JpKoff r

Jusqu'ici je ne voyais pas trop l'intérêt de raconter ses rencontres sur un forum car ça me paraissait une sorte de quête de validation externe... et il se trouve justement que j'essaye de ne plus en avoir besoin.
Puis après avoir lu quelques sujets, je me suis rendu compte que les membres pouvaient quand même donner des avis et conseils éclairés. Deuxième raison, je suis à nouveau célibataire depuis environ 1 mois, et les occases s'enchaînent rapidement, mais je suis encore un peu amorphe pour conclure... plus l'habitude. Coucher les rencontres par écrit me permettra de faire un peu d'ordre là-dedans.

On me fait souvent des compliments sur mon physique, je sais que je plais, mais je ne sais pas trop gérer ça. A l'extérieur, un grand brun trentenaire d'1.90 bien proportionné avec des yeux gris-verts et un bon taf... à l'intérieur, un ado intellectuellement précoce, socialement attardé, un peu en surpoids, avec des boutons d'acné, un appareil dentaire et des énoooormes lunettes à verres méga-épais (merci les lentilles).
Je ne suis pas un bon séducteur et je n'ai pas forcément envie de le devenir. Je suis sur FTS pour la partie "développement personnel", j'ai envie d'améliorer mon relationnel pour élargir mon réseau pro, renforcer les liens avec des connaissances que j'apprécie, me faire des amies et des amantes (je me suis rendu compte que je n'avais aucune amie femme, après c'est pas étonnant que je ne comprenne rien aux femmes quand je suis en couple)

Pour aujourd'hui il y a 2 cas dont j'aimerais parler, qui me font poser la question suivante : comment "faire connaissance" lorsqu'on dispose d'un temps TRES limité et qu'on est en public?

La serveuse

Tous les mardis après le boulot depuis septembre, on se donne rendez-vous avec mes collègues masculins dans le même bar à bières. Je suis un "biérologue" comme on dit, je suis dans mon élément. Le bar est une franchise magasin/bar d'afterwork qui ferme à 21h. L'idéal pour passer un bon moment à déguster de bons produits sans ressortir torchon-chiffon-carpette.
Le patron est un mec très sympathique et connaisseur. Il a engagé une jeune serveuse, une brune mince type méditerranéen de 20 ans avec des traits fins de poupée, bref tout ce que j'aime. Après deux Duvel Triple Hop, je deviens généralement plus sociable et déconneur, du coup je chambre, je fais des jeux de mots pourris, je délire tout seul en étant très décontracté (sobre, j'y arrive pas encore).
Au bout de quelques semaines, mes collègues qui bavaient également devant cette serveuse me font remarquer qu'elle m'apprécie visiblement beaucoup. Plutôt timide avec tout le monde, elle est très amicale avec moi, passe toujours dans mon groupe vers la fin de service pour me sortir une vanne ou juste pour traîner 2 minutes. Je vois comment elle me regarde, bon effectivement peut-être...
Semaine après semaine, on fait un peu connaissance, on fait tous les 2 du basket, on écoute tous les 2 du hip-hop, on se plaît physiquement. Elle a un mec. Un jour, sur la page FB du bar, je tombe sur son profil, je l'ajoute, on est amis. Je lui envoie un message de flatterie de bas étage (sincère), elle me répond, et 2 jours plus tard elle me supprime. La fois suivante au bar, je la chambre avec ça, elle m'explique que c'est son mec qui est jaloux (la meuf a 600 amis FB et son mec est jaloux de moi, sans savoir qui je suis? elle lui en a parlé ou quoi?)
Là elle me sort une disquette typiquement masculine "mais t'inquiète nous on est amis dans la vie c'est beaucoup mieux".
Maintenant j'ai quelques indices qui me font penser qu'elle n'est plus avec ce mec (à vérifier).
J'ai envie de l'inviter à faire un basket dans mon quartier, ou n'importe quoi d'autre où on pourrait être tous les 2... Je sais pertinemment qu'elle me considère comme un partenaire possible, du coup si je lui propose quoi que ce soit elle le prendra direct comme une avance sexuelle (supposition correcte?). En plus avec les clients à servir, je peux même pas lui parler seul à seul 2
minutes, et je suis trop gêné pour lui faire une proposition devant tout le monde (peur de me faire envoyer chier devant tout le monde, peur de la mettre mal à l'aise devant tout le monde, etc...).
Elle va bientôt partir de ce bar donc je n'ai plus beaucoup de temps pour tergiverser... Je vais y aller franchement, ça sera au moins un bon exercice...

La coiffeuse

Je suis un homme pressé, je vais me faire couper les cheveux dans un salon de coiffure de galerie marchande, une usine à fric spécialisé dans la coupe unique pas chère en 10 minutes.
Une douzaine de coiffeuses, depuis que j'y vais j'ai jamais eu la même 2 fois de suite et à vrai dire je m'en fous un peu.
Il y a 2 mois, c'était une nouvelle. Une ancienne proprio de salon, 40 ans, grande brune incendiaire typée méditerranéenne (n'y aurait-il pas comme un thème récurrent ? ). Pendant la coupe elle me fait des compliments très appuyés, ça fait plaisir.
J'y suis retourné dans la semaine, elle m'a reconnu, m'a demandé si quelqu'un s'occupait de moi "en général" (non, j'm'en fous, vous faites toute la même coupe t'façon).
Et donc pendant toute la coupe, re-compliments encore plus appuyés : vous avez un visage de mannequin, vous devez toutes les faire tomber, et vos yeux ils sont de quelle couleur, vous êtes vraiment un bel homme, c'est très agréable de vous coiffer. (j'suis hyper mal à l'aise là!!! je me rends compte que je ne sais toujours pas prendre les compliments). A ses collègues qui traînent dans le coin "alala toi tu viens ici parce qu'il y a un bel homme, non franchement tu trouves pas qu'il est beau?" Une collègue tout aussi gênée que moi "euuuuh ben euuh en tout cas il est trop jeune pour toi"... Dans ma tête "aaah non elle est encore vachement bien conservée, je lui ferais bien faire la toupie".. La coiffeuse répond "oui je ferais mieux de le présenter à ma fille de 17 ans". Bon là j'interviens quand même "Votre fille, laissez-la choisir toute seule, en tout cas moi j'ai 31 ans ( de sa part), je préfère largement une belle femme comme vous qu'une gamine de 17 ans".
Elle rigole un peu, puis faut dégager la place, c'est vraiment l'usine ce salon... On se dit au revoir, et là en sortant je me demande si c'est juste sa façon d'être sympa avec tous ses clients ou si y aurait pas moyen de... Bref encore une fois, impossible de lui parler seul à seul, et puis gueuler "JE T'INVITE A PRENDRE UN VERRE ??????" par-dessus le bruit des sèche-cheveux, j'sais pas, c'est pas top si? enfin j le sentais pas... Elles doivent bien avoir des pauses ces coiffeuses, faudrait que j'arrive à la choper à ce moment-là.

Enfin bref, deux histoires, les mêmes questions : Comment faire connaître ses intentions et connaître celles de l'autre discrètement dans des endroits qui ne s'y prêtent pas : en boîte on peut toujours parler à l'oreille, avec le bruit de la musique même si tu dis de la merde et que tu prends un méchant stop, personne va l'entendre... mais là dans les 2 cas, y a du bruit donc obligé de parler fort, et c'est pas le genre d'endroit où on parle à quelqu'un à l'oreille...

Hello Modo je crois que le titre de mon thread a merdé, si tu peux le renommer en seulement "JpKoff" ça suffira, y a pas de thème finalement... merci !

Rapport aux récits précédents, j'ai pas eu l'occase de proposer un rdv aux 2 demoiselles, par contre il m'est arrivé un truc cool la semaine dernière.

Une collègue de boulot, 25 ans, de beaux yeux en amande, une énorme paire de nichons, ingénieure, bien sympa et qui me regardait avec intérêt pendant les réunions.
On était sur des projets différents donc je la voyais surtout par l'intermédiaire d'un groupe d'amis-collègues communs (SSII, on est tous des potes de galère, je pense que certains comprendront). On avait à peine discuté un soir dans une soirée chez moi, elle me disait qu'elle venait de larguer son mec de 7 ans, premier amour de ville de campagne.
Je sentais un peu un appel du pied mais c'était pas le moment pour moi, je lui ai gentiment conseillé de prendre du temps pour elle. C'était il y a 2 ans.

La semaine dernière, je vois son nom et son numéro de téléphone sur une liste pour un événement sponsorisé par notre entreprise. Je la contacte par texto un peu maladroitement mais haha! elle avait mon numéro elle aussi, elle avait dû penser faire la même chose. On discute boulot, vie perso pendant 2 jours, très sympa, intéressante.

Mon pote Mad (rien à voir avec l'autre) vient me chercher à la sortie du taf et on part en vacances à la plage pour une semaine B)

Un texto à la miss quand j'arrive, photo de la plage... "tu vois à quel point je m'en tape des problèmes de SSIIpourrie"

Elle me répond qu'elle part en Pologne la semaine suivante et qu'elle passerait bien quelques jours dans le sud juste avant.. Impossible de l'inviter, elle me répond "t'inquiète". t'inquiète, 10 minutes plus tard elle avait loué une chambre et organisé un covoiturage pour venir près de notre maison !

La perche est trop belle, et franchement quand je la vois sortir du bus toute fatiguée, mal coiffée, mal habillée, je me dis que la fille est trop belle aussi (je ne suis plus à une incohérence près).
On part à la plage, elle se déshabille et les démineurs débarquent... 2 obus de 45 dans un maillot turquoise, damn. et un beau sourire quand elle me regarde.

j'essaye d'inventer une histoire pour me faire inviter dans sa chambre pour le week-end, mais c'est pas la peine. elle me le propose elle même.

Le soir on cherche des bars, on picole un peu, on discute beaucoup, c'est toujours aussi cool, c'est les vacances avec un truc en plus.

On rentre à son point de chute, une chambre chez une vieille qui sous-loue je ne sais pas trop pourquoi puisqu'elle ne calcule personne. Sa chambre et la notre sont côte-à-côte, donc SURTOUT PAS DE BRUIT... et ça c'est propice à délirer quand on est avec une personne sympa. Je plaque la miss sur le lit et je l'embrasse, et elle aussi, et on se regarde, et on recommence... censuré.

Le réveil très agréable, la deuxième journée est semblable à la première, en mieux. avec des bisous, des caresses, des blagues... et ça finit de la même façon. Je me ferais bien un trip Bill Murray avec des moments comme ça, un jour sans fin me conviendrait (oui, et dans 2 mois ça va me saouler, merci les rabat-joie).

La miss est en Pologne, elle m'a déjà fait une sorte de serment de fidélité sans que je lui demande... et moi je me dis qu'elle vaut peut-être le coup. Que son cas mérite d'être étudié.

Elle a une histoire incroyablement compliquée avec son ex, à mon avis ça va venir sur le tapis tôt ou tard, et elle compte quitter ma ville l'été prochain... pour être loin de son ex... c'est surtout une distance psychologique qu'il lui faut, et ça il me semble que je peux la créer tout seul comme un grand, si toutefois à l'usage il se trouve qu'elle vaut toujours le coup... j'suis difficile, merde.

Un peu plus tard...

Ma "conquête estivale" est rentrée de Pologne, et on a repris là où on en était.
Elle est passée me voir le soir même de son retour malgré la fatigue, encore une fois c'était plutôt bien.
Depuis, on se voit 3-4 fois par semaine, on commence à se présenter nos potes respectifs.
Je suis toujours attiré, elle aussi, je lui plais beaucoup.
Donc je continue d'étudier son cas.
Je sens que je l'intimide dans la vie de tous les jours.
Elle manque un peu de confiance en elle, elle a l'air de croire que je suis "out of her league".
Dès que l'on rentre en contact physique sa légère gêne disparaît complètement, les relations charnelles sont très satisfaisantes de mon point de vue.
Son ex était un méga AFC à tendance psychotique, paranoïaque. Un bon gars par ailleurs, mais INSANE IN THE BRAIN...
Elle, très jeune à l'époque, s'était complètement niée pour satisfaire sa jalousie et son agoraphobie délirantes.
Elle avait une vie rythmée par : 1-les cours 2-son mec 3-sa famille et sa belle-famille 4-... pas de 4, ça s'arrêtait là.
Jamais de sorties seule avec ses amis, jamais de sorties en couple avec ses amis, elle se consacrait uniquement à ne pas froisser son mec.
L'histoire a duré en tout plus de 7 ans !!
En rentrant dans le monde étudiant puis le monde du travail, elle a fini par comprendre que sa relation était en train de la bouffer, elle, ses envies, son épanouissement.
Elle a rompu, il n'a pas supporté, il est resté 15 jours en hôpital psy.
Le gars n'avait aucun soutien de la part de sa famille, donc elle s'est mise à croire qu'elle était la seule à pouvoir le comprendre et l'aider.
Peine perdue, bien évidemment, puisqu'il n'avait aucune envie de se sortir de ses problèmes.
Ils se sont remis ensemble, re-séparés, remis ensemble, re-séparés, au moins 4 aller-retours d'après ce que j'ai compris.
Que fait une femme de 24 ans plutôt gaulée qui sort d'une histoire aussi complexe, qui ne connaît que ça, et qui découvre un monde extérieur beaucoup plus ouvert tout en étant entourée de beaucoup de mecs ? (la parité dans l'informatique c'est pas pour tout de suite...)
Elle s'est tapée toute une brochette de ses collègues de bureau.
C'est plutôt bien pour elle, il faut qu'elle se fasse son expérience...
La semaine passée, j'ai fait 2 soirées avec ses collègues.
En ce moment je me sens très bien dans ma tête, je souris, je parle, j'écoute, je vanne sans arrêt, les gens adorent en général.
Et lors de ces soirées, ses collègues aussi ont eu l'air de bien m'apprécier...
Sauf un, qui a fait la gueule tout le long (3 heures de suite, ça doit être éprouvant)
En rentrant, je lui dis "sympa tes potes, sauf le blaireau du bout de table là, c'est quoi cet autiste, il ferait mieux de rester chez lui, au moins une plante verte c'est décoratif, il sert vraiment à rien"
Réponse : "ah euh c'est un des gars que je me suis tapée"
Moi mort de rire, ceci explique cela... Je pense "ça fait quoi de passer du pâté de campagne au foie gras?" mais je le garde pour moi.
Je lui fais quand même remarquer qu'elle s'est tapée le mec le plus minable du lot (oui, sa tête ne me revenait pas du tout, bien avant qu'elle me parle de son "aventure").
"euh bah il est pas comme ça des fois" ... Mouais, tu fais ce que tu veux de tes fesses ma p'tite !
Incroyable, ce genre de situation m'aurait mis tellement mal à l'aise quelques mois auparavant !
Et là j'en sors la tête haute, je garde ma valeur tout en ne me polluant pas l'esprit pour des broutilles.
Je ressens réellement le changement qui s'est produit en moi, c'est kiffant !!
Donc on continue à se fréquenter, et hier en l'embrassant au bord d'un lac je commence à sentir ce picotement au creux du ventre qui n'annonce vraiment rien de bon.
Pas une envie de chier, bien pire... ces connards de "sentiments" qui commencent à pointer leur nez. Merde.
Rien de bien dramatique, ce n'est qu'un signe précurseur.
J'avais quand même envie d'aborder le sujet avec elle.
Donc je lui dis de faire attention, que si ça continuait j'allais finir par "vraiment bien l'apprécier" (va, je ne te hais point ^^)
Réponse plutôt cash "oui tu me plais beaucoup, mais bon depuis mon ex.... et puis je pars travailler à toulouse en juin prochain... donc ça freine un peu".
Pas tout à fait la réponse que j'espérais, pour être honnête.
Mais bon on fait avec, ça n'entache en rien tout ce qu'on peut vivre par ailleurs.
Donc je clos le sujet avec une bonne grosse vanne de pote, et retour aux moments agréables!
On n'a pas réellement abordé le sujet de l'exclusivité, à part dans un message qu'elle m'avait envoyé pour me dire qu'elle comptait pas "faire n'importe quoi en vacances".
J'avais rien demandé, du coup je lui avais répondu qu'elle était adulte et que je la laissais gérer comme elle l'entendait.
De mon côté j'ai toujours des plans à ne plus savoir quoi en faire, donc je ne me soucie pas plus que ça de la suite éventuelle de cette histoire, je suis juste heureux de profiter de la compagnie d'une femme charmante.

D'ailleurs, parallèlement je continue à explorer la nature féminine dans son ensemble.

Intermède casse-croûte

J'ai rencontré une marocaine de 35 ans chez des amis communs. On n'a pas beaucoup parlé, j'ai juste remarqué qu'elle me dévorait des yeux.
Le lendemain je vois son profil FB et je l'ajoute, "au cas où".
Puis on commence à discuter.
Elle est mère célibataire de 2 enfants, multi-trompée et haineuse des mecs en général, mais hyper chaude en même temps.
Que des vannes sexuelles pendant plusieurs heures.
Et c'est allé loin, j'en ai appris plus sur ses goûts sexuels : ce qui l'excite le plus c'est de sucer et de se faire sodomiser.
Inutile de dire qu'elle m'a énormément excité.
Du coup j'ai directement entamé les avances en précisant bien que je ne voulais surtout pas d'une relation de couple avec elle, et que j'avais déjà d'autres copines.
Après une conversation passée à l'exciter et à faire sauter ses quelques résistances "de façade", je lui ai dit de passer chez moi avant que l'on sorte chacun de notre côté.
Elle était chaude comme la braise mais m'avait répété 3 fois juste avant de passer qu'elle ne ferait rien du tout.
ça, je sais gérer : j'ai fait exactement ce qu'elle m'avait demandé, c'est-à-dire rien du tout... Et bien évidemment, juste avant de partir, elle m'a sauté dessus!
Typiquement féminin, me semble-t-il ?
A la fin de ma soirée, bien bourré, j'ai reçu un texto de sa part puis je l'ai appelée.
Elle est revenue chez moi à 5h du matin, et j'ai pu vérifier que ses actes suivaient ses paroles.
Le lit a terminé en diagonale, j'ai fait ma séance de sport, elle m'a percé les tympans, et le lendemain les voisins m'ont fait la gueule.

La serveuse brune, part 18365

J'avais évoqué dans un post précédent mon fétichisme pour les petites brunes minces serveuses....
ça se confirme de plus en plus!
Je passe tous les jours à la boulangerie en bas de chez moi, une chaîne qui ouvre à 4h du matin et qui ferme à 22h.
Entre les petits déjeuners, les sandwichs post-cuite et les douzaines de baguette pré-barbecues, tous les employés me connaissent très bien.
Notamment la petite serveuse, la trentaine comme moi, toute frêle et avec un regard un peu fragile/chien battu (ça m'a toujours fait craquer).
Je l'avais toujours vue en uniforme, qui comme son nom l'indique cache les formes... et les cheveux.
On échange toujours 2-3 banalités avec le sourire, sans plus.
Avant-hier, pour la première fois je l'ai croisée "en civil", j'étais en voiture et je l'ai vue marcher dans la rue.
Enfin, je ne l'ai pas reconnue tout de suite.
Mon regard a d'abord été attiré par mon idéal féminin, une demoiselle toute mince avec une belle cambrure et une magnifique crinière brune volant au vent...
C'était elle... DAMN!! je crois qu'il va falloir que je pousse plus loin là aussi.

Du pain sur la planche !