Quand le choix est entre mes mains

Note : 1

le 18.05.2017 par fencers

7 réponses / Dernière par The_PoP le 19.05.2017, 19h28

C'était plus simple du temps de papa & maman. Pour celles et ceux qui veulent échanger autour de la vie de couple et des relations, et des différentes formes que tout ça peut prendre. Polyamour ou monogamie, relations libres, jalousie, engueulades dans la cuisine, routine, infidélité, la totale.
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Bonjour,

je vais ici jeter une bouteille à la mer, m'étant projeté dans une situation qui me perturbe, et qui ne pourra que me faire évoluer, à partir du moment où je ferais un choix.

Topo de la situation:

Il y a 3 mois, lors d'un stage BAFA, je rencontre Cloche.

Tout du long du stage, je suis animé d'un lâcher prise qui provoque chez moi des capacités humoristiques d'une intensité que je découvre pour la première fois chez moi.

Le cadre est posé: je suis la moitié du temps un clown auquel on pourrait enlever 5 ans d'age mental, l'autre moitié du temps un homme qu'on pourrait croire beaucoup plus agé étant donné la sagesse dont je fais preuve lorsque les sujets abordés sont humains et sociaux.
Le contraste intrigue, perturbe et attire. Je garde ce comportement qui, sur le coup, est parfaitement spontané, et qui provoque chez moi un sentiment d'harmonie.

Cloche est, comme à mon habitude en terme de relations amoureuses, agée de 3 ans de moins que moi, et, les premiers instants, ne m'attire absolument pas.
Au bout de deux jours, je découvre sa personnalité, qui pique ma curiosité et provoque mon excitation. Une vraie pile électrique, joueuse, mais dont la gaïté est cachée derrière une moue boudeuse et des tendances nostalgiques.
Son ouverture à des sujets spirituels et la manière dont elle accroche à ma vision des relations humaine laisse présager des capacités de coopérations, ce qui renforce mon intéret.

En revanche, mon attirance physique pour elle est présente, mais faible.
Elle est en couple avec un mec qui ne sait pas qu'il va bientôt se faire quitter.

Malgré son jeune âge, et mon attirance physique limité, je me laisse tenter, et la relation évolue en 3 jours vers un début de couple de vacances. Elle fait sa première fois avec moi lors de ce stage.

Habitant près de chez moi, elle décide de quitter son mec et nous partons sur un début de relation basé sur la légereté.
Nous restons toujours dans l'humour, la taquinerie (excessive! je me prend des claques, me fais chatouiller à longueur de temps, nous nous taillons comme des beaufs), et les discussions spirituelles souvent axées vers les relations humaines, et en particulier la notre.

Mais lorsque son attachement à moi évolue progressivement, le miens stagne rapidement. une fois sur 5, lorsque je la vois, j'ai ce sentiment de tendresse, cette affection qui me donne envie d'être proche d'elle, le reste du temps je suis très détaché.
Dans les premières semaines de notre relation, je doute en permanence de ma possible implications dans ce couple.

L'introspection commence ici:

L'année dernière, je suis sorti avec une fille qui m'a permis de provoquer la plus grande évolution de ma vie dans mes rapports humains. J'étais dépendant affectif. Enormément. Ce que je pensais être de l'amour cachait en réalité une grande volonté d'être aimé.
En acceptant totalement la rupture, en allant chercher en moi l'autosuffisance, en ré-apprenant à m'aimer moi même, je me suis libéré d'une grande partie de mes tendances de recherche affective.
Et ça n'a pas changé uniquement mes relations avec les filles que j'ai rencontré (aucune relation de "couple", juste de belles rencontres), mais l'intégralité de mes relations.
J'ai su plus donner, j'ai vécu cet été dans un état de bonheur permanent qui ne dépendait de rien ni personne, et qui m'a permis de faire des choix de vie important.

Bien qu'ayant fait un grand pas en avant, je conçois que mes tendances à juger, à me juger et à agir en fonction de ce jugement, en fonction de croyances limitantes, sont toujours présentes. En revanche je suis capable de les conscientiser et de les nommer.


Sauf que voilà, maintenant, cette absence de dépendance, que j'associais avant à des sentiments amoureux, m'a rendu tellement détaché que je ne me sens pas aimant. Du moins pas avec cloche.
Ma transparence envers mes sentiments lui a permis de percevoir très facilement tout ceci.
Ma franchise à amené hier une discussion où elle m'a dit que je n'étais pas rassurant, je n'ai pas su la rassurer. Je ne pouvais dire que ce que je pensais ressentir, et en l'occurence je n'avais pas l'impression de ressentir de sentiments forts.
Pour la première fois de ma vie, j'ai été dans le rôle de celui qui quitte l'autre, arrivé au moment où mes doutes réguliers des 3 derniers mois culminaient, j'ai mis un terme à notre relations.

Je peux encore faire marche arrière.

-Si j'envisage de revenir avec elle; je suis pris par des doutes, qui sont: Le fait que je ne ressente rien qui me pousse à vouloir être avec elle très souvent. Je ne ressens pas la flamme quoi.
Mais je sais que certains de ces doutes proviennent aussi de tout les jugements que j'ai dans ma tête; du fait que je ne la trouve pas "canon", qu'elle ait 3 ans de moins que moi (ce point a souvent subi les jugements de mes proches). Et ces doutes là ne sont pas fiables.Les décisions qu'ils me font prendre ne viennent pas de mon coeur.

-Si j'envisage de poursuivre mon choix de la quitter, je suis assailli par: .Le léger attachement que j'avais pour elle .La culpabilité d'être entré dans sa vie en lui faisant perdre sa virginité, en bousculant ses croyances, et d'être sorti tout aussi brutalement.
Et surtout par le doute dont je parle plus haut.
Je me dis: si le "livre de la loi" qui est dans ma tête, ce jugement qui renvoie au croyances que j'ai été cherché chez les autres, en terme de beauté, en terme de "tu te tapes toujours des mineures", décide à ma place de la quitter, ne serais-je pas en train de faire une erreur?

Je ne sais plus où sont les sentiments, ceux qui avant venaient avec la dépendance affective, je ne sais plus si c'est ma tête ou mon coeur qui parle.

Si j'avais de réels sentiments, je n'aurais aucun doute, non?

fencers,

Ton post me donne envie de réagir, sans jugement mais fermement et s'adresse à toi autant qu'à ceux susceptibles de lire.

Arrêtez de mettre un terme à une relation et vous disant que vous pouvez revenir si l'envie vous chante.
Une rupture n'est jamais anodine. Vous en êtes l'auteur, alors assumez. La relation ne vous convenait pas pour X raisons. Point final.
Cela rendra vraiment service à celui/celle qui la subit. Lui permettra aussi de passer à autre chose.
Parce que les regrets du largueur...

Tu n'as pas accroché avec cette fille, c'est ton droit. Pas de flamme, peu d'attirance physique dès le début. Ce n'est pas ton entourage qui a décidé mais toi.
Ne laisse pas tes remords enchaîner une fille, c'est plus qu'égoïste.
Et si cela peut te rassurer, je doute que tu aies des sentiments pour elle.
Sans compter qu'elle ne peut même pas être un plan sympa puisque ton désir est aux abonnés absents.
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [+1] Instructif le 18.05.17, 23h32 par Atz

Salut fencers.

Perlambre a bien résumé les choses en ce qui concerne ton honnêteté vis à vis d'elle. Tu ne peux pas tout avoir, il faut prendre un décision et l'assumer. Si tu as vraiment du respect pour elle, c'est comme cela que tu dois l'exprimer.
fencers a écrit :Bonjour,


L'introspection commence ici:

L'année dernière, je suis sorti avec une fille qui m'a permis de provoquer la plus grande évolution de ma vie dans mes rapports humains. J'étais dépendant affectif. Enormément. Ce que je pensais être de l'amour cachait en réalité une grande volonté d'être aimé.
En acceptant totalement la rupture, en allant chercher en moi l'autosuffisance, en ré-apprenant à m'aimer moi même, je me suis libéré d'une grande partie de mes tendances de recherche affective.
Et ça n'a pas changé uniquement mes relations avec les filles que j'ai rencontré (aucune relation de "couple", juste de belles rencontres), mais l'intégralité de mes relations.
J'ai su plus donner, j'ai vécu cet été dans un état de bonheur permanent qui ne dépendait de rien ni personne, et qui m'a permis de faire des choix de vie important.

Bien qu'ayant fait un grand pas en avant, je conçois que mes tendances à juger, à me juger et à agir en fonction de ce jugement, en fonction de croyances limitantes, sont toujours présentes. En revanche je suis capable de les conscientiser et de les nommer.
Ta réponse est là selon moi. En progressant vis à vis de ta dépendance affective, tu as trouvé une lucidité dans le cadre de tes relations qui te permet aujourd'hui de sentir de manière claire ce que tu désires ou non.

Désolé de ma franchise, mais je pense dans le fond que tu recherche une excuse pour te dégager de la culpabilité de la garder sous le coude. Pose toi la question, est ce que tu te soucierai de tout ces détails liés à cette rupture si tu venais de flasher sur une autre nana ?

Si tu veux éviter de la faire souffrir assume ton choix.

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Mes salutations Fencers

Pour commencer, es ce qu'il est autorisé d'avoir des relations avec les mineurs (moins de 18 ans) ? Je laisse cet aspect de la chose aux régulateurs du forum.

Pour revenir à ton post, je crois que tu as déjà pris une décision et je ne trouve pas l'intérêt de revenir sur cette décision pour deux choses :
- revenir sur ta décision, montrera à la fille que tu t'amuse avec elle, avec ses sentiments (n'oubli pas qu'elle a quitté un mec a cause de toi). Elle est inexpérimentée, et je ne trouve pas cool que tu sois là personne qui la depucele, et au même moment que tu sois son plus grand regret dans sa vie amoureuse. Il va falloir passer à autre chose. C'est vraiment sain que dans 10 ans qu''elle te rencontre dans un séminaire et t'invite à boire un café avec elle (on ne sait jamais ce qui peut encore se passer, ha ha ha).

- il faut assumer tes choix et décisions. On devienun homme ainsi(un homme responsable, un bon connard, un mec bien ou sain). Je pense que dans l'avenir tu sera fier de ton comportement au lieu des regrets, car j'ai la certitude que si tu reviens avec elle, tes sentiments n'évolueront pas et tu vas chercher à la quitter de nouveau.

Pour finir, une question me vient dans la tête, es ce que tu ne te refuse pas intérieurement d'aimer? J'attend de te voir dans une autre relation pour conclure sur cet aspect.

Excellent début de week-end.

Pour commencer, es ce qu'il est autorisé d'avoir des relations avec les mineurs (moins de 18 ans) ? Je laisse cet aspect de la chose aux régulateurs du forum.
En principe ici on n'est pas là pour juger. Surtout dans le cadre d'une relation ou d'un rapport voulue et désiré par les 2 personnes.

De nos jours pleins de "mineurs" ont déjà fait leur première fois, entre eux ou avec des "majeurs". Pourquoi serait-ce un crime de le faire avec un "majeur" du moment qu'il n'y a évidemment pas contraintes et d'abus ?

r-0 a écrit :
Pour commencer, es ce qu'il est autorisé d'avoir des relations avec les mineurs (moins de 18 ans) ? Je laisse cet aspect de la chose aux régulateurs du forum.
En principe ici on n'est pas là pour juger. Surtout dans le cadre d'une relation ou d'un rapport voulue et désiré par les 2 personnes.

De nos jours pleins de "mineurs" ont déjà fait leur première fois, entre eux ou avec des "majeurs". Pourquoi serait-ce un crime de le faire avec un "majeur" du moment qu'il n'y a évidemment pas contraintes et d'abus ?
Je ne vois pas de jugement dans le post d'ahassi , mais juste une question.
Légalement il est interdit qu'un majeur aie une relation sans contraintes avec un mineur de moins de quinze ans.
Si le mineur a plus de quinze ans, c'est autorisé mais pas si le majeur a une position d'autorité sur le mineur (si c'est son prof, son employeur...)
Après on n'est jamais à l'abri d'un parent un peu taré qui ne supporte pas l'idée que son enfant aie eu une relation consentie, et donc plaide la relation sous contrainte.
Ces lois sont là pour protéger les mineurs qui sont considérés comme plus malléables et influençables.

Je vous remercie pour vos réponses.

J'écoute et essaye de voir ce qui se cache derrière vos points de vue.

Je ne remet pas en cause tout ce que vous dites, je vais simplement tenter de présenter la situation sous un autre angle de vue.

Je suis passé à l'action avant de lire vos réponses, lorsque j'ai compris que je prenais les choses sous un angle pas très constructif en tentant de résoudre le problème de mon côté, en m'appuyant uniquement sur les réponses que je pourrais trouver ici et grace à mes proches.

Je vais introduire avec une citation qui était inscrite sur les gobelets de l'organisme de formation où Cloche et moi avons passé notre stage:

"personne ne s'éduque seul, personne n'éduque personne, les être humains s'éduquent ensemble par l'intermédiaire du monde".

Il y a environ un an, un concept a commencé à s'imposer à moi. Celui des "relations sans noms".
Un jour, je me suis posé une question: Pourquoi cherchons nous à faire rentrer nos relations dans des cases? La case "en couple", "amis", "plans cul", "sex friends".
Je pense que cela nous permet de poser des normes, des bases, des postulats à nos relations.
Mais c'est aussi très restrictif. A partir du moment où, à plusieurs, nous prenons le temps, la patience de construire, en coopérant, une relation qui respecte les réalités de chacun, faire rentrer la relation dans une case perd tout son sens.
Bien sûr, cela nécessite d'être transparent, honnête, et de laisser de côté les non dits.

Quand on cherche à voir la relation uniquement de son angle de vue à soi, en voulant faire rentrer la relation dans sa vision à soi du "couple", on oublie que les choses se construisent à deux. Et comme, bien entendu, chacun a sa vision différente du "couple", on créé des tensions, une compétition pour savoir qui va réussir à imposer sa vision des choses.
En se libérant de cette notion de relations "avec des noms", on se donne le droit de voir ce qui peut être créé à l'intersection des attentes des deux personnes.

Sinon, c'est justement là que, comme l'a insinué perlambre, on considère l'autre comme un objet jetable.

Lorsque j'ai vu la réaction de Cloche devant ce que j'exprimais honnêtement, le fait que je restais avec elle sans pour autant ressentir de fort sentiments, j'ai immédiatement décidé de la quitter, tout seul, de ma propre décision, parce que je pensais qu'en continuant ainsi, j'allais lui faire du mal. (ou peut-être plutôt parce que j'allais me sentir coupable de lui faire du mal).
Mais était ce vraiment juste de décider sans son accord, sans savoir comment elle prendrait réellement la situation?
C'est en tout cas ce qu'elle m'a fait remarquer à juste titre.

Ce que j'ai oublié de préciser, c'est que à la suite de sa réaction en face, lorsque je l'ai appelé au téléphone en lui donnant ma décision, elle m'a répondu de manière très posée, après avoir pris du recul sur la situation. Je n'ai pas tenu compte de son état d'être du moment et ai précipité les choses.
Si j'ai bien compris, les choses que je lui ai raconté de mes prises de consciences de ma précédente rupture ont résonné dans sa tête.
Elle a pris conscience qu'il lui arrivait à elle aussi de chercher chez les autres de l'énergie, de l'attention parce qu'elle cherchait à être aimé. Elle a commencé, à son tour, à entrevoir le fait qu'elle pouvait aussi s'aimer seule et qu'en conséquence, la difficulté à laisser partir l'autre s'affaiblissait en même temps que la volonté de le contrôler pour qu'il réponde à ses attentes.
La manière dont elle mûrit m'impressionne.

Nous avons pris le temps de revoir la situation à deux.
Nous avons posé les questions suivantes: Quelles sont tes attentes? Quelles sont mes attentes? Qu'avons nous à apprendre l'un de l'autre? Qu'est ce que tu me renvoies de moi?

Elle se juge capable de continuer en sachant que ce que je ressens pour elle est modéré. Elle se juge capable de me faire part de ses émotions si un jour cette situation devient désagréable pour elle. Nous concevons que si cela arrive, nous nous séparerons d'un accord commun.
Je suis prêt à montrer plus d'attention pour elle, surtout maintenant que cette discussion a mis en valeur les non dits qui existaient encore entre chez moi.
Cette discussion a eu lieu les yeux dans les yeux, sans mensonge sur la manière dont nous percevons cette réalité intérieure.
Il n'y a plus de "j'agis ainsi parce que je pense que ce que je fais a tel impact sur l'autre". L'autre partage ce qu'il vit et nous décidons à deux ensuite.

Notre relation est suffisamment riche pour que nous ne nous arrêtions pas à "ça ne me correspond plus, j'arrête, adieu". Peut être qu'un jour nous serons plus comme des "amis", pour l'instant cela n'a plus de nom.


@ Ahassi:
"Pour finir, une question me vient dans la tête, es ce que tu ne te refuse pas intérieurement d'aimer? J'attend de te voir dans une autre relation pour conclure sur cet aspect."
Question judicieuse. Elle m'est venue en tête également. Mais d'une manière générale, je me sens de plus en plus aimant envers les gens qui m'entoure.
Ce que je perçois actuellement c'est que l'affection et le désir sont là, mais restent très légers. L'intérêt et le lien sont en revanche beaucoup plus forts.

@Atz:
"Désolé de ma franchise, mais je pense dans le fond que tu recherche une excuse pour te dégager de la culpabilité de la garder sous le coude. Pose toi la question, est ce que tu te soucierai de tout ces détails liés à cette rupture si tu venais de flasher sur une autre nana ?"

Pour la première partie, oui. Ce n'est pas une excuse à la base mais une prise de conscience, en revanche je m'en suis ensuite servi comme excuse effectivement.
Pour la deuxième partie Je pense sincèrement que si je venais de flasher sur une autre nana je ferais comprendre à cette dernière que pour l'instant j'ai autre chose à régler, et prendrais le temps pour qu'entre Cloche et moi, les enjeux de notre relation, de son évolution ou de sa fin , soient mis en lumière et que nous agissions tout deux en conscience.


N'hésitez pas à réagir, j'apprécie la manière dont vous répondez avec honnêteté, et, pour reprendre le terme de Perlambre, avec fermeté.
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [0] Cool le 23.05.17, 17h07 par Ahassi

Méfies toi quand même de l'accès de maturité qui arrive quand on met la rupture dans la balance.

Parfois on dit juste plus ou moins inconsciemment ce que l'autre a envie d'entendre pour ne pas qu'il parte. Surtout quand il y a des sentiments.

À toi de voir si vous avez convergé vers une position qui vous va bien à tous les deux ou si elle a simplement accepte une situation moins pire qu'une autre sans se rendre compte qu'elle avait d'autres choix.

Mon avis, qui n'engage que moi et ne vaut rien vu le peu d'info à notre disposition :

- tu restes avec elle car c'est pratique d'avoir une meuf qui te kiffe à portée de main et de sexe

- elle reste avec toi car t'es son premier mec (dans son vagin).
If you want to touch the sky,
Fuck a duck and try to fly !

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