique des femmes", et ce que j'ai dit sur le fait de ne plus vouloir d'enfant. Le problème quand tu as un profil "sécurisant" (en référence à ton lien), c'est que cette question se posera à terme dans ce cas. J'y ai eu droit plus jeune. Je ne vois pas l'intérêt de me mettre dans une relation qui capotera à terme, parce que j'aurai à dire non sur un projet "essentiel". Si je sais dès le départ qu'il faudra détruire, je ne vois pas l'intérêt de construire. Vision pessimiste ? Peut-être . Je préfère me dire qu'elle est réaliste.Blusher a écrit :A fortiori, si tu tombes sous le charme d'une fille de 25-30 ans lors d'une sortie, qu'est-ce qui t'empêche d'envisager une relation avec?
Même "longtemps" après ... Mais ça revient à dire cela, oui. Les "dommages collatéraux", tu te les prends en pleine face, à chaque fois. Par exemple, mes gosses se sont attachés à mon ex. Le jour où je leur ai annoncé la rupture, ils ont plus ou moins revécu celle avec leur mère. Et alors j'ai pris double peine. Ça, je ne veux pas le revivre ... ni leur faire revivre. Même si je sais que ça arrivera sûrement.Sathinelilly a écrit :Bien sûr c'est sa vie... mais ce n'est pas si simple ! Quand on "brise" ce que l'on a mis tant d'attention à construire, on se sent coupable et on veut limiter les dommages colatéraux. Mes enfants sont plus grands que ceux d'Acr0bate mais il est tout à fait hors de question qu'ils me voient avec un autre homme que leur père pour l'instant. Après une séparation, il y a un cap compliqué à dépasser.
C'est pour ça aussi que si je fais une rencontre, ça me limitera en terme de disponibilité. Le "une semaine sur deux". C'est ... compliqué ...
... Merci Sathinelilly .Sathinelilly a écrit :Au rythme de la garde partagée, on en devient presque schizophrène. En semaine A, on est un père/une mère parfaite parce qu'on veut être présent à 100% pour eux, parce qu'on ne veut pas que notre ex puisse nous reprocher le moindre "manquement", mais aussi simplement parce qu'on est heureux d'en profiter.
Et parce que justement, tu ne profites plus que de la moitié de leurs vies. Et ça passe très vite ...
Et encore pour le zéro contrainte ... Quant au joker oui, c'est exactement comme cela que je le ressens aussi.Sathinelilly a écrit :En semaine B, on respire, on kiffe le 0 contrainte mais on n'en reste pas moins parent, on ne peut plus se permettre de se planter, on a déjà grillé notre joker
Relation sans engagement ... Si je vois très bien de quoi on parle, ma dernière relation ayant capoté à ce sujet, je ne sais pas. A terme, une vie de couple, ça se fait ensemble. Une relation sans engagement pour moi, c'est un plan cul. Je trouve l'intérêt limité, me concernant. Mais bon, là ça vient de moi, je le sais.Sathinelilly a écrit :Bon sinon Acr0bate, tu peux tout de même envisager des relations sans engagement sans passer par des sites de rencontres, des hommes et des femmes comme toi et moi, il y en a. Perso, je privilégie les after work.
Je sais qu'il y a des personnes comme nous. C'est juste que je n'ai pas l'impression de trouver les bons endroits. Un peu ce que tu dis avec "Ta mère la MILF". T'es dans un bar avec des "jeunes". Ok, c'est cool, tu t'amuses, mais ...
Pareil pour les afterwork, c'est ce que je fais avec mes potes. Mais je n'ai pas l'impression que ce soit concluant.
Ceci dit, on discute plus du pourquoi que du comment. Si je vous suis, vous me dites que ça ne change rien pour rencontrer des personnes. Faut que je creuse ...
A te lire, on dirait que tu veux planifier le futur et que tu sais de quoi il sera fait avant même d'avoir rencontré une partenaire potentielle.
Tiens c'est cadeau.
Le changement est inévitable. Des relations, tu en auras peut-être plus qu'une seule à l'avenir et l'enfant n'est pas la seule construction qui vaille.
Et quand bien même une relation viendrait à finir, cela veut-il dire qu'elle ne valait rien et qu'elle ne vous à pas nourrit et construit l'un et l'autre pendant le temps qu'elle aura duré?
Sinon comment feraient: les pilotes de ligne, les marins, les militaires en opex, les gens du spectacle en tournée/tournage, les vrp, les hôtesses de l'air etc.
C'est même un luxe de pouvoir manquer à l'autre (et de ressentir ce manque) de temps en temps.
Tiens c'est cadeau.
Tout d'abord, il existe des femmes qui ne veulent pas d'enfants. Heureusement."L'horloge biologique des femmes", et ce que j'ai dit sur le fait de ne plus vouloir d'enfant. Le problème quand tu as un profil "sécurisant" (en référence à ton lien), c'est que cette question se posera à terme dans ce cas. J'y ai eu droit plus jeune. Je ne vois pas l'intérêt de me mettre dans une relation qui capotera à terme, parce que j'aurai à dire non sur un projet "essentiel". Si je sais dès le départ qu'il faudra détruire, je ne vois pas l'intérêt de construire. Vision pessimiste ? Peut-être Image . Je préfère me dire qu'elle est réaliste.
Le changement est inévitable. Des relations, tu en auras peut-être plus qu'une seule à l'avenir et l'enfant n'est pas la seule construction qui vaille.
Et quand bien même une relation viendrait à finir, cela veut-il dire qu'elle ne valait rien et qu'elle ne vous à pas nourrit et construit l'un et l'autre pendant le temps qu'elle aura duré?
Le cap à passer sera certainement de vous dire que vous n'avez rien "brisé" et qu'il n'y a pas lieu de culpabiliser. Vous avez évolué, vous avez repris vos chemins amoureux chacun de vos côté tout en restant parents de vos enfants.Bien sûr c'est sa vie... mais ce n'est pas si simple ! Quand on "brise" ce que l'on a mis tant d'attention à construire, on se sent coupable et on veut limiter les dommages colatéraux. Mes enfants sont plus grands que ceux d'Acr0bate mais il est tout à fait hors de question qu'ils me voient avec un autre homme que leur père pour l'instant. Après une séparation, il y a un cap compliqué à dépasser.
Tu as pensé à d'autres moyens de gérer cette écologie pour que cette peur ne soit pas tyrannique au point de t'empêcher de faire de nouvelles rencontres?Même "longtemps" après ... Mais ça revient à dire cela, oui. Les "dommages collatéraux", tu te les prends en pleine face, à chaque fois. Par exemple, mes gosses se sont attachés à mon ex. Le jour où je leur ai annoncé la rupture, ils ont plus ou moins revécu celle avec leur mère. Et alors j'ai pris double peine. Ça, je ne veux pas le revivre ... ni leur faire revivre. Même si je sais que ça arrivera sûrement.
"Je te vois trois fois dans la semaine et on ne se voit pas la semaine prochaine" ce n'est pas incroyablement difficile comme arrangement à moins d'avoir une vision très fusionnnelle 24/7 du couple.C'est pour ça aussi que si je fais une rencontre, ça me limitera en terme de disponibilité. Le "une semaine sur deux". C'est ... compliqué ...
Sinon comment feraient: les pilotes de ligne, les marins, les militaires en opex, les gens du spectacle en tournée/tournage, les vrp, les hôtesses de l'air etc.
C'est même un luxe de pouvoir manquer à l'autre (et de ressentir ce manque) de temps en temps.
A te lire, on dirait que tu veux planifier le futur et que tu sais de quoi il sera fait avant même d'avoir rencontré une partenaire potentielle.
Tiens c'est cadeau.
Le changement est inévitable. Des relations, tu en auras peut-être plus qu'une seule à l'avenir et l'enfant n'est pas la seule construction qui vaille.
Et quand bien même une relation viendrait à finir, cela veut-il dire qu'elle ne valait rien et qu'elle ne vous à pas nourrit et construit l'un et l'autre pendant le temps qu'elle aura duré?
Sinon comment feraient: les pilotes de ligne, les marins, les militaires en opex, les gens du spectacle en tournée/tournage, les vrp, les hôtesses de l'air etc.
C'est même un luxe de pouvoir manquer à l'autre (et de ressentir ce manque) de temps en temps.
Tiens c'est cadeau.
Tout d'abord, il existe des femmes qui ne veulent pas d'enfants. Heureusement."L'horloge biologique des femmes", et ce que j'ai dit sur le fait de ne plus vouloir d'enfant. Le problème quand tu as un profil "sécurisant" (en référence à ton lien), c'est que cette question se posera à terme dans ce cas. J'y ai eu droit plus jeune. Je ne vois pas l'intérêt de me mettre dans une relation qui capotera à terme, parce que j'aurai à dire non sur un projet "essentiel". Si je sais dès le départ qu'il faudra détruire, je ne vois pas l'intérêt de construire. Vision pessimiste ? Peut-être Image . Je préfère me dire qu'elle est réaliste.
Le changement est inévitable. Des relations, tu en auras peut-être plus qu'une seule à l'avenir et l'enfant n'est pas la seule construction qui vaille.
Et quand bien même une relation viendrait à finir, cela veut-il dire qu'elle ne valait rien et qu'elle ne vous à pas nourrit et construit l'un et l'autre pendant le temps qu'elle aura duré?
Le cap à passer sera certainement de vous dire que vous n'avez rien "brisé" et qu'il n'y a pas lieu de culpabiliser. Vous avez évolué, vous avez repris vos chemins amoureux chacun de vos côté tout en restant parents de vos enfants.Bien sûr c'est sa vie... mais ce n'est pas si simple ! Quand on "brise" ce que l'on a mis tant d'attention à construire, on se sent coupable et on veut limiter les dommages colatéraux. Mes enfants sont plus grands que ceux d'Acr0bate mais il est tout à fait hors de question qu'ils me voient avec un autre homme que leur père pour l'instant. Après une séparation, il y a un cap compliqué à dépasser.
Tu as pensé à d'autres moyens de gérer cette écologie pour que cette peur ne soit pas tyrannique au point de t'empêcher de faire de nouvelles rencontres?Même "longtemps" après ... Mais ça revient à dire cela, oui. Les "dommages collatéraux", tu te les prends en pleine face, à chaque fois. Par exemple, mes gosses se sont attachés à mon ex. Le jour où je leur ai annoncé la rupture, ils ont plus ou moins revécu celle avec leur mère. Et alors j'ai pris double peine. Ça, je ne veux pas le revivre ... ni leur faire revivre. Même si je sais que ça arrivera sûrement.
"Je te vois trois fois dans la semaine et on ne se voit pas la semaine prochaine" ce n'est pas incroyablement difficile comme arrangement à moins d'avoir une vision très fusionnnelle 24/7 du couple.C'est pour ça aussi que si je fais une rencontre, ça me limitera en terme de disponibilité. Le "une semaine sur deux". C'est ... compliqué ...
Sinon comment feraient: les pilotes de ligne, les marins, les militaires en opex, les gens du spectacle en tournée/tournage, les vrp, les hôtesses de l'air etc.
C'est même un luxe de pouvoir manquer à l'autre (et de ressentir ce manque) de temps en temps.
Héhéhé . Merci !Blusher a écrit :A te lire, on dirait que tu veux planifier le futur et que tu sais de quoi il sera fait avant même d'avoir rencontré une partenaire potentielle.
Tiens c'est cadeau.
Je le sais bien, pour le "planifier le futur". Au moins je suis honnête, hein ?
C'est à ramener à ce que je dis, j'ai besoin de sécurité affective. En couple s'entend. Mais je sais déjà que je n'y parviendrai pas...
Les femmes ménopausées ? Nan, j'déconne ...Blusher a écrit :Tout d'abord, il existe des femmes qui ne veulent pas d'enfants. Heureusement.
Je le sais ça
J'en aurai très probablement plus qu'une, oui. Je ne dis pas que l'enfant est la seule construction qui vaille. Je dis que j'ai plus de probabilités de tomber sur une construction de ce type avec une "jeunette", qu'avec une "maman".Blusher a écrit :Le changement est inévitable. Des relations, tu en auras peut-être plus qu'une seule à l'avenir et l'enfant n'est pas la seule construction qui vaille.
Ça n'est pas mon propos. J'ai bien compris tes mots "le futur qui se construit au quotidien". Si tu veux, si je ne vois pas l'intérêt de me mettre en relation au début, celle-ci ne me nourrira pas pendant. Je serai même plutôt en retrait, ce qui n'est pas bon.Blusher a écrit :Et quand bien même une relation viendrait à finir, cela veut-il dire qu'elle ne valait rien et qu'elle ne vous à pas nourrit et construit l'un et l'autre pendant le temps qu'elle aura duré?
Facile à dire, et je me le suis dit. Plus difficile à vivre, surtout quand tes gosses te le rappellent souvent. Et c'est bon pour eux qu'ils te le rappellent.Blusher a écrit :Le cap à passer sera certainement de vous dire que vous n'avez rien "brisé" et qu'il n'y a pas lieu de culpabiliser. Vous avez évolué, vous avez repris vos chemins amoureux chacun de vos côté tout en restant parents de vos enfants.
Ce n'est pas une peur tyrannique, j'ai fini par "même si je sais que ça arrivera surement". Je n'ai franchement pas envie. Personne n'aime souffrir, même si c'est parfois un passage obligé. Je ne pourrai pas protéger mes gosses au-delà du possible. De toute façon, il faut qu'ils se fassent leurs expériences. Mais si je peux éviter d'en rajouter, je ne vais pas me priver.Blusher a écrit :Tu as pensé à d'autres moyens de gérer cette écologie pour que cette peur ne soit pas tyrannique au point de t'empêcher de faire de nouvelles rencontres?
J'ai carrément pensé à rester parent célibataire et ne plus me prendre la tête à ce sujet. Mais je sais que ça ne me conviendra pas à terme. Je n'ai pas d'exemples autour de moi de gens qui ont une solution qui me conviendrait. Tous les gens passent par des sites de rencontre. Il n'y a qu'à voir le débat en cours sur FTS sur les Tinder et autres moyens de rencontre virtuels. Je ne vois pas de solutions. Je ne suis pas le premier à passer par là, autant demander.
Tu vois, l'idée sur les afterwork, c'est une bonne idée. Et je m'y prend sans doute mal actuellement. Il y en a peut-être d'autres, je ne sais pas ...
Là-dessus on est totalement d'accord. Et je ne veux surtout pas d'une relation fusionnelle.Blusher a écrit :"Je te vois trois fois dans la semaine et on ne se voit pas la semaine prochaine" ce n'est pas incroyablement difficile comme arrangement à moins d'avoir une vision très fusionnnelle 24/7 du couple.
Sinon comment feraient: les pilotes de ligne, les marins, les militaires en opex, les gens du spectacle en tournée/tournage, les vrp, les hôtesses de l'air etc.
C'est même un luxe de pouvoir manquer à l'autre (et de ressentir ce manque) de temps en temps.
Mais je trouve que ce n'est pas si simple à mettre en œuvre durant la phase de séduction, qui elle est plutôt fusionnelle. "Attends, j'peux pas, j'ai piscine ..." . Plus sérieusement durant cette phase, si l'autre a envie de me voir, et même si j'ai envie, ça peut être dur ou dommageable de lui dire "oui, mais non".
A terme, si l'habitude est prise et qu'elle convient finalement à l'un et pas à l'autre, ça coince. Ma dernière relation s'est cassée la gueule exactement pour ce motif.
Je crois avoir dépassé ce truc de la MILF finalement ;) Faudra que j’écrive une conclusion à ce topic, je cherche un moyen de le faire sans trop entrer dans les détails.Je sais qu'il y a des personnes comme nous. C'est juste que je n'ai pas l'impression de trouver les bons endroits. Un peu ce que tu dis avec "Ta mère la MILF". T'es dans un bar avec des "jeunes". Ok, c'est cool, tu t'amuses, mais ...
.Pareil pour les afterwork, c'est ce que je fais avec mes potes. Mais je n'ai pas l'impression que ce soit concluant
Souvent, j’y vais seule. J’ai remarqué que j’avais plus de mal à me lancer quand je sortais avec des amis. Mais je vais dans des endroits où j’ai déjà des habitudes, en terrain connu.
Les SDR, Tinder, je n'y trouve pas mon compte non plus et je pense pas être la seule.J'ai carrément pensé à rester parent célibataire et ne plus me prendre la tête à ce sujet. Mais je sais que ça ne me conviendra pas à terme. Je n'ai pas d'exemples autour de moi de gens qui ont une solution qui me conviendrait. Tous les gens passent par des sites de rencontre. Il n'y a qu'à voir le débat en cours sur FTS sur les Tinder et autres moyens de rencontre virtuels. Je ne vois pas de solutions. Je ne suis pas le premier à passer par là, autant demander.
Tu vois, l'idée sur les afterwork, c'est une bonne idée. Et je m'y prend sans doute mal actuellement. Il y en a peut-être d'autres, je ne sais pas ...
Tu es sociable, tu sais créer du lien, fais fructifier tout ça, sors de ta zone de confort, accepte, voire propose des sorties ou des activités avec des gens que tu connais moins que ta bande de potes.
J’ai fait l’effort d’aller à des soirées ou à des diners où je ne connaissais presque personne, j’ai pu rencontrer des amis d’amis de mes amis et là ça change tout ! Si tu sors toujours avec les mêmes gens, chez les mêmes gens et que tu pars aussi en vacances avec eux, tu finis forcément par tourner en rond…
Mais je crois que le plus important, c’est que tu ne sembles pas être dans la bonne dynamique, comme dit Blusher, tu pars perdant d’avance. Fais des rencontres sans trop te poser de question, tu n’es pas obligé de tout planifier. Les relations que j’appelle sans engagement sont celles où tu es bien et où te dis juste « on verra bien ».
J’ai longtemps galéré avec l'insécurité affective et c’est essentiellement là-dessus que je travaille en terme de développement personnel, mais pas en lisant des bouquins, non, je me fais violence je me force à arrêter de flipper par anticipation et ça commence à porter ses fruits je crois, même si j’ai encore quelques petites rechutes !
Si je regarde ma situation avec recul, j’admets que tu as raison mais c’est difficile de s’en convaincre. Une question de temps ? c’est ce que j’espérais mais Acrobate a l’air de dire que cette saleté de culpabilité reste, tu m’as miné le moral Acr0bate !Le cap à passer sera certainement de vous dire que vous n'avez rien "brisé" et qu'il n'y a pas lieu de culpabiliser. Vous avez évolué, vous avez repris vos chemins amoureux chacun de vos côté tout en restant parents de vos enfants.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+2] Constructif le 24.08.14, 14h18 par Blusher
Cool . J'en suis content pour toi . Je te lirai avec intérêt !Sathinelilly a écrit :Je crois avoir dépassé ce truc de la MILF finalement ;) Faudra que j’écrive une conclusion à ce topic, je cherche un moyen de le faire sans trop entrer dans les détails.
A vous lire, je pense que mon erreur se situe là. Il faut que je sorte seul.Sathinelilly a écrit :Souvent, j’y vais seule. J’ai remarqué que j’avais plus de mal à me lancer quand je sortais avec des amis. Mais je vais dans des endroits où j’ai déjà des habitudes, en terrain connu.
Sans doute parce qu'on a pas été habitué à draguer ou faire des rencontres ainsi.Sathinelilly a écrit :Les SDR, Tinder, je n'y trouve pas mon compte non plus et je pense pas être la seule.
Merci pour ce retourSathinelilly a écrit :Tu es sociable, tu sais créer du lien, fais fructifier tout ça, sors de ta zone de confort, accepte, voire propose des sorties ou des activités avec des gens que tu connais moins que ta bande de potes.
J’ai fait l’effort d’aller à des soirées ou à des diners où je ne connaissais presque personne, j’ai pu rencontrer des amis d’amis de mes amis et là ça change tout ! Si tu sors toujours avec les mêmes gens, chez les mêmes gens et que tu pars aussi en vacances avec eux, tu finis forcément par tourner en rond…
Ça ne me dérange pas de sortir de ma zone de confort, de fréquenter des gens que je ne connais pas ou peu. Au contraire, c'est stimulant. C'est plus la méthode pour en sortir sur laquelle je coince.
Là, tu me parles plus de réseau que d'activités. En gros tu as élargi ton réseau pour pouvoir faire des rencontres. Et tu rejoins le message général de Blusher sur "la quantité". Perso, je le voyais plus comme développer une activité et élargir mon réseau via ce biais. Par exemple faire une activité sportive, élargir mon réseau ainsi, et faire des rencontres après. Et c'est là où le une semaine sur deux pourrait me coincer, car pour faire une activité sportive, il faut être disponible de manière constante. Et ça aurait donné le même truc qu'avec mes potes. D'où j'envisageai les sites de rencontres. Mon réseau est pour l'instant trop petit pour arriver à faire ce que tu dis là.
Il y a peut-être d'autres trucs, style OVS. Il faut que je vois en ce sens.
Je le sais bien, pour la bonne dynamique . Je ne vous poserai pas la question autrement . Je vous remercie encore pour vos retoursSathinelilly a écrit :Mais je crois que le plus important, c’est que tu ne sembles pas être dans la bonne dynamique, comme dit Blusher, tu pars perdant d’avance. Fais des rencontres sans trop te poser de question, tu n’es pas obligé de tout planifier. Les relations que j’appelle sans engagement sont celles où tu es bien et où te dis juste « on verra bien ».
J'ai décrit les contraintes que j'envisage, mais je suis moins rigide que cela. Sinon je ne serais jamais en relation. Pour le "sans engagement", je fais comme tu dis : "on verra bien". Mais je pense que j'ai un problème à détecter tout au début si la relation va me convenir ou pas. Et du coup à l'arrêter rapidement de mon fait.
Je suis content pour toi alorsSathinelilly a écrit :J’ai longtemps galéré avec l'insécurité affective et c’est essentiellement là-dessus que je travaille en terme de développement personnel, mais pas en lisant des bouquins, non, je me fais violence je me force à arrêter de flipper par anticipation et ça commence à porter ses fruits je crois, même si j’ai encore quelques petites rechutes !
Je ne flippe pas, par rapport à l'insécurité affective. Disons que j'ai trop tendance à m'apporter ma propre sécurité affective seul, et du coup tolérer trop de trucs des autres. Triste à dire, mais il faut bien établir le bon constat pour progresser. Tout s'explique, une histoire de juste milieu.
Ah désolé ... Je ne voulais pas.Sathinelilly a écrit :Si je regarde ma situation avec recul, j’admets que tu as raison mais c’est difficile de s’en convaincre. Une question de temps ? c’est ce que j’espérais mais Acrobate a l’air de dire que cette saleté de culpabilité reste, tu m’as miné le moral Acr0bate !
Sa propre culpabilité si, on s'en démet avec le temps. J'ai dû mettre aux alentours d'un an pour. De toute façon, si ça s'est passé comme ça, c'est que ça devait se passer comme ça. Perso, ce qui m'a aidé, c'est voir à posteriori tous les dysfonctionnements de la relation avec la mère de mes gosses. Et me dire que mes gosses auront tout à gagner à voir un couple heureux. Au moins, ils auront la possibilité de ne pas refaire les mêmes erreurs que moi. Je ne sais pas pour toi, mais si tu es séparée d'avec leur père, c'est que tu as dû voir du positif.
Ce n'est plus de la culpabilité en ce qui me concerne, j'ai accepté la séparation avec leur mère. C'est du regret. Regret que ça les marque autant, même si c'est normal. Peu importe l'âge, tu ne verras jamais tes parents qu'ensemble, paroles d'enfant de divorcés. C'est pour ça que je ne veux pas qu'ils le revivent. Après, un parent parfait, ça n'existe pas
Essaye au moins, tu verras bienA vous lire, je pense que mon erreur se situe là. Il faut que je sorte seul.
Il y a un peu de ça mais pas seulement. Je ne vais pas relancer ici le débat SDR vs Rencontres réelles mais je ne suis pas sûre que ce soit une question de génération, certaines de mes copines ne font des rencontres que comme ça. Disons que je préfère le hasard et les surprises.Sans doute parce qu'on a pas été habitué à draguer ou faire des rencontres ainsi.
Je suis certaine que tu peux trouver une solution pour pratiquer une activité hebdo.Perso, je le voyais plus comme développer une activité et élargir mon réseau via ce biais. Par exemple faire une activité sportive, élargir mon réseau ainsi, et faire des rencontres après. Et c'est là où le une semaine sur deux pourrait me coincer, car pour faire une activité sportive, il faut être disponible de manière constante.
Baby Sitter?
Pratiquer ton activité pendant que tes enfants pratiquent une activité de leur côté?
Te faire un réseau de parents/voisins avec lesquels tu pourrais échanger des services?
Élargir un réseau social, c'est partout, tout le temps, quand tu croises un voisin, quand tu vas faire tes courses, chercher tes gosses à l'école, au parc...
J'ai du mal à saisir ce qui est gênant dans le 1 semaine sur 2 par rapport à ta bande de potes?Et ça aurait donné le même truc qu'avec mes potes.
Désolée, j'avais compris de travers! Bon je suis un peu comme toi, trop compréhensive, trop éponge comme tu dis...pas sûre que je puisse changer de ce côté-là. Après tout, je préfère être trop gentille que pas assezDisons que j'ai trop tendance à m'apporter ma propre sécurité affective seul, et du coup tolérer trop de trucs des autres. Triste à dire, mais il faut bien établir le bon constat pour progresser. Tout s'explique, une histoire de juste milieu.
C'était juste une façon de parlerAh désolé ... Je ne voulais pas.
Sa propre culpabilité si, on s'en démet avec le temps. J'ai dû mettre aux alentours d'un an pour. De toute façon, si ça s'est passé comme ça, c'est que ça devait se passer comme ça. Perso, ce qui m'a aidé, c'est voir à posteriori tous les dysfonctionnements de la relation avec la mère de mes gosses. Et me dire que mes gosses auront tout à gagner à voir un couple heureux. Au moins, ils auront la possibilité de ne pas refaire les mêmes erreurs que moi. Je ne sais pas pour toi, mais si tu es séparée d'avec leur père, c'est que tu as dû voir du positif. Ce n'est plus de la culpabilité en ce qui me concerne, j'ai accepté la séparation avec leur mère. C'est du regret. Regret que ça les marque autant, même si c'est normal. Peu importe l'âge, tu ne verras jamais tes parents qu'ensemble, paroles d'enfant de divorcés. C'est pour ça que je ne veux pas qu'ils le revivent. Après, un parent parfait, ça n'existe pas
Bien évidemment, je ne regrette pas d'avoir pris cette décision, elle est juste parfois lourde à porter. Et puis mes gosses sont grands, ils comprennent tout, ils savent que leur père n'était pas d'accord pour qu'on se sépare, il leur dit "votre mère a décidé…"
Il a raison, c'est vrai, je ne peux pas lui demander de raconter autre chose parce que ça m'arrange.
Quand mes enfants me balancent des reproches, je ne veux pas me justifier auprès d'eux mais je suis bien obligée de leur donner des explications et le "c'est mieux aussi pour vous", ils ne veulent pas l'entendre! Ils pensent et disent "ouais c'est ça, c'est surtout mieux pour toi!"
Les parents célibataires sont légion de nos jours. On a tendance à banaliser cette situation et pourtant elle n'est pas si simple qu'il y parait, la preuve..
Il y a toutes les contraintes matérielles et d'organisation qui demandent du temps et de l'énergie qu'on n'avait pas forcément l'habitude de mettre en œuvre, un nouveau rythme de vie auquel on n'était pas forcément préparé.
Il y a aussi l'aspect psychologique, la responsabilité vis à vis de nos enfants qui peut s'exacerber du fait que, même si c'est 1 semaine sur deux, on est au quotidien seul à tout assumer tout à coup.
La culpabilité qu'ils ne manquent pas de nous faire ressentir pour avoir fait éclater leur univers familial.
La crainte de leur faire subir à nouveau ce traumatisme (car c'en est un, ne nous voilons pas la face).
L'énergie qu'il faut aussi pour ré-envisager une rencontre, avec l'innocence et l'insouciance en moins.
Le doute sur sa capacité à réactiver son potentiel séduction et sa confiance en un(e) autre.
Fonder un couple, une famille puis voir cela se dissoudre, ce n'est pas rien comme épreuve et il faut non-seulement s'en remettre mais retrouver du dynamisme pour rebondir tout en continuant à assurer avec les enfants.
Je crois qu'il faut l'avoir vécu pour savoir ce que cela demande réellement comme efforts...
Ton questionnement m'apparait bien légitime AcrObate... Je crois que chacun essaye, a essayé de faire comme il peut avec les moyens du bord, ménager enfants/amis/loisirs/rencontres/ reconstruction personnelle.
Sinon, il existe, outre les sites de rencontres standards, des sites spécifiques pour parents célibataires avec sorties, activités, séjours etc... Je pense que privilégier des rencontres avec des personnes qui vivent la même situation, c'est bien, à la fois pour soi et pour les enfants. On ressent moins cette impression de décalage et de double vie. Les 2 partenaires possédant les mêmes types de contraintes sont plus à même de se comprendre.
Il y a toutes les contraintes matérielles et d'organisation qui demandent du temps et de l'énergie qu'on n'avait pas forcément l'habitude de mettre en œuvre, un nouveau rythme de vie auquel on n'était pas forcément préparé.
Il y a aussi l'aspect psychologique, la responsabilité vis à vis de nos enfants qui peut s'exacerber du fait que, même si c'est 1 semaine sur deux, on est au quotidien seul à tout assumer tout à coup.
La culpabilité qu'ils ne manquent pas de nous faire ressentir pour avoir fait éclater leur univers familial.
La crainte de leur faire subir à nouveau ce traumatisme (car c'en est un, ne nous voilons pas la face).
L'énergie qu'il faut aussi pour ré-envisager une rencontre, avec l'innocence et l'insouciance en moins.
Le doute sur sa capacité à réactiver son potentiel séduction et sa confiance en un(e) autre.
Fonder un couple, une famille puis voir cela se dissoudre, ce n'est pas rien comme épreuve et il faut non-seulement s'en remettre mais retrouver du dynamisme pour rebondir tout en continuant à assurer avec les enfants.
Je crois qu'il faut l'avoir vécu pour savoir ce que cela demande réellement comme efforts...
Ton questionnement m'apparait bien légitime AcrObate... Je crois que chacun essaye, a essayé de faire comme il peut avec les moyens du bord, ménager enfants/amis/loisirs/rencontres/ reconstruction personnelle.
Sinon, il existe, outre les sites de rencontres standards, des sites spécifiques pour parents célibataires avec sorties, activités, séjours etc... Je pense que privilégier des rencontres avec des personnes qui vivent la même situation, c'est bien, à la fois pour soi et pour les enfants. On ressent moins cette impression de décalage et de double vie. Les 2 partenaires possédant les mêmes types de contraintes sont plus à même de se comprendre.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] +1 le 25.08.14, 16h42 par Ash
- [+1] Oui le 25.08.14, 17h13 par Sathinelilly
je trouve cet article instructif et très pertinent. Comment et pourquoi il est important de ne pas oublier d’être épouse/amante quand on devient mère...
Ceci dit, dans le cas d'AcrObate, je ne sais pas si c'est vraiment son "problème"? Il n'est plus dans son mariage mais dans l'après. Quoique... On peut transposer.. Ai-je le droit de refaire ma vie amoureuse en ayant des enfants? Suis-je pret(e) à consacrer une partie (conséquente) de mon énergie et de mon temps à ce qui me semble être au détriment de mes enfants? est-ce que se sera effectivement à leur détriment ou le contraire? Quel impact cela pourra-t-il avoir sur eux?
Après, il y a autant de réponses, je pense que de contextes familiaux.
Ceci dit, dans le cas d'AcrObate, je ne sais pas si c'est vraiment son "problème"? Il n'est plus dans son mariage mais dans l'après. Quoique... On peut transposer.. Ai-je le droit de refaire ma vie amoureuse en ayant des enfants? Suis-je pret(e) à consacrer une partie (conséquente) de mon énergie et de mon temps à ce qui me semble être au détriment de mes enfants? est-ce que se sera effectivement à leur détriment ou le contraire? Quel impact cela pourra-t-il avoir sur eux?
Après, il y a autant de réponses, je pense que de contextes familiaux.
C'est un contexte global. Ce serait trop facile autrement.Sathinelilly a écrit :Je suis certaine que tu peux trouver une solution pour pratiquer une activité hebdo.
Baby Sitter?
Pratiquer ton activité pendant que tes enfants pratiquent une activité de leur côté?
Te faire un réseau de parents/voisins avec lesquels tu pourrais échanger des services?
Je ne vais pas le détailler là. Mais principalement c'est les gosses semaine A, le boulot semaine B.
En fait, il y a une solution. C'est forcer la chose, que je sorte de ma zone de confort. C'est tout. Il faut que je me lance, et après le reste suivra. Reste juste à choisir quoi faire ... C'était plus nébuleux pour moi avant de poser la question. Alors qu'au final c'est très simple. Tu avais raison Blusher, ma conclusion était incongrue. Merci
C'est plus une histoire de temps à y consacrer en ce qui me concerne.Sathinelilly a écrit :Élargir un réseau social, c'est partout, tout le temps, quand tu croises un voisin, quand tu vas faire tes courses, chercher tes gosses à l'école, au parc...
Ils ont leurs habitudes, le réflexe de s'appeler pour partager les mêmes activités. C'est ... naturel entre eux. C'est peut-être simplement que je ne manifeste pas assez.Sathinelilly a écrit :J'ai du mal à saisir ce qui est gênant dans le 1 semaine sur 2 par rapport à ta bande de potes?
Faut aussi replacer que j'étais en relation jusqu'en début d'année. Avec mon amante à distance. Donc moins dispo les weekends où j'étais là-bas, par exemple. Mais bon, c'est ma faute ça...
. T'as raison, faut pas changer.Sathinelilly a écrit :Désolée, j'avais compris de travers! Bon je suis un peu comme toi, trop compréhensive, trop éponge comme tu dis...pas sûre que je puisse changer de ce côté-là. Après tout, je préfère être trop gentille que pas assez
Ça, pour le lourd ... Et encore, tu as "de la chance" s'ils sont grands.Sathinelilly a écrit :Bien évidemment, je ne regrette pas d'avoir pris cette décision, elle est juste parfois lourde à porter. Et puis mes gosses sont grands, ils comprennent tout, ils savent que leur père n'était pas d'accord pour qu'on se sépare, il leur dit "votre mère a décidé…"
Il a raison, c'est vrai, je ne peux pas lui demander de raconter autre chose parce que ça m'arrange.
Ce que fait leur père est naze. Ce qui relève des adultes devraient rester entre adultes. Je n'ai jamais bashé la mère de mes gosses devant eux, et pourtant j'avais matière à ... Quand ils me demandaient pourquoi nous nous séparions, je leur ai toujours répondu "nous ne sommes plus amoureux, ce n'est pas de votre faute". Ce qui collait très bien avec ce qu'ils avaient pu voir de nous. J'ai même défendu leur mère face à leurs reproches, ce qui m'en a fortement couté parfois. Ce n'est pas parce que le couple explose qu'un parent doit charger l'autre.
Ils voient ce qu'ils veulent. Le jour où ils te verront de nouveau bien avec quelqu'un, leurs regards changeront. Parce qu'ils verront tout de suite que c'est mieux pour eux aussi. Ça s'est passé ainsi pour mes enfants avec mon ex. Ça s'est passé comme ça pour moi avec ma mère à l'époque.Sathinelilly a écrit :Quand mes enfants me balancent des reproches, je ne veux pas me justifier auprès d'eux mais je suis bien obligée de leur donner des explications et le "c'est mieux aussi pour vous", ils ne veulent pas l'entendre! Ils pensent et disent "ouais c'est ça, c'est surtout mieux pour toi!"
Quand j'ai annoncé la rupture avec mon ex, mon grand m'a dit "pourquoi tu n'as pas réussi à la garder ?" ... Je m'étais fait lourder. Tu veux répondre quoi à cela ? ...
J'avais oublié cela. Mais c'est on ne peut plus vrai.Sclavie a écrit :L'énergie qu'il faut aussi pour ré-envisager une rencontre, avec l'innocence et l'insouciance en moins.
Le doute sur sa capacité à réactiver son potentiel séduction et sa confiance en un(e) autre.
Merci, je vais voir par rapport à cela aussiSclavie a écrit :Sinon, il existe, outre les sites de rencontres standards, des sites spécifiques pour parents célibataires avec sorties, activités, séjours etc... Je pense que privilégier des rencontres avec des personnes qui vivent la même situation, c'est bien, à la fois pour soi et pour les enfants. On ressent moins cette impression de décalage et de double vie. Les 2 partenaires possédant les mêmes types de contraintes sont plus à même de se comprendre.
C'est loin d'être aussi simple. Déjà, perso, je ne suis plus dans une notion de famille. Mais au mieux dans une notion de famille recomposée. Ce dernier mot change tout. Parce que tu dois composer.Blusher a écrit :Tout à fait en rapport avec le sujet:
http://www.huffingtonpost.fr/stephanie- ... 16169.html
Ensuite, pour privilégier sa propre famille (soi+couple+enfants), crois moi, c'est là encore quelque chose de difficile. Sur le principe, je suis d'accord, ce qui est dit dans l'article est exactement ce qu'il faut. Dans les faits, c'est dur à mettre en œuvre. Et on ne t'apprend rien de tout ça, tu le découvres au fur et à mesure.
Je vais prendre un exemple très simple : l'arrivée d'un enfant. Ça peut te détruire un couple, mais d'une facilité ... La mère de mes gosses les a allaité. Pendant les trois premiers mois après une naissance, mon couple était quasi en stand by. Toutes les trois heures, elle nourrissait le nouveau-né. Elle en était crevée, ce qui est bien normal. Moi, je subvenais juste au besoin de tous. Tu vas me dire "mais c'est le début". Pourquoi pas ? ... Mon deuxième a fait ses nuits à neuf mois. On est sorti rincé de cette période. Nous on était joueurs, on les a enchainé à deux trois ans d'écart. A chaque fois qu'on a commencé à remonter, on a failli se séparer. Parce que justement il fallait retrouver les repères du couple, en plus de ceux de la famille qui s'élargissait à chaque fois, donnant d'autres contraintes. Je dis ça, je ne m'en plains pas. Je l'ai choisi.
Après, vous avez mis le doigt dessus en ce qui me concerne, et je vous en remercie . Oui, mes gosses ne sont pas "tout", je dois penser à moi. Il y a juste un peu d'inertie à prendre en compte
C'est le rôle du père de le rappeler . Casser la fusion mère/enfant des débuts. Et il peut prendre cher le père à ce moment là ... tout comme le couple d'ailleurs.Sclavie a écrit :je trouve cet article instructif et très pertinent. Comment et pourquoi il est important de ne pas oublier d’être épouse/amante quand on devient mère...
Carrément, oui !Sclavie a écrit :Ai-je le droit de refaire ma vie amoureuse en ayant des enfants?
Mais serait-ce vraiment à leur détriment ? Perso, je ne pense pas. Voir leur parent heureux, ou plus globalement un couple heureux, ça ne peut que leur être bénéfique dans le futur.Sclavie a écrit :Suis-je pret(e) à consacrer une partie (conséquente) de mon énergie et de mon temps à ce qui me semble être au détriment de mes enfants?
Voir un couple heureux = savoir ce que c'est et éviter de faire l'erreur plus tard.Sclavie a écrit :Quel impact cela pourra-t-il avoir sur eux?
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