Style littéraire et séduction

Note : 7

le 05.02.2022 par Icecastle

8 réponses / Dernière par Gafano le 21.02.2022, 19h35

Pour celles et ceux qui veulent discuter et demander des conseils rencontres et séduction; comment faire avec cette fille ou ce mec; et plus généralement, comment pécho / trouver l'amour à l'ère du swipe left, notamment quand on est ni mannequin, ni un ninja de la drague.
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Bonjour à vous,

Comme vous l'avez sans doutes remarqué, on peut être séduit par le style littéraire de quelqu'un. On m'a déjà dit que j'avais un style, mais je crains qu'il ne soit maladroit et je ne sais pas si il est séduisant.

Avez-vous des astuces et conseils pour écrire de jolies phrases dans le but de séduire ?

Je ne parle pas de poésie, je veux parler du style littéraire qu'on a tous les jours, pour écrire des messages sur les sites de rencontres, des sms, des emails et toute autre forme de communication.

C'est une chose qui est assez importante pour moi et c'est quelque chose qui porte avec certaines femmes.
Tu peux jouer avec les figures de style, mais si tu veux écrire des choses belles, ça nécessite un peu de poésie, à ne pas confondre avec la rime, même si c'est aussi une composante.

Je ne sais pas si tu as des exemples de choses que tu voudrais dire mais l'exemple c'est le meilleur moyen de te faire une idée.

Après pour ce qui est du style séduisant, je crois que c'est une erreur de le penser ainsi: ce qui est séduisant c'est les choses que tu vas dire, la forme que tu vas employer n'est qu'un vecteur mais il faut que ça touche l'autre.
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [+1] Merci ! :) le 05.02.22, 13h11 par Icecastle
"Les gens déplorent les effets dont ils chérissent les causes"

Je peux te faire partager 3 de mes réflexions:

Le style doit servir l'emotion et non la substituer.

Le dialogue valant tout les monologues, il est très difficile d'avoir un style arrêté. C'est comme si tu voulais parler en Alexandrin dans la creuse ou en verlant dans le 16eme. Tu dois t'adapter au style imposé pour pouvoir donner une impulsion.

Ta plume doit capter l'instant et l'état émotionnel de l'autre. L'empathie n'est pas absente de la communication épistolaire.
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [+2] Post de qualité le 13.02.22, 23h06 par Onmyoji
  • [+1] A lire le 15.04.22, 11h50 par Icecastle

Pour ce qui est de la plume, je pense qu'il faut distinguer la belle plume de la bonne plume : si les deux ne sont pas exclusives, ce sont néanmoins deux choses différentes.

La belle plume, c'est le fait de savoir bien écrire d'un point de vue formel, d'avoir du vocabulaire, s'exprimer de manière soutenue, académique, superlative, d'avoir poncé auteurs et poètes et soi-même noirci quelques dizaines de pages. Dit autrement, c'est le mariage de la technique et de la culture.

Mais le risque avec, c'est que la belle plume pour la belle plume, ça peut vite devenir très chiant. Jai une connaissance qui ambitionne de vivre de sa plume et qui passe plusieurs heures par jours à écrire et qui nous a pondu un roman épistolaire retraçant la correspondance entre ses deux protagonistes épris l'un de l'autre. C'est formellement parlant très bien écrit, mais bon Dieu, qu'est-ce qu'on s'emmerde quand on lit ça !

Le gros souci vient du fait que le gars s'est focus à mort sur le style, ce qui donne comme résultat que ses deux protagonistes ne sont que les porte-manteaux sans épaisseur réelle affublés du perruques pour les distinguer l'un de l'autre auxquels il accroche son style certes travaillé mais lourdingue as fuck, manquant de faire basculer ses porte-manteaux à chaque fin de ligne sous le poids de sa pompe.

En fait, ses personnages sont des prétextes pour étaler son style, des marionnettes. ils n'ont aucune vie propre une fois les pages du roman refermées.

Et les passages de loin les plus gênants de cet ouvrage sont les tirades essayant de faire dans l'érotisme : c'est là qu'on réalise que le gars n'a pas créé de personnages à proprement parler ni créé de lien avec le lecteur... et q'il n'a probablement pas beaucoup d'expérience en la matière. Ces passages sonnent profondément fake.

C'est là qu'on arrive à la bonne plume : le fait de pouvoir toucher la personne à laquelle on écrit, réussir à établir un dialogue entre absents, avec le lecteur, en insufflant du vivant et du spontané ans son écriture.

Lire doit éveiller des sentiments chez l'autre, dans le dialogue, le capter. Je rejoins Speedy Smile sur ce qu'il dit : écrire, c'est ajouter un supplément d'âme et de vivant à une suite de lettre formant des suites de mots formant des suites de phrases.

Alors oui, culture et technique littéraire peuvent aider à se distinguer de la masse, notamment sur les apps; mais il faut toujours le faire au service du dialogue, de la volonté résolue de vouloir parler avec l'autre et de ne pas juste se faire kiffer :)
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [0] C'est pas si simple le 18.02.22, 21h43 par Onmyoji

Yep, y'a la technique, d'une part, mais c'est l'instinct / les trippes qui font la diff, et qui touchent véritablement l'âme.
Trouve ton courage. N'écoute que lui.
"L'instinct nous dicte le devoir, et l'intelligence nous donne les prétextes pour l'éluder ~ Proust
(c'est pas faux !)

Popovski a écrit :
18.02.22
Pour ce qui est de la plume, je pense qu'il faut distinguer la belle plume de la bonne plume : si les deux ne sont pas exclusives, ce sont néanmoins deux choses différentes.

La belle plume, c'est le fait de savoir bien écrire d'un point de vue formel, d'avoir du vocabulaire, s'exprimer de manière soutenue, académique, superlative, d'avoir poncé auteurs et poètes et soi-même noirci quelques dizaines de pages. Dit autrement, c'est le mariage de la technique et de la culture.

Mais le risque avec, c'est que la belle plume pour la belle plume, ça peut vite devenir très chiant. Jai une connaissance qui ambitionne de vivre de sa plume et qui passe plusieurs heures par jours à écrire et qui nous a pondu un roman épistolaire retraçant la correspondance entre ses deux protagonistes épris l'un de l'autre. C'est formellement parlant très bien écrit, mais bon Dieu, qu'est-ce qu'on s'emmerde quand on lit ça !

Le gros souci vient du fait que le gars s'est focus à mort sur le style, ce qui donne comme résultat que ses deux protagonistes ne sont que les porte-manteaux sans épaisseur réelle affublés du perruques pour les distinguer l'un de l'autre auxquels il accroche son style certes travaillé mais lourdingue as fuck, manquant de faire basculer ses porte-manteaux à chaque fin de ligne sous le poids de sa pompe.

En fait, ses personnages sont des prétextes pour étaler son style, des marionnettes. ils n'ont aucune vie propre une fois les pages du roman refermées.

Et les passages de loin les plus gênants de cet ouvrage sont les tirades essayant de faire dans l'érotisme : c'est là qu'on réalise que le gars n'a pas créé de personnages à proprement parler ni créé de lien avec le lecteur... et q'il n'a probablement pas beaucoup d'expérience en la matière. Ces passages sonnent profondément fake.

C'est là qu'on arrive à la bonne plume : le fait de pouvoir toucher la personne à laquelle on écrit, réussir à établir un dialogue entre absents, avec le lecteur, en insufflant du vivant et du spontané ans son écriture.

Lire doit éveiller des sentiments chez l'autre, dans le dialogue, le capter. Je rejoins Speedy Smile sur ce qu'il dit : écrire, c'est ajouter un supplément d'âme et de vivant à une suite de lettre formant des suites de mots formant des suites de phrases.

Alors oui, culture et technique littéraire peuvent aider à se distinguer de la masse, notamment sur les apps; mais il faut toujours le faire au service du dialogue, de la volonté résolue de vouloir parler avec l'autre et de ne pas juste se faire kiffer :)
@Popovski @Speedy Smile je partage le même avis que vous.

Quand on reçoit une lettre le plaisir est dans l’échange et non dans le monologue ou l’étalage de culture. Je peux perdre assez rapidement patience quand je m’aperçois que la personne écrit plus pour montrer ses connaissances que pour apprendre à connaître/ être dans l’échange.

L’authenticité va beaucoup compter également pour moi. Si le texte est bien écrit mais peu réaliste, je ne vais pas réussir à adhérer au récit, je ne me sentirai pas concernée et donc pas touchée car mon cerveau pensera que je me fais gentiment avoir par une mise en scène plus ou moins habile.

Ceci dit il y a des métaphores et des oxymores qui peuvent marquer. J’aime beaucoup les expressions qui vont faciliter l’imagination. Exemple : illustrer quelque chose. D’autres sont plus sensibles aux sons. Exemple : anaphores. Mais alors le top, ce sont les messages cachés qui font travailler les méninges et qui donnent un autre sens que celui apparent.

L’exemple célèbre de la lettre de George Sand à Chopin. (Le message caché est à lire une ligne sur deux).

Ou d’autres jeux qui consistent à faire un poème avec des contraintes diverses. Pas de « e ». Seulement des rimes en « ion ». Ou encore, essayer d’écrire un truc cohérent avec des mots qui n’ont aucun lien entre eux pour rendre l’exercice plus difficile. Plus c’est loufoque ou détourné meilleure est la récompense. Quand on a résolu l’énigme, ça donne l’impression de pouvoir savourer sa victoire comme une récompense bien méritée. C’est comme ça que je vois les choses. Un bras de fer entre deux esprits qui se testent maos sans aucun perdant. La seule chose qui arrive quand on perd c’est qu’on rate le sens du message caché. Du coup y a plus de connexion possible.

Finalement, une belle écriture c’est compliqué à décrire. Je dirais que plus qu’une belle écriture il faut que ça suscite la curiosité ou invite au jeu. Il faut que ça donne envie de se rapprocher de quelqu’un, pas seulement pour son intelligence apparente mais ce qu’il/ elle a à offrir (comme regard/ expérience/ opinion sur le monde). Sinon comme tour joli corps, ça peut faire penser à une boîte vide et impersonnelle. Et surtout, quand c’est pas personnel et parfaitement maîtrisé, et que c’est détecté ça perd tour son intérêt. C’est pas le genre de truc qui s’improvise en faisant des copier-coller de tournures. Au contraire rebondir sur ce qui a été dit avant ça permet de nourrir le truc et de renvoyer la balle. Ce qui peut différencier c’est vraiment la personnalisation de l’interaction autrement un échange réel.

Il faut aussi s'éloigner de cette vision que l'instinct c'est tellement supérieur à la réflexion en la matière.
La majorité des plus belles pages n'ont pas été écrites d'un premier jet. Même des trucs comme le Festin Nu ont été repris de multiples fois, et c'est très laid malgré tout.
Parfois dans un dialogue, ça peut être bien d'aller chercher une référence. Dans "comment c'est loin" Gringe regarde dans des dicos pour faire des réponses sms. Et vu le personnage ça doit être totalement vrai. On est dans l'écrit, on peut se permettre de jouer de choses qui ne seraient pas disponibles à l'oral.
Je n'hésite pas à le faire quand je sens qu'une personne peut être réceptive à un sujet, en général ce sont des choses sur lesquelles j'ai déjà une culture mais où un terme précis me manque, et le trouver peut sublimer la communication.
Certains auteurs se sont beaucoup pris la tête pour séduire leurs dulcinées, y ont mis de grands efforts, et c'est sans doute pour ça que leurs oeuvres perdurent.
Je ne prétends pas faire la même chose à mon niveau, mais simplement je pense que "l'instinct" c'est une facilité. Même si une rythme ou un poème te vient totalement de manière fluide et à la volée, c'est parce que des efforts tu en as fait des tonnes avant pour avoir de genre d'inspiration. La culture à laquelle se raccrocher autant que les outils littéraires.

Et le problème décrit par Popovski peut aussi venir du lecteur: ne pas avoir la culture pour apprécier ce qui est écrit, ou simplement ne pas aimer ce style,
Sans pour autant que ce soit mauvais.
Dans un objectif de séduction ça peut être un problème de calibration de celui qui écrit, mais après on va avoir des gens qui ne seront pas émus par du beau qui leur échappe parce qu'ils ont une sensibilité déficiente.

Après bien écrire effectivement c'est donner du corps à ses personnages et ne pas juste se regarder écrire, c'est vrai, mais ça ce n'est pas que de l'instinct, c'est seulement une question de perspective dans l'écriture, il y a des tonnes de techniques pour ça, comme pour toucher les cordes sensibles du lecteur d'ailleurs (après ce sont de plus ou moins grosses ficelles et c'est plus ou moins bien fait mais c'est là où une bonne technique et un bon sens de la communication jouent).

Ça reste différent de s'adresser à une personne pour la faire vibrer. Si c'est le but, là c'est plus facile de se calibrer sur sa manière de communiquer, mais ça reste aussi simple à faire quand on sait ce que l'autre veut.
En effet, si certaines personnes sont ouvertes à des choses différentes de leur manière habituelle de communiquer et vont facilement se laisser emporter, d'autres comme pour un livre ne seront pas capables d'apprécier certaines choses à leur juste valeur et vont rester bloquées dans leur manière habituelle de communiquer. Alors soit on fait avec, soit on joue sur une ligne intermédiaire, soit on filtre sur ça. pour moi c'est la deuxième ou la troisième solution, mais les nanas avec la sensibilité d'un caillou qui vont pas comprendre et faire "ok" quand tu leur lâches tes tripes ou un beau texte, même si elles sont intéressées par toi, ça tue tout, elles méritent même pas qu'on cherche à aller purement sur leur terrain. Alors qu'une nana qui communique pas comme ça habituellement mais qui se prend au jeu voire qui va tenter d'apporter sa touche à l'interaction, c'est beau et gratifiant et c'est ce qui va faire une interaction vraiment spéciale.
"Les gens déplorent les effets dont ils chérissent les causes"

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Pour donner un exemple je trouve qu'Amelia écrit bien. Je suis fasciné par le style qu'elle a dans son journal.
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [+1] 100% d'accord le 19.02.22, 08h19 par Onmyoji
  • [+1] Oui le 21.02.22, 19h25 par Gafano

Onmyoji a écrit :
19.02.22
Il faut aussi s'éloigner de cette vision que l'instinct c'est tellement supérieur à la réflexion en la matière.
La majorité des plus belles pages n'ont pas été écrites d'un premier jet. Même des trucs comme le Festin Nu ont été repris de multiples fois, et c'est très laid malgré tout.
Parfois dans un dialogue, ça peut être bien d'aller chercher une référence. Dans "comment c'est loin" Gringe regarde dans des dicos pour faire des réponses sms. Et vu le personnage ça doit être totalement vrai. On est dans l'écrit, on peut se permettre de jouer de choses qui ne seraient pas disponibles à l'oral.
Je n'hésite pas à le faire quand je sens qu'une personne peut être réceptive à un sujet, en général ce sont des choses sur lesquelles j'ai déjà une culture mais où un terme précis me manque, et le trouver peut sublimer la communication.
Certains auteurs se sont beaucoup pris la tête pour séduire leurs dulcinées, y ont mis de grands efforts, et c'est sans doute pour ça que leurs oeuvres perdurent.
Je ne prétends pas faire la même chose à mon niveau, mais simplement je pense que "l'instinct" c'est une facilité. Même si une rythme ou un poème te vient totalement de manière fluide et à la volée, c'est parce que des efforts tu en as fait des tonnes avant pour avoir de genre d'inspiration. La culture à laquelle se raccrocher autant que les outils littéraires.

Et le problème décrit par Popovski peut aussi venir du lecteur: ne pas avoir la culture pour apprécier ce qui est écrit, ou simplement ne pas aimer ce style,
Sans pour autant que ce soit mauvais.
Dans un objectif de séduction ça peut être un problème de calibration de celui qui écrit, mais après on va avoir des gens qui ne seront pas émus par du beau qui leur échappe parce qu'ils ont une sensibilité déficiente.

Après bien écrire effectivement c'est donner du corps à ses personnages et ne pas juste se regarder écrire, c'est vrai, mais ça ce n'est pas que de l'instinct, c'est seulement une question de perspective dans l'écriture, il y a des tonnes de techniques pour ça, comme pour toucher les cordes sensibles du lecteur d'ailleurs (après ce sont de plus ou moins grosses ficelles et c'est plus ou moins bien fait mais c'est là où une bonne technique et un bon sens de la communication jouent).

Ça reste différent de s'adresser à une personne pour la faire vibrer. Si c'est le but, là c'est plus facile de se calibrer sur sa manière de communiquer, mais ça reste aussi simple à faire quand on sait ce que l'autre veut.
En effet, si certaines personnes sont ouvertes à des choses différentes de leur manière habituelle de communiquer et vont facilement se laisser emporter, d'autres comme pour un livre ne seront pas capables d'apprécier certaines choses à leur juste valeur et vont rester bloquées dans leur manière habituelle de communiquer. Alors soit on fait avec, soit on joue sur une ligne intermédiaire, soit on filtre sur ça. pour moi c'est la deuxième ou la troisième solution, mais les nanas avec la sensibilité d'un caillou qui vont pas comprendre et faire "ok" quand tu leur lâches tes tripes ou un beau texte, même si elles sont intéressées par toi, ça tue tout, elles méritent même pas qu'on cherche à aller purement sur leur terrain. Alors qu'une nana qui communique pas comme ça habituellement mais qui se prend au jeu voire qui va tenter d'apporter sa touche à l'interaction, c'est beau et gratifiant et c'est ce qui va faire une interaction vraiment spéciale.
A mon avis, ça dépend des circonstances, de l'humeur de ton interlocutrice mais aussi de la complicité que tu crées au lieu de ne prendre pour seul critère que son niveau de culture gé. Comme tu dis, on lâche pas des références littéraires au premier venu. On n'a pas tous la même sensibilité aux mots ni la même culture (scientifique, littéraire, ou autre) mais ça n'empêche pas sans lire balzac d'être sensible aux mots. Dans chaque interaction, ce sont les joueurs qui fixent eux-même les règles du jeu. En tout cas c'est comme ça que je vois le côté intuitif du truc, je ne pense pas qu'il existe de méthodologie universelle et systématique.
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [+1] Oui le 22.02.22, 03h24 par Jalapeno

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