Le rapport à la famille

Note : 13

le 28.04.2016 par Thedaze

12 réponses / Dernière par Nonchalance le 15.05.2016, 17h16

Pour celles et ceux qui veulent discuter et demander des conseils rencontres et séduction; comment faire avec cette fille ou ce mec; et plus généralement, comment pécho / trouver l'amour à l'ère du swipe left, notamment quand on est ni mannequin, ni un ninja de la drague.
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Je vient de jeter un oeil sur le journal d'Amelia.
Désolé de réagir ici, ci ça plait pas un modo peu éditer, déplacer, forker..
J'apprends qu'ils n'ont aucun lien affectif et la considère comme une "connaissance". Je suis choquée. Il n'est même pas encore invitée à son mariage dans deux mois (auquel son père n'ira pas). Il me dit qu'ils sont opposés. Mon frère et moi sommes des opposés mais c'est la prunelle de mes yeux. Mon frère (et ceux qui me connaissent le savent) c'est l'un des hommes de ma vie. Je suis perplexe face à ce qu'il me dit et je n'arrive pas du tout à comprendre. Du coup le rapprochement possible de fin de date est totalement mort. ça a jeté un véritable froid. Une telle différence de valeurs, ça a eu du mal à passer.
Je suis choqué que tu sois choquée.
Mais c'est pas la première fois que j'entends ce genre de chose. Le non attachement à la famille comme facteur discriminant.

C'est une valeur que je ne comprend pas du tout.
Il y a plein de gens bien qui ne sont pas proche de leurs frères, soeur, cousin etc..
pour des tas de raisons.
Les familles dysfonctionnel sont parfois dures à assumer.
Et tout simplement, on peut être beaucoup plus proche de ses amis qui font office de famille de remplacement.

A contrario, c'est mon point de vue, quelqu'un qui attache une importance démesuré à un membre ou toute ça famille aura tendance à me faire fuir. Je vois ça comme un manque d'indépendance, un reliquat de l'enfance avec un petit côté tribal pas du tout attirant.
Dans l'absolue, j'ai du mal avec les gens et en particulier les nanas que je rencontre qui mettent l'un de leur proche sur un piédestal. Je trouve ça même légèrement flippant.
Mais peut-être que je me fourvoie? J'aimerais bien évoluer sur le sujet.

Je pense que ça vient surtout de notre éducation et des valeurs qu'elle véhicule.
Mais dans quelle mesure ça doit stopper une relation qui semblait attrayante?
Pourquoi ces valeurs doivent elles forcement être source de non continuation?
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [+1] Absolument le 28.04.16, 08h15 par DisturbedEvil
  • [0] Du calme le 28.04.16, 08h56 par Onmyoji
  • [+1] J'allais le dire le 28.04.16, 09h59 par MaryeL
  • [+2] Bravo ! le 28.04.16, 16h15 par Blusher
  • [0] +1 le 29.04.16, 10h33 par Stayfun

J'sais pas, je pense qu'on est relativement conditionné par sa propre famille justement, et par les manieres dont s'expriment la tendresse et l'affection au sein du systeme.

Souvent ma famille m'étouffe alors je suis pas un gros fan de ca, je me méfie des gens qui sont trop attachés à leur famille et j'aurais tendance à les soupconner de manquer d'individualité.

Puis je pense à Amelia et je me dis que c'est con.

Il s'agit de trouver le bon équilibre par rapport à soi. Par contre je plussoie : si la société pouvait se passer de jugements à ce niveau ca laisserait tout le monde plus libre.
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [+3] Merci ! :) le 28.04.16, 16h08 par Thedaze

Ou alors juger dans un sens comme dans l'autre est hâtif?
Mais si quelqu'un le fait il n'est pas forcément dans son tort.
C'est une question d'histoire personnelle.
J'ai pas de bonnes relations avec certains membres de ma famille mais ça me viendrait pas à l'idée d'éliminer quelqu'un attaché à sa propre famille. Je me dis qu'elle a bien de la chance de pouvoir les apprécier en intégralité. Ça donne plutôt envie de les connaître...
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [0] +1 le 28.04.16, 13h21 par Jsh
  • [0] +1 le 28.04.16, 15h00 par SweetyKID

@Owen
100% d'accord avec ton post

@ Onmyoji
Ou alors juger dans un sens comme dans l'autre est hâtif?
C'était mon questionnement en fait. Pas une agression. Désolé si j'ai laissé transparaitre une quelconque agressivité dans mes propos, ce n'était pas le but.
D'où mes questions (?) et non un jugement figé parce que je fais la démarche inverse. Je pense qu'il y matière à évolution pour tout le monde.
Je me dis qu'elle a bien de la chance de pouvoir les apprécier en intégralité
Tout à fait d'accord ça doit être quelque chose de très précieux. Je dit bien précieux parce que pas donné à tout le monde. C'est quelque chose que je ne connais pas par exemple. Un concept un peu flou que j'ai du mal à envisager. Alors j'ai rebondi.

Il m'est déjà arrivé d'être rapidement intégré dans la famille d'une de mes copines, parce que ça faisait parti des valeurs de cette famille. Et j'ai senti que le fait d'être à l'aise, voir impliqué, était d'une grande importance.

Parfois on m'a reproché de ne pas plus faire partager ma vie de famille. C'est simple: je n'en ai pas le besoin. Je présente mes copine à ma famille vraiment quand je suis obligé ou si elle me fait des allusions dans ce sens.
Disons que je part du principe que ma vie sentimentale ne regarde que moi, pas ma famille... et même pas mes potes les plus proches. Je n'ai besoin ni de leurs avis, ni de leurs approbations.

Le problème est que je ne me sent pas à l'aise avec ce genre de démarche familiale. Je ne suis pas très "famille". J'adore entretenir mes cercles de potes qui sont comme d'autres familia.
Mais le côté fraternité-proximité-complicité toussa, me passe largement au dessus. Ca ne veux pas dire que je n'aime pas ma famille. Je serais toujours là si besoin, et c'est déjà arrivé. Cependant l'entente cordial me va comme un gant.

Disons que je tolère chez les autres. Les gens heureux me rendent heureux. Si être proche de ta famille te rend heureux, temps mieux pour toi. Encore une fois, c'est une chance. Mais j'ai du mal à prendre part au truc.
Blocage de ma part? Surement. pour l'instant c'est ainsi. Mais j'ai conscience des choses que je suis susceptible de louper justement à cause de ce blocage.

Heuuuuuuuuu.

Je dois me justifier là ?


Un date qui se passe bien, je commence à me dire "pourquoi pas" et il me parle de sa soeur jumelle, avec qui il a grandi, avec une froideur incroyable. M'explique que c'est comme une connaissance sur un ton presque hautain parce qu'elle a choisi de vivre avec un gendarme dans un petit village pendant que lui fait de brillantes études et "aspire à autre chose". J'étais choquée oui. Et plus du tout dans le mood d'un rapprochement.
J'essaie d'aller à l'essentiel dans mes récits donc je n'explique pas qu'il y a déjà eu plusieurs échanges sur sa notion d'attachement que j'ai pu trouver perturbants.

Je sais parfaitement que les relations familiales ne sont pas toujours roses, on a tous nos vécus familiaux et j'ai assez souffert comme ça du manque d'amour et de lien avec une partie de ma famille proche. Mais quand on m'explique que sa soeur est une connaissance sans sourciller, oui ça me choque sur le coup. Parce que je fais la comparaison immédiate avec mon frère que j'aime profondément. Parce que la famille pour moi c'est important. Parce que d'avoir vu une partie de ma famille se déchirer m'a appris que je ferais tout pour éviter ça. Parce qu'en venir à détester quelqu'un de sa propre famille, je sais ce que c'est et je ne veux pas de ça.
Un homme qui a la valeur de la famille. C'est important pour moi. Comme le sens de l'amitié. ça recoupe l'idée d'une capacité à donner de l'amour, la fidélité émotionnelle.

Je sais aussi qu'on peut naitre dans une famille "particulière" avec peu d'amour et devenir un père extraordinaire. Merci à mon père pour ça.

Mais au delà du contenu de ce qu'il disait, il y avait la façon d'en parler. Alors oui ça m'a choquée. La façon dont on parle de ses proches est quelque chose pour moi de très révélateur de façon générale. C'est quelque chose qui se simule difficilement pour ne rien gâcher.

Et si je fais fuir un mec parce que je dis que mon frère est un homme de ma vie, comme mon père ou mon grand père. Parce que Caramelle et Mathieu sont mes âmes soeurs et que j'aime les personnes qui m'entourent passionnément, alors il peut partir, c'est qu'on a système d'amour trop différents. Et aimer à ce point ma famille et mes amis ne fait pas de moi quelqu'un de dépendant. ça fait juste de moi quelqu'un qui déborde d'amour.


EDIT :

J'ai eu une relation de 4 mois avec un homme de 30 ans qui détestait son père pour des raisons qui lui appartenaient et qui avait perdu sa maman à 16 ans. ça n'a jamais été un point négatif.
Ce qui était important à retenir dans mon récit, c'était de voir comment un rapprochement peut être stoppé net par une révélation de ce genre. Et qu'au delà du contenu c'était le manque d'émotion et l'indifférence dans la façon d'en parler qui posent problème sur le coup. Dans l'immédiat, ça a cassé l'ambiance instantanément et vu le timing, c'était trop tard pour repasser sur du plus léger.
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [+1] Constructif le 28.04.16, 17h38 par Jsh
  • [0] Effectivement le 28.04.16, 20h15 par Thedaze
  • [+1] Intéressant le 29.04.16, 01h11 par LittleNeapolis

Pas te justifier, juste expliquer plus précisément pour mieux comprendre pourquoi ça coince. C'est fait du coup.

amelia a écrit :Mais quand on m'explique que sa soeur est une connaissance sans sourciller, oui ça me choque sur le coup. Parce que je fais la comparaison immédiate avec mon frère que j'aime profondément. Parce que la famille pour moi c'est important.

(...)

Un homme qui a la valeur de la famille. C'est important pour moi. Comme le sens de l'amitié. ça recoupe l'idée d'une capacité à donner de l'amour, la fidélité émotionnelle.
J'aimerais avoir l'avis d'autres forumeurs. Vous êtes d'accord avec l'opposition qu'Amelia fait entre "Valeur de la famille" et "fidélité émotionnelle" et le rapport que le gars a à sa sœur ? (Et Amelia, n'y voit aucune remise en cause implicite de ton avis ou quoique ce soit. Ca fait un moment que je me posais cette question, le hasard fait que tu as fini par la poser sur le forum.)

(Si c'est trop hors sujet, je peux forker, pas de problème, demandez en tag du post.)


Sinon...
Et qu'au delà du contenu c'était le manque d'émotion et l'indifférence dans la façon d'en parler qui posent problème sur le coup. Dans l'immédiat, ça a cassé l'ambiance instantanément et vu le timing, c'était trop tard pour repasser sur du plus léger.
J'arrive pas à arrêter de me poser la question de si son timing WTFtesque ne contredit pas justement l'indifférence qu'il affiche. Mais c'est juste une hypothèse: pas assez d'éléments pour juger.
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [+1] Intéressant le 29.04.16, 07h34 par The_PoP

Je comprends la relation faite entre fidélité émotionnelle et valeurs familiales, mais je la trouve incomplète.

Prenons le cas d'une personne ayant vécu dans une famille "dysfonctionnelle" (je n'aime pas ce mot) et qui a developpé un sens de l'amitié plus fort que le sentiment familial.

On ne connaît pas l'histoire approfondie des personnes pendant les premiers rendez-vous, d'autant qu'une certaine retenue apparaît quasi automatiquement sur les thèmes chargés émotionnellement (famille, blessures, etc.). On ne peut donc pas complètement présager de la capacité d'une personne à aimer ou à être fidèle juste en observant ses liens familiaux (ou amicaux, ou autre).

J'arrive toutefois à comprendre qu'une personne très branchée famille ait du mal à envisager une relation avec quelqu'un qui ne partage pas ces valeurs car ça peut coincer à un moment à un moment.

Si l'un/une est régulièrement avec ses freres et soeurs et kiffe les repas, les rassemblements ou les vacances en famille ; alors que l'autre est mister ou madame potes et sorties qui ne prend pas de autant de plaisir à voir sa famille, il peut y avoir un souci.

Moi je trouve ça dommage que quelqu’un soit en froid avec un membre de sa famille, mais je comprends. Quand il s’agit de quelqu’un que je connais depuis peu, ça ne me regarde pas.

Comme Amelia l’a précisé, c’était choquant dans le contexte, parce que le mec avait manifesté ça d’une certaine façon qui rendait ça choquant. Je remarque quand même que ça me trouble davantage, personnellement, dans le cas de jumeaux, dont on dit (après, ce n’est qu’un « on dit ») qu’ils partagent un lien plus fort que des frères/sœurs ordinaires.

Sinon, je suis d’accord avec toi Thedaze quand tu dis que quand la famille de l’autre est trop présente, ça a un côté tribal qui est déplaisant.

Le fait que ce soit sa sœur jumelle ajoutait quelque chose en effet sur le choc.

En réalité la fidélité émotionnelle, la façon d'aimer, j'essaie de la cerner consciemment et inconsciemment en observant l'autre parler de ses proches, et en établissant s'il est très proche de ses amis et/ou famille, comment il vit ses liens là. Et c'est vraiment autant la façon d'en parler que l'état des choses qui est révélateur.
Je suis "famille", "amis", j'ai un côté très maternel et présent mais je suis aussi une solitaire. Donc je sais que volontairement ou pas, je cherche un profil compatible avec ça.

Je ne fais pas la scission famille/amis parce que les uns peuvent devenir les autres. Ici je n'ai pas parlé de ses amis sur les deux rendez-vous (il n'a d'ailleurs jamais évoqué aucun de ses amis en 9h de rendez-vous), mais de sa famille. Ça a été ma façon d'évaluer ce critère là.
D'ailleurs le fait qu'il ne me parle pas de ses amis, à aucun moment a fait partie de ce qui m'a interpellée.
C'est proche d'une sorte de social proof tout ça dans l'idée.
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [0] Intéressant le 29.04.16, 10h43 par Blusher
  • [+2] Très intéressant le 29.04.16, 11h23 par Thedaze

Je comprends ton point de vue amelia mais il est trop classique et traditionnel.

Il y' a plein de facteurs qui peuvent amener des gens à parler froidement de leur famille. Beaucoup de mes connaissances me prennent pour un fou quand je leur dis que je pourrais regarder mon père mourir sans sourciller. Alors bien sûr ce n'est pas totalement vrai, je l'aiderai au mieux si je pouvais mais je ne lui donnerai pas un rein s'il en avait besoin et qu'on était compatible par exemple.

Le vécu familial est quelque chose de très marquant et j'ai remarqué que plusieurs personnes étaient négativement marquées par ce vécu jusque dans leur vie d'adulte. Peur de l'abandon, du rejet, comportement violent et destructeur, goût du risque exacerbé... Et ces mêmes personnes peuvent te raconter des horreurs vécues dans leur enfance avec le sourire et même une certaine nostalgie.
Et je me rappelle quand j'avais 9 ans et que je comptais jusqu'à 5 pour me donner du courage et sonner... chez moi parce que je savais que mon père était là. Je ressens encore la peur, la panique même, le désarroi de savoir que fuguer ne sert à rien parce que au pire tu meurs de faim et au mieux tu vas retourner dans ta famille. Et c'est un seul exemple parmi tant d'autres.

Vous savez ce qui est marrant? Mon père se plaint aujourd'hui que je ne vais jamais le voir, il ne comprend pas pourquoi je ne laisse pas tout cela dans le passé, il ne regrette rien et pense que je surréagis. Et tous les autres membres de ma famille sont d'accord avec lui.

Je ne suis pas un cas unique. Je me rappelle d'une émission sur TF1 quand j'étais ado et qui s'appelait "C'est quoi l'amour". Il y' avait un adolescent de quinze ans qui avait deux petits frères de huit et cinq ans, ses demi-frères. Il les obligeait à lui faire des fellations. Quand leur mère l'a découvert, elle a dénoncé son fils ainé aux autorités mais elle a aussi forcé par du chantage affectif ses plus jeunes fils à pardonner à leur grand frère. Pour renouer avec la famille. Et le plus flippant c'était les adultes qui s'extasiaient à côté que des enfants si jeunes aient eu la force de pardonner. Comme s'ils avaient le choix.

Ce sont des exemples extrêmes mais plus courants qu'ils en ont l'air. Je ne connais personne dans mon entourage immédiat qui n'ait pas vécu d'une manière ou d'une autre un abus psychologique, physique ou sexuel dans son enfance. Et la plupart d'entre eux sont très attachés à leur famille et aux valeurs familiales. Ça fait peur.

Je ne dis pas que c'est ton cas amelia et je ne te le souhaite pas, du plus profond de mon cœur. Mais il faut voir à ne pas juger des gens parce qu'ils ne sont pas familles. Comme je ne juge pas les gens qui sont très attachés à leur famille malgré ce qu'ils ont vécu (ou pas d'ailleurs) en leur sein, je ne vais pas m'éloigner d'eux parce que je considère qu'ils ont le syndrome de Stockholm (je caricature).

Je pense qu'il faut toujours laisser une chance aux gens pour ce qu'ils sont d'abord et puis pour leurs valeurs ensuite. Leurs valeurs font partie d'eux mais ce ne sont pas eux en entier. Quand je dis aux gens que j'ai des amis racistes, ils sont choqués (parce que je suis noir, mais tout le monde a des amis ou de la famille raciste). Ce ne sont pas vraiment mes amis et ils ne sont pas vraiment racistes (ils sont identitaires) mais je peux passer d'agréables moments avec eux et pourtant nous n'avons pas du tout les mêmes valeurs. Ils ont d'autres qualités que j'apprécie: ils sont cultivés, drôles, ils savent faire la fête, ils sont passionnés...

Après je comprends ton point de vue. Mais ce n'est pas si simple.
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [0] WTF le 15.05.16, 17h42 par Mr.Smooth
  • [0] Arrête la drogue le 21.05.16, 01h58 par Onmyoji

Trop classique et traditionnel ? Je ne vois pas en quoi.
Je pense que tu m'as mal lue. Sinon tu aurais compris le pourquoi du comment j'ai reagi comme ça à cet instant précis. C'était un ressenti qui a refroidi mon rapprochement physique avec lui. C'est tout. C'est quand même pas le sujet parfait pour embrasser une nana quand même, on est bien d'accord?

Il n'y a rien de plus dans ma réaction et je sais parfaitement que ce n'est pas si simple. Que le passé familial et machin et ceci. Mais au bout d'un moment c'est juste de l'intelligence social et de séduction. Tu ne dis pas une nana au moment où tu dois l'embrasser que tu te fous de ta sœur parce qu'elle a choisi une autre vie. Je sais pas moi, ça me semble logique quand même.

J'avais pas forcément envie de me justifier tant que ça sur une si petite chose de mon récit.

Pas de justification demandée. Dans le contexte je comprends, surtout dans un date. Je ne me focalise pas du tout sur ça.

De manière générale je parle. Le titre c'est le rapport à la famille après tout et dans ton cas ce n'est qu'un exemple dans la séduction. Mais tu as parlé d'autres choses en filigrane que de ton date et j'essaye d'apporter un autre point de vue.

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