Les jobs de séducteurs...

Salut,
Je me demandais quel jobs fait un séducteur, est-ce que ça l'aide à créer une vie sociale de fou, faire des rencontres avec de belles demoiselles?

J'ai un pote barman, il ne fait rien pour se retrouver à choper la poulette qui passe. Vu de mes yeux, elles notent leurs numéros sur le ticket de caisse avant de se barrer toutes sourire, le popotin agité par je ne sais quelle tempête émotionnelle.
Ancien colocataire musicos,DJ, même chose.Toujours invités dans X ou Y soirées dans lesquelles il me trainait, probablement par pitié.
Pote d'enfance sous directeur d'une grosse boite international, un coté Barney Stinson. ll envoi du lourd et m'a fait rêver plus d'une fois avec ses gonzesses venues des quatre coins du globe.
Et mon ex voisin coach sportif, en photo presque à poil sur son facebook. Idem. Une vie à faire du bodypump et à baiser. Incroyable.

Bon j'ai eu tendance à mettre les grands queutards sur un piédestal mais je me soigne.

Je bosse dans le bâtiment et je vous apprend rien en vous disant que ce n'est pas un terreau de rencontre fantastique... J'ai surtout rencontré la raie des fesses du compagnon d'en face, accroupi sur son morceau de plan flétrie et bientôt couvert de cendre du mégot coincé depuis trop longtemps dans son bec mal rasé.

Néanmoins, le fait de travailler de ses mains a quelque chose de fascinant pour la plupart des femmes, encore plus quand le métier sors de l'ordinaire. Se fut mon point fort lors du départ de toutes conversations un peu sérieuses:
Moi: "Bon et à part descendre des mojitos, tu fais quoi dans la vie?"
Elle: "Je suis (job quelconque dans une entreprise X, disons coiffeuse de poney chez Bisounours&co) et toi?"
Moi: "Je suis ........-..-......"
Elle: "Waouh ok, t'es le premier ........-..-...... que je rencontre, blablabliblablabla, super intéressant, bloubloublou, et ça se passe comment...."
Mouhaha!
Voila 3615 mylife est terminée!

Et vous, qu'est ce que vous avez fait qui vous permettent de faire des rencontres, professionnellement parlant?

Fatalement, si tu es DJ face à des filles qui dansent avec un coup dans le nez, c'est plus excitant que si tu racontes ton épanouissement dans ton métier de comptable.

Y a pas vraiment de mystère, en fait il faut faire un job qui t’épanouisse et voir sur le long terme.

Etre barman, Dj, tout ça.. enfin tout les métiers HYPE qui sont des aimants à gonzesses, c'est sympa le temps de sarguer mais une fois que tu as trouvé la bonne, si elle est un brin jalouse.. Aie.

L'avantage de l'épanouissement c'est qu'il peut transformer n'importe quel métier basique en bombe.

Après faut plutôt raisonner avec tout les avantages que ton métier t'offre et les perspectives d'évolution.

Y a une manière de dire les choses.

Pamela : ''Tu fais quoi dans la vie ?"

Ex 1 : "Je suis chocolatier. bla bla bla"

Ex 2 : ''Ahah, c'est drôle que tu me demande ça parce que l'autre jour, alors que j'ai réalisé cet ENORME lapin au chocolat noir avec des petites de caramel, un vrai lapin est entré dans la boutique bla bla bla.."

Et puis, y a beaucoup d'avantages à travailler dans le manuel si tu es un mec habile de ses mains (mis à part pour le sexe). Crois moi que Mademoiselle Avion de chasse, fera plus facilement appel au mec hyper sympa qu'elle a rencontrée qui sait réparer sa fuite d'eau et lui monter son dernier meuble Ikea (petit bonus si tu monte le lit ).

Thedaze a écrit :J'ai un pote barman, il ne fait rien pour se retrouver à choper la poulette qui passe. Vu de mes yeux, elles notent leurs numéros sur le ticket de caisse avant de se barrer toutes sourire, le popotin agité par je ne sais quelle tempête émotionnelle.
Ancien colocataire musicos,DJ, même chose.Toujours invités dans X ou Y soirées dans lesquelles il me trainait, probablement par pitié.
Pote d'enfance sous directeur d'une grosse boite international, un coté Barney Stinson. ll envoi du lourd et m'a fait rêver plus d'une fois avec ses gonzesses venues des quatre coins du globe.
Et mon ex voisin coach sportif, en photo presque à poil sur son facebook. Idem. Une vie à faire du bodypump et à baiser. Incroyable.

Bon j'ai eu tendance à mettre les grands queutards sur un piédestal mais je me soigne.

Je bosse dans le bâtiment et je vous apprend rien en vous disant que ce n'est pas un terreau de rencontre fantastique... J'ai surtout rencontré la raie des fesses du compagnon d'en face, accroupi sur son morceau de plan flétrie et bientôt couvert de cendre du mégot coincé depuis trop longtemps dans son bec mal rasé.

N'as-tu jamais essayé de traîner avec eux et voir comment ils se débrouillent? Voire mieux, qu'ils te "coachent"?
Tu peux être DJ, chanteur, etc., si tu n'es pas passionné par ce que tu fais, tu seras beaucoup moins attractif pour la gente féminine.

Thedaze a écrit :Néanmoins, le fait de travailler de ses mains a quelque chose de fascinant pour la plupart des femmes, encore plus quand le métier sors de l'ordinaire.

Aimes-tu ton job?

Thedaze a écrit :Moi: "Bon et à part descendre des mojitos, tu fais quoi dans la vie?"

Quand je reçois cette question, je réponds souvent: "Là? Je suis en train de boire un verre avec toi (ou "une belle fille" suivant la tournure de l'interaction)". Mais je passe rapidement au développement de ce que je fais car cette "blague", ça fait sourire 2 secondes.

Thedaze a écrit :Elle: "Je suis (job quelconque dans une entreprise X, disons coiffeuse de poney chez Bisounours&co) et toi?"
Moi: "Je suis ........-..-......"
Elle: "Waouh ok, t'es le premier ........-..-...... que je rencontre, blablabliblablabla, super intéressant, bloubloublou, et ça se passe comment...."

Plutôt que de balancer le nom de ta profession de but en blanc, développe une histoire autour de ta profession avec une anecdote (positive) qui t'a marqué.

Thedaze a écrit :Et vous, qu'est ce que vous avez fait qui vous permettent de faire des rencontres, professionnellement parlant?

Je ne sais pas si j'ai saisi le sens de cette question. Parler boulot ou de mon cv, vient bien après avoir créé une connexion ou avoir parlé de sujets circonstanciés par exemple. Je déteste commencer avec une fille qui me plaît ou un gars sympa par les questions bâteau à la c** (cf: comment tu t'appelles? Tu fais quoi ici? Tu viens d'où? Tu habites où en ville? Tu es là combien de temps? etc.).

Hydrogene a écrit :Aimes-tu ton job?

Je l'ai aimé mais plus maintenant. Clairement non. C'est pour ça que j'aspire à changer bientôt pour de meilleurs perspectives.
J'ai une réponse pour ma reconversion au mois de Juin. Je croise les doigts et touche du bois en même temps.

Et pour la question:
Et vous, qu'est ce que vous avez fait qui vous permettent de faire des rencontres, professionnellement parlant?

Je parlais plutôt de jobs qui font connaitre du monde, voyager, sortir souvent...
Quand on peut lier l'utile à l'agréable, c'est toujours mieux.

Hydrogene a écrit :Je déteste commencer avec une fille qui me plaît ou un gars sympa par les questions bâteau à la c** (cf: comment tu t'appelles? Tu fais quoi ici? Tu viens d'où? Tu habites où en ville? Tu es là combien de temps? etc.).

Faut que je travail la dessus: j'ai trop souvent tendance à ouvrir avec ce genre d'opener bidon, surtout en journée, alors que moi même j'adorerai pas qu'on m'aborde comme ça.

prout

Clichéééééééééééééééééééé.

J'attendais un paragraphe sur la star du Rock cocaïnomane, qui baise ses fans de 14 ans, et qui leur fait des gosses illégitimes à la pelle. Je suis déçu.

scrogneugneu

Non mais t'es ridicule.
C'est du cliché qui ne dépeint qu'une petite partie de la réalité.
Je vais te la faire brève, je baigne dans le milieux HEC, je connais des traders, et des barmans, et ton paragraphe c'est une espèce de démagogisme pourri en mode "ouais mais ils le payent à côté, leur succès"
Juste non. T'as des mecs avec des boulots glamour qui sont équilibrés.

Il faut arrêter de vouloir une justice cosmique de derrière les fagots. Grandis.

Je suis DJ, Barman et Patron de boite et impossible de trouver de la drogue chez moi, je me sens has been ..

Par contre je confirme que la plupart des gens du monde de la nuit sortent avec des gens du monde de la nuit , mais c'est plus un choix de vie qu'autre choses. C'est pareil chez les medecins et personne trouve ça extraordinaire..

(et l'anecdote sur Buffet est totalement fausse)

Ououh, je revient de vacances et ça bouge sur le thread!

Personnellement j'ai fais mon chemin depuis que j'ai posté cette question.

C'est aussi cliché de dire qu'un ouvrier est quelqu'un de formidable parce qu'il travail de ses mains, que de dire qu'un trader ramasse des filles avec son pognons.
Dans les deux cas c'est possible... et l'inverse aussi.
Le travailleur manuel, comme l'artiste peintre, le patron de boite ou l'employé de banque peuvent très bien faire leurs jobs, et même y exceller, et être en même temps de parfais malotrus, abrutis... Je vous laisse le choix du terme.
Ou bien on peu être un génie dans n'importe quel domaine et ne pas avoir une vie épanouie. (entendre ne pas avoir une vie sexuelle épanouie non plus).
Après le cliché du patron de boite qui prend de la cocaïne... je connais des chirurgiens qui font pareil si on veut vraiment aller par là... Il y a des gens toxiques de partout.

Néanmoins, ce que je remarque c'est que la contrainte "temps" est plus au moins bien vécu selon le milieu professionnel.

Je m'explique:

Expérience personnelle.
Quand j'ai ouvert ce sujet j'avais un poil de frustration par rapport à ma vie professionnelle, et surtout déçu de ce qu'elle m'avait apporté.
Quand j'ai décroché mon premier CDI dans le bâtiment comme ouvrier qualifié, je bossais en moyenne 50 h par semaine sans compter les déplacement pour rentrer chez moi et la fatigue à récupérer.
Le job était pas mal certes, mais je ne rencontrais guère de monde sur les chantiers.
Je ne vous parle même pas de faire des rencontres féminines.Vous l'aurez remarqué, il n'y a pas foule de nénettes dans ce genre d'endroit et on peu facilement comprendre pourquoi.
ok Caliméro off

Bref, j'ai fini de péter un câble et j'ai démissionné.

De là j'ai compris l'importance de trouver un boulot qui me laisserai du temps pour moi. Le job que j'avais était plus que bien payé, mais le jeu n'en valait pas la chandelle. Le temps ne s'achète pas avec de l'argent (pas que je sache).
Il y a peu de chance que je fasse une belle rencontre en restant scotché dans un bureau d'étude ou sur un chantier (ne jamais dire jamais! je sais, mais tout de même...)
Maintenant le but du jeux consiste à se créer le plus de temps disponible pour mes quelques loisirs et se créer une vie social riche et intéressante.
Et ça prend un p.... de temps et d'énergie! Surtout quand vous commencez presque à zéro.
Je ne parle que de mon expérience perso mais je sais à quel point on peu se laisser enfermer dans n'importe quel taf.
Le mec qui inventera le détecteur à burn-out retiendra toute ma considération .

A contrario j'ai des amis qui travaillent beaucoup aussi, bien plus que moi: commerce, médecine, monde de la nuit.... Et ils trouvent leurs bonheurs sur leurs lieux de travail, ou bien de manière détournée par les contacts créer professionnellement.
Ils aiment leurs boulots et en plus ça leur permet de faire des rencontres et d'élargir constamment leurs cercles sociaux.
Aiment-ils leurs jobs pour cette dernière raison?
Ou bien parce qu'ils apprécient fondamentalement ce qu'ils pratiquent, et en découle une attractivité sociale plus importante? Je n'ai pas la réponse.
Probablement un mix des deux...

Ce dont je suis sur c'est qu'en passant sa vie à bosser dans un milieu déserté par les femmes, on diminue les chances d'en trouver une qui soit la bonne pour soi. Chose qui me semble évidente.

Ma question était inconsciemment tournée dans ce sens. J'aurais surement pu mieux formuler.

Tulpa parle de "choix de vie" et c'est un point autrement intéressant à développer je pense.
Notre bien être passe par ce que nous faisons et à part être rentier, on est tous à aller bosser tout les jours pour vivre. Ca fait parti d'un tout qui nous conditionne et oriente notre vie d'une telle ou telle façon.
Je conçois l'épanouissement personnel comme un but dans la vie.
Construire un empire ou avoir beaucoup d'argent ne m'intéresse pas. Bon assez d'argent quand même pour vivre correctement et kiffer la life.
Et même si l'idée de bâtir un harem m'a légèrement effleuré à l'adolescence, une seule femme dans ma vie me suffit, me suis-je rendu compte un peu plus tard.

Ma conclusion:
Trouver un job assez intéressant et rémunérateur qui laisse du temps pour améliorer sa vie (et soi même). Et trouver quelqu'un de bien.

Ou

Exercer un taf passionnant et chronophage dans un milieu drainant un publique féminin. Et trouver quelqu'un de bien.

Ou

Etre suffisamment efficace en séduction et mettre à profit le peu de temps extra professionnel. Et trouver quelqu'un de bien.

Ce dernier point est important. On est tous ici un peu pour ça quand même. S'améliorer en séduction et faire mouche. Mais ça prend du temps. Faut s'exercer, faire des expériences, passer par une phase d'introspection et développement perso. Donc retour case une.

Donc les informaticiens (mis à part ceux qui sont payés au projet) peuvent se la mettre derrière l'oreille ? D'autant plus si c'est leur passion et qu'ils ne se voient pas bosser ailleurs ? Et qu'ils ont du chemin à rattraper pour avoir une habileté sociale suffisante pour trouver quelqu'un pour eux ?

on pas du tout animale. Je n'ai pas dit ça.

animale a écrit :Donc les informaticiens (mis à part ceux qui sont payés au projet) peuvent se la mettre derrière l'oreille ?

Bien sur que non les informaticiens ne se la mettent pas sur l'oreil. (A moins d'une grande souplesse)
Pas plus que le maçon, le chauffeur de bus ou le comptable.
C'est pas tout à fait une question de job en soi, mais plutôt une question d'environnement de travail et de temps consacré à sa vie personnelle.
NB: Je connais au moins deux informaticiens qui choppent grave. ;)

animale a écrit :D'autant plus si c'est leur passion et qu'ils ne se voient pas bosser ailleurs ?

C'est beau d'avoir en métier sa passion. Mais quand ton métier te prend tout ton temps et ne t'amène pas à rencontrer grand monde, il va être compliqué pour le passionné de séduire qui que ce soi. D'où l'importance de s'aménager des moments pour développer et entretenir son cercle sociale et son potentiel séduction.
Mais c'est aussi valable pour quelqu'un en couple par exemple. C'est forcement un truc à construire à deux, donc il va falloir en tant que membre du couple apporter sa pierre à l'édifice. Et crois moi, le couple n'est pas forcement un bâtiment facile à entretenir dans le temps.

animale a écrit : Et qu'ils ont du chemin à rattraper pour avoir une habileté sociale suffisante pour trouver quelqu'un pour eux ?

Le chemin à parcourir est propre à chacun de nous.
Certaines personnes sont naturellement confiantes et attirantes. Tant mieux pour elles. Ce genre de personnes, appelées "natural" parfois, n'auront que peu de difficulté socialement, qu'importe l'activité professionnelle.
Moi je parle ici du mec qui essaie de s'améliorer en partant parfois de très loin. Encore une fois qu'importe son activité pro. Si il y a de gros effort à fournir et que le sujet est un peu mou et pas toujours très doué, ça va prendre plus de temps qu'un type qui pige tout du premier coup et qui rebondi du tac-au-tac.
Dans tout les cas, ce temps, il va falloir le trouver.
Et c'est là ou la personnes qui est professionnellement active, va se retrouver devant le dilemme charge de boulot versus temps perso.

Et pour finir de répondre. J'ai aussi des amis qui se "la mette sur l'oreil" en toute connaissance de cause. Pour l'instant, pour eux, la carrière passe avant la vie perso. Ils ont envie de monter, alors ils renoncent à certaines choses. C'est aussi un choix de vie. (J'en connais pas beaucoup quand même..)

Je me pose la même question. Voici où j'en suis de ma réflexion :
- Il y a ce que j'aime : La musique. L'art. Les sciences. Les voyages, les langues étrangères et les paysages.
- Il y a le mix entre l'histoire familiale, l'éducation, l'influence de la société et l'influence de l'Education Nationale dans mes choix d'orientation.
- Il y a la réalité économique : le marché de l'emploi, le marché de l'immobilier, les exigences de garanties des bailleurs pour louer et celles des banques pour prêter
- Il y a le besoin de financement : Pour manger, se vêtir, se loger, se cultiver, se déplacer, voyager, aller au resto, faire de la musique ou du sport, etc... il faut le financer.

Entre tout ça, il faut trouver un équilibre.

Je pense qu'on en demande trop au travail. Un travail est là d'abord pour nous permettre de subvenir à nos besoins matériels, sans nuire à notre santé physique ou psychique.

Qu'il ne nous nuise pas, c'est très important, et difficile à atteindre par les temps qui courent. Heures à rallonge, empiètement sur la vie privée, pression des objectifs, management par la terreur, conflit avec ses propres valeurs : des dangers contre lesquels il faut s'armer et être vigilants à chaque instant.

Mais pour peu qu'on parvienne à contrer les impacts négatifs du travail, celui-ci nous permet de vivre des relations sociales, des relations amicales, des relations amoureuses et des passion. Il le permet grâce au financement qu'il rend possible.

Il n'est pas nécessaire d'être riche pour séduire. Mais par contre, il faut de l'argent pour financer certaines choses comme :
- Un appartement pour accueillir une femme chez soi
- Une voiture et le carburant pour sortir et circuler à sa guise
- Une séance de ciné, boire un verre, aller au resto, partir en vacances avec ses amis
- Un instrument de musique, une platine de DJ, un appareil photo, ou tout autre matériel nécessaire à une passion.

De plus, dans n'importe quel travail, on peut rencontrer des gens et entrer dans leur cercle social. Ils peuvent peut-être nous inviter à une soirée où l'on rencontrera une femme.

Enfin, même le travail le plus basique peut apporter confiance en soi et fierté lorsqu'il se déroule dans un cadre sain, et qu'on peut l'exercer conformément à ses valeurs.