S'accorder ou pas avec la culture, les valeurs, les tendances de son époque pour mieux se lier aux autres?

Note : 9

le 08.03.2022 par Onmyoji

5 réponses / Dernière par maxooooouuuuu le 10.03.2022, 15h20

Pour celles et ceux qui veulent discuter et demander des conseils rencontres et séduction; comment faire avec cette fille ou ce mec; et plus généralement, comment pécho / trouver l'amour à l'ère du swipe left, notamment quand on est ni mannequin, ni un ninja de la drague.
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Bonjour
Petite précision, ce sujet serait sûrement à sa place dans "mental", mais je tiens vraiment à l'axer sur le contexte de la relation aux autres, à l'envie de se créer un cercle social en adéquation etc.

Quand on approche de la quarantaine, on a sans doute été exposé à une dizaine de vagues culturelles, de valeurs, et à des centaines de tendances, avec leurs flux et reflux. La grande question, c'est que garder, en fonction de la volonté de se fondre dans son époque ou pas?

à vrai dire je me pose la question pas parce que j'ai un besoin d'adéquation ancré dans mon âme.
Plutôt au contraire parce que je m'en fous tellement, que finalement, j'ai un peu lâché l'affaire pour tracer ma propre route. Sauf que ça reste difficile de se lier aux autres, et si je n'ai pas besoin d'appartenir à des groupes, des castes, des ensembles de gens qui pensent selon une forme toute faite, qui divisent le monde en deux catégories et qui n'ont pas de colts ou de pelles, j'ai par contre un besoin de me lier.
Et je me rends compte que si les gens reconnaissent souvent ma singularité, c'est aussi ça qui les empêche d'aller vers moi. En plus, je veux pas que mon indépendance d'esprit me transforme en "vieux con" (perçu ou réel).

Aussi, au niveau culturel/tendances, ça reste bien plus facile d'échanger quand on pense avec les mêmes références.
Alors je ne me fais pas d'illusions, de toute manière, je serai largué parce qu'il y a déjà tellement de trucs de mon époque que je continue à découvrir que je n'ose espérer suivre l'actuelle.
Mais là, sans "vouloir faire le jeune", je me dis que je rate aussi des choses (ça ne peut pas être qu'un océan de merde). Et donc, comment vous gérez, vous?
La radio, les médias en général, c'est insupportable, faut filtrer 99% de ce qui passe.
J'aime à laisser faire les algorithmes mais ça n'aide pas forcément à découvrir de nouvelles choses et souvent pas récentes. Après il y a sortir dans des endroits un peu tendance, mais là où je passe à l'aise vu mon âge, ils vont avoir tendance à être moins actuels aussi.
évidemment, il y a l'entourage, mais il faut toujours renouveler alors...

Quant aux valeurs, c'est très difficile de se lier avec des gens quand les valeurs sont discordantes de manière très marquée. Et là, on a quand même vécu quelques révolutions (pas toujours pour le mieux).
Je suis pas pour la culture pute à clic d'insta, facebook et autres, par exemple. Je limite ma présence sur les réseaux, parce que j'ai mieux à faire de mon temps et que je trouve ça futile. D'un autre côté, la majorité des nanas un peu mignonnes (même celles qui sont pas des bulots) ont pour sport de raconter leur vie/se mettre en avant sur insta.
Je pourrais étendre ça à d'autres aspects (les SJW qui se cassent souvent les dents sur moi, mais qui peuvent m'aliéner aussi des personnes autrement sympas).

Où vous en êtes, quelle est votre perception, votre démarche?
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [+1] Intéressant le 08.03.22, 01h10 par Fauve noir
  • [+1] Sors avec des potes et amuse-toi le 08.03.22, 09h56 par FK
  • [+1] Intéressant le 08.03.22, 18h58 par Perlambre
"Les gens déplorent les effets dont ils chérissent les causes"

Hello Onmoyji,

Petite question : à quelles tendance penses-tu ? Des vagues culturelles, de modes ?

Je suis un peu comme toi dans le sens où on me décris parfois comme un « loup solitaire ». Je me fous de l’opinion des autres, je ne ressens pas le besoin d’appartenir à un groupe ou à une caste, même si comme chacun je garde un certain besoin d’approbation.

Si je comprends bien, tu assumes le fait d’être un peu en marge des mouvements, mais tu éprouves une petite nostalgie, un regret de ne pas appartenir à l’une de ses foules ? Tu penses que, si c’était le cas, tu aurais l’impression de vivre un peu plus à fond , d’être dans le mouvement ?

Pour autant, est-ce que tes relations amicales, amoureuses ou sexuelles te conviennent ?

C’est effectivement difficile de se lier quand les autres ont des valeurs profondément différentes des notres. Pour autant, sans vouloir faire partie d’un cortège militant pour je ne sais quel droit, peut-être peux-tu rechercher les points d’accroche avec telle ou telle personne, qui constitueront des liens à même de résister aux points plus discordants ?

C’est un sujet intéressant à creuser, et je pense avoir le même à vrai dire.
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [+1] Merci ! :) le 08.03.22, 21h24 par Onmyoji
Roi sous la montagne

Je fais vite, quelques pistes :
- éteindre le circuit du jugement dans le cerveau
- éteindre celui de la gravité, allumer celui de la légèreté. Les stoïciens méprisent les maussades. Oui on va mourir et les gens sont des singes, mais ce n'est pas une raison pour ne pas s'amuser. En fait, c'est la meilleure raison de s'amuser, parce que sinon quoi ? Grommeler dans son coin ?
- sors avec des potes et amuse toi (dont je commence à croire que c'est le meilleur conseil jamais donné sur FTS)

Il y a de l'or dans la légèreté, mais il faut savoir changer ses attentes et sa perception, au moins momentanément. Jongler entre les modes.
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [+1] En effet le 08.03.22, 18h58 par Perlambre
  • [+1] Constructif le 08.03.22, 21h24 par Onmyoji
Trouve ton courage. N'écoute que lui.
"L'instinct nous dicte le devoir, et l'intelligence nous donne les prétextes pour l'éluder ~ Proust
(c'est pas faux !)

Onmy,

Je pense que l’on peut tout à fait être en accord avec l’époque actuelle sans pour autant en adopter tous les codes. Pour la simple raison qu’à quarante ans tu ne tromperas personne au cas où tu voudrais imiter ceux qui en ont vingt.

Des groupes, à quarante ans nous en avons, qu’ils soient pros, amicaux ou même plus éloignés, ceux d’un sport, d’une asso, d’un cercle de personnes reliées par une passion ou un loisir.

Les groupes pros ou de loisirs mixent souvent les âges, de bons moments peuvent se partager… jusqu’à un certain point. Perso je le vois avec mes jeunes collègues, je n’ai aucune envie de les suivre dans un nième bar après minuit même si par politesse ils me le proposent. C’est leur jeunesse, j’ai eu la mienne et au lieu de perdre mon temps en regret, je me dis que j’ai eu la chance de les côtoyer quelques heures.

Ma ligne de conduite : accueillir la différence tout en sachant rester à ma place. Et pour les tendances, nous pouvons en connaître un bon nombre sans pour autant y adhérer. Je n'ai pas de compte Insta et alors ?!

En ce qui concerne les valeurs, j’ai constaté avec surprise que je pouvais en partager avec des personnes qui ne me ressemblaient pas, qui n’avaient pas mon mode de vie ou mes origines. Comme quoi …

Rater des choses ? Je préfère me demander s’il me manque quelque chose. Je n’ai pas l’impression. Et puis je n’ai pas envie de rentrer dans la course à la jeunesse, course perdue d’avance. Et pas que pour les femmes.

Tu parles d’un entourage qu’il faut tout le temps renouveler, pourquoi ? Ne faut-il pas au contraire en prendre soin, l’accompagner autant qu’il nous accompagne et au final le garder au fil des années ? Et avoir un socle solide ne signifie pas manquer d’ouverture si de nouvelles têtes frappent à la porte… et si elles n’ont pas vingt ans, est-ce si grave ?

Pour reprendre les mots de FK « il y a de l’or dans la légèreté », et la légèreté n’est ni une mode, ni une tendance, ni un âge. Par contre elle se cultive.
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [+1] Intéressant le 08.03.22, 21h25 par Onmyoji

Alors, merci pour vos réponses. Je vais répondre en bloc et sans mentions parce que pas mal de choses se croisent:

à vrai dire non je n'ai pas besoin de faire partie d'un groupe/ courant. C'est surtout parce qu'on parlait des codes des "jeunes" dans un autre sujet que j'ai posé cette question, parce que je me la suis posée, et j'en suis venu à me dire que niveau références culturelles, si j'allais draguer "en vrai" certaines femmes plus jeunes hors contexte permettant d'établir naturellement des liens*, j'allais sans doute manquer de répondant (parce que je ne suis pas ce qui se fait sur Netflix par exemple, j'ai pas de télé, c'est pas pour m'abrutir avec des séries faites à la presse hydraulique pour passer des messages à la con -je dis ça de manière volontairement abrupte, je sais bien sûr qu'il n'y a pas que ça, mais j'aime pas trop qu'on me fasse la morale dans mes fictions), et paraître ennuyeux si je suis toujours en décalage.
Après je ne suis pas pour "faire le jeune" non plus, comme je dis plus haut je sais que je serai largué dans tous les cas car le volume de médias est énorme.
Mais bon, d'un côté ça me fait chier parce que quand on fait référence à des choses j'aime pouvoir rebondir, de l'autre, j'ai pas envie de me taper la discographie intégrale du rnb ou du rap contemporain mainstream parce que j'ai le cerveau qui saigne au bout de 2 minutes le plus souvent. Donc j'en viens à ignorer des pans complets de trucs qui sont ultra populaires (genre PNL, que je vomis). Je sais que je n'y perds pas culturellement, mais comme je disais une autre fois, les goûts sont pas forcément significatifs de ta personnalité, c'est juste que si tous les gens de ton âge écoutent un truc ça t'imprègne forcément, et même quelqu'un de bien peut avoir des goûts de chiotte.
Et même si je les laisse vivre et que je leur dis pas que ce sont des goûts de chiotte, les gens se rendent comptent que je connais pas au travers des discussions. Et soit je passe pour un dinosaure parce que je connais pas, soit pour un ringard parce que je sais que ça existe mais ça m'intéresse pas (et qu'eux n'ont pas le regard "tolérant" que je peux avoir sur leurs goûts que je trouve douteux), parce qu'écouter ce genre de trucs c'est une perte de temps et de santé mentale souvent. écouter du nouveau via son entourage plus jeune, quand on a des atomes crochus niveau goûts ça peut être un bon vecteur, mais ça reste limité. (@Perlambre: quand je disais qu'il fallait toujours renouveler je pensais pas aux gens, mais à ce qu'on découvre et les gens sont pas en recherche permanente de nouveauté souvent, c'est pour ça que je dis que c'est limité)
ça c'est pour les vrais inconnus.

*Par contre, je n'ai pas vraiment de mal à échanger avec mes collègues plus jeunes, par exemple, ou avec des personnes jeunes (23-28 ans) rencontrées par hasard dans un contexte ouvert à la conversation, où la glace est déjà brisée. J'ai une bonne proportion de collègues avec qui je m'entends bien, c'est assez facile pour moi de me faire apprécier on va dire. Mais c'est là où le bât blesse; si ces relations sont sympathiques, j'ai l'impression qu'en dehors de quelques exceptions le côté "culture/valeurs" joue un rôle de barrière à plus de connexion, ou à la pérennisation d'une relation vraiment amicale, en dehors de certaines personnes avec qui les échanges sont longs et réguliers (collègues de bureau directs par exemple, qui sont effectivement devenus des ami(e)s pour la plupart).
Par exemple; j'avais un collègue plus jeune de 10 ans avec qui l'on avait pas mal de centres d'intérêt en commun, parce que même si je joue peu je connais les jeux vidéos (geek un jour...), j'écoute aussi du métal à mes heures, l'informatique, les films, les lectures, etc, et à côté de ça c'était un gars assez cool. Mais parfois on est arrivés sur des sujets type relations, où il était un peu "angéliste", et dans une vision ultra féminisée "les femmes ces princesses" ce genre de choses, et sans lui faire la leçon, le simple fait de lâcher que c'était pas des anges en vrai m'a valu quelques regards effarés. Et j'ai l'impression que si on a gardé des relations cordiales, je passais un peu pour le vieux dinosaure macho.
Une autre fois, le simple fait de demander à deux des filles pourquoi elles avaient des doutes sur le vaccin (et j'ai remarqué que c'était ultra fréquent chez les jeunes) en leur donnant des réponses aux questions qu'elles se posaient a causé des regards suspicieux.
Alors je sais, on se doit d'être léger etc, mais quand tu passes tous les jours à côté des mêmes personnes, tu finis par parler de choses plus sérieuses et c'est parfois là que ça coince je pense.
Et avec les choses sérieuses, tombent les barrières et viennent des sujets clivants (que je n'amène pas mais qu'il est difficile d'éviter souvent)

Parce que je suis plutôt déconneur (même si j'ai peut être l'air maussade ici, disons que la connerie est effectivement l'un des rares trucs qui me rend la réalité du monde dans ses aspects les moins reluisants acceptable. Donc j'en joue pas mal), c'est pas trop le problème, et je n'ai aucun mal à suivre mes collègues quand on sort (ce serait parfois plutôt l'inverse, où je vais jouer le chaperon pour les plus jeunes parfois quand ils ne sont pas raisonnables). Mais j'ai l'impression que cette sympathie ne résiste pas aux points clivants qui de nos jours finissent souvent par arriver.


Au niveau des relations "amoureuses", je fais des rencontres (surtout par SDR pour des questions logistiques, mais ça m'arrive de faire des abordages dans la rue ou certains endroits où je suis de passage) et ai des dialogues plus ou moins étirés dans le temps à la suite. De manière générale, il y en a peu qui me font vibrer, donc j'y passe moins de temps et je coupe plus court (ce qu'on lit ici dans mon journal, c'est le surnageant, mais en vrai, je mets fin assez rapidement ou laisse mourir quand c'est pénible).
Quand la nana sait être intéressante, le point clivant ce sont souvent les valeurs:
-parfois j'attire des femmes qui sont ultra conservatrices et j'ai du mal avec les à côtés type racisme sous jacent, le côté ultra rigide de leur vision des genres et de ce que doit faire chacun (alors que tout homme que je suis, personne n'a à me dicter ma manière d'être vis à vis des autres sous ce prétexte), le côté "je vis pour pondre", la religion etc (celles là sont plus rares à la trentaine et assez fréquentes à la quarantaine)
-parfois j'attire des ultralibérales woke/féministes radicales et j'ai du mal avec leurs délires (et celles là sont souvent jeunes ou trentenaires)
-exceptionnellement, je rencontre une nana saine d'esprit (je peux pas dire "entre les deux" parce que le juste milieu de ça serait assez barge aussi) et qui a aussi ce qui me convient par ailleurs
Ces valeurs, pervasives dans notre société, vont être le truc le plus souvent éliminatoire parce que c'est vite prise de tête (je veux pas d'une relation pour faire un gosse direct ou me marier au bout de trois mois en mode "pas de sexe avant le mariage", ou épouser une néonazie même si elle a des goûts littéraires exquis, et quand certaines féministes radicales me matchent quand j'annonce sur mon profil que certaines choses typiques comme l'écriture inclusive, le starter pack "d'autrices" bidons en livre de chevet et co, je comprends pas trop comment elles peuvent zapper ça mais c'est barjot rapidement). Bien sûr j'en partage avec des gens très différents de moi, ce n'est pas ce qui me travaille. Plus le fait que ce soit un barrage vers des gens que j'apprécierais de connaître mieux ou avec qui tous les feux seraient autrement au vert.

A contrario, j'ai deux plans cul irréguliers avec des rencontres aussi faites sur sdr; et ce sont des filles de 23-27 ans avec qui ça passe bien, mais en dehors du sexe, quand ça arrive qu'on discute en dehors, je sens qu'elles apprécient le fait que j'ai des choses à leur faire découvrir. Elles sont plus là pour découvrir, que pour amener quelque chose, donc c'est assez attendu.

Pour les tendances, ça peut être problématique pour d'autres raisons. Il y a quelques années quand facebook a commencé à décoller, si tu prenais un mail ou un numéro, c'était bizarre. Maintenant si tu donnes un facebook, plutôt qu'un insta, c'est pareil. C'est une question de perception. Je ne cherche pas à être "dans le coup", juste à ne pas me tirer de balle dans le pied. De la même manière, les textos aujourd'hui ça les fait bugger, alors que Whatsapp non. Pour moi la différence est mineure, mais on m'a déjà fait la remarque que "les textos c'est chiant". Parce qu'ils ont l'habitude d'un média, faut pas en sortir pour eux. Je suis partisan d'être pragmatique et efficace. ça ne me sert à rien de lutter contre le courant de ce point de vue là.
ça ne veut pas dire que je vais me faire un compte tiktok, mais juste que j'essaie d'être calibré en fonction des gens avec qui j'interagis.
"Les gens déplorent les effets dont ils chérissent les causes"

Salut Onmyoji,


Je me retrouve un peu dans ce que tu dis, c'est peut-être une question de génération. Nous sommes de la Y, et nous nous sentons en décalage avec la génération suivante.
Pour ma part, j'ai décidé de n'emprunter à la génération suivante que des choses dans lesquelles je me retrouve, qui vont m'apporter des émotions positives ou des éléments constructifs.

Côté réseaux sociaux, j'avoue être un grand nostalgique de l'époque tchats/MSN des années 2000 qui ont été un de mes repaires de drague préférés (j'étais vraiment timide et aborder IRL me paraissait insurmontable, par contre je suis plus à l'aise à l'écrit) J'ai fini par passer sur Facebook, Messenger ayant pris la suite de MSN, mais ça a eu pendant un temps ses côtés pervers (stalker le profil de la nana ciblée, comparer les vies des uns et des autres) qui m'ont valu quelques moments compliqués.
Aujourd'hui, je pense avoir trouvé la bonne utilisation de Facebook. J'y vais moins souvent et ne diffuse qu'occasionnellement sur des sujets précis. Par exemple je pratique la randonnée à vélo, du coup je suis inscrit sur un groupe où je peux avoir les bons plans, éventuellement proposer des sorties à plusieurs. Et je partage mon expérience avec mes contacts en diffusant photos et récits de mes randonnées.

J'utilise aussi pas mal les sites et applis type OVS ou équivalent, ça m'a permis de faire des sorties à thème dont je savais que j'allais passer un bon moment, tout en faisant de nouvelles connaissances. Aujourd'hui, les gens que j'ai rencontrés au groupe tarot sont des amis que je fréquente régulièrement. Et ça ne m'empêche pas de faire de nouvelles sorties sur de nouveaux thèmes - et de nouvelles rencontres - lorsque l'envie m'en prend et que ma disponibilité me le permet.

En revanche, tu ne me verras pas aller sur Instagram, Snapchat, Tiktok ou autre Twitter. Je n'en ai pas le temps et je n'en ai pas l'utilité à titre personnel.


Tout ça pour dire qu'il n'y a pas forcément de règle universelle. Ce n'est pas parce que tu n'utilises pas les dernières applications à la mode que tu vas être un ringard ou un hasbeen, ou que tu ne vas pas rencontrer des gens. L'important est de trouver un mode de fonctionnement dans lequel tu seras épanoui.
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [+2] Constructif le 10.03.22, 16h01 par Onmyoji
"Je n'échoue jamais. Soit je réussis, soit j'apprends" (Nelson Mandela)

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