[A] Pourquoi vous avez peur d'aborder

Note : 67

le 15.01.2007 par Malcor

34 réponses / Dernière par Shogun le 12.02.2011, 05h23

Pour celles et ceux qui veulent discuter et demander des conseils rencontres et séduction; comment faire avec cette fille ou ce mec; et plus généralement, comment pécho / trouver l'amour à l'ère du swipe left, notamment quand on est ni mannequin, ni un ninja de la drague.
J'ai fait cet article en m’inspirant très largement d’un texte de Carlos Xuma auteur de « The Secret of the Alpha Man ».

Le texte étant copyrighté j'en ai fait une adaptation libre agrémentée de réflexions personnelles que j'y ai mêlé.

Il vise principalement les débutants qui n'arrivent pas à aborder.



1) Qu’est ce qu’il se passe quand vous n’osez pas aborder ?

Chaque humain fonctionne sur le principe plaisir/peine. Vous répondez à des évènements qui donne à votre système nerveux des récompenses, et évitez des évènements qui vous donnent de la peine. Ou que vous croyiez qui vont vous donner de la peine.

Je vais expliquer cette phrase mais avant, observons ce qui ce passe lorsque vous n’abordez pas une cible. C’est un cercle :


- Vous voyez une femme qui vous intéresse. Elle vous attire.
- Quelques secondes plus tard, au fond de votre cerveau, vous vous sentez incertain.
- Vous ne savez pas d’où vient ce sentiment mais vous avez soudainement un doute sur le fait de l’approcher. Vous commencez à vous demander si vous faites bien de l’approcher.
- Vous commencez à remarquer des choses sur l’environnement qui vous font penser que vous ne pouvez pas approcher la femme (pas votre style, a l’air pressée, est avec une copine…)
- Vous vous dites que ce n’est pas la bonne candidate à l’approche et vous décidez de l’oublier.

Là, c’est très important :

- Quelque part, très profondément en vous, vous sentez mieux car le risque est écarté maintenant que vous n’avez plus cette folle idée en tête d’aller aborder une jolie femme. Vous avez eu une montée de peur, un sentiment de perte de contrôle au fait de penser à aller brancher cette femme. Le fait de vous dire que vous n’allez pas le faire fait baisser cette peur. Vous ressentez un soulagement.


Vous avez tous ressentis, lorsque vous marchiez derrière une cible en cherchant le courage de l’aborder, un soulagement lorsqu’elle répond à un appel téléphonique et que vous vous dites que vous ne pourrez plus l’aborder. Comme vous considérez que ce n’est pas de votre faute, vous ne vous en voulez pas. Mais la plus part du temps vous n’allez tout simplement pas aborder pour les fausses raisons que vous vous êtes trouvées.

Le problème est que le sentiment négatif (la culpabilité) que vous éprouvez est surpassée par la satisfaction ressentie du fait de la disparition du sentiment de peur. Sinon après n’avoir pas eu le courage d’aborder la première cible, vous en auriez pour la seconde car la souffrance (la culpabilité de l’inaction) serait supérieure au bien-être de ne pas aborder.

Reste maintenant à inverser la tendance, à faire en sorte que l’inaction soit plus douloureuse que l’action. Voire même ce que l’action devienne un plaisir !


2) Quel est votre comportement après l’échec ?
Le problème est que le faux soulagement que vous éprouvez de n’avoir pas pris de risques cache votre mécontentement de ne pas avoir abordé. C’est incroyable car vous n’avez fait QUE penser à aborder et votre cerveau s’en sert pour ne pas vous faire regretter de ne pas avoir agi.

Après le court bien-être ressenti parce que l’action vous a intimidé et que vous avez choisi l’inaction, l’exaspération de ne pas avoir eu le courage d’aborder commence (ou recommence).

Vous êtes mal, vous allez même peut-être vous acheter une bière pour vous sentir mieux à cause de votre culpabilité devant votre manque d’action.

Ceci est la pire des erreurs. Vous récompensez votre inaction ! Vous récompensez un mauvais comportement. Vous vous dites « demain je refais une session et là je branche ! ».

Le résultat de tout cela est que vous avez renforcé des mauvaises croyances et qu’il sera encore plus difficile la prochaine fois d’aborder.


3) Les fausses croyances

Les fausses croyances sont :

- Vous croyez que telle femme (surtout celle qui vous attire) est intimidante.
- Vous renforcez la fausse croyance que vous avez plus de plaisir à éviter le risque d’aborder basée sur la fausse assomption que vous faire rejeter est probable. Vous faites cela en récompensant votre système nerveux avec le plaisir issu de la dernière partie du cycle.
- Vous vous êtes basé sur une complète illusion (ce que va penser la femme de vous) et cela la renforce.


Avant tout corrigeons la fausse croyance selon laquelle le rejet est plus probable que l’acceptation de la part de la femme. C’est certes vrai dans le sens où vous ne coucherez pas avec la plupart des femmes que vous aborderez mais ce n’est pas pour autant que vous allez souffrir.


4) Les femmes ne nous font pas mal lorsqu’elles nous rejettent

Combien de fois avez vous vu un homme se prendre un verre dans la face ? Se prendre une gifle ? Se faire insulter par une femme qu’il séduit et partir avec un autre homme ? Personnellement je n’ai aucun souvenir d’avoir vu cela quelque part (à part dans les films).

Vous-même depuis la sortie du collège avez-vous déjà subi un refus méchant d’une femme. La plupart de vos rares approches ont sans doute reçues un non poli, les femmes voulant la plupart du temps éviter de heurter vos sentiments (n’entrent pas en compte les approches à 4 heures du matin en boîte, complètement ivre).


En fait vous n’avez presque jamais expérimenté la peur de la rejection.


Le pire est que cette peur n’a rien avoir avec le rejet des filles. Elle est basée sur celle que vous avez eu en différentes circonstances.

C’est un reste des peurs que vous avez eu juste au début de l’adolescence, lorsque vous étiez avide de la validation des autres et très sensible au rejet. Cette peur vient du moment où vous commenciez à vous intéresser aux filles. Forcément lorsqu’on débute, on fait des erreurs. Donc à ce moment-là vous vous êtes pris un ou deux gros râteaux très douloureux. Vous avez intériorisé l’opinion de la fille comme si elle déterminait votre valeur alors que vous n’étiez qu’un adolescent.

Et cette peur que cela se reproduise vous donne maintenant une excuse pour éviter les risques. Le risque est toujours effrayant et, à un certain moment de la vie, vous choisissez de croire au mensonge (l’opinion d’une ou deux pucelles sur votre compte) ce qui est la voie de la facilité : nier la vérité, ne pas remettre en question une opinion que vous vous étiez faite de vous par rapport aux femmes il y a plus de 5 ans au moins.

Votre perception d’un possible rejet a l’air réelle. Ne parait-elle pas un peu trop réelle ? Lorsque que je suis rentré dans le monde du travail j’avais des appréhensions tout à fait légitimes (faire face aux clients, au patron, s’intégrer dans une équipe, être productif…). Tout cela semble largement plus difficile que d’aborder une femme dans la rue. Pourtant cela me sembla aisé comparé à mes premières approches. Pourquoi ? Car j’ai intériorisé que je n’étais pas intéressant vis-à-vis des femmes alors que j’ai depuis complètement changé.

La peur du rejet provient du pouvoir de votre imagination. Ce que vous devez comprendre est qu’elle est complètement fausse. C’est un mensonge. Une fausse vérité.

Vous devez briser ce cercle ! Si vous ne le faites pas, vous resterez passif avec les femmes et vous n’aurez jamais de succès. Souvenez-vous, il n’y a pas de risques à aborder une femme. Si vous croyez en ce simple fait vous pourrez transformer le cercle vicieux en cercle vertueux.

Aucun homme n’a jamais eu de dommage physique à cause du rejet d’une femme. La seule peine dont vous pouvez souffrir est créée par vous même. C’est une peine imaginaire.



5) Comment prendre un refus


Quelque soit l’issue de l’interaction avec une femme, vous devez contrôler votre interprétation de la situation.

C’est facile, deux cas sont possibles :

- Elle me rejette car je suis commun et peu attractif.
- Elle me rejette car elle n’est pas suffisamment intelligente pour connaître ma valeur.

Pourquoi voulez vous croire la 1ère raison plutôt que la seconde ? Parce que d’une manière perverse vous avez un petit plaisir à valider cette expérience.
Ainsi beaucoup de personnes souffrent de ce qu’on appelle le syndrome de l’Imposteur :

Vous avez peur que quelqu’un remarque que vous n’êtes pas la personne que vous tentez de projeter en public. Vous avez peur que vos doutes (légitimes, tous le monde en a) ne se voient et qu’on pense de vous que vous êtes faux. C’est pour cela que vous n’osez pas mettre des fringues trop branchées, une coupe trop à la mode. Vous vous aimez moyennement et vous avez peur de renvoyer une image aux autres qui indiquerait trop que vous vous aimez, que vous avez confiance en vous alors que ce n’est pas le cas.

Aussi vous prenez un certain plaisir quand cette peur semble se réaliser car elle vous conforte dans l’idée que vous vous êtes fait de vous il y a déjà longtemps de cela. Facilité encore…


6) Comportement à adopter

Apprenez à ressentir de la joie à faire quelque chose qui d’ordinaire vous cause de la peine. Attachez cette conviction à tout comportement qui vous empêche de rencontrer des femmes. Ne récompensez pas votre inaction.

Vous avez besoin de relier la peine appropriée à votre manque d’action. Vous devez vous faire une liste de gages pour vous faire comprendre la peine subie à ne pas aborder.

Si vous n’abordez pas une femme qui vous plait, ne jouez pas aux jeux vidéos ce jour là, ne fumez pas de cigarettes pendant une heures suite à votre inaction.

Ne croyez pas que par l’inaction vous évitez que les choses restent les mêmes. ELLES EMPIRENT PAR VOTRE INACTION du fait du cercle vicieux.

Inversez le rapport plaisir/peine quand vous sargez ! Faites en sorte que ne pas aborder soit une peine sur le court terme et non pas un plaisir !
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Excéllent article ! qui interpréte bien ce sentiments qu'on cré lorsque l'on veut aborder une inconnue.

"Vous avez besoin d’attacher la peine appropriée à votre manque d’action. Vous devez vous faire une liste de gages pour vous faire comprendre la peine subis à ne pas aborder. "

Est ce vraiment la bonne solution ?

Je pense que prendre cette initiative peut aider effectivement à "regretter" plus tard, ce qu'on a pas accompli, mais est ce que vraiment une solution pour sortir de ce cercle vicieux ?
Je suis pas débutant mais j'ai du mal à brancher seul en street. J'ai appliqué la méthode depuis trois jours (sauf samedi) et ça marche. Pour moi ce fut pas de cigarettes pendant une heure. Sachant que je fume 40 clopes par jour je peux t'assurer que ça m'a motivé.
Je n'ai pas lu carlos XUMA, mais ton analyse est très juste. On ne dira jamais à quel point le travail psychologique est prépondérent pour un AFC en reconversion.

A mon sens, c'est en prenant conscience de ses actes inconscient, de la facon dont fonctionne son cerveau, qu'un changement d'état d'esprit.

Nous avons tous déjà dit ou entendu ce pietre conseil : "Mais vas-y, tu risque rien !" "T'as peur de quoi ? au pire ca marche pas tu vas pas en mourrir". Mais nous savons que l'AFC n'en aura rien à foutre.

En revanche, le fait de savoir :
1-qu'on est manipulé par son cerveau/inconscient (par un processus naturel censé nous protéger), 2-Que la plupart de nos croyances sont fausses ("Les femmes détestent être abordées"; "Je me suis déjà pris un rateau alors je ne plait pas")
va motiver une envie de changement, un besoin de devenir celui que l'on veut être et non plus celui que mon cerveau voudrait m'obliger à être.

D'après moi c'est le grand intéret pédagogique de ton post !


Nicolas Dolteau
J'aime bien le principe Pain & Pleasure que tu utilises pour apprendre à réassocier la douleur à l'inaction et le plaisir à l'action.
J'avais proposé une méthode différente sur un article destiné au lair atlantique, que j'ai reposté ici après l'avoir retrouvé :
Quand vous n'arrivez pas à aborder une fille: que faire?

(je l'avais légèrement oublié et j'en ai un peu besoin en ce moment d'ailleurs)


SBN
Un truc qu'on ne répète pas assez souvent :

C'est une mauvaise démarche que de chercher à supprimer sa peur d'aborder. La peur, quand on y fait fasse, est une allié de premier choix pour développer son statut mâle, car elle donne de l'adrénaline. Cet adrénaline nous permet de sécrété de la testostérone nous rendant plus virile.

Pourquoi le faite d'aborder a tour de bras nous fait faire des progrès gigantesque ? Parce que nous tirons des leçon de nos erreur, d'accord, mais surtout parce que le faite d'être en état d'adrénaline fréquent, nous permet de sécréter plus de testostérones qu'en temps normal, et donc plus que si on n'abordait pas. Conséquence, nous finissons par plaire, car nous dégageons ce que toute femme bien dans sa peau recherche : de la force mâle.

On peux donc dire que la peur est un véritable atout quand on décide de l'affronter. Plutôt rassurant non.
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  • [+1] Merci ! :) par Requin
  • [0] Intéressant par Champion
Nillen a écrit :C'est une mauvaise démarche que de chercher à supprimer sa peur d'aborder.
Malcorlegrand n'a jamais dit qu'il fallait chercher à supprimer ses peurs.

Il a dit qu'il fallait intensifier le sentiment d'insatisfaction suite au fait de ne pas avoir abordé à tel point qu'il soit plus douloureux que la peur d'aborder elle-même!

Cela est très différent, la peur d'aborder est toujours là, mais comparé à la douleur que tu peux te faire ressentir suite au fait de ne pas l'avoir abordé, elle devient d'une valeur ridicule.

Je vais te donner un exemple un peu extrème pour que tu comprenne bien:

Tu vois une bombasse arriver en face toi. évidemment, tu es intimidé et tu as peur de l'aborder, ce qui tout à fait normal jusque là. Maintenant, imagine qu'un gars arrive à coté de toi, te mettre un flingue sur la tempe et te dise "Si tu l'aborde pas, tu est mort". À ton avis, tu fais quoi dans cette situation?

Si t'es pas taré, tu vas courir pour l'aborder la fille!

Parce que pour toi, tout à coup, la peur du rateau te semblera vraiment faible face au fait de te prendre une bastos si tu y vas pas.
dans le même genre, pour que j'y aille une première fois, j'avais donné tout l'argent que j'avais dans mon porte feuille à mon wing en lui disant : " tu vois les filles là bàs. Si je n'y vais pas, tu gardes l'argent."

J'y suis allé direct :mrgreen:
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  • [0] Bonne idée par Requin
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THE BIG THOUGHT OF THE DAY BY MYSTERY:( THE FEAR OF THE APPROCH IS HARDWIRED INTO US)

Tout le monde a peur d'approcher les femmes,t'es pas un cas special,t'es pas fou non plus :mrgreen: ,meme les plus grand PUA'S ont peur d'approcher,parce que c'est un court circuit dans notre cerveau qui ne comprend pas l'actuel environement,c'est un cerveau designée pour un life style de 400 000 années avant, qu'ont les gens vivaits dans des tribus de 50 personnes.Et le fait d'approcher la mauvaise fille peut entrainer la mort(si c'est la fille du chef de tribu par exemple,et tu n'est pas l'un de ses amis),c'est la peur d'etre tuée qui est maintenant prisoniere dans notre putain d'esprit,et qui est encore inconsient du fait que le danger est moins subtile maintenant(inexistant meme).C'EST BIEN DAVOIR PEUR D'APPROCHER PARCE QUE C'EST NORMAL ET SANITAIRE MEME.

Les solutions:
1. 3s rule:Ca permet de diminuer la poussé d'adrenaline et par suite le taux d'anxiété.Tu peux sentir cette horrible sensation 10min si tu bouge pas les fesses ou 3secondes en suivant 3s rule.C'est comme pour la peur de sauter dans l'eau froide,soit tu rentre progressivemet et ta la chair de poule,soit tu plange sans refelechir et tu profite pleinement de la nage.

2.On sent comme un calme interieur d'approcher le prochain set,parce que c'est pas un BIGDEAL,ce n'est pas la 1ere fois qu'on fais ca,c'est juste la 1ere des 10 prochaines(avec cet etat d'esprit,o, aura toujrs le mojo,ou du moins une bonne energie positive).

3.cf Mystery:Quand on est dans un avion de parachutiste,et ce que tu dit:doit je sautez?.la decision est deja prise tu peux pas retourner en arière.La decision doit etre prise avant de monter en avion,n'est ce pas?.tout les gens inscrits dans ce site ,ou en general en relation avec cette communauté,vous avez deja tous signé à sauter de l'avion.Alors approcher des filles en on parle plus,n'est ce pas?.on est soit dans le pua palace ou dans le AFC BORDEL,il n'y a rien au milieu.
Bien vu ton article mlg ; mais pour être complet il suppose de faire le même article dans le sens de la fille abordée : que se passe t il dans la tête de la fille ? Car la situation n'est pas symétrique même si elle aussi est sujette à la peur et les points que tu signals ; ensuite il manque à ton excellent article l'effet de la ''théorie du rang'' et de la ''lutte des classes'' qui explique qu'une abordée calibre sa réaction sur l'acceptation d'un nombre minimal de signaux qu'on peut appeler ''scalaire'' c'est à dire de niveau (comme l'age, la tenue, le caractère général qui se dégage et exprime le ''rang'' de la personne) ; tout cela influence la FRED cible (Force de REsistance à la Decision) jusqu'à lui faire atteindre le seuil d'ouverture.
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