Bonjour à tous
Voilà j'ai fait un site qui traite de l'afctisme, tiré du livre "trop gentil pour être heureux". Voici l'adresse :
http://tropgentiltropcon.free.fr
La présentation du livre :
Le chic type, c'est a priori l'homme idéal, celui qui fait tout bien : il est généreux, il est attentif aux autres, il évite les conflits, il ne porte pas de jugements, il veut faire plaisir, il recherche le consensus et l'approbation d'autrui - en particulier celle des femmes, qu'il sait merveilleusement bien écouter (sauf parfois la sienne) -, il est poli et affable, bref un véritable gentleman. En retour, il attend d'être heureux, aimé, compris, reconnu, et que la vie lui sourie parce qu'il le vaut bien. Mais en dépit des apparences, le chic type n'est pas un prince charmant. II est plein de défauts et ses attentes sont telles qu'il n'en retire souvent que frustration. Comme il ne sait pas se comporter différemment, il se protège derrière son armure de perfection et recommence sur le même registre tout en se sentant de plus en plus frustré. Malheureux, il finit par se considérer comme une victime et en vouloir aux autres. Puisque sa gentillesse ne paie pas, il devient méchant...
Je le conseille à tous ceux qui veulent s'en sortir...
Site pour tous les afc : trop gentil pour être heureux !!
Excellent ton site.
ça donne envie de lire le livre, d'ailleurs les conseils des sites de séduction et de ton site sont équivalents.
ça donne envie de lire le livre, d'ailleurs les conseils des sites de séduction et de ton site sont équivalents.
Bon site.
Mais
Tu ne fais pas d'allusion à l'adolescence, qui je pense, est le moment clé en ce qui concerne le syndrome du chic type. Le chic type, pour moi, est quelqu'un qui n'a jamais fait sa crise d'adolescence (contestation de l'autorité, remise en cause des valeurs inculquées par les parents, et la société). Personnellement, je me suis sorti de ce syndrôme du gentil en faisant ma crise d'adolescence de manière accélérée, à 18 ans, et ma mère a ramassé tout ce qu'elle n'avait pas ramassé 18 ans auparavant
.
Le chic type a eu une enfance durant laquelle il s'est senti obligé d'être comme son entourage lui demande, certes, mais c'est normal pour un enfant. Le souci du chic type, c'est que pour une raison ou pour une autre, il n'a pas osé se "rebeller" à l'adolescence, et donc, il reste encore comme un enfant soumis à son entourage...
Autrement, en ce qui concerne les caractéristiques du chic type, les caractéristiques que tu cites peuvent aussi s'appliquer à des personnes pas affectées par ce syndrôme du chic type (manipulateurs, besoin de contrôle sur l'environnement, difficulté à demander de l'aide à autrui, etc...)
Du reste, bonne initiative et bon site...
Mais
Tu ne fais pas d'allusion à l'adolescence, qui je pense, est le moment clé en ce qui concerne le syndrome du chic type. Le chic type, pour moi, est quelqu'un qui n'a jamais fait sa crise d'adolescence (contestation de l'autorité, remise en cause des valeurs inculquées par les parents, et la société). Personnellement, je me suis sorti de ce syndrôme du gentil en faisant ma crise d'adolescence de manière accélérée, à 18 ans, et ma mère a ramassé tout ce qu'elle n'avait pas ramassé 18 ans auparavant
.Le chic type a eu une enfance durant laquelle il s'est senti obligé d'être comme son entourage lui demande, certes, mais c'est normal pour un enfant. Le souci du chic type, c'est que pour une raison ou pour une autre, il n'a pas osé se "rebeller" à l'adolescence, et donc, il reste encore comme un enfant soumis à son entourage...
Autrement, en ce qui concerne les caractéristiques du chic type, les caractéristiques que tu cites peuvent aussi s'appliquer à des personnes pas affectées par ce syndrôme du chic type (manipulateurs, besoin de contrôle sur l'environnement, difficulté à demander de l'aide à autrui, etc...)
Du reste, bonne initiative et bon site...
J'ai trouvé ton site très bien fait, simple et clair. 
Le passage sur le rapport au père / rapport avec les autres hommes / masculinité m'a particulièrement interpelé car il est central dans les problèmes d'AFCisme que j'ai rencontrés (je me reconnais moins dans certains autres aspects du 'chic type'...)
Quant aux solutions préconisées, je les connaissais déjà : elles sont justes mais pas si faciles à mettre en oeuvre que ça...(travail de longue haleine)
Le passage sur le rapport au père / rapport avec les autres hommes / masculinité m'a particulièrement interpelé car il est central dans les problèmes d'AFCisme que j'ai rencontrés (je me reconnais moins dans certains autres aspects du 'chic type'...)
Ce passage est hélas criant de vérité en ce qui me concerne...Les chics types se sont coupés des autres hommes
Bien souvent les chics types ne savent pas lier des liens avec d'autres hommes. Ils ne savent pas quoi leur dire (ils sont plus à l'aise avec les femmes). La raison en est que bien souvent ils n'ont pas eu beaucoup de liens positifs avec leur père et qu'ils n'ont donc pas pu acquérir les bases nécessaires à l'édification de relations significatives avec d'autres hommes.
Un autre trait commun est que les chics types ont essayé de se distinguer des autres hommes qu'ils jugeaient mauvais (ils sont machos, ne pensent pas au plaisir des femmes, etc.). Ils se sont efforcés de se distinguer de leur père qu'ils jugeaient "mauvais" ou inaccessible. A l'âge adulte, ils ont reproduit le même modèle avec les autres hommes
Quant aux solutions préconisées, je les connaissais déjà : elles sont justes mais pas si faciles à mettre en oeuvre que ça...(travail de longue haleine)
Electrik, ton opinion est intéressante néanmoins le synfdrome du chic type se développe avant même l'adolescence (http://tropgentiltropcon.free.fr/Pages/ ... omment.htm), quand l'enfant est encore dépendant et vulnérable. C'est là qu'il reçoit des messages comme quoi il ne correspond tel qu'il est. Mais il est vrai qu'à l'adolescence, ce sont ses relations avec les femmes qui se sont devenues "malsaines" dans le sens ou il a imaginé quand étant gentil avec elles, il pouvait espèrer sortir avec elles...
Pozzo, tu as tout à fait raison, c'est d'ailleurs un pb assez récurrent chez moi, la difficulté à se lier avec d'autres hommes même si depuis que j'ai découvert ce livre (plus d'un an et demi), ça va bcp mieux... C'est un travail de longue haleine et même si je sens que je progresse dans l'élaboration de mes rapports avec d'autres hommes, j'aimerais bien que ça aille plus vite parfois !!
Pourquoi ne pas poster vos témoignages ? (http://tropgentiltropcon.free.fr/Pages/ ... um.php?f=1) En plus ça permettra de lancer le forum qui est encore un peu mort...
Merci pour vos posts en tout cas...
Pozzo, tu as tout à fait raison, c'est d'ailleurs un pb assez récurrent chez moi, la difficulté à se lier avec d'autres hommes même si depuis que j'ai découvert ce livre (plus d'un an et demi), ça va bcp mieux... C'est un travail de longue haleine et même si je sens que je progresse dans l'élaboration de mes rapports avec d'autres hommes, j'aimerais bien que ça aille plus vite parfois !!
Pourquoi ne pas poster vos témoignages ? (http://tropgentiltropcon.free.fr/Pages/ ... um.php?f=1) En plus ça permettra de lancer le forum qui est encore un peu mort...
Merci pour vos posts en tout cas...
Quartierlointain: Je ne suis pas spécialiste de la psychologie de l'enfance (ni de la psychololgie tout court d'ailleurs) mais je me permets tout de même d'insister: je pense que le point central est l'adolescence et non l'enfance.
Prenons deux enfants: On a appris aux deux les règles de la convenance sociale, à être poli, à ne pas faire le mal, à aprendre les leçons à l'école, etc... Ils sont soumis à leurs parents. Mais ça c'est normal, il auraient du mal à s'intégrer dans la société si on ne leur apprenait pas ça...
Puis un jour, les enfants grandissent, ils arrivent à l'adolescence, et ils finissent par remettre en question ce qu'on leur a appris. Sur les deux gamins, l'un fera sa crise d'adolescence en règle et fera chier ses parents, mais l'autre, pour diverses raisons, n'osera pas s'opposer à ses parents (trop autoritaires, mère trop vulnérable si bien qu'il n'ose pas, sujets tabous, mentalité trop rigides des parents). Il ne fera pas sa crise d'adolescence, et deviendra le chic type anxieux (aidé en celà grâce aux médias AFCisants). En fait, le chic type est encore un enfant qui n'a pas osé devenir lui même.
Ce que je dis est énormément imprégné de mon expérience personnelle puisque je me rappelle très bien avoir été freiné dans ma crise d'adolescence. Si à cet âge là on m'avait appris à être un homme, je n'aurai certainement pas eu besoin d'aller sur FTS.
La grande faute revient à l'éducation nationnale qui ne parlent de sexualité aux adolescents que d'une manière scientifique (Les fameux cours sur la reproduction). Mais ce que les ados ont besoin de savoir, c'est comment on fait pour être un homme.
Je me rapelle de mes années collège. La virilité ça n'avait aucun sens pour moi. Les pulsions sexuelles, je ne les comprenais pas. Les éjaculations en pleine nuit, l'envie irrépréssible de me masturber, je ne comprenais pas non plus. Pendant longtemps je n'arrivais même pas à m'immaginer en train de pénétrer une femme (je n'arrivais pas à me représenter l'acte sexuel). Alors tu penses bien que j'étais loin de m'immaginer mon rôle de chasseur de femmes... :/. Bref, toute une éducation qu'il faudrait faire à des ados...
On ne nait pas homme, on le devient...
PS: Si tu veux reprendre les posts que j'ai mis ici ne te gène pas. Mais je n'ai pas envie de m'inscrire et de poster dans un autre forum...
Mais ça c'est normal! Ce n'est pas acceptable que les enfants soient des sauvages sans aucune éducation. On est obligé de leur apprendre à être "comme il faut", de dire "s'il te plait", de manger avec une fouchette, de pas mettre les coudes sur la table. Ce sont des règles de convenance sociale qu'il vaut mieux apprendre... Les parents n'étant pas parfaits, ils nous apprennent des choses imparfaites, qu'il nous appartient après de remettre en question...C'est l'une des premières questions qu'on se pose : comment suis-je devenu un chic type et pourquoi moi ? La cause principale remonte à leur enfance : à cette époque, ils ont reçus des messages de leur entourage leur disant qu'il n'était ni souhaitable, ni acceptable qu'ils restent eux-mêmes. La famille et la société ont largement contribués à transformer des petits garçons en parfaits chics types.
Prenons deux enfants: On a appris aux deux les règles de la convenance sociale, à être poli, à ne pas faire le mal, à aprendre les leçons à l'école, etc... Ils sont soumis à leurs parents. Mais ça c'est normal, il auraient du mal à s'intégrer dans la société si on ne leur apprenait pas ça...
Puis un jour, les enfants grandissent, ils arrivent à l'adolescence, et ils finissent par remettre en question ce qu'on leur a appris. Sur les deux gamins, l'un fera sa crise d'adolescence en règle et fera chier ses parents, mais l'autre, pour diverses raisons, n'osera pas s'opposer à ses parents (trop autoritaires, mère trop vulnérable si bien qu'il n'ose pas, sujets tabous, mentalité trop rigides des parents). Il ne fera pas sa crise d'adolescence, et deviendra le chic type anxieux (aidé en celà grâce aux médias AFCisants). En fait, le chic type est encore un enfant qui n'a pas osé devenir lui même.
Ce que je dis est énormément imprégné de mon expérience personnelle puisque je me rappelle très bien avoir été freiné dans ma crise d'adolescence. Si à cet âge là on m'avait appris à être un homme, je n'aurai certainement pas eu besoin d'aller sur FTS.
La grande faute revient à l'éducation nationnale qui ne parlent de sexualité aux adolescents que d'une manière scientifique (Les fameux cours sur la reproduction). Mais ce que les ados ont besoin de savoir, c'est comment on fait pour être un homme.
Je me rapelle de mes années collège. La virilité ça n'avait aucun sens pour moi. Les pulsions sexuelles, je ne les comprenais pas. Les éjaculations en pleine nuit, l'envie irrépréssible de me masturber, je ne comprenais pas non plus. Pendant longtemps je n'arrivais même pas à m'immaginer en train de pénétrer une femme (je n'arrivais pas à me représenter l'acte sexuel). Alors tu penses bien que j'étais loin de m'immaginer mon rôle de chasseur de femmes... :/. Bref, toute une éducation qu'il faudrait faire à des ados...
On ne nait pas homme, on le devient...
PS: Si tu veux reprendre les posts que j'ai mis ici ne te gène pas. Mais je n'ai pas envie de m'inscrire et de poster dans un autre forum...
Je pensais exactement la meme chose que toi il y a encore quelques mois. Je suis passe par la aussi (crise d'adolescence reprimee et "petage de plombs" apres).Electrik a écrit :Quartierlointain: Je ne suis pas spécialiste de la psychologie de l'enfance (ni de la psychololgie tout court d'ailleurs) mais je me permets tout de même d'insister: je pense que le point central est l'adolescence et non l'enfance.
J'ai realise ensuite que le comportement que j'ai adopte durant mon adolescence etait la suite logique de celle de mon enfance. Je crois que c'est bien dans l'enfance qu'il faut chercher. L'auteur du livre dis que le trauma qui conduit a ce genre de comportements peut arriver jusqu'a 5 ans, je crois que ca peux arriver un peu plus tard (8-9 ans).
Note: il ne faut pas confondre AFC et "Chic Types", meme si la grande majorite des Chics types sont AFC (avant de devenir de tres bons manipulateurs pour certains).
Merci Quartierlointain d'avoir mis le lien (et fait le site). Je crois qu'il y a pas mal d'elements de reponses aux questions que je me pose.
Oui mais si on explique à l'individu que les causes de son problème remontent à un passé lointain qu'il a du mal à se rappeler, ça ne va pas l'avancer...
Alors qu'au contraire, si on lui explique qu'il a réprimé sa crise d'adolescence, et qu'il n'a jamais pu remettre en question ce que ses parents lui ont transmis, et qu'il doit absolument le faire s'il veut évoluer, ça va mieux l'aider...
Alors qu'au contraire, si on lui explique qu'il a réprimé sa crise d'adolescence, et qu'il n'a jamais pu remettre en question ce que ses parents lui ont transmis, et qu'il doit absolument le faire s'il veut évoluer, ça va mieux l'aider...
Je ne suis pas sûr que le débat enfance/adolescence soit au coeur de la question.
Selon le degré d'introspection personnel d'un individu, celui ci sera apte à remonter plus ou moins loin dans les évènements de sa vie pour identifier les faits marquants qui l'auront conduit sur la voie du "trop bon trop con"...
Mais le but premier est de se libérer du joug des peurs et des limites que l'on s'est soi même imposé durant toutes ces années de "soumission", non?
Et de ce point de vue le plus important pour quelqu'un victime de ce syndrôme est d'en prendre conscience avant de péter un câble.
Se servir de ses frustrations d'adolescent sera plus rapide et libérateur dans un premier temps que de devoir entreprendre un travail d'analyse long, fastidieux et potentiellement décourageant.
C'est un peu le principe "action/réaction"
Disons que si pendant des années l'on s'est abrité derrière la facade du gentil garçon, c'est souvent par peur. Et cette peur empêche d'agir. Donc pour moi le plus urgent sera d'utiliser les énergies disponibles (frustration en général) pour poser des actes libres de toute soumission à un quelconque passé traumatisant.
Agir ainsi suppose bien sûr le risque de le faire dans une mauvaise direction. Mais ce sera plus productif et bénéfique que de rester dans l'expectative en attendant les conclusions d'une analyse de son enfance...
Se débarasser de ce qui te gêne te permettra d'acquérir un état d'esprit plus sain et de rendra plus disponible pour un éventuelle analyse en profondeur.
Selon le degré d'introspection personnel d'un individu, celui ci sera apte à remonter plus ou moins loin dans les évènements de sa vie pour identifier les faits marquants qui l'auront conduit sur la voie du "trop bon trop con"...
Mais le but premier est de se libérer du joug des peurs et des limites que l'on s'est soi même imposé durant toutes ces années de "soumission", non?
Et de ce point de vue le plus important pour quelqu'un victime de ce syndrôme est d'en prendre conscience avant de péter un câble.
Se servir de ses frustrations d'adolescent sera plus rapide et libérateur dans un premier temps que de devoir entreprendre un travail d'analyse long, fastidieux et potentiellement décourageant.
C'est un peu le principe "action/réaction"
Disons que si pendant des années l'on s'est abrité derrière la facade du gentil garçon, c'est souvent par peur. Et cette peur empêche d'agir. Donc pour moi le plus urgent sera d'utiliser les énergies disponibles (frustration en général) pour poser des actes libres de toute soumission à un quelconque passé traumatisant.
Agir ainsi suppose bien sûr le risque de le faire dans une mauvaise direction. Mais ce sera plus productif et bénéfique que de rester dans l'expectative en attendant les conclusions d'une analyse de son enfance...
Se débarasser de ce qui te gêne te permettra d'acquérir un état d'esprit plus sain et de rendra plus disponible pour un éventuelle analyse en profondeur.
Ce n'est pas la victoire qui fait de toi un Homme, mais le combat.
Tout à fait, l'important est quand même d'arriver à cerner les causes puis après de parvenir à trouver comment améliorer ses comportements... Que ton malaise vienne de l'enfance ou de l'adolescence, l'important est je pense d'acceeter tes souffrances afin de pouvoir enfin lâcher prise.
C'est l'éternel : qui était là avant : la poule ou l'oeuf ?
C'est l'éternel : qui était là avant : la poule ou l'oeuf ?
C'est incroyable comme ça peux faire bizarre de lire la très exacte description de sa propre personnalité : AFC. D'autant plus que le titre résume à merveille ce que fut ma vie jusqu'à aujourd'hui. Je sais que ce que j'écris ici n'est pas un témoignage partculièrement passionnant, mais qu'est ce que ça fait du bien de l'écrire quand on n'a pas su le dire.
En résumé, j'ai une LTR de 2 ans puis une de 6 qui se sont terminées toutes les 2 très exactement de la même façon : Mes ex se sont tirées en prétextant que j'étais beaucoup trop gentil, ce que que j'ai vécu de manière dramatique. au vu de mes lectures des différents posts, je pense que d'autres personnes se reconnaitront également. J'ai commencé à "émerger" de la dernière rupture en fin d'année dernière après 18 mois de dépréssion à essayer de recoller les morceaux avec cette frameuse one-itis, (suivi par un psy qui n'entendait pas ce que je voulais dire...).
C'est par le plus grand des hazard, que je suis tombé sur ce site en cherchant des moyens de reconquérir la gente féminine, car à mon age (34) je n'avais plus de repère pour atteinde cette objectif. Et, après plusieurs semaines/mois d'avide lecture, où je dois dire j'en ai pris plein la gueule, car la vision des chose (C&F, H2G...) est radicalement opposée à ce que pensais qu'il fallait faire. Je dois dire que c'est ici que j'ai fait ma meilleure psychothérapie. Et je tiens à remercier l'ensemble des posteurs et en particulier Blusher, dont les posts ont eu le mérites de me remettre la tête à l'endroit et dont je me suis un peu inspiré.
Merci
Viendront mes FR décrivant mes différents close.
En résumé, j'ai une LTR de 2 ans puis une de 6 qui se sont terminées toutes les 2 très exactement de la même façon : Mes ex se sont tirées en prétextant que j'étais beaucoup trop gentil, ce que que j'ai vécu de manière dramatique. au vu de mes lectures des différents posts, je pense que d'autres personnes se reconnaitront également. J'ai commencé à "émerger" de la dernière rupture en fin d'année dernière après 18 mois de dépréssion à essayer de recoller les morceaux avec cette frameuse one-itis, (suivi par un psy qui n'entendait pas ce que je voulais dire...).
C'est par le plus grand des hazard, que je suis tombé sur ce site en cherchant des moyens de reconquérir la gente féminine, car à mon age (34) je n'avais plus de repère pour atteinde cette objectif. Et, après plusieurs semaines/mois d'avide lecture, où je dois dire j'en ai pris plein la gueule, car la vision des chose (C&F, H2G...) est radicalement opposée à ce que pensais qu'il fallait faire. Je dois dire que c'est ici que j'ai fait ma meilleure psychothérapie. Et je tiens à remercier l'ensemble des posteurs et en particulier Blusher, dont les posts ont eu le mérites de me remettre la tête à l'endroit et dont je me suis un peu inspiré.
Merci
Viendront mes FR décrivant mes différents close.
"t'as pas fini ta crise d'adolescence" : une ex one itis me la sortie celle là et y'a pas si longtemps. Plus ça va plus je me dis que même si je pensais avoir fait n'importe quoi vers 18/20 piges, en fait non : j'étais "gentil", quoique je fasse. Et je suis devenu un bon petit soldat du système, tout en étant persuadé d'être un rebelle... Quelle erreur ! Mais la frustration augmente, et va au dela de l'aspect cul. Bref tout ça pour dire que je serais interessé par des infos sur le sujet, a bon entendeur...
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