[A] Il n'y a pas d'eau dans les mirages.
« Eske tu mèm ? »
« Nan ».
Si elle m’avait dit oui, je serais devenu naturel.
Les skills sociaux, tels qu’on les voit, ces pouvoirs magiques , sont en grande majorité des mirages, des fantômes, des ombres fuyantes, de la fumée, à cause de la nette différence entre la façon dont on les assimile, l’image qu’on s’en fait dans notre tête, et ce qu’ils sont réellement.
Dans l’antiquité, les mirages étaient source de nombreuses légendes. Ces flaques d’eau qui apparaissaient dans le désert et qui pourtant s’éloignaient au fur et à mesure qu’on les approche. On parlait de punitions des dieux, de sortilège, ou de piège. Les mirages étaient considérés comme de l’eau.
De même, des skills tels que la valeur sociale, le pouvoir, la congruence, la confiance, sont considérés sur la base de ce qu’on voit : la valeur sociale, le pouvoir, la congruence, la confiance, et on se dit que pour avoir le succès de ceux qui ont ces qualités, il faut faker ces qualités comme un porc .Logique…apparemment.
Parce que la vérité c’est que comme les mirages, si vous chassez directement ces choses, elles vont vous échapper. Si vous chassez directement le pouvoir, vous apparaissez faibles, vous chassez la valeur sociale, vous êtes low value, vous chassez la congruence, et votre vibe est bizarre, vous essayez d’être confiant, et ça passe pour de l’arrogance.
Vous courez après les femmes, les femmes vous fuient.
Pourtant si vous regardez de près un homme naturellement doué avec les femmes, il réunit toutes ces qualités. Où est le problème ?
Le problème, c’est que dans toute analyse du comportement humain, les symptômes ne sont qu’une facette. Mystery pourrait y passer sa vie entière, il n’arriverait pas à déterminer précisément ce qui rend un homme attirant, parce que la liste serait infinie, et varierait non seulement d’un homme à l’autre, mais aussi en fonction des goûts et des perspectives des femmes avec qui un tel homme interagit. Sans parler des humeurs variables, et même du temps qu’il fait.
Ce que je veux dire, c’est que ce sont des symptômes de quelque chose de plus profond, mais aussi plus subtil. Il est possible de faker ces choses, mais en réalité, ça fait de vous juste des fakes, et vous êtes moins efficace, en faisant plus d’efforts. Pour devenir cette personne et démontrer naturellement ces qualités est un autre tour de manches. Parce que contrairement à une idée répandue, l’évolution n’est pas en faveur des meilleurs manipulateurs, mais des meilleurs Hommes.
C’est ça.
Etre un Homme.
De temps en temps vous avez dû vivre ce phénomène bizarre. Peut être vous étiez saoul. Peut être vous étiez avec de bons amis, ou en face de quelqu’un qui savait vous mettre à l’aise, et quelque chose s’est passé à l’intérieur de vous, comme un déclic. Les gens se sont mis à vous apprécier. Les gens se sont mis à rechercher votre approbation, à vous aider comme ils pouvaient. Vous vous êtes senti détendu, et fort sans routines, vos blagues les plus nulles faisaient rire, vous vous contentez de vivre pleinement la situation, sans rien attendre. Mais vous n’arrivez pas à reproduire ces moments là à les manufacturer, à les fabriquer de toutes pièces, quelle que soit l’efficacité de vos routines.
Je suis sûr que vous savez de quoi je parle. Vous n’avez jamais remarqué que les femmes qui vous désirent, celles qui font le premier pas, très souvent ne sont pas celles que vous voulez ?Je commençais à saisir une certaine logique. Quand je parlais à une fille que j’appréciais, quelque chose en moi transformait toutes mes meilleures qualités en défauts. Mon humilité devenait de la couardise, mon éloquence de la prétention, mon courage de l’arrogance, quand je voyais d’autres personnes réussir en utilisant la même « stratégie » que moi.
« Eske tu mèm ? »
« Nan ».
J’étais au ce1.
J’avais encore toute ma candeur, la naiveté dans sa fleur de l’âge. Un sourire constant, de la joie, des jeux, des friandises, et Belinda. Je me souviens qu’à l’époque, j’avais l’habitude de demander aux fillettes de me montrer leur sexe derrière l’école, et elles s’y prêtaient plutôt bien. Ca marchait comme sur des roulettes, et puis je me suis mis à observer Belinda de près. J’avais vu un film à la télévision qui parlai d’amour, de mariage, et de bonheur éternel, et j’envisageais « d’épouser » Belinda, que je trouvais plutôt jolie, mais vu qu’elle ne m’avait jamais montré son sexe, je lui ai demandé si elle m’aimait.
Sur un emballage de caramabar.
« Nan ».
Je pense que c’est là que mes problèmes ont commencé avec les femmes.
J’aurais dû m’en douter en observant Charlie. On faisait nos explorations des filles ensemble, et tandis que je devenais de plus en plus timide , Charlie embrassait une fille différente chaque jour dans la cour arrière de l’école. En sixième, Charlie recevait des lettres d’admiratrices secrètes, deux minimum dans la semaine. En seconde, il se tapait des femmes mariées de 25 ans.
Avec le recul, je pense que durant une période cruciale de sa construction, Charlie ne s’est pas pris de « nan » avec les filles.
En fait, je pense que Charlie a développé le courage d’être lui-même, quand en grandissant sans rencontrer de résistance auprès de la gent féminine, il a été le premier a avoir des relations sexuelles.
Quand il a été le premier à recevoir des lettres d’admiratrices.
Le premier à « sortir avec une fille » parmi ses potes.
Le premier de son groupe d’amis à se taper une femme mariée.
Je pense que le faire aussi tôt a donné à Charlie la confirmation qu’il avait le droit d’être lui-même.
Honnêteté, ouverture, authenticité, expression.
Quand je regarde Charlie aujourd’hui, je vois mon camarade du CE1. Il a le même sourire, les mêmes gestes…en plus complexe, en plus élaboré, en plus développé. Charlie a développé ses propres goûts, Charlie a pris soin de lui quand il a vu qu’il plaisait, Charlie s’est senti le droit de développer son style à lui, d’avoir des loisirs qu’il aimait, pendant que je passais mon temps à essayer de trouver ce qui plairait aux filles.
Charlie est lui-même aujourd ‘hui.
Il n’a pas changé, il est confiant, il est congruent, il a de la valeur sociale, et il se fait aborder par des bombes sexuelles.
Je vois que vous saisissez ou je veux en venir.
Toujours pas ?
Lisez.
Charlie a développé l’authenticité.
Je peux créer une façade. Pour plaire aux filles, je peux prétendre que je suis quelque chose que je ne suis pas. Tout le monde peut, et si jamais en étant fake, on est pas apprécié, on peut toujours considérer que les gens ont rejeté notre masque, et le changer, c’est facile. On a pas mal, ça n’a rien à voir avec nous.
Mais si vous mettez votre personnalité à nu, si vous vous jetez à découvert dans la société, si vous montrez réellement qui vous êtes, vous risquez d’être jeté en pâture aux lions. Les gens vont vous tester. Ils vont vous attaquer. Et ils ne vont pas attaquer un masque, ils vont attaquer qui vous êtes vraiment, votre identité, votre noyau. Si vous êtes prêt à vous mettre ainsi à nu, si vous pouvez résister, et même répondre aux attaques, si vous les faites taire, vous montrez aux gens que vous avez l’habitude de faire ça. Vous le démontrez. Des gens vous ont apprécié dans le passé. C’est indéniable.
Vous ne dites pas aux gens que vous êtes courageux.
Vous montrez votre valeur.
Vous êtes un Homme.
Vous êtes un Naturel.
C’est ça avoir de la valeur : être authentique.
De ça dérivent toutes les qualités visibles de l’extérieur.
Parmi les naturels, il y a des faux, mais il y a aussi des individus d’exception.
Un Homme de vraie valeur se sent validé. Il subcommunique qu’il est dégoûté des femmes. Il a mieux à faire dans sa vie. Il a un but suprême, et il y consacre toute son énergie. Il a rencontré tellement de succès par le passé qu’il ne sent aucun besoin d’avoir l’approbation de qui que ce soit. Les bonnes expériences qu’il a eu ont fait de lui quelqu’un de positif. Il se respecte, il a des valeurs, une éthique, des standards, une réalité. Il est de venu « cool » en faisant ce qu’il aime faire, en développant sa personnalité sans aucune peur de la réaction des autres. Le plus important pour lui c’est de s’amuser. Il met les autres de bonne humeur par sa seule présence, sa valeur c’est l’authenticité qu’il a développé, les choses exceptionnelles qu’il sait faire, sa personnalité unique, les valeurs qu’il impose dans sa réalité et les bonnes émotions qu’il apporte.
Les émotions sont sa plus grande force.
Parce que les dynamiques sociales fonctionnent comme une boule de neige : on vous apporte ce que vous avez déjà. Les gens vous donnent si ils pensent que d’autres personnes avant eux vous ont donné. L’authenticité est un social proof implicite. Elle montre que vous êtes resté vous-même malgré la pression et les standards sociaux. Votre positivité montre que les gens vous ont bien traité dans le passé. En bref, celui qui réagit le moins à la pression sociale montre que la société a l’habitude de réagir face à lui, du coup, il a un pouvoir illimité. Il a de la valeur, il brise les règles, et les gens sont contents de lui rendre service.
Et le fait qu’il est des ongles noirs ou gris n’y change pas grand-chose.
C’est là ou on me pose la fameuse question :
Comment appliquer ce concept de valeur à un player ?
C’est un tout autre article, mon cerveau bouillonne là.
En espérant que cet article aie de la valeur.
TauruS.
« Nan ».
Si elle m’avait dit oui, je serais devenu naturel.
Les skills sociaux, tels qu’on les voit, ces pouvoirs magiques , sont en grande majorité des mirages, des fantômes, des ombres fuyantes, de la fumée, à cause de la nette différence entre la façon dont on les assimile, l’image qu’on s’en fait dans notre tête, et ce qu’ils sont réellement.
Dans l’antiquité, les mirages étaient source de nombreuses légendes. Ces flaques d’eau qui apparaissaient dans le désert et qui pourtant s’éloignaient au fur et à mesure qu’on les approche. On parlait de punitions des dieux, de sortilège, ou de piège. Les mirages étaient considérés comme de l’eau.
De même, des skills tels que la valeur sociale, le pouvoir, la congruence, la confiance, sont considérés sur la base de ce qu’on voit : la valeur sociale, le pouvoir, la congruence, la confiance, et on se dit que pour avoir le succès de ceux qui ont ces qualités, il faut faker ces qualités comme un porc .Logique…apparemment.
Parce que la vérité c’est que comme les mirages, si vous chassez directement ces choses, elles vont vous échapper. Si vous chassez directement le pouvoir, vous apparaissez faibles, vous chassez la valeur sociale, vous êtes low value, vous chassez la congruence, et votre vibe est bizarre, vous essayez d’être confiant, et ça passe pour de l’arrogance.
Vous courez après les femmes, les femmes vous fuient.
Pourtant si vous regardez de près un homme naturellement doué avec les femmes, il réunit toutes ces qualités. Où est le problème ?
Le problème, c’est que dans toute analyse du comportement humain, les symptômes ne sont qu’une facette. Mystery pourrait y passer sa vie entière, il n’arriverait pas à déterminer précisément ce qui rend un homme attirant, parce que la liste serait infinie, et varierait non seulement d’un homme à l’autre, mais aussi en fonction des goûts et des perspectives des femmes avec qui un tel homme interagit. Sans parler des humeurs variables, et même du temps qu’il fait.
Ce que je veux dire, c’est que ce sont des symptômes de quelque chose de plus profond, mais aussi plus subtil. Il est possible de faker ces choses, mais en réalité, ça fait de vous juste des fakes, et vous êtes moins efficace, en faisant plus d’efforts. Pour devenir cette personne et démontrer naturellement ces qualités est un autre tour de manches. Parce que contrairement à une idée répandue, l’évolution n’est pas en faveur des meilleurs manipulateurs, mais des meilleurs Hommes.
C’est ça.
Etre un Homme.
De temps en temps vous avez dû vivre ce phénomène bizarre. Peut être vous étiez saoul. Peut être vous étiez avec de bons amis, ou en face de quelqu’un qui savait vous mettre à l’aise, et quelque chose s’est passé à l’intérieur de vous, comme un déclic. Les gens se sont mis à vous apprécier. Les gens se sont mis à rechercher votre approbation, à vous aider comme ils pouvaient. Vous vous êtes senti détendu, et fort sans routines, vos blagues les plus nulles faisaient rire, vous vous contentez de vivre pleinement la situation, sans rien attendre. Mais vous n’arrivez pas à reproduire ces moments là à les manufacturer, à les fabriquer de toutes pièces, quelle que soit l’efficacité de vos routines.
Je suis sûr que vous savez de quoi je parle. Vous n’avez jamais remarqué que les femmes qui vous désirent, celles qui font le premier pas, très souvent ne sont pas celles que vous voulez ?Je commençais à saisir une certaine logique. Quand je parlais à une fille que j’appréciais, quelque chose en moi transformait toutes mes meilleures qualités en défauts. Mon humilité devenait de la couardise, mon éloquence de la prétention, mon courage de l’arrogance, quand je voyais d’autres personnes réussir en utilisant la même « stratégie » que moi.
« Eske tu mèm ? »
« Nan ».
J’étais au ce1.
J’avais encore toute ma candeur, la naiveté dans sa fleur de l’âge. Un sourire constant, de la joie, des jeux, des friandises, et Belinda. Je me souviens qu’à l’époque, j’avais l’habitude de demander aux fillettes de me montrer leur sexe derrière l’école, et elles s’y prêtaient plutôt bien. Ca marchait comme sur des roulettes, et puis je me suis mis à observer Belinda de près. J’avais vu un film à la télévision qui parlai d’amour, de mariage, et de bonheur éternel, et j’envisageais « d’épouser » Belinda, que je trouvais plutôt jolie, mais vu qu’elle ne m’avait jamais montré son sexe, je lui ai demandé si elle m’aimait.
Sur un emballage de caramabar.
« Nan ».
Je pense que c’est là que mes problèmes ont commencé avec les femmes.
J’aurais dû m’en douter en observant Charlie. On faisait nos explorations des filles ensemble, et tandis que je devenais de plus en plus timide , Charlie embrassait une fille différente chaque jour dans la cour arrière de l’école. En sixième, Charlie recevait des lettres d’admiratrices secrètes, deux minimum dans la semaine. En seconde, il se tapait des femmes mariées de 25 ans.
Avec le recul, je pense que durant une période cruciale de sa construction, Charlie ne s’est pas pris de « nan » avec les filles.
En fait, je pense que Charlie a développé le courage d’être lui-même, quand en grandissant sans rencontrer de résistance auprès de la gent féminine, il a été le premier a avoir des relations sexuelles.
Quand il a été le premier à recevoir des lettres d’admiratrices.
Le premier à « sortir avec une fille » parmi ses potes.
Le premier de son groupe d’amis à se taper une femme mariée.
Je pense que le faire aussi tôt a donné à Charlie la confirmation qu’il avait le droit d’être lui-même.
Honnêteté, ouverture, authenticité, expression.
Quand je regarde Charlie aujourd’hui, je vois mon camarade du CE1. Il a le même sourire, les mêmes gestes…en plus complexe, en plus élaboré, en plus développé. Charlie a développé ses propres goûts, Charlie a pris soin de lui quand il a vu qu’il plaisait, Charlie s’est senti le droit de développer son style à lui, d’avoir des loisirs qu’il aimait, pendant que je passais mon temps à essayer de trouver ce qui plairait aux filles.
Charlie est lui-même aujourd ‘hui.
Il n’a pas changé, il est confiant, il est congruent, il a de la valeur sociale, et il se fait aborder par des bombes sexuelles.
Je vois que vous saisissez ou je veux en venir.
Toujours pas ?
Lisez.
Charlie a développé l’authenticité.
Je peux créer une façade. Pour plaire aux filles, je peux prétendre que je suis quelque chose que je ne suis pas. Tout le monde peut, et si jamais en étant fake, on est pas apprécié, on peut toujours considérer que les gens ont rejeté notre masque, et le changer, c’est facile. On a pas mal, ça n’a rien à voir avec nous.
Mais si vous mettez votre personnalité à nu, si vous vous jetez à découvert dans la société, si vous montrez réellement qui vous êtes, vous risquez d’être jeté en pâture aux lions. Les gens vont vous tester. Ils vont vous attaquer. Et ils ne vont pas attaquer un masque, ils vont attaquer qui vous êtes vraiment, votre identité, votre noyau. Si vous êtes prêt à vous mettre ainsi à nu, si vous pouvez résister, et même répondre aux attaques, si vous les faites taire, vous montrez aux gens que vous avez l’habitude de faire ça. Vous le démontrez. Des gens vous ont apprécié dans le passé. C’est indéniable.
Vous ne dites pas aux gens que vous êtes courageux.
Vous montrez votre valeur.
Vous êtes un Homme.
Vous êtes un Naturel.
C’est ça avoir de la valeur : être authentique.
De ça dérivent toutes les qualités visibles de l’extérieur.
Parmi les naturels, il y a des faux, mais il y a aussi des individus d’exception.
Un Homme de vraie valeur se sent validé. Il subcommunique qu’il est dégoûté des femmes. Il a mieux à faire dans sa vie. Il a un but suprême, et il y consacre toute son énergie. Il a rencontré tellement de succès par le passé qu’il ne sent aucun besoin d’avoir l’approbation de qui que ce soit. Les bonnes expériences qu’il a eu ont fait de lui quelqu’un de positif. Il se respecte, il a des valeurs, une éthique, des standards, une réalité. Il est de venu « cool » en faisant ce qu’il aime faire, en développant sa personnalité sans aucune peur de la réaction des autres. Le plus important pour lui c’est de s’amuser. Il met les autres de bonne humeur par sa seule présence, sa valeur c’est l’authenticité qu’il a développé, les choses exceptionnelles qu’il sait faire, sa personnalité unique, les valeurs qu’il impose dans sa réalité et les bonnes émotions qu’il apporte.
Les émotions sont sa plus grande force.
Parce que les dynamiques sociales fonctionnent comme une boule de neige : on vous apporte ce que vous avez déjà. Les gens vous donnent si ils pensent que d’autres personnes avant eux vous ont donné. L’authenticité est un social proof implicite. Elle montre que vous êtes resté vous-même malgré la pression et les standards sociaux. Votre positivité montre que les gens vous ont bien traité dans le passé. En bref, celui qui réagit le moins à la pression sociale montre que la société a l’habitude de réagir face à lui, du coup, il a un pouvoir illimité. Il a de la valeur, il brise les règles, et les gens sont contents de lui rendre service.
Et le fait qu’il est des ongles noirs ou gris n’y change pas grand-chose.
C’est là ou on me pose la fameuse question :
Comment appliquer ce concept de valeur à un player ?
C’est un tout autre article, mon cerveau bouillonne là.
En espérant que cet article aie de la valeur.
TauruS.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+3] Constructif par Spectrum
- [+1] Intéressant par Skurdge
- [+2] par QFR
- [+3] 100% d'accord par KaiN
- [+1] Ca va mieux en le disant par Vital
- [+3] Intéressant par Hiro
- [+1] 100% d'accord par Artback
- [+1] Très intéressant par run black
- [+3] Post de qualité par Vic
- [+2] Très intéressant par SeNsIble
- [+3] Pertinent par aldar
- [+2] Encore par Inc
- [+1] par Party Time
- [+2] A lire par cerbere
- [+3] Post de qualité par Extre
- [+2] Post de qualité par angello
- [+2] A lire par Titigoal
- [+3] Encore par tiamat
- [+2] Instructif par Silimel
- [+3] Très intéressant par Nasakobe
- [+3] Post de qualité par Cyd07
- [+3] Post de qualité par Shakur
- [+3] 100% d'accord par Docteur GreG
- [+3] Yesssss! par Krishna
- [+3] Tout à fait par Wip
- [+2] Yesssss! par Aram
- [+3] Encore par someoneelse
- [+3] Yep par The_AlChImIsT
- [+3] Post de qualité par Cachip
- [+1] par bluemonk
- [+1] Absolument le 25.03.12, 17h33 par Etik
- [+2] A lire le 25.03.12, 17h54 par Loodyx
- [+1] 100% d'accord le 02.04.12, 03h44 par kushi59
- [+1] +1 le 02.04.12, 03h48 par Bob77
Post très joli et contenant d'énormes vérités.
J'adore ce passage :
Voici ma contribution, même si cela ne me satisfait pas complètement.
Cause I : l'enfance - préparation du terrain
croyance que c'est notre faute, tendance des parents à faire culpabiliser l'enfant, où à lui mettre une pression de réussite.
On intègre ce process à notre fonctionnement naturel. Echec = changement, et bis repetita jusqu'à la réussite.
Cause II : l'adolescence - ancrage de l'echec sentimental
Lorsqu'on nous dit non, on croit alors que quelques chose ne va pas chez nous, on se met à douter, à perdre confiance, à essayer de changer pour plaire.
La perte d'authenticité entraine de nouveaux échecs sentimentaux, qui nous font douter à nouveau etc. etc.
Point positif - nous changeons, profitons en
Ne pas changer n'est pas forcément non plus la meilleure solution.
Certes Charlie est peut etre très heureux, mais Charlie pourrait aussi avoir de gros défauts qu'ils n'aurait jamais cherché à corriger, et qui vont peut etre lui gacher la vie quand il aura 40 ans, et qu'il aura ancré ses comportements depuis trop longtemps pour changer.
On a tendance à envier ce qu'on a pas en terme de personnalité, mais certains aspects sont autant des richesses que des tarres, suivant le contexte (excès de confiance, trop franc etc...)
Le sens des choses dépend de l'interprétation qu'on lui donne, et voire que ce que nous n'avons pas par rapport à Charlie c'est occulté ce que nous avons en plus de lui.
Profitons du développement personnel que nous entreprenons pour nous créer une personnalité éqiilibré, forte, qui nous servira toute notre vie.
Séparer le process du MOI
Quand on arrive à s'en sortir en drague, il est important de séparer le process, du moi.
Une fois un certain équilibre en terme de dév personnel atteint, il ne faut plus se concentrer que sur la technique.
On échoue car le process n'a pas été bon, et non pas car on a des défauts, des problèmes, où qu'on ne plait pas.
Comment être authentique dans une démarche de drague, donc provoquée, calculée
Ne faire qu'un avec le contexte.
Rencontrer des gens dans la rue, se lier d'amitié avec eux, aller ensemble dans un bar à côté et sortir avec l'une des filles ... quoi de plus naturel
Rattraper une fille seule qui passe dans la rue car on a flashé, quoi de plus naturel.
ne pas faire :
Rencontrer des gens dans la rue, deconner avec eux, puis demander le numéro à l'une des filles.
Rattraper une fille dans la rue, lui demander l'heure, ...puis ou se trouve une rue... puis son numéro de téléphone...
Bref on en revient à la congruence.
J'adore ce passage :
J'avoue que le paradoxe (chercher à séduire entraine de ne pas être séduisant) m'a beaucoup travaillé et me travaille encore.L’authenticité est un social proof implicite. Elle montre que vous êtes resté vous-même malgré la pression et les standards sociaux. Votre positivité montre que les gens vous ont bien traité dans le passé. En bref, celui qui réagit le moins à la pression sociale montre que la société a l’habitude de réagir face à lui, du coup, il a un pouvoir illimité. Il a de la valeur, il brise les règles, et les gens sont contents de lui rendre service.
Voici ma contribution, même si cela ne me satisfait pas complètement.
Cause I : l'enfance - préparation du terrain
croyance que c'est notre faute, tendance des parents à faire culpabiliser l'enfant, où à lui mettre une pression de réussite.
On intègre ce process à notre fonctionnement naturel. Echec = changement, et bis repetita jusqu'à la réussite.
Cause II : l'adolescence - ancrage de l'echec sentimental
Lorsqu'on nous dit non, on croit alors que quelques chose ne va pas chez nous, on se met à douter, à perdre confiance, à essayer de changer pour plaire.
La perte d'authenticité entraine de nouveaux échecs sentimentaux, qui nous font douter à nouveau etc. etc.
Point positif - nous changeons, profitons en
Ne pas changer n'est pas forcément non plus la meilleure solution.
Certes Charlie est peut etre très heureux, mais Charlie pourrait aussi avoir de gros défauts qu'ils n'aurait jamais cherché à corriger, et qui vont peut etre lui gacher la vie quand il aura 40 ans, et qu'il aura ancré ses comportements depuis trop longtemps pour changer.
On a tendance à envier ce qu'on a pas en terme de personnalité, mais certains aspects sont autant des richesses que des tarres, suivant le contexte (excès de confiance, trop franc etc...)
Le sens des choses dépend de l'interprétation qu'on lui donne, et voire que ce que nous n'avons pas par rapport à Charlie c'est occulté ce que nous avons en plus de lui.
Profitons du développement personnel que nous entreprenons pour nous créer une personnalité éqiilibré, forte, qui nous servira toute notre vie.
Séparer le process du MOI
Quand on arrive à s'en sortir en drague, il est important de séparer le process, du moi.
Une fois un certain équilibre en terme de dév personnel atteint, il ne faut plus se concentrer que sur la technique.
On échoue car le process n'a pas été bon, et non pas car on a des défauts, des problèmes, où qu'on ne plait pas.
Comment être authentique dans une démarche de drague, donc provoquée, calculée
Ne faire qu'un avec le contexte.
Rencontrer des gens dans la rue, se lier d'amitié avec eux, aller ensemble dans un bar à côté et sortir avec l'une des filles ... quoi de plus naturel
Rattraper une fille seule qui passe dans la rue car on a flashé, quoi de plus naturel.
ne pas faire :
Rencontrer des gens dans la rue, deconner avec eux, puis demander le numéro à l'une des filles.
Rattraper une fille dans la rue, lui demander l'heure, ...puis ou se trouve une rue... puis son numéro de téléphone...
Bref on en revient à la congruence.
La question est: peut-on chnager à ce point pour devenir authentique, ou bien une fois "traumatisé" est-on obligé de faker à vie?
J.W.
J.W.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Tout à fait par Party Time
- [0] Tout à fait par Spectrum
- [0] par lechat_meau
- [+2] Pourquoi tant de haine ? par Extre
- [0] Immature par Joueur75
- [+3] Du calme par beYond
- [+1] Intéressant par someoneelse
Excellent post qui peut amener une réflexion sur une problématique essentielle (et dont on a tous besoin) et que JWolf a formulé.
J'apporte ma petite pierre.
Au début, j'ai intégré et appliqué le "fake it, until you make it" de Mystery qui a été pour moi une révélation à l'époque.
Ca m'a permi de closer.
De manière volontariste et consciente, j'ai plus ou simulé ou mis en avant des attitudes, lines, etc... J'ai porté un costume qui n'étais pas le mien et dont j'avais besoin car je n'avais absolument pas la carure. Il me manquait une validation, des expériences positives à engranger, une base pour développer ma confiance en moi.
Sans tous les outils de FTS, sans simuler au début, j'aurais été perdu et incapable de closer.
Mais le costume, il faut un jour le quitter pour en porter un à soi et pas celui du voisin. Grâce à cela on est plus congruent, plus authentique, car plus proche de ce qu'on est vraiment à l'instant t. Le point négatif est qu'on fait plus d'erreurs, on est plus AFC. Mais ces erreurs je crois qu'il faut les faire. (enfin c'est ce que j'applique pour moi) Le but n'étant pas de faire du crash and burn, qui est une méthode un peu maso, mais d'accepter de faire des erreurs et surtout SES propres erreurs.
En d'autres termes, savoir se laisser aller. Car quand on se laisse aller, l'inconscient a plus la possibilité de s'exprimer, on est alors plus proche de ce qu'on est vraiment.
La congruence est à se prix.
J'apporte ma petite pierre.
Au début, j'ai intégré et appliqué le "fake it, until you make it" de Mystery qui a été pour moi une révélation à l'époque.
Ca m'a permi de closer.
De manière volontariste et consciente, j'ai plus ou simulé ou mis en avant des attitudes, lines, etc... J'ai porté un costume qui n'étais pas le mien et dont j'avais besoin car je n'avais absolument pas la carure. Il me manquait une validation, des expériences positives à engranger, une base pour développer ma confiance en moi.
Sans tous les outils de FTS, sans simuler au début, j'aurais été perdu et incapable de closer.
Mais le costume, il faut un jour le quitter pour en porter un à soi et pas celui du voisin. Grâce à cela on est plus congruent, plus authentique, car plus proche de ce qu'on est vraiment à l'instant t. Le point négatif est qu'on fait plus d'erreurs, on est plus AFC. Mais ces erreurs je crois qu'il faut les faire. (enfin c'est ce que j'applique pour moi) Le but n'étant pas de faire du crash and burn, qui est une méthode un peu maso, mais d'accepter de faire des erreurs et surtout SES propres erreurs.
En d'autres termes, savoir se laisser aller. Car quand on se laisse aller, l'inconscient a plus la possibilité de s'exprimer, on est alors plus proche de ce qu'on est vraiment.
La congruence est à se prix.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] Constructif par Spectrum
- [0] 100% d'accord par Joueur75
- [+2] Post responsable par someoneelse
- [+2] Post responsable par The_AlChImIsT
J'ai l'impression de l'avoir deja lu ton topic, j'ai cru qu'il été remonté et quand j'ai vu la date ça ma étonné.
Perso ce que je pense:
Si je bosses mon innergame je vais plutôt cultiver une certaine authenticité.
Sûrement parce que je développe une capacité d'auto jugement suffisamment forte pour ne plus ressentir se besoin d'approbation. Je me sens bien avec moi même. je sais que je plais.
tandis qu'une culture outter game c'est plutot develloper une image que j'aimerais être, pas une vrai personnalité plus un semblant du moi que je veux projeter aux autres en me basant finalement sur une technique, un standard.
Je suis convaincu qu'il faille un bon outergame pour la sarge mais dans la vie en générale ce qui aide à se réaliser c'est un innergame. c'est clair.
Je fais vite, mais est ce vous voyez ce que je veux dire? peu être je me plante un peux sur les définitions innergame/outergame mais je pense pas être dans le faux.
Perso ce que je pense:
Si je bosses mon innergame je vais plutôt cultiver une certaine authenticité.
Sûrement parce que je développe une capacité d'auto jugement suffisamment forte pour ne plus ressentir se besoin d'approbation. Je me sens bien avec moi même. je sais que je plais.
tandis qu'une culture outter game c'est plutot develloper une image que j'aimerais être, pas une vrai personnalité plus un semblant du moi que je veux projeter aux autres en me basant finalement sur une technique, un standard.
Je suis convaincu qu'il faille un bon outergame pour la sarge mais dans la vie en générale ce qui aide à se réaliser c'est un innergame. c'est clair.
Je fais vite, mais est ce vous voyez ce que je veux dire? peu être je me plante un peux sur les définitions innergame/outergame mais je pense pas être dans le faux.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] +1 par Party Time
- [+1] +1 par blackangel
Y'a plusieurs degré de gravité :La question est: peut-on chnager à ce point pour devenir authentique, ou bien une fois "traumatisé" est-on obligé de faker à vie?
J.W.
1-Faker sa personne, ex :
-frame
-DHV
...
2-Faker le process, ex :
-escalade d engagement
-pied dans la porte
-BT, escalation
-manipulation
...
Personnellement je me suis calmé un peu avec le 1 car :
-pas le plus important finalement
-on n'est pas aimé pour soi même
-sa cible risque d etre déçue quand elle connait mieux notre vie, pas bon pour les LTR, dégonflement du ballon
Mais je fais le 2 :
-efficace
-comme c'est le process qui est fake, c'est + sain que le 1
-ça pose pas spécialement de problèmes pour la suite des évenements, à part se taper des filles qu'on aurait jamais pu se taper autrement ...
...peut etre qu'il faudrait completement virer le 1...
C'est Mystery encore qui a apprté cette histoire d'attract. Comme quoi il faudrait ressembler à un modèle d'alpha mâle & compagnie pour plaire ...
Pas bon tout ça ... faut rester soi même, c'est un enjeu qui surpasse la séduction dans une vie.
What you think about it ?

Autre remarque :
On ne peut pas vivre dans une grande ville, avoir un travail un peu évolué, sans calculer dans ses relations avec les autres, ou alors on s'en prend plein la tête, à dire tout ce qu'on pense tout le temps ...
Donc rester authentique ... vraiment possible ?
Tout ça pour dire quoi ? Concrètement ?
Que si on s'en fout des filles, elles nous courriront après ?
Que si on est attirés et qu'on cherche à les séduire on y'arrivera pas ?
Que l'authenticité est innée, qu'elle ne vient qu'avec les réussites ?
Comment commençer le cycle dont tu parle :"comme une boule de neige : on vous apporte ce que vous avez déjà. Les gens vous donnent si ils pensent que d’autres personnes avant eux vous ont donné." , puisque c'est une sorte de cercle vertueux qui n'a pas de début ?
En tout cas ton post soulève beaucoup de questions, mais ne donne pas (beaucoup) de réponses. Tu me dira c'est déja pas mal...
Que si on s'en fout des filles, elles nous courriront après ?
Que si on est attirés et qu'on cherche à les séduire on y'arrivera pas ?
Que l'authenticité est innée, qu'elle ne vient qu'avec les réussites ?
Comment commençer le cycle dont tu parle :"comme une boule de neige : on vous apporte ce que vous avez déjà. Les gens vous donnent si ils pensent que d’autres personnes avant eux vous ont donné." , puisque c'est une sorte de cercle vertueux qui n'a pas de début ?
En tout cas ton post soulève beaucoup de questions, mais ne donne pas (beaucoup) de réponses. Tu me dira c'est déja pas mal...
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] par Ash
- [+1] Il y'a du vrai... par Vital
- [+1] 100% d'accord par Melkor
- [+1] +1 par allakikker
- [0] +1 par noname35
Salut.
Que si on se fixe sur les filles, elles nous fuiront.
Que si on n'est pas specialement attire et qu'on ne cherche pas a les seduire, cela posera un certain mystere.
Que l'authenticite n'est pas innee, que c'est juste une facon de s'assumer.
Ma modeste contribution.
Amicalement,
Pace
Juste l'inverse :Falek a écrit :
Que si on s'en fout des filles, elles nous courriront après ?
Que si on est attirés et qu'on cherche à les séduire on y'arrivera pas ?
Que l'authenticité est innée, qu'elle ne vient qu'avec les réussites ?
Que si on se fixe sur les filles, elles nous fuiront.
Que si on n'est pas specialement attire et qu'on ne cherche pas a les seduire, cela posera un certain mystere.
Que l'authenticite n'est pas innee, que c'est juste une facon de s'assumer.
Ma modeste contribution.
Amicalement,
Pace
Ce topic tombe à pic. Depuis longtemps je me posé des questions sur le point "originel" là où tout a commencé à dérailler pour ne plus etre comme les autres fameux naturels. et au fil du temps s'installa dans ma tete une question qui ne me quitte plus, pourquoi-je-suis-comme-ca?. Mais à mon avis, Taurus, vouloir réduire la cause de tout un devenir d'homme à un seul <nan> est simplement insuffisante, il y'a surement d'autres causes qui t'ont empéché de devenir un naturel. Je ne pense pas que ton ami (le naturel) n'a pas fait un parcours sans faute, je pense que sa facon d'interpreter ou de voir les choses été differente de la tienne dés le debut. Peut etre que tu été déjà sensible à la réation des autres mais tu le savais pas, tant que c'était ok c'était OK!, jusqu'à ce qu'un <nan> vienne griser la verdure. Mais ce qui est bien dans ton post, c'est que toi tu es dans la phase "C'est la faute aux autres" c'est bien ca,moi je patauge encore dans la phase "C'est la faute à qui?". My Cents. Amicalement.
On peut faker et chopper, sans problème.
Le seul hic, c'est qu'on devient vite un robot. Certains puas n'ont même pas une amie fille, pas de vrais amis, ils sont la plupart du temps seuls, ils sont obsédés par le sexe...pas très équilibré tout ça. Le point du post c'est de dire: " hey, pourquoi pas juste changer ce qui n'allait pas en moi et passer naturel? Au lieu de continuer à faker comme un porc?
Pensez y comme à un tableau. Un faux rembrandt est quand même magnifique, mais un expert en peinture détecte quelque chose de louche, il n'y apas la même présence, la même magie.
Vous allez chopper mais vous n'aurez pas tous les avantages du naturel: se faire approcher, fasciner les gens sans réfléchir, ne plus sentir ce vide en soi, réussir pas mal de choses dans votre vie, etc... Chopper en fakant ça marche, c'est juste...incomplet.
Vital, je pense vraiment que la différence entre un mec lambda et un naturel ,c'est vraiment le nombre de rejets qu'ils ont dû affronter durant une période cruciale de leur construction, et ça commence dès la formation de l'oeuf dans le ventre, si la mère en voulait ou pas, puis l'accueil des parents, puis la maternelle, etc...Ceux qui ont le plus coinfiance en eux sont ceux qui ont le plus été choyés très tôt.
My 0000.2 cents.
Le seul hic, c'est qu'on devient vite un robot. Certains puas n'ont même pas une amie fille, pas de vrais amis, ils sont la plupart du temps seuls, ils sont obsédés par le sexe...pas très équilibré tout ça. Le point du post c'est de dire: " hey, pourquoi pas juste changer ce qui n'allait pas en moi et passer naturel? Au lieu de continuer à faker comme un porc?
Pensez y comme à un tableau. Un faux rembrandt est quand même magnifique, mais un expert en peinture détecte quelque chose de louche, il n'y apas la même présence, la même magie.
Vous allez chopper mais vous n'aurez pas tous les avantages du naturel: se faire approcher, fasciner les gens sans réfléchir, ne plus sentir ce vide en soi, réussir pas mal de choses dans votre vie, etc... Chopper en fakant ça marche, c'est juste...incomplet.
Vital, je pense vraiment que la différence entre un mec lambda et un naturel ,c'est vraiment le nombre de rejets qu'ils ont dû affronter durant une période cruciale de leur construction, et ça commence dès la formation de l'oeuf dans le ventre, si la mère en voulait ou pas, puis l'accueil des parents, puis la maternelle, etc...Ceux qui ont le plus coinfiance en eux sont ceux qui ont le plus été choyés très tôt.
My 0000.2 cents.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] Ca va mieux en le disant par oxmo