Disclaimer
Je serais volontairement provocateur dans cet article.
Intro
"Donc elle t'as sucé pendant 40 minutes, elle t'as fait une gorge profonde, une branlette espagnole, et des trucs un peu plus hard la deuxième fois que vous vous êtes vu, et surtout la première fois qu'elle est allé chez toi?!
La chance...quelle salope!"
J'avais serré mon poing en entendant ça. Et j'avais été très déçus.
Je ne sais pas si je l'avais cherché, parce que -ouais- entre potes, on parle de cul, de boules et de boulards. Et ouais, c'était la première fois que je me confiais un peu plus en détail sur ce qu'il était advenu une fois une fille dévêtue auprès de moi.
Je ne sais pas si c'est mal, que de parler de sa vie sexuelle et des ses rencontres. Et je vais dire que je suis quelqu'un de candide, voir de naïf, et qu'il m'était venu le désir d'en parler parce qu'un épisode m'avais marqué. Que ça m'avais rendu content, que j'avais été heureux de croiser une fille, et de partager mon corps avec elle, et vice versa.
J'avoue, il y a toujours une part d'égo.
Mais il y a aussi un enthousiasme. Et mon expérience, je pense en parler majoritairement avec enthousiasme, en m'emportant un peu dans des trucs esthétisés, parce que je reste moi quand même.
Enfin, le décor est planté.
Je parlais d'une expérience avec une fille, qui s'était avérée très agréable et concluante, parce que le sujet était nos dernières ou meilleurs expériences.
Et cette remarque là, balancé par un pote "La chance...quelle salope!", ça résume à peu près tout ce qui ne va pas dans la vision de la sexualité chez la plupart des mecs.
Alors, certains me diront "Ouais, mais salope, ça peut être dans un sens juste sexuel, de fille qui s'assume et qui se fait plaisir blabla".
Non. Parce que:
1) J'ai creusé dans la plupart des cas le sens de ces remarques, et c'est vraiment vaseux.
2) Si tu veux souligner l'habilité d'une femme a exprimer le désir, la tendresse, l'attachement qu'elle à pour toi, ne serais-ce que pour un soir, je crois qu'il y a des termes plus parlants que "Salope".
Et j'avoue avoir été un peu atteint par le constat qu'il existe réellement une dose de médiocrité chez la plupart des mecs (je ne sais pas si c'est pareil chez les filles).
Un Constat Amer
On a tous l'image de Dédé qui joue au PMU, qui est gros et moche, qui a la mauvaise quarantaine, qui se fait chier avec Chantal, qui boit un peu trop et qui as fondamentalement une image merdique des femmes.
Mais Dédé est surement pauvre, passe encore, mais surtout moche et pas très éduqué, donc au final, que Dédé conspue les femmes, qu'il en parle comme de la viande , parce qu'il doit sûrement avoir un vie sexuelle misérable, on s'en fout.
Ça n'as pas d'impact.
C'est un laissé pour compte, un malheureux à qui l'on est prêt à pardonner. Dédé n'est pas dangeureux. Dédé est une caricature de lui même.
Et souvent, on pourra penser que ce que l'on a très maladroitement défini comme le "machisme", c'est limité aux rappeurs de 2nd zone, aux mecs en club de sport type bœufs aux hormones, et aux Dédés.
Mais c'est faux.
Alors j'annonce la sauce tout de suite, si je me considère comme féministe (non pas par conviction pure, mais juste parce que c'est un corolaire inévitable ma conviction ultra libertaire), je ne suis pas ici par taper sur les hommes et la condition humaine, sur la société et faire dans la victimisation. Je trouve ça creux et facile, et à vrai dire, j'en ai rien à foutre.
Ce qui m'intéresse, c'est de surligner des comportements qui sont très présents dans nos entourages, de les analyser dans leurs torts pour ensuite permettre à des individus de réfléchir et d'améliorer leur quotidien.
Là.
Donc, je me dois de constater que même si c'est plutôt bien camouflés, voir insidieux, la vision des femmes qu'ont la plupart des mecs est juste bidon.
Si vous interrogez 90% de mes potes, ils sont féministes, ils respectent les femmes, et leur veulent du bien.
Mais c'est encore une fois le discours de façade, celui qui ne tient pas deux secondes dès qu'on est confronté à nos émotions, comme ces gens qui se disent contre la peine de mort et qui viennent hurler comme des décérébrés "A mort" dès qu'un violeur présumé coupable défraie la chronique.
C'est un peu comme la xénophobie ou l'homophobie, ce sont des trucs tapis, et quelques remous suffisent à montrer que non loin d'avoir réglés les problèmes à coup de quotas dans les pubs, ou de manuels d'éducation civique puant la bien pensance, il existe bel et bien un malaise, des pensées biaisées et vraiment pas terribles.
Le problème c'est que la racine de toutes ces choses c'est la connerie humaine, et plus grave que ça, le manque initiative des gens à s'intéresser à autre chose qu'une vision qu'il se sont forgé ou qui leur a été forgé à un moment ou un autre. La stagnation intellectuelle.
C'est la même chose avec la vision des femmes, un discours de façade, des quotas, des livres d'éducation civique pour bien pensants, la femme libérée, du porno, de l’hyper sexualisation.
Et pourtant....
Pourtant, une fille qui se donne à toi de manière très sensuelle le premier soir, c'est une salope.
Pourtant, il y a encore beaucoup de gens qui continuent à se réfugier dans des concepts type "femme pure".
Pourtant, une grande partie de mes potes continuent à faire cette dichotomie ultra merdique entre "filles à baiser" et "filles biens" que je trouve tout bonnement insupportable. Qu'une fille qui s'habille sexy sera encore une fois une "salope".
Et pour en rajouter une couche, les femmes aussi se jugent entre elles.
Alors, pour réexpliquer l'image de Dédé, le drame se situe à ce niveau: on pourrait penser que ces visions du monde sont réservés à des gens frustrés, qui par manque et déception d'eux même jugent pour se sauver la face, mais ce n'est pas le cas.
Je connais des mecs qui baisent pas mal, voir beaucoup, et qui ont cette vision là. Alors tous ne sont pas extrêmes, et la plupart ne se rendent même pas compte de ce qu'ils pensent.
Ils couchent avec des filles "pas respectables", pour se "vider".
Pour eux, il est quasiment impensable de ne pas céder à une fille qui te veut, pourvu qu'elle ai pas les dents et les yeux de travers et qu'elle ne pèsent pas le quintal (pour caricaturer).
Enfin, il y a cette idée qu'il y a des relations avouables, et d'autres qui ne le sont pas. Et ces dernière doivent être pondérés, légitimées, en disant que c'est une fille pas respectable et que c'était juste pour le cul.
Je trouve tout ça assez navrant.
Soit on assume ce que l'on fait, soit on couche qu'avec des filles qui nous plaisent vraiment. Et à vrai dire, pour une vision saine, les deux propositions sont confondues et vraies: j'assume coucher avec des filles car elles me plaisent ET j'assume qu'elle me plait parce que j'ai couché avec elle.
Alors toutes ces visions, que ce soit du côté des filles ou du côté des mecs, ça fait que nos relations restent dans un espèce de flou constant, des filles qui veulent se faire et nous faire plaisir mais qui ont peur et se sentent coupable, et des mecs qui veulent et ressentent la même chose.
Piste d’explications
Le principal problème quand a cette vision de la sexualité des femmes s’explique d’un décalage entre les mentalités et les enjeux actuels.
Très schématiquement, depuis que l’Homme est sédentaire et n’élève plus ses mioches dans la communauté nomade mais plutôt dans une cellule familiale donnée, un des principaux enjeux est de savoir si le père est bien le père de sa progéniture.
Comme l’indique cet adage de droit latin, mater semper sicur est, la mère est toujours sûre. Sure de quoi? Que son enfant est bien le sien.
Le père ne l’est pas, et comme il n’a pas forcément envie d’assumer ce qui est à autrui, et surtout parce que c’est naturel de vouloir générer une descendance, en sort une volonté de contrôle que les sociétés ont légitimée.
En gros: Femme qui couche=risque de ne pas connaitre les identités des pères= bordel dans le groupe=danger.
Et puis on ajoute à ça l’enjeux de la grossesse en elle-même.
Bref, c’était comme ça, et aujourd’hui, ça ne l’est plus. Mais la mentalité reste. Ces notions de pur et impur, ce sont des constructions qui ont servies à faire respecter un ordre reconnu comme utile par la communauté des humains à un moment donné.
La chaîne est aujourd’hui brisée.
Mais tout ne s’explique pas par l’histoire sociale.
Il y a les évolutions d’un côté, et puis la nature de l’homme.
Et c’est souvent une volonté de contrôle devant un monde un peu chaotique qui pousse les gens à adopter des raisonnements simplificateur et des raccourcis intellectuels.
Il y a ça, et puis l’égo.
Constat: dans les relations humaines comme ailleurs, on a tendance à chercher un bénéfice subjectif pratique (je suis avec cette personne car j’ai envie d’être avec elle, elle me procure joies et plaisirs, et j’aime lui en procurer de mon côté) et un bénéfice objectif théorique (je suis avec cette personne car elle a de la valeur et ça permet de prouver que moi aussi j’en ai, et ce auprès des autres).
Et ça, dans des proportions variables. Bien sur, vous vous doutez que le sujet de fond c’est bel et bien le fait de s’émanciper du regard des autres en se construisant pour avoir suffisamment confiance, mais c’est trop vaste à couvrir.
Bon, c’est provoc’, mais les relations, c’est comme les voitures: on aime la Ferrari (L’Alfa Roméo, la Ford, qu’importe) autant parce que la voiture est chouette, qu’elle nous parle selon nos gouts, qu’elle a de sacré performances, que parce qu’elle montre aux autres que l’on a un certain statut.
Les deux sont souvent assez liés, puisqu’un truc chouette aura tendance à être chouette pour les autres et inversement.
Le problème de fond, c’est donc la recherche de valeur dans le yeux des autres.
Tant que l’on désire quelque chose de reconnu, ça passe, et il n’y a pas de problèmes socialement, même si c’est assez médiocre en tant que tel.
Là ou tout se corse, c’est quand les deux envies se confrontent:
Cas A) Je veux une chose, mais l’avoir pourra me causer préjudice du fait d’autrui-à ça donne ces mecs qui couchent avec des filles qui leur plaisent puisqu’il couchent avec, mais qui essaient de sauver la face sociale en disant que c’était juste pour baiser et que c’était une salope (les deux vont souvent de pair).
L’acte sexuel est ramené à du vidage, un besoin physiologique et tout l’aspect humain est retiré.
Cas B) Je ne veux pas vraiment cette chose, mais l’avoir permettrait de me prouver à moi et aux autres que j’ai de la valeur -à c’est le cas de la horde de mec qui veulent coucher avec une fille « bonne » pour leur égo.
Je pousserai jusqu’à dire que les mecs qui n’osent pas aborder ou rentrer en contact avec les filles belles est le signe qu’ils ne les veulent pas vraiment. Ils se trompent d’objectif et pensent soigner le manque de confiance en « ayant » une fille attirante. Leur envie est une envie de plaire à eux même, donc de plaire tout court, à la place de « plaire à » ce qui revient majoritairement à faire du lien avec une personne.
Autrement dit, les gens qui fonctionnent comme ça (et bon sang ce qu’il y en a) mettent leur image, leur envie de plaire, au dessus de leur envie de créer du lien avec personne. J’en déduis logiquement qu’ils ne veulent pas, dans le fond, avoir de belles filles. Juste leur image, leur valeur potentielle dans le regard des autres.
L’acte sexuel est ici réduit à un symbole de valeur qui signifie qu’avoir couché mets le partenaire à notre niveau. L’acte sexuel est un moyen, et encore une fois, tout l’aspect humain en est retiré. C’est cette logique parfaitement foireuse qui pousse les filles à retarder à dessin les relations sexuelles, et pire encore, à considérer leur corps et leur sexualité comme leur principale apport dans une relation de séduction. C’est une aliénation de l’acte.
De ces bases et logiques, on peut observer de nombreuses ramifications.
Une fille qui couche beaucoup, c’est une fille qui peut A) être un truc pour que les mecs se vident B) une fille qui accepte de se mettre aux niveaux de beaucoup de partenaires, donc sa valeur n’est pas élevée.
Donc, c’est une fille de faible valeur, une salope.
Et par raccourci, toute filles « cherchant trop à plaire/exciter/allumer » sont des salopes.
A cela s'ajoute enfin le désir de contrôler la fille que l’on veut, pour s’assurer que la valeur qu’elle nous procure, elle nous la donne bien qu’à nous. Ce besoin de contrôle est lié à un manque de confiance quand à notre pouvoir de séduction.
Au demeurant, l’Histoire sociologique explique, à ma maigre connaissance, l’inégalité de traitement entre hommes et femmes à ce sujets, ces premiers étant exempts de jugements.
Par honnêteté intellectuelle, il est bien évident que des femmes (comme des Hommes) cherchent à plaire par pur égo de leur côté, que des tordu(e)s manipulateurs(trices) rodent. Mais ce n’est pas la majorité.
La majorité n’est ni sainte ni mauvaise, ce sont des gens peu sur d’eux qui voudraient bien faire mais ne s’en sentent pas la force aux vu des autres enjeux.
Mais vu que c’est un forum tourné masculin, je préfère que ce soit le public visé qui soit bon prince plutôt que de dire « des conneries tout le monde en fait ».
Soit.
C’est pas pour autant que ça les légitime.
Solutions et Pratique
Tout ça pour vous dire quoi?
Que ces visions paralysent les relations vraies et saines. Et puisqu’on parle de sexualité dans le sujet, elles paralysent la sexualité.
Ce qu’il y a de délicieusement ironique, c’est que tout ce merdier va finalement desservir le but de base: rentrer en contact avec l’autre, et ici coucher.
On a ces mecs qui aimeraient coucher, mais qui reprochent aux filles de le faire. Ils veulent baiser et réagissent de façon à ce que ça soit difficile en fin de compte.
Ce qui revient à critiquer que quelqu’un s’est donné à vous, alors que c’est quelque chose de profondément intime, et une marque de confiance (même pour une nuit).
J’en reviens à la phrase prononcée par mes potes « La chance…Quelle salope », Ou est trahie l’envie d’avoir une expérience sexuelle satisfaisante et cool, mais aussi tout le merdier d’égo et de contrôle.
Alors que coucher, vite ou pas, éphémère ou pas, c’est une manière de marquer une intention positive auprès de quelqu’un, un partage. Un truc bandant, un truc dément, enfin le Blizzard.
C’est beau.
Ca a du sens.
Et que cette volonté de contrôler l’autre, d’égo, cela nuis au bon déroulement des choses, à la séduction en général, et enfin, à la qualité de vos rapports sexuels.
A ma connaissance, les gens qui jugent le moins les femmes sont ceux qui baisent le plus. Ceux là qui considèrent que coucher est avant humain, naturel, simple et bon (tout en étant quelque chose de grandiose et de profond à la fois). Qu’il ne s’agit pas de valeur, pas d’égo, juste de partage.
Je citerais encore une fois mes proches (père, parrains) mais aussi les mecs du forum qui baisent beaucoup (et qui sont mes amis pour la plupart).
Et pour éviter les logiques foireuses, il y a quelques conseils simples:
-Ne couchez et ne séduisez que les filles qui vous plaisent: toutes les filles qui vous plaisent, et rien que celles qui vous plaisent.
-Ayez une vision tranquille et sereine de la sexualité.
Si vous sentez et savez que vous désirez quelque chose pour autre chose que ce qu’elle est, abstenez vous. Parce qu’ici on ne parle pas de bagnoles et de matériel, mais de relations, et que si on peut déconner avec les voitures et les objets, l’humain c’est pas pareil.
Abstenez vous, ou alors assumez.
Et une fille se donnera à vous beaucoup plus facilement si elle sent que vous ne la jugez pas, qu’avec vous c’est simple, cool, détente, et qu’elle peut être elle-même et se lâcher sans que vous ne lui colliez une étiquette.
Il n’y a, d’autre part, rien de moins séduisant qu’une personne qui se sert de vous comme faire valoir, et si une fille peut -dans l’acte- aimer se sentir « chose » de son partenaire, qu’elle est son outil de plaisir (et c’est parfois valable pour le mec aussi, genre moi haha), se sentir comme un sac de viande dans la phase de séduction est un tue l’amour.
Une fille avec qui j’ai couché avait conscience d’être belle et d’attirer par ses formes. Elle en avait marre d’avoir l’impression d’exister que par son physique auprès des mecs.
Et en temps normal, une fille comme ça, c’est prompt à tester, à ne pas se laisser faire…Si elle sent que vous la jugerez ou que vous l’utiliserez.
Il suffit pourtant de saisir l’aspect humain, même si ce n’est qu’un désir physique -tant qu’il n’est pas corrompu par des raisonnements biaisés- pour partager quelque chose de vrai et beau avec quelqu’un.
Chose que je pense avoir faite.
Chose qui lui a fait avouer après coup que c’était aussi et surtout le fait qu’elle sentait que je ne la jugeait pas, que je ne l’utilisais pas, et que j’étais à l’aise, qui lui a donné envie de coucher rapidement avec moi, en se lâchant. Bon après des phrases du style « j’ai jamais couché aussi vite avec mec » c’est à prendre avec des pincette, mais c’est l’idée.
De même, je n’ai jamais eu trop mal à obtenir des préliminaires orales, pour les mêmes raisons.
(putain, je viens de me rendre compte que le gosse sur la photo est en train de bouffer du sable, un mythe s’effondre...)
Il s’agit juste de comprendre que l’acte sexuel n’est rien d’autre que lui-même: c’est quelque chose de simple, naturel, humain, et surtout de super agréable, un moyen de dire à l’autre qu’il compte pour nous, que ce soit par attirance physique, complicité, amour ect…
Et voir le sexe de cette manière est la clé pour que l’autre se sentent bien et soit plus à même à se donner à vous, non pas parce que vous forcez la chose, parce que vous jouez d’un rapport de force en séduction, mais par envie et surtout de par une vision saine de la chose.
Il suffit de lire le journal de Holden par exemple: le sexe est amené naturellement, qui va de soi, qui fait suite à une envie ET C’EST TOUT. Pas d’enjeux. Juste du partage. Et malgré sa prose Bukowski, je connais assez bien le loustic pour savoir qu’il y a un profond respect des femmes, un respect de leur sexualité et de ce qu’elles sont.
Pareil chez les autres gens qui couchent beaucoup.
Le sexe ce n’est PAS:
-un enjeux
-un moyen de jauger sa valeur
-un outil de contrôle
-un symbole de votre victoire sur l’autre
-un moyen de se vider de sa solitude ou d’un manque au détriment de l’autre (phénomène du vide couilles non assumé)
Voilà, j’ai conscience que c’est brouillon, mais ça peut entrainer un débat très intéressant.
Je pense que de part leur empathie, les femmes comme les hommes sentent les visions biaisées que l’on peut avoir de la sexualité, et que ce sont elles qui bloquent la plupart des gens, alors que le sexe est avant tout quelque chose de naturel (sans être anodin en soi).
Il s’agit d’être honnête avec ses désirs et les autres, de façon à avoir une représentation saine des rapports humains, amenant les autres à se sentir en confiance et prêt à partager de supers moments avec vous.
En Conclusion: chercher autre chose que du simple relationnel et du sexe dans le relationnel et le sexe vous empêche d'avoir du relationnel et du sexe. C'est aussi con que ça.
Les gens le sentent et se protègent;
Soyez les exceptions, et passez de bon moments avec les gens qui vous plaisent.
Ah oui, et j'oubliais, avant de coucher, mettez ça à fond, faites un danse du ventre et c'est parti.
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