Safrania95 : Le commencement

Note : 141

le 30.11.2016 par Safrania95

206 réponses / Dernière par Safrania95 le 01.04.2024, 01h45

La vie est faite de virages, d'obstacles à surmonter, d'audace, de surprises et de rencontres décisives. Racontez votre histoire, entrez dans la légende; partagez vos cheminements, vos interrogations, vos rencontres, vos aventures - foirées ou réussies, c'est pas le plus important - et recevez les avis et conseils des autres membres.
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Ça fait plaisir à lire. Tu sembles sur la bonne voie.

Par contre quand tu prends un numéro relance le soir même. Ou le lendemain au pire. Mais relance rapidement.

Sinon c’est du vent. Soit c’est que tu prends des numéros de meufs qui ne t’intéressent pas. Et donc tu flattes ton ego sans pour autant atteindre ton but. Et c’est pas hyper cool pour les meufs en question et toi ça te sert strictement à rien.
Soit tu as peur de la suite : échec ou faux numéro ou rdv ou baise...
Tu risque de stagner tant que tu continueras à ne pas aller au bout des choses.


Limite tu donnes l’impression d’avoir peur de réussir, de conclure.
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [+1] Absolument le 22.06.20, 13h11 par Perlambre
  • [+1] Intéressant le 23.06.20, 17h31 par Safrania95
If you want to touch the sky,
Fuck a duck and try to fly !

Tu cours nu avec une fille et rien ? :roll:

Perlambre a écrit :
22.06.20
Tu cours nu avec une fille et rien ? :roll:
C’est le problème quand tu cours moins vite qu’elle :)
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [0] mdr !! le 23.06.20, 17h30 par Safrania95
If you want to touch the sky,
Fuck a duck and try to fly !

Yop The_PoP, Perlambre et FTS !
Perlambre a écrit :
22.06.20
tu cours nu avec une fille et rien ? :roll:
Elle avait ses règles !
The_PoP a écrit :
21.06.20
Ça fait plaisir à lire. Tu sembles sur la bonne voie.

Par contre quand tu prends un numéro relance le soir même. Ou le lendemain au pire. Mais relance rapidement.

Sinon c’est du vent. Soit c’est que tu prends des numéros de meufs qui ne t’intéressent pas. Et donc tu flattes ton ego sans pour autant atteindre ton but. Et c’est pas hyper cool pour les meufs en question et toi ça te sert strictement à rien.
Soit tu as peur de la suite : échec ou faux numéro ou rdv ou baise...
Tu risque de stagner tant que tu continueras à ne pas aller au bout des choses.


Limite tu donnes l’impression d’avoir peur de réussir, de conclure.
Il y a beaucoup de choses vraies dans ce que tu dis. Même moi je m'en rends compte sur le terrain. J'ai peur d'être à 100%. Il y a vraiment un tas de choses que je serais capable de faire mais je ne m'y autorise pas. Je me restreins inconsciemment. Toutefois ça ne m'empêche pas d'arriver à faire de belles choses et vivre des choses. J'ai eu un date hier avec une fille que j'avais abordé la veille.

Je sais que je dois aller au bout des choses mais effectivement y'a des moments je sais pas ça ne vient pas.

Je bosse dessus. Je fais n'imp parfois. Genre avec une nana qui dans l'absolu m'intéressais et dont j'avais pris le numéro je mettais trois ou quatre jours à répondre à ses messages. Je sais que je me tire une balle dans le pied en faisant ça.

Après je m'améliore sur ce plan là aussi.

Comme tu le dis je suis sur la bonne voie, j'ai cette sensation aussi !

:awesome:

Du coup hier j'ai eu un date dans le début d'après-midi avec une nana rencontrée la veille. J'étais stressé mais au final j'ai été plus à l'aise qu'à mon premier date. Cool ! On s'entend bien. Il n'y avait pas un jeu de séduction extraordinaire. J'ai le sentiment qu'on apprend à se connaître et que les choses viendront naturellement avec un peu de temps. Je vais l'appeler Céline :lol:

Plus tard dans la journée je suis sorti aborder. J'ai parlé avec environ cinq ou six nanas. Dont une bombe qui était un peu chelou. Et une autre vraiment canon qui avait l'air hyper réceptive.

Globalement je sens que je persévère beaucoup plus dans les interactions. Et ça naturellement. C'est hyper positif.

Là je ressors dès que j'ai fini ce message.

Après j'ai envie de parler de comment je me sens. J'ai fait des progrès énormes ces derniers temps. J'arrive à faire des sorties en solo et les nanas que j'aborde le prennent bien. Répondent et semblent réceptives. Je sens que certaines de mes croyances ont changées. Ma confiance aussi s'est renforcée. Je progresse avec assurance. Quand je me dis << je vais agir >> j'arrive à agir. Quel que soit mon état d'esprit du moment. Et ça c'est cool. Mais j'ai le sentiment que certaines choses doivent encore changer. Je dois croire en moi. Je dois me dire que je peux réussir. Une part de moi rechigne à changer.

Je découvre le monde de l'action. Je ne suis plus dans la théorie ou l'expectative. Je vis ce que je veux vivre. Je suis dans le dur. C'est bien. Et je sens que j'ai des tonnes de choses à apprendre. Et ça me fait plaisir. Je suis capable de devenir celui que je veux être.

Tout reste à faire.
<< S'inquiéter, c'est souffrir deux fois >> Anonyme

<< L'homme est certes libre de faire ce qu'il veut, mais il ne peut vouloir ce qu'il veut >> Arthur Schopenhauer

Yo !

Grosse séance toute pourrie !

Enfin ! Y'a eu du positif. Et y'a eu du moins bien.

Le positif c'est que malgré une humeur vraiment mauvaise et une tendance à ne pas avoir confiance en moi j'ai quand même réussi à aborder une dizaine de filles voir plus.

La quasi totalité des filles ont bien réagi. Même si la discussion n'est pas allé très loin à chaque fois. Le bon état d'esprit était là. Réponses avec un grand sourire. Mais rapidement des excuses pour s'en aller. Ou alors j'étais pas très persistant car je me sentais pas dans un mood de folie. Du coup ça n'a pas vraiment marché aujourd'hui. Je me suis senti assez mal (même si ça reste très relatif car j'ai déjà été plus mal) et j'avais tendance à me dire : << à quoi bon ? de toute façon ça ne va pas marcher... >>. Mais bon j'y suis allé quand même. Petits frissons à chaque fois que je courais pour aller aborder. Et puis une satisfaction après y être allé à chaque fois. J'avais le sourire à chaque fois après y être allé.

Rétrospectivement je suis content de m'être battu un peu. De ne pas avoir rien fait.

Maintenant ce qui me fait peur c'est que ce mood s'installe. J'ai peur de me retrouver dans une situation qui soit telle que je n'arrive plus à aborder. Que mes sentiments et mes émotions soient telles que je me sente incapable à nouveau d'aborder.

Pourquoi cette peur ? Parce que ça m'est arrivé plusieurs fois. La première fois vers 2011 ou 2012. La seconde en 2016 et la dernière fois en 2018/2019. Pour creuser un peu. J'avais réussi à chaque fois à bien progresser et j'avais bien réussi à aborder beaucoup de nana (300 ou 400 au total) et je jouissais d'une dynamique très positive. Je me sentais bien. J'avais le sentiment de faire des progrès. J'étais dans une optique de progrès. Et d'un coup plus rien. Mes émotions retombent. Je me sens mal. Je ne me sens plus en position d'arriver à aborder. Cela devient quelque chose qui me coûte. À chaque fois je sentais un arrachement. Comme si c'était dur et éprouvant à l'intérieur d'aborder. Mes sentiments et mes émotions ne suivaient plus. À chaque fois la solution que j'ai trouvé est d'arrêter. Pourtant dans mon esprit j'en avais toujours envie.

Et j'ai peur d'être en train de revivre ça.

J'ai peur de ne jamais réussir à atteindre mes rêves : avoir confiance en moi, être sociable, bien entouré, avoir une vie amoureuse de dingue. En quelques mots vivre à fond. Je ne veux plus vivre dans la peur. Je ne veux plus rester chez moi des journées entières à tourner en rond. Je veux vivre ma vie et ne pas la regarder passer.

<< Ce n'est pas la mort qui me fait peur. C'est de ne pas vivre >>

Du coup je ne sais pas où j'en suis. Je ne sais pas quelles sont mes émotions. Je ne sais pas comment sont mes sentiments. Ce que je sais c'est qu'aujourd'hui j'étais beaucoup moins en forme que d'habitude. Je sais aussi que je vais retourner sur le terrain lundi en solo.

Je sais que je vais essayer encore une fois.

Et j'espère que mon état d'esprit va revenir et que mes sentiments vont à nouveau s'aligner avec mon esprit.

Je le souhaite au plus profond de moi.

Je veux réussir.

Je veux vivre !

Oui je sais je m'emballe un peu dans mes sentiments mais c'est vraiment ça que je ressens :lol:

:fuckyeah:
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Hello,
Je ne sais plus si tu en avais déjà parlé dans des posts précédents, mais c'est quoi ton expérience avec les nanas jusqu'ici ? Notamment en terme de relations (d'une nuit ou plus longue).

Hello Jalapeno,
Jalapeno a écrit :
28.06.20
Hello,
Je ne sais plus si tu en avais déjà parlé dans des posts précédents, mais c'est quoi ton expérience avec les nanas jusqu'ici ? Notamment en terme de relations (d'une nuit ou plus longue).
C'est compliqué ! J'ai eu des bonnes expériences et des mauvaises aussi.

J'ai eu plusieurs copines mais ça a souvent foiré à cause de comportements négatifs que je pouvais avoir. Du genre ne penser qu'au cul avec une. Une autre où j'ai mis trop de sentiments trop rapidement. Une autre où on s'est rendu compte après quelques mois qu'on ne s'aimait pas. D'autres où il aurait pu se passer des choses mais où j'ai fait de la merde. Par exemple, il y a un an j'ai rencontré une nana géniale : belle, intelligente, dynamique, pleine de joie de vivre. On a flirté ensemble. Vint le jour où on se dit : << on en est où ? >>, << comment vois-tu les choses entre nous ? >>. On s'est dit qu'on apprenait à se connaître et on était d'accord sur ça. Et puis je lui ai dit que comme on apprenait à se connaître notre relation n'était pas exclusive pour le moment et à mon sens : du coup elle a pas voulu continuer. Ce genre d'erreur à la con.

Et puis aussi une dont j'étais amoureux et avec laquelle ça n'a jamais marché.

Après j'ai quand même connu pas mal de partenaires sexuelles. Un peu plus d'une dizaine en tout. Et globalement, sans être un casanova, je peux plaire à certaines filles.

Et aussi il faut dire que pendant longtemps, les relations humaines ont été bordéliques dans ma vie. Que ce soit en famille, avec mes amis ou avec les filles. J'ai longtemps souffert de pas mal de tares. J'ai développé une phobie sociale au lycée dont j'ai mis des années à me remettre. Et j'ai eu pas mal d'angoisses au contact des autres pendant longtemps. Je me souviens par exemple d'un voyage que j'avais fait au Pérou pour aller voir mon meilleur ami et ça avait été une réelle épreuve sur le plan social. J'étais réellement très tendu. Impossible d'ouvrir la bouche en présence d'un de ses ami(e)s. Une souffrance incroyable. Après réflexion je me demande même si ça n'a pas été une expérience traumatique. De toutes les manières je sais maintenant que le lycée a été pour moi une expérience traumatique. Enfin bon. Pas mal de galère en somme.

Après je sais que ça fait environ sept ans que je suis sur la bonne pente. Je me remets de tout ça tranquillement. J'avance pas à pas (avec une psy à l'appui). Je commence même une licence en septembre. Et tout va dans la bonne direction depuis sept ans.

Du coup voilà. J'essaie des choses pour m'en sortir et parfois c'est violent pour moi. J'en reviens à mon post précédent : je veux vivre ma vie et ne pas passer à côté et regretter dans quarante ans.

Et je sais pas trop quoi faire de plus que de tenter de me réinsérer socialement et professionnellement. Faire des activités socialisantes. Tenter de rencontrer des filles un peu n'importe où, etc.
<< S'inquiéter, c'est souffrir deux fois >> Anonyme

<< L'homme est certes libre de faire ce qu'il veut, mais il ne peut vouloir ce qu'il veut >> Arthur Schopenhauer

En fait je posais la question car je suis surpris du peu de résultats concrets que tu as malgré un nombre honorable d'abordages.
Je pense que tu repars souvent avec des numéros donc comment se fait-il que rien ne suive, à peine quelques dates ? Ces filles que tu abordes elles te motivent ? Tu les recontactes ? Ou elles ne te répondent plus après le numclose ?
Et je sais pas trop quoi faire de plus que de tenter de me réinsérer socialement et professionnellement. Faire des activités socialisantes. Tenter de rencontrer des filles un peu n'importe où, etc.
La question ce n'est pas de faire "plus", parce que tu es déjà assez actif. C'est plutôt de faire "mieux", mieux calibrer tes approches, peut-être mieux cibler les endroits où tu dragues.
Et surtout, si tu as (ou si tu as eu) des difficultés sociales, la priorité c'est de développer ton cercle de potes. Ça prend plus de temps à mettre en place mais à terme cela te permettra de rencontrer des nanas dans un contexte moins "hard" que le SPU.
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [+1] Bien vu le 05.07.20, 16h06 par Safrania95

Hello Jalapeno !
Jalapeno a écrit :
30.06.20
En fait je posais la question car je suis surpris du peu de résultats concrets que tu as malgré un nombre honorable d'abordages.
En fait pour tout te dire les deux dernières fois que je me suis mis à la drague de rue (donc en 2016 et ensuite en 2018/2019) j'avais eu très peu de résultats malgré le nombre assez élevé d'approches (environ 300 en tout). Genre trois dates qui n'ont pas aboutit et un kissclose.

Là je me suis remis à la drague en septembre et si je fais le rapport j'ai beaucoup plus de résultats rapporté au nombre d'approche. J'ai du aborder environ 60 à 70 filles et j'ai eu deux dates et un kissclose. Ce qui n'est pas non plus très élevé je le reconnais mais mieux néanmoins.

Et les deux dernières fois j'avais abandonné car je me rendais bien compte que quelque chose ne marchait pas. J'avais donc décidé d'arrêter, de réfléchir à ce qui ne marchait pas et le corriger.
Jalapeno a écrit :
30.06.20
Je pense que tu repars souvent avec des numéros donc comment se fait-il que rien ne suive, à peine quelques dates ? Ces filles que tu abordes elles te motivent ? Tu les recontactes ? Ou elles ne te répondent plus après le numclose ?
En fait sur tous les numéros que j'ai pris je n'en ai recontacté que trois ou quatre. Les autres ne me motivaient pas plus que ça au final. J'avais rien ressenti de fou en les abordant donc je ne voyais pas l'intérêt de galérer à les recontacter pour ne pas kiffer au final.
Jalapeno a écrit :
30.06.20
La question ce n'est pas de faire "plus", parce que tu es déjà assez actif. C'est plutôt de faire "mieux", mieux calibrer tes approches, peut-être mieux cibler les endroits où tu dragues.
Tu as clairement raison. Je pense que je dois m'améliorer et faire mieux les choses. Ce qui n'est pas évident. C'est bien la question ! J'en parle beaucoup avec mon coach et je travaille dessus. J'ai l'impression que je me bloque inconsciemment quand je rencontre des filles. The_PoP en parlait plus bas j'ai l'impression que je ne vais pas au bout des choses et que je m'empêche de réussir. Ce qui est sûr c'est que quelque chose bloque. Après je pense que je vais réussir néanmoins mais voilà il me faut de la détermination (et j'en ai :lol: ).
Jalapeno a écrit :
30.06.20
Et surtout, si tu as (ou si tu as eu) des difficultés sociales, la priorité c'est de développer ton cercle de potes. Ça prend plus de temps à mettre en place mais à terme cela te permettra de rencontrer des nanas dans un contexte moins "hard" que le SPU.
Alors là tu as cent pour cent raison. Je ne néglige pas du tout ce côté-ci. J'essaie de me développer à la fac en général. Je commence une licence en septembre et ça va être un axe de travail très sérieux (je dis ça de manière très austère mais je n'oublie pas le plaisir).

:fuckyeah:

Bon !

J'ai eu une semaine vraiment merdique en terme de drague et de développement personnel. J'ai fait genre une approche et ça n'a pas marché.

J'étais pas du tout dans l'état d'esprit pour aborder. Du coup j'ai mis un peu ça de côté et j'ai glandé un peu. Heureusement que ma vie ne se résume pas à la drague sinon j'aurais passé une semaine de merde. J'ai eu deux jours où j'ai pu penser à autre chose car j'avais des événements avec des potes. Et sinon je me suis pas pris la tête.

Ce genre de passage me fait réellement flipper quand ils surviennent car j'ai l'impression d'être en train d'échouer. Que je n'arriverai jamais à atteindre mes objectifs. Que je vais rater ma vie. Du coup je culpabilise à mort. Même si je sais que globalement je suis dans la bonne dynamique.

J'ai souvent peur de ça : ne pas réussir à m'en sortir.

Pourtant je sais que je m'en sors bien que le négatif revienne régulièrement. Même s'il a tendance à revenir moins fréquemment et en moins fort.

Bref je veux progresser. Et je veux kiffer. Je le disais plus haut.

Là je vais tenter de faire quelques approches.

On va voir ce que ça donne.

Bise FTS !

:challengeaccepted:
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [+1] Constructif le 06.07.20, 11h02 par Jalapeno
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Yo FTS !

Cela fait une bonne semaine et demie que je n'ai strictement rien fait en terme d'efforts concrets pour progresser dans ma vie. Je fais une pause. Et j'ai l'impression d'en avoir réellement besoin en ce moment. Pour de nombreuses raisons que je vais tenter d'élucider dans ce post. Car quoi qu'il en soit mon cerveau continue de fonctionner et continue de chercher des solutions. J'y peux rien je suis cablé comme ça. Donc oui je prends une pause. Mais surtout je ne me stigmatise pas moi-même en prenant cette pause. Je ne culpabilise pas de ne rien faire. Je ne pleure pas sur mon sort et ma vie qui ne sont pas comme j'aimerais. Parce que la vie que j'ai en ce moment n'est pas celle que je désire avoir. Même si certaines parties sont au top. Il y a plein de choses extrêmement positives. Et ça c'est cool. Mais une partie de moi reste focalisée sur ce que je n'ai pas encore. Et prendre une pause dans ces conditions est toujours quelque chose qui m'effraie. J'ai toujours une petite voix qui me dit que << si je ne fais rien, il ne va jamais rien m'arriver >>. J'ai toujours peur de ça : que ne rien ne change dans ma vie et que je reste celui que je suis quand je suis malheureux. Je reste tourmenté quand je suis dans l'inaction et quand j'ai le sentiment de ne rien faire de productif. Déjà parce que quand je réussis je me sens tellement heureux. Tellement fier. Et quand je dis << réussir >> pour moi ça veut dire << se sortir les doigts du cul et faire quelque chose de productif qui va me rapprocher de mon rêve >>. Je me sens tellement vivant quand je vis de cette manière que lorsque je me retrouve dans cette situation d'être dans l'inaction je me sens impuissant, impotent. Mais au fond je suis obligé de passer par là. Car quand je suis trop dans l'action je fais rapidement une sorte de burn-out. Le moment vient rapidement où j'ai besoin de reprendre des forces. En fait arrive le moment où je n'y arrive plus. Où j'ai beau réessayer et ça ne marche pas. Et dans ce moment-là la seule solution que j'ai trouvé est de lever le pied. Et faire une pause. C'est assez étonnant. Je ne sais pas si je suis le seul à fonctionner comme ça. Et puis je vais essayer maintenant de décortiquer ce phénomène car c'est mon principal obstacle sur le chemin du progrès. Clairement c'est mon plus gros boulet. C'est ce truc qui m'empêche de progresser. C'est ça qui m'empêche d'être constant dans l'effort. Et j'en ai marre. Il faut que ça change.

Donc !

Pourquoi ? Pourquoi à chaque fois que je me mets à la drague de rue arrive le moment où je n'y arrive plus malgré de gros progrès en terme d'état d'esprit et de confiance en moi ? Pourquoi à chaque fois arrive le moment où ça bloque ? Et ça ne bloque pas dans la tête. C'est dans mon coeur que ça bloque. C'est dans mes émotions. Certaines personnes ressentent de la joie quand elles vont aborder. Moi aussi. Mais lorsque la joie des premiers moments est passée, je me retrouve avec ce boulet dans le coeur qui m'empêche d'avancer. Quelque part j'ai l'impression d'avoir la chance du débutant au début. Ou même j'ai l'impression qu'au début j'arrive à mettre de côté, temporairement, les émotions négatives qui sont en moi. Donc j'arrive à aborder. A ressentir de la joie. De l'optimisme. Et lorsque cet état est passé... BIM ! Le négatif en moi revient et mon état d'esprit devient tellement merdique que 1. ça ne marche plus et 2. j'arrive plus à faire semblant d'être bien dans ma peau. Et j'ai l'impression que j'arrive pas à séduire avec ce que j'ai au plus profond de moi. Parce que justement ce que j'ai au plus profond de moi c'est un beau bordel. Et en fait je vais même pousser le truc plus loin : ce beau bordel je le sens indigne d'être aimé.

Bref

Et également j’ai remarqué que je marche par phase. Quand je suis dans une phase où tout va bien, il n’y a aucun problème. J’arrive à agir et je me sens bien. Je me sens valable. Et inversement quand je me sens mal je n’arrive à rien. Je ne me sens plus valable. Comme si je n’avais plus le droit de vivre quand je vais mal. Comme si on n’avait le droit de vivre uniquement dans les bons moments. Et en fait j’aimerais bien être valable quel que soit mon état. Que je me sente moins bien ou pas je devrais être en état d’être heureux. Et plus précisément je veux être en état d’agir quel que soit mon état d’esprit du moment. Que je sois ou pas dans une mauvaise phase.
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Yop !

Me voici quatre mois plus tard. Entretemps il s'est passé un été puis une rentrée. Il s'est passé une relation passionnelle et une séparation. Je dirais que ce sont les trois grands événements de ces quatre derniers mois. D'abord un été passé à faire de l'animation avec des jeunes ados. Ensuite une rentrée en première année de licence à Paris. Dans le même temps j'ai noué une relation extraordinaire avec une femme cet été. Une relation vraiment intense, profonde et sincère. Une relation qui n'aura pas duré très longtemps, environ deux mois. Mais qui m'aura apporté tellement. De l'amour d'abord, et du bien-être ensuite. Cela aura été dur de me séparer d'elle mais j'ai pas su gérer la relation, me gérer moi-même aussi. Le plus simple aura été de passer à autre chose. L'opposé m'aurait trop coûté d'effort et d'énergie et je n'aurais pas été capable de le faire. Je préfère accepter que ce soit fini plutôt que de souffrir inutilement. Désormais je connais les erreurs à ne pas faire mais également les choses à faire. En fait cette relation c'est le grand événement de l'année pour moi. Cette relation m'a fait grandir et m'a construit. J'espère en revivre d'autre.

Mais voilà maintenant j'ai d'autres objectifs : la faculté et mon avenir. D'être à la fac me change en profondeur. J'apprends à apprendre. Je rencontre du monde. Je suis inséré. Et tellement d'horizons s'ouvrent à moi. Je me rends aussi compte que les idées que j'ai de me diriger vers le monde du coaching sont quelque chose que je peux commencer à préparer dès maintenant. C'est pourquoi je pense qu'en parallèle de mes études je vais essayer de me former à ce métier. Apprendre à coacher. Déjà pour moi-même mais également pour les autres. Car je pense avoir acquis certains traits d'esprits en dix ans de cheminement intense que je pourrai valoriser dans une relation d'aide à l'individu. Je pense que je peux apporter certaines choses aux autres.

Concernant les femmes... Que dire ? La fac ouvre pas mal de portes à ce niveau-là aussi :lol: ! J'ai le temps, j'ai l'envie alors tranquille. Je pense que les choses vont venir assez naturellement donc je n'ai pas besoin de forcer, j'ai juste besoin de ce petit pas, ce petit dépassement de soi, en temps et en heure, au bon moment, pour provoquer mes rêves. Et puis en dehors de la fac, quand les conditions sanitaires le permettront, je retournerai sur le terrain pour m'amuser.

En somme, un message d'espoir !

Je reviendrai faire un point ici car mine de rien, FTS c'est un lieu où je me sens libre de me présenter tel que je suis et où je fais ce qu'il y a faire pour devenir celui que je veux être.

Donc à bientôt avec des news au niveau de la drague !

Tchuss !

:challengeaccepted:
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [0] La suite, vite ! le 28.10.20, 21h55 par The_PoP
  • [+1] Cool le 29.10.20, 01h21 par Onmyoji
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Bon bah c'est l'heure de faire le point.

Là je suis posé tranquille sur la place de l'hôtel de Ville à Paris. Le soleil se couche. Il est bientôt 21h et le couvre feu arrive. Je sens le besoin de poster un truc ici. Besoin qui se fait sentir depuis plusieurs semaines. Que dire ? Déjà que j'ai beaucoup progressé. Que j'ai beaucoup évolué aussi. Je me rends compte que les dynamiques sociales sont peut-être la finalité de ce que je recherche. Finalement, je me dit qu'avoir une vie active et bien remplie ça fait déjà le taff et que je peux être heureux avec seulement ça. Mais bon la réalité me rattrape bien vite dès que je croise une fille qui me plaît :lol: ! Alors c'est ça la grande question : comment aller vers elles ? Et comment le faire d'une manière qui me corresponde ? Je sens que la "quête" des femmes est clairement quelque chose qui doit faire partie de ma vie. Je sens clairement aussi que plus je vois de monde et plus j'ai d'activités avec d'autres personnes plus je me sens prêt à saisir l'instant avec une inconnue mais aussi plus j'en ai envie. La question c'est comment le faire de la manière juste ? Qui me corresponde ? Comment faire que ce soit l'expression d'un désir et pas d'une frustration ? Je travaille sérieusement là dessus. Car j'en ai très envie.

Je me limite volontairement a ce petit texte mais d'autres suivront peut être !

Voilà ! Ma quête des femmes n'est pas morte mais elle doit gagner en maturité.
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [0] La suite, vite ! le 01.06.21, 22h44 par The_PoP
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Hello tout FTS !

Dans le précédent post je parlais de ce que je voulais peut-être le plus, je cite :
[...]les dynamiques sociales sont peut-être la finalité de ce que je recherche.
En fait, à la base j'ai connu l'univers de la séduction par le biais du site internet Verselejus.com tenu par un certain << Arise >>. Il parlait beaucoup d'un concept qu'il appelait la << source >>. La source étant ce territoire que nous avons tous en nous et qui, lorsque nous sommes en accord avec, nous permet d'être heureux mais aussi charismatique et de séduire avec authenticité. Bref, au début, séduire était LA chose que je voulais par-dessus tout. Puis, en grandissant et en comprenant certaines de mes incapacités en séduction je me suis rendu compte que la plupart d'entre elles découlaient d'un problème de sociabilité. C'est pourquoi sur ce journal (et dans tous les autres que j'ai eu soit sur FTS soit sur ce fameux site VLJ) je parle souvent d'autre chose que de séduction. En fait je parle de toutes les choses qui à terme, si je les règles, pourront m'amener à avoir la vie sentimentale et sexuelle dont j'ai besoin.

En réalité, je pense que notre patrimoine intérieur et sentimental est inextricablement lié à notre capacité à séduire et à être séduisant. Ces deux derniers éléments étant les deux faces de la même pièce.

Bref, c'est pourquoi dans ce post je vais parler d'abord de séduction, car il y a eu quelques événements de cet ordre dans ma vie récemment, puis ensuite de ce qui se joue en moi en ce moment et de mes relations aux autres mais aussi de l'état de ce que je suis actuellement. Ce qui est non moins important. Voir plus !

En juin, j'ai participé à un séjour en groupe où j'ai rencontré une certaine fille que je vais appeler Athéna. Evidemment ce n'est pas son vrai prénom mais la garantie d'anonymat m'y oblige. Quand je l'ai vu pour la première fois je n'ai pas forcément eu un coup de foudre mais je me suis dit que si quelque chose devait se passer ce serait avec plaisir. En discutant un peu avec et en faisant différentes activités ensemble ce sentiment s'est confirmé. Notamment parce que j'ai pu sentir quelque chose de réciproque de son côté. Rien n'a jamais été très clair à ce niveau-là. Je n'ai jamais eu la certitude que je lui plaisait mais son comportement général et sa certaine empathie quotidienne à mon égard me montraient que si. Je n'ai rien tenté pendant le séjour car jamais aucune occasion certaine ne s'est présentée et que donc le moment n'est jamais arrivé. Toutefois j'acceptai cet état de fait sereinement, sachant que le destin est toujours plus fort. Nous sommes restés en contact. Un mois plus tard nous nous sommes revu l'espace de quelques jours en présence d'un autre ami de ce séjour. Toujours rien ne s'est passé. Toutefois le fait que nous soyons réuni une nouvelle fois indiquait que tout était possible. Le destin est implacable. Après, une fois rentré chez nous chacun de notre côté, nous avons continué à nous parler pour finalement nous revoir seuls à Paris il y a une semaine et demie. Nous sommes sortis au parc puis sommes allés chez moi où nous avons couché ensemble.

Dans cette histoire je me suis fait une réflexion : ce qui devait se passer s'est passé. Je n'ai jamais rien fait de spécial pour séduire cette fille à part peut-être mettre en place une intimité en allant chez moi qui nous amènerait à ce qui s'est passé. J'ai toujours eu une attirance pour elle et cela suffisait. Athéna aussi semblait aussi avoir une attirance pour moi. Ce qui l'a poussé à prendre des décisions qui la rapprocherait de moi. Et finalement, pour le meilleur, nous nous sommes trouvés.

Je me dis que parfois, la séduction ne tient pas à grand chose. Les choses sont parfois simples et viennent naturellement. Pourquoi écrire des bouquins ? Se payer un coach ? Lorsque simplement vivre est suffisant.

La deuxième chose dont je vais parler, et qui me tient à coeur, c'est le reste :lol: !!

J'ai failli poster un message il y a une semaine car j'étais avec une bande d'amis dans un pays d'Europe et que certaines manières de me comporter avec eux ne me convenaient pas. Je me sentais démuni dans ma capacité à être avec eux et à être à leur contact. Ce message je ne l'ai jamais fini mais voilà le peu que j'ai pu produire :
Hello à tout FTS,

Alors je ne savais pas trop sur quelle partie du forum poster ce message donc je me suis résolu à le mettre dans mon journal.

Le titre que j'aurai mis est :

Comment améliorer ses relations sociales ?

J'ai un peu de mal à savoir par où commencer tant ce thème est central dans ma vie depuis une bonne décennie.

Je vais donc vous parler du contexte actuel de ma vie qui me pousse à demander de l'aide et des conseils. Je suis actuellement dans un pays étranger en vacances avec une bande de potes que je me suis fait il y a un an. Récemment, et donc avant ce voyage, j'ai participé à différents séjours en groupe mais avec des personnes que je ne connaissais, en revanche, pas. Dans tous ces séjours précédant j'ai constaté une certaine difficulté que j'avais à me comporter en << animal social >> comme l'eut dit Rousseau. Cette même difficulté je l'ai également eu à la faculté où je fais mes études cette année et je l'ai également maintenant dans ce voyage avec mes amis. C'est donc ce contexte qui me pousse à demander conseil ici et maintenant.

Voilà, je ressens une certaine gêne quand je me retrouve à devoir participer à la vie d'un groupe ou à la prise de décision des activités à mener. Visiblement cette gêne ne m'empêche toutefois pas de m'intégrer ou même de me sentir intégré. Ce que je trouve d'ailleurs étonnant et un peu contradictoire.

Par exemple, je ne me sens très régulièrement pas écouté par les autres et cela même en famille. C'est-à-dire que souvent lorsque je m'exprime pour dire quelque chose les gens ne remarquent pas que je parle (ou m'ignorent peut-être ? mais cela me semble moins probable). Et ça me plombe le moral car je me sens de fait indigne de l'attention des autres.

Autre exemple, je me sens en grande difficulté lorsqu'il s'agit de parler avec quelqu'un avec lequel je ne partage pas une affinité particulière ou avec lequel je ne me sens pas à l'aise totalement. C'est-à-dire que je me laisse aller à la spontanéité et à l'authenticité uniquement avec des personnes que je connais très bien et avec qui j'ai passé suffisamment de temps et partager suffisamment d'expérience pour pouvoir me sentir totalement à l'aise avec. Autant dire une poignée de personnes. Avec toutes les autres personnes qui ne rentrent pas dans ces critères : je galère ! Et j'ai énormément de mal à << convertir >> (le mot est moche) une nouvelle connaissance en une personne qui rentre dans ces critères.
Ce reste dont je parle plus haut. Tout ce qui ne touche pas à la séduction mais qui la conditionne entièrement. C'est ça ! En réalité c'est la réunion de toutes mes capacités sociales et relationnelles. Et c'est ce qui me fait défaut et que j'explique un peu dans ce message inachevé. C'est ce que je veux travailler pour avancer. Apprendre à être écouté, respecter et pris en compte.

Et je sais que ces choses, si je ne les règles pas maintenant ou que je ne tente pas de les corriger, me poursuivront toute ma vie et m'empêcheront d'être heureux, épanoui et complet.

Pour l'instant, la solution que j'ai trouvé pour aller dans ce sens est de participer au maximum à des activités en groupe, des séjours, des sorties entre amis, voir des psychologues, essayer certaines thérapies. Bref, sortir le plus possible et réfléchir à ce que je fais. Et à chaque difficulté à laquelle je fais face je tente de trouver une solution. Ce n'est pas facile mais je n'ai pas trop le choix. Et en fait ça marche plutôt bien même si c'est le temps qui rythme mon évolution. C'est le temps qui fait son travail. Mais aussi et surtout, j'ai l'impression que c'est ma capacité à lâcher-prise qui détermine le succès de ma démarche. Tout les progrès que je fais sont le résultat d'une décision de lâcher-prise sur quelque chose. Plus je me laisse aller à ce qui est, plus je me sens heureux, en accord avec les autres et avec moi-même. Et à l'inverse, tout ce qui me crispe et sur lequel je m'accroche désespérément m'écarte de mon bonheur et de celui des autres. Le bonheur est une science étonnante mais qui a ses raisons. Et parfois je me demande profondément si j'ai un quelconque pouvoir dessus. Je n'ai pas la sensation de pouvoir influencer mon bonheur mais plutôt de le laisser être là ou non.

Et ma grande question qui motive tout ce message c'est :

<< Que puis-je faire pour être heureux et avoir ce que je désire ? >>

J'ai l'impression que je ne peux pas faire grand chose. Ce que je peux faire en revanche est d'accueillir ce qui me présente à moi. Notamment les femmes. Ce que je peux aussi faire c'est essayer ! Essayer de faire ce qui me rend heureux. C'est aussi aller vers ce que j'aime faire. Le sport notamment, les sensations que j'apprécies. Cultiver ce qui me rend heureux en quelque sorte. Parfois sauter le pas. Me faire violence lorsque j'ai peur pour aller vers quelque chose qui me rapproche de mon bonheur. Prendre des risques car ils sont nécessaires. Ne pas trop m'appesantir sur ma zone de confort.

Bref ! Kiffer ! Et les femmes viendront ! Même si se laisser aller c'est quelque chose d'effrayant, il faut se l'avouer.

:mrgreen:
<< S'inquiéter, c'est souffrir deux fois >> Anonyme

<< L'homme est certes libre de faire ce qu'il veut, mais il ne peut vouloir ce qu'il veut >> Arthur Schopenhauer

Yo FTS !

Il est temps de faire le petit check-up trimestriel :lol: C'est marrant parce que y'a toujours un moment où je reviens sur FTS pour raconter ce qu'il s'est passé depuis le message précédent.

Bon ! Dans ce message je commence par faire un récap des derniers temps. Ensuite je raconte un peu ma philosophie du développement perso. Et à la fin je parle de jeu de séduction avec deux histoires avec deux meufs.

L'été s'est fini. La fac a repris. Il faut dire que c'est pas facile. Après une année de L1 passée quasiment entièrement à la maison, merci le Covid-19, me revoilà sur les bancs de l'université. Pour la première fois de ma vie en fait. Et c'est pas évident. Ca me demande un très grand effort d'adaptation. D'une part parce que depuis la fin du collège, ma vie est compliquée et notamment ma vie sociale. Et d'autre part parce que niveau travail je rame un peu. Bref. Cette année je me suis mis des objectifs :
1. Réussir mon année (travail en cours)
2. Faire du rugby (ça progresse, ça progresse)
3. Faire de l'escalade (c'est trop cool ! grande découverte :mrgreen: )

Pourquoi ? Parce que comme je l'ai dit : socialement... Je rame ! Et ça doit changer !

Il se trouve que réussir mon année et aller au rugby ça me prend une énergie de dingue. Environ 95% de mon énergie. C'est dur, j'ai envie d'abandonner à plein de moment mais sur la durée je tiens ! Et je pense que je progresse même si pour le moment les progrès ne sont pas encore vraiment palpables.

En fait, ma plus grande réussite ça serait de pouvoir exprimer ma vraie personnalité (celle que j'aurais si j'étais réellement à l'aise, en confiance et si je me sentais en sécurité dans les situations de la vie courante) à la fac. Parce que je pense que la fac c'est puissant. Quand on réussit dans ce milieu alors on a tout pour nous (enfin c'est ce que je me dis) : on a un cercle d'ami, une insertion sociale et une vie marrante. Alors j'y travaille au max et le rugby et l'escalade participent de ce processus. Par ailleurs, je me disais qu'il fallait que je m'inscrive à une association étudiante histoire de socialiser un peu plus. C'est chose faite depuis cet après-midi : asso d'échec. Je teste demain.

C'est marrant dans tout ça car je pensais, à raison, que dans la vie pour réussir il faut se bouger le cul. Et pendant une période assez récente je me trouvais incapable de me bouger le cul. Ou du moins je n'arrivais pas à me bouger le cul de la manière que j'aurai voulu. C'est à dire en allant aborder des meufs, en me forçant de parler aux gens. En gros par la manière forte. Celle qui est le plus souvent valorisée parce que quand on fait ça on est "des bonhommes". Mais en fait, et je sais pas trop pourquoi, chez moi ca ne marche pas. Avec cette méthode je finis toujours par buter contre un mur. Donc j'arrête car je vois que ça marche pas.

Et puis, parallèlement à cette volonté d'y aller de la manière forte, je me suis bouger le cul d'une autre manière. J'ai essayé de me bouger le cul en passant par des institutions. Comme par exemple cette été en faisant des chantiers internationaux : ça a l'avantage de te frotter à une socialisation beaucoup plus structurante sur le long terme que des simples abordages dans la rue. J'ai également fait des vacances de randonnée en groupe. Et plusieurs autres trucs dans le même style.

Et là à la rentrée je me suis lancé dans deux défis pour moi colossaux car si je les réussis... Ben je n'en demanderai pas plus de la vie après ça :mrgreen: !!

En gros : la fac et le rugby. Ces deux choix ne sont pas innocents. Ils sont mûrement médités. La fac apporte une qualification professionnelle, une insertion sociale de choix et ça apprend la vie et à interagir avec les gens. Le rugby c'est un sport de bonhomme :lol: ! Ca apporte de la confiance en soi, de l'esprit collectif, du bien-être physique, de l'esthétisme physique, de l'affirmation, des bonnes ondes. Bref, c'est parfait.

Mais c'est pas évident tous les jours. A la fac depuis septembre j'ai déjà craqué plusieurs fois au point de ne pas réussir à y aller. Le rugby pareil. Et puis je trouve des solutions. Au rugby, parler aux coachs pour expliquer que je n'y arrive pas (pas facile à faire ça d'ailleurs). A la fac, pareil on trouve des ressources. Et c'est ouf, parce que le plus dur c'est d'y retourner quand tu penses que tu n'en es pas capable. Et c'est à ce moment précis, quand tu essaies une fois supplémentaire. Juste une petite fois. C'est là que la magie opère et que tu débloques des trucs.

Mon conseil chers amis : soyons courageux ! Parce que c'est au moment où c'est le plus dur, c'est à ce moment-là qu'il faut faire preuve de courage et essayer une fois de plus. Et c'est là que ça se débloque.

Enfin bon ! Mes décisions marchent bien. Et c'est donc cette manière douce de faire les choses qui porte le plus ses fruits. C'est se bouger le cul de manière intelligente qui marche. Pas de se bouger le cul comme un bourrin. Enfin chez moi ça ne marche pas. Sûrement que chez d'autres ça marche. Mais j'ai une sensibilité particulière, peut être une certaine fragilité qui fait que ça marche pas.

Donc d'y aller petit à petit. Juste aller en cours, se poser et voir comment on se sent pour adapter son comportement, ça ça marche. Pareil au rugby, venir, courir sur le terrain et voir comment on se sent, ça marche aussi.

Tout ça pour dire qu'il faut bosser intelligemment ses objectifs et sur la durée. Et surtout, en passant par des institutions parce que c'est extrêmement socialisant.

Et le reste fait le travail.

Du coup ! Niveau meufs. Ca fait plusieurs semaines que je me dis tous les jours qu'il faut que je fasse de la drague de rue ou sortir dans des bars. Et puis parfois y'a des trucs qui viennent naturellement.

À l'escalade notamment, une meuf avec qui je m'entends bien. Je l'ai repérée direct car elle est mignonne et a un très joli regard surtout quand elle me regarde :lol: !! J'arrive à bien déconner avec elle et c'est de plus en plus fun à chaque fois. Je pense qu'elle me plaît. J'ai hâte de voir comment ça va évoluer.

Et aujourd'hui à la bibliothèque universitaire il m'est arrivé un truc de ma-la-de ! Je suis arrivé et y'avait une meuf qui marchait devant moi jusqu'à l'entrée. Une noire avec des formes de malade, un regard de dingue et un visage à tomber par terre. Elle me tape à fond dans l'oeil. Et en fait, elle s'occupait de l'accueil donc elle bossait là. Au moment de passer le tourniquet pour rentrer dans la BU, je me dis qu'elle est vraiment magnifique donc je la reregarde en passant :lol: et elle me regarde avec un petit sourire donc je lui dis bonjour moi aussi en souriant. J'ai ressenti un vrai truc à ce moment. Genre elle me faisait un effet de dingue. Bref je vais bosser. Et à un moment je ressors de la BU pour faire un truc et évidemment je la reregarde :mrgreen: ! Elle me regarde et je tiens le regard. Je me dis que quand même elle a du me repérer vu comment elle me regarde. Je rerentre dans la BU et au moment de passer encore une fois le tourniquet. Je m'arrête, je la regarde (décidément avec le regard on fait beaucoup de choses) elle me regarde. Et t'as sa collègue qui me lance "Elle arrête pas de vous embêter c'est ça ?" en parlant de celle qui me plaît. J'étais ultra gêné car en un instant elle a verbaliser ce que je ressentais (en gros que y'avait une certaine connexion entre nous). Et elle renchérit "je l'ai vu à chaque fois que vous passez elle vous embête". Je savais pas trop quoi dire donc je lance "Non elle m'embête pas, c'est une gentille fille". Mdr c'est nul mais c'est ça qui est sorti. La meuf me répond (la fameuse donc) "oui je suis une gentille fille". Après quoi je lui sourit et je me casse parce que je suis quand même hyper décontenancé, que je ressens une émotion hyper forte, et que je suis à moitié fou de joie. Je suis allé bosser. Et après en ressortant je savais que je la reverrai et qu'il fallait que je tente un truc. Je n'ai rien fait parce que j'avais peur et je l'ai évité. Mais là, après ma séance de rugby du vendredi je suis gonflé à bloc et je sais que demain je retourne à la BU. Alors... Peut-être que je vais porter mes couilles. En tout cas c'est mon projet. L'idée c'est de taper causette et trouver un moyen de la voir en-dehors de la BU en one-one.

Lundi je vais voir un pote avec qui j'avais fait de la drague de rue à l'époque. On va courir mais peut-être qu'il y aura abordage.

J'ai très très envie d'aborder des meufs et de me bouger un peu le cul. Parce que je pense que ça peut passer. La manière forte mais doucement. :lol: :lol: :lol: Et oui il faut se préserver, prendre soin de soi. Être doux avec sa personne. :D

Avec mon meilleur ami aussi je pense qu'il va y avoir du concret très prochainement. Déjà parce que de son côté ça se débloque aussi. Et puis parce que c'est dans nos gènes de mec.

Finalement petite note musicale :



> Une musique ultra chille qui donne envie de se poser et kiffer un instant avec une meuf.



> Une musique qui fait vibrer à fond et qui inspire une âme tout entière.

Voilà ! Je tiens au jus pour les meufs !

Et toutes mes meilleurs ondes pour vos objectifs et vos réalisations en cours !!!

PS : je suis tombé sur un message de FK je sais plus où qui parlait des rencontres. Que les rencontres ça peut être très important pour quelqu'un à une période de sa vie. Et puis que parfois, ce n'est plus dans nos objectifs principaux tout simplement. Et ben moi j'ai cette soif de rencontres (avec les meufs et avec les mecs). J'en ai besoin de ma vie. Ca va être une part importante de ma vie. J'en ai envie terriblement. Et puis un jour peut-être je deviendrai OK avec ça et je pourrai passer à autre chose.

:fuckyeah: :challengeaccepted: :awesome:
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [+3] Fonce ! le 04.12.21, 02h45 par FK
  • [+1] Cool le 04.12.21, 08h48 par Onmyoji
  • [+1] Fonce ! le 04.12.21, 09h23 par The_PoP
  • [+1] Like ! le 04.12.21, 14h35 par Eloxford
<< S'inquiéter, c'est souffrir deux fois >> Anonyme

<< L'homme est certes libre de faire ce qu'il veut, mais il ne peut vouloir ce qu'il veut >> Arthur Schopenhauer

Mec si tu établis pas le contact avec cette nana, je sais pas où tu habites mais je saute dans un train pour te mettre une baffe :lol:
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [0] Aha :) le 15.12.21, 18h08 par Safrania95
Trouve ton courage. N'écoute que lui.
"L'instinct nous dicte le devoir, et l'intelligence nous donne les prétextes pour l'éluder ~ Proust
(c'est pas faux !)

Fonce. T’es tellement sur la bonne voie.

Va voir cette nana. Motif bidon ou motif détourné on s’en fout. Mais vas y.


Tu le sais déjà mais les regrets ça peut faire tellement mal…

Pour tout le reste chapeau bas. T’as tout pigé, je vois pas comment ça ne peut pas payer. Viens relire ton message quand tu auras un coup de moins bien.
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [0] Bonne idée ! le 15.12.21, 18h08 par Safrania95
If you want to touch the sky,
Fuck a duck and try to fly !

Yo FTS !!
FK a écrit :
04.12.21
Mec si tu établis pas le contact avec cette nana, je sais pas où tu habites mais je saute dans un train pour te mettre une baffe :lol

Mdr bah je t'attends pour la baffe :roll:

The_PoP a écrit :
04.12.21
Fonce. T’es tellement sur la bonne voie.

Va voir cette nana. Motif bidon ou motif détourné on s’en fout. Mais vas y.


Tu le sais déjà mais les regrets ça peut faire tellement mal…

Pour tout le reste chapeau bas. T’as tout pigé, je vois pas comment ça ne peut pas payer.
Ca fait plaisir de t'entendre dire ça ! Je me dis que je dois être sur la bonne voie effectivement !

The_PoP a écrit :
04.12.21
Viens relire ton message quand tu auras un coup de moins bien.
Justement je vais moins bien :mrgreen: je vais relire après avoir posté !

Purée c'est le bazar !!

Hier, j'ai eu une angoisse avant d'aller en cours donc j'y suis pas allé. À chaque fois que ça m'arrive ça me fait flipper. Je me dis que si j'arrive pas à aller en cours ou si j'arrive pas à faire des activités ou autre avec des gens je vais vers l'échec général. Ca m'arrivais au rugby mais j'ai réussi à le surmonter (j'y retourne ce soir on va voir si ça marche encore). Bon l'escalade ça m'arrive pas trop ça c'est cool. D'ailleurs j'aimerais bien voir où ça mène avec cette fille à l'escalade. La semaine dernière on s'est posé avec d'autres gars du cours et j'ai bien discuté avec elle.

Mais là j'ai une humeur bien naze du fait de mon << échec >> d'hier. J'arrive pas à trouver la solution pour dépasser ça. Pour me débarrasser de mes difficultés sociales. Elles ne s'expriment pas de la même manière en fonction des gens et des situations mais il y a des endroits où c'est plus fort qu'à d'autres. Genre la faculté : je crois que c'est l'apogée de mon angoisse.

En fait, ce qui est dur c'est qu'aller en cours ça signifie pour moi de prendre le risque d'être vu par les autres. Et quand je dis vu c'est que les autres verront que j'ai vais pas forcément bien, que je suis pas trop confiant en moi. Aller en cours c'est prendre le risque de montrer mes faiblesses et ça c'est hyper dur.

Il y a des moments j'aimerais bien avoir un mec qui soit capable de m'aider à dépasser à ça, à m'épauler.

Et y'a des choses qui me rendent dingue genre les meufs trop canons que je croise et je me dis que purée je peux pas les avoir. C'est rageant.

Ce qui me fait pas mal souffrir aussi c'est de me dire que je fais très peu de rencontre, que mon mode de vie est pas mal routinier avec rien d'extraordinaire. J'aimerais plus d'aventure, plus de challenge. Mais bon il faut dire quand même que je le fais à ma façon : tenter chaque fois la faculté, aller au rugby, aller à l'escalade. C'est déjà quelque chose même si je trouve que c'est pas beaucoup. Il faut bien commencer par un peu, commencer par ce qu'on peut.

:awesome: :challengeaccepted: :fuckyeah:
<< S'inquiéter, c'est souffrir deux fois >> Anonyme

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Yo FTS,

Alors la femme de l'accueil de la bibliothèque je me suis rendu compte qu'elle faisait de l'oeil à pas mal de mecs. Du coup, je suis moins attiré. Dans tous les cas j'ai pas eu le courage d'aller la voir.

J'ai eu un rendez-vous avec la fille de l'escalade. Ca s'est bien passé mais c'était loin de ce que j'espérais. J'aurais aimé l'embrasser et tout mais aucun moyen de me mettre dans le mood pour passer le pas. Et puis même elle je la sentais pas dans le délire. Je sais pas trop si je me suis grillé ou pas. En fait, ça me fout la rage parce que je me sens pas fun du tout. J'arrive pas à créer l'étincelle. J'avais eu un autre rendez-vous il y a quelques mois avec une autre meuf et c'était le même problème. Après j'ai tendance à penser que c'est entièrement ma faute mais je me rappelle aussi qu'on est deux et parfois si ça bloque ce n'est pas forcément que ma faute. À méditer.

Je me rends compte de plus en plus que j'ai un truc pour ma pharmacienne. Elle est plus âgée que moi d'au-moins vingt ans je dirais sachant que j'ai en-dessous de trente ans ce qui fait une grosse différence. On s'entend très bien. En fait, il y a de plus en plus de regards et de sourires qui me font penser qu'il se passe peut-être un truc. Affaire à suivre.

Dans mon précédent message je parlais de mon incapacité à me rendre à l'université. En clair parce que ça m'angoissait trop, les gens, l'environnement, tous ces trucs-là. À la rentrée de janvier je me suis fait une promesse d'aller à tous mes cours et de n'en rater aucun. C'est chose faite. Je n'en ai pas raté un seul. Pour ce qui est du rugby je me suis fait une entorse donc j'ai arrêté trois semaines. Je reprendrai dans une semaine. L'escalade c'est pareil.

En fait, je me rends compte que c'est la fac qui m'apporte le plus, qui me fait faire mes plus grands progrès. Et non pas sortir en pleine rue aborder des femmes. Ce dernier exercice a ses limites. Pendant un temps je pensais que c'est ça qui me ferait progresser, qui me rendrait séduisant et me permettrait de choper. C'est pourquoi je me suis pas mal cassé la tête sur cet exercice. Je me souviens de plusieurs périodes au cours de ma vie où je sortais trois voire quatre fois par semaine chaque semaine pendant plusieurs mois. J'ai abordé des centaines de femmes. Mais mes succès étaient très minces. En gros, en tout et pour tout, j'ai couché avec une, embrassé deux ou trois. J'ai eu cinq ou six rendez-vous et pas mal de numéros mais qui n'aboutissaient la plupart du temps sur rien. Et pour être honnête, avoir ces résultats alors que j'abordais des centaines de femmes, c'était très maigre.

Du coup je me suis demandé ce qui n'allait pas. En fait, j'ai vite compris ce que c'était. C'est quelque chose en moi qui me manquait. Une faculté de sociabilité érodée. Une incapacité à pouvoir sociabiliser avec les gens et à échanger normalement. Une maigre estime de moi. Une certitude que les autres sont bien meilleurs que moi et que donc je ne suis pas à la hauteur. Une croyance que je n'ai pas le droit d'exister. Donc ça se ressentait dans mes interactions sociales. Et les femmes n'accrochaient pas à cause de ça. Ou du moins j'étais dans l'incapacité d'être en mesure de faire accrocher une femme parce que je croyais pas en moi.

J'ai donc fait un pari : reprendre des études pour travailler cette faculté sociale. Parce qu'il n'y a pas mieux pour baigner dans un environnement social et travailler ça sur le long terme. Au début, c'était l'unique but de ma reprise d'étude. Et maintenant je vois les choses un peu différemment : je pense que me former et étudier est une finalité en soi.

Bref. J'ai donc manqué aucun cours en un mois de cours. Et ça me met sur le bon chemin. Je le vois, je suis plus détendu à la fac et je ressens de plus en plus à quel point je suis à la hauteur. Tout ça change mes croyances petit à petit. Et je suis de plus en plus certain que ça va le faire.

Un jour j'aimerais bien pouvoir raconter mon histoire. Toute mon histoire. Car je n'ai pas tout dit ici même si je me mets à nu et que parfois j'hésite à le faire car cela pourrait briser mon anonymat sachant que j'ai déjà rencontré pas mal de personnes du forum. Mais un jour j'en n'aurait plus rien à foutre je pense et je raconterai tout. Je dis ça parce qu'à certains moments de ma vie je suis tombé très très bas. Et pourtant je me relève chaque jour un peu plus. Et je me dis que si je me suis sorti de tout ça, alors tout le monde est capable de surmonter ses problèmes.

J'ai hâte que les choses se débloquent, que je puisse tirer un trait sur mon passé, vivre le présent et envisager sereinement l'avenir. En fait, comme toujours je veux pouvoir vivre à fond, sans entraves, libre.
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [0] Bien joué le 25.02.22, 21h08 par The_PoP
<< S'inquiéter, c'est souffrir deux fois >> Anonyme

<< L'homme est certes libre de faire ce qu'il veut, mais il ne peut vouloir ce qu'il veut >> Arthur Schopenhauer

C'est cool, vraiment, continue comme ça ! Hâte de lire la suite, tiens nous au courant :)
Trouve ton courage. N'écoute que lui.
"L'instinct nous dicte le devoir, et l'intelligence nous donne les prétextes pour l'éluder ~ Proust
(c'est pas faux !)

J'étais en train de réfléchir dans ma chambre et je me suis mis à penser à ce qui faisait que l'on a ou non du succès avec les femmes. Pourquoi est-ce que, malgré toutes nos tentatives, tout le courage et toute la volonté qu'on y met, on galère et on n'a aucun résultat ? Alors évidemment je parle de ceux qui, pour le moment, n'y arrivent pas. La réponse qui m'est venue à l'esprit est qu'il y a quelque chose de plus qu'il nous faut. Que le courage et les autres qualités sont des éléments de la réussite mais ne suffisent pas. Il y a quelque chose de plus profond, d'immensément plus grand que le courage, l'expérience, que les techniques à apprendre, que la théorie. Il y a un quelque chose en chacun de nous de profond, d'authentique, de fidèle à ce que l'on est. Et si on est en accord avec cette nature profonde en nous, alors toutes les portes s'ouvrent à nous. Je pense que c'est cela qu'il faut chercher à atteindre et non des résultats. Et je pense de plus en plus que la persévérance, le courage et l'expérience ne sont rien face à cette réalité de la personne humaine. La persévérance, le courage et l'expérience sont la conséquence de notre fidélité à nous-même et de ce qu'il y a de plus profond en nous. Et c'est ça la vraie confiance. La persévérance et le courage sont le symptôme de notre fidélité à nous même. Ce ne sont pas des principes qu'il faut appliquer à tout prix mais le trait de caractère naturel que tout homme a une fois qu'il s'est trouvé lui-même. Voilà la grande vérité. Il faut savoir qui l'on est au fond de nous même et vivre en accord avec cette réalité. Je pense que lorsqu'on n'est pas en accord avec cette réalité de notre être alors tous nos efforts pour changer seront vains. Tout le courage que l'on puisse avoir, toute l'abnégation dont nous puissions faire preuve, il n'y aura aucun résultat tangible. Seulement du vent. Et là est toute la difficulté : qui sommes-nous réellement ? De quoi sommes-nous fait ?
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [+2] Intéressant le 11.03.22, 21h25 par FK
<< S'inquiéter, c'est souffrir deux fois >> Anonyme

<< L'homme est certes libre de faire ce qu'il veut, mais il ne peut vouloir ce qu'il veut >> Arthur Schopenhauer

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