édité pour la premiere fois aux USA en 1996
Laisse-moi te parler de Tyler. Tyler dit : les choses que tu possèdes finissent toujours par te posséder. C'est seulement après avoir tout perdu que tu es libre de faire ce dont tu as envie. Le Fight Club t'offre cette liberté. Première règle du Fight Club : Tu ne parles pas du Fight Club. Deuxième règle du Fight Club : Tu ne parles pas du Fight Club. Tyler dit que chercher à s'améliorer, c'est rien que de la branlette. Tyler dit que l'autodestruction est sans doute la réponse. Métaphore acide et jubilatoire d'un monde au bord du chaos, perdu faute de révolution, Fight Club a été porté à l'écran en 1999 par David Fincher, le réalisateur de Seven et Alien 3. Le DVD du film est édité par Fox Pathé Europa.
Je laisse aux modos la manip pour l'Isbn, je sais pas faire.
On le cite, on le cite, on ne fait que d'en parler mais pas de topic sur ce livre très très original, un chef d'oeuvre corrosif, complètement hors normes, qui tent plus vers le politiquement interdit que l'incorect ; et qui, selon moi, dépasse de loin le film, surtout au niveau philosophique. Je l'ai lu après avoir l'avoir vu et je l'ai préféré en roman, de très loin, pour son authenticité. Le scénario du film s'en éloigne et tend relativement vers les superproductions Hollywoodiennes à gros budgets. Le film est l'un de mes préférés mais je préfère le côté brut du livre. (Brut comme un diamant extrait de la terre, pas brute comme violent)
Nombreux sont ceux qui envient l'alpha attitude de Tyler Durden, moi, ce que je préfère, c'est sa liberté, un peu celle recherchée par les lecteurs d'Eckhart Tolle ; chacun sa méthode : la méditation spirituelle, le moment présent ect... soit la méthode Fight Club malheureusement pour ce qui est de faire de ce livre votre guide spirituel... ce serai sombrer dans le nihilisme. (je tient à le rapeler pour ceux qui ont des tendance suicidaires
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