[avancé] Sujet de conversation lors du premier rendez-vous

Note : 9

le 15.05.2018 par okashi

3 réponses / Dernière par Avalanche le 16.05.2018, 00h58

Pour celles et ceux qui veulent discuter et demander des conseils rencontres et séduction; comment faire avec cette fille ou ce mec; et plus généralement, comment pécho / trouver l'amour à l'ère du swipe left, notamment quand on est ni mannequin, ni un ninja de la drague.
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J'ai mis la balise avancé car je sais à peu près quels sujets aborder et éviter lors du premier rendez-vous. C'est documenté sur internet (sur la première page de google, il y a plusieurs site listant les sujets à aborder) et j'ai fait plusieurs dizaines de date, donc je maîtrise à peu près.

Pour autant je ne réussis pas toutes mes dates (sur les 10 dernières dates que j'ai fait, j'ai fuckclosé avec 6 filles, donc plus de 50% de réussite).

Je pense donc que pour avoir 100% de réussite il y a des sujets plus intéressants que d'autres.

Je diviserai les sujets de discussions en trois catégories :

1/ Les sujets à éviter.
2/ Les sujets banals.
3/ Les sujets à privilégier.

Par exemple, cela ne va pas plaire aux mélomanes, mais je trouve que la musique est un sujet banal. C'est plutôt un sujet pour remplir les trous dans la discussion et pas vraiment un sujet qui captive l'intention de la fille ni qui nous DHV.

Bref, avez-vous des sujets à privilégier lors de la date ?
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [+1] Bonne idée ! le 15.05.18, 19h25 par Hillel

Hello,
Je diviserai les sujets de discussions en trois catégories :

1/ Les sujets à éviter.
2/ Les sujets banals.
3/ Les sujets à privilégier.
Je suggèrerais même d'autres précisions outres celles que tu as mentionnées à savoir les points 1), 2) et 3).

Si le date a pour but de fuckcloser ou non. Et là je ne dis pas qu'on peut toujours et tout de suite prévoir la tournure que l'on souhaitera donner à un date (ce qui serait contradictoire avec la démarche de découverte de l'autre) mais selon son état d'esprit et ses attentes du moment (et ça a avoir avec si on veut juste décompresser ou si on a peut-être envie de se poser, ou autre), les objectifs je dirais de "investigation" ne seront pas les mêmes.

Par exemple, il y a des dates que j'ai fait via des SDR où je sentais clairement que l'homme en question n'avait rien envie d'autre chose que de fuckcloser. Bien sûr, la conversation pouvait être intéressante et même personnelle des deux cotés, mais j'ai senti à certains moments qu'il n'y avait pas lieu de donner une suite. Dans ce cas, lorsque l'une des deux personnes n'envisage qu'une relation courte, je pense qu'il ne suffit pas de le dire, outre le contextes particulier, ça se précise via certaines confidences qui n'ont peut-être pas lieu d'être. Soit parce que c'est trop personnel, ou soit parce que ça nous engage trop/ le risque encouru étant de se projeter avec l'autre projeter alors que ça n'a pas lieu d'être.

En tout cas, côté fille, lorsque je vois que certains sujets ne sont pas abordés, ça me permet de savoir quelles sont les attentes de l'homme en question et de ne pas tomber amoureuse ou de me faire de faux espoirs. Je ne pense pas qu'il soit trop précoce pour aborder certains sujets par pudeur, si on le fait ça doit venir d'une envie de construction (connaissant les risques qui viennent avec les confidences et les projections, je préfère mettre des limites) mais peut-être que la confiance n'est pas là, ou l'intimité psychique volontairement non promise.

Autrement, et bien sûr ça peut changer au cours de la conversation (enfin je n'ai pas énormément d'expérience) mais si on se rend compte que l'échange est de qualité et qu'on est prêt à s'engager par la confidence, l'émotion et les projections se faisant plus pressantes, on peut éventuellement essayer de glisser dans la conversation les fameuses 36 questions d'Arthur Aron, ou reformulées à travers sa propre interprétation. Parce qu'elles vont instaurer une telle intimité psychique que la confidence et la projection privilégieront artificiellement ou non. Le désir et l'attirance, naissant d'une curiosité accrue pour son partenaire.

Enfin bon, il y a un peu de tout dedans, l'humour, la sincérité, la confidence, ce qui est censé mettre à l'aise en tout cas côté fille ça peut marcher.

Ainsi donc pour en revenir au sujet de départ, je dirais qu'avec une fille avec qui on veut aller plus loin, peut-être que le respect (de la vie privée), la réserve (sur certains sujets sensibles) ne seront pas les mêmes. J'aurais tendance à dire de ce qu'avec un date pus sérieux il faut miser plus sur la sincérité et le dévoilement de soi (mais pas trop non plus) et sur l'humour pour fuckcloser (dont le but est de mettre à l'aise et de se mettre d'accord sur l'advenir du rendez-vous, si j'ai bien compris).

Des exemples qui me viennent en tête et qui font appel au bon sens et valables qu'importe l'optique envisagée :

1/ Les sujets à éviter.

- Ne pas se dévaloriser (ça donne une mauvaise image de soi, à l'autre et ça inspire peu de confiance, le fait est qu'on veut peut-être se montrer plus humble ou se faire rassurer mais il n'y a rien de pire, car au cours d'un date, on n'a pas envie que l'ambiance soit trop lourde).

- Ne pas se plaindre (je trouve qu'un date c'est censé être léger, il n'y a rien de pire que de mettre sur la table toutes ses insécurités, ses frustrations, la misère dans le monde, ses propres problèmes ou autre parce que ça ne donne pas une image de personne sensible ou noble de soi, mais de personne égocentrique voire même narcissique). À bannir donc.

- Ne pas dénigrer les autres (et là je veux dire que les remarques désobligeantes sur le serveur, qui est censé être jaloux de ton date ça passe pas du tout. Ça m'est arrivé qu'on veuille me flatter en utilisant le serveur à cet effet, mais ça ne détend que le mec qui se justifie d'avoir haussé le ton, absolument pas moi. Bien au contraire, ça montre que le mec n'a pas confiance en lui et qu'il se montre agressif, forcément, ça donne une très mauvaise image de soi à l'autre).

- Ne pas trop se mettre ne avant ou trop se confier (plus on en fait, plus la personne en face aura l'impression de parler à une vitrine, l'humilité et la sincérité sont plus agréables et simples à entendre. On ne reprochera pas à un mec de ne pas avoir fait l'ENA, HEC ou autre, ou d'avoir raté un concours. Par contre, s'il se met trop en avant, on peut avoir une certaine gêne à croire à tant de succès. Un fois de plus ça n'est pas flatteur, ça montre un gros manque de confiance).


2/ Les sujets banals.

- La routine sport/ hygiène/ alimentation/ toilette (enfin perso, quand on me parle de sa routine matinale et à la salle de sport, ça ne m'intéresse pas et là encore je parle à l première personne car ce sont mes goûts mais honnêtement, je me vois pas m'esclaffer bruyamment en remarquant que oh toi aussi tu as trop soif le matin quand tu te lèves, ou tu fais pipi tout de suite ? Ensuite y a l'alimentation, je me fiche de savoir sil tu prends des protéines ou si tu travailles à l'AMAP du coin parce que c'est à la mode, chaque sujet en fait s'il n'est pas relié à une vision, à une philosophie de vie, à un objectif vecteur de sens ou en rappel à son vécu, ses ambitions, n'a aucun sens. Il faut que le choix comme le sujet abordé soit inscrit dans un contexte et que le fait puisse être interprété à travers une vision ou un sens qu'on veut lui insuffler. J'aime faire du sport parce que je pense que c'est épanouissant, j'aime m'entretenir physiquement. Et non un discours descriptif qui ne mène à rien et qui ne sert au final qu'à confronter des vécus sans qu'il y ait eu une digestion de la chose. il y a bien une ridons à chaque chose et il faut aussi savoir que tout ce quo'n dit sera de toute manière interprété, si ce n'est jugé).


3/ Les sujets à privilégier. (alerte idées reçues possibles ici).

- Un truc que j'ai remarqué, c'est qu'il fait savoir se mettre en valeur, pas seulement sur ses qualités (un proche m'a dit, mes amis aiment bien mon côté...), ses victoires (j'ai été le premier lauréat au concours de, j'ai monté ma boîte), son humanité/ sa résilience (j'ai connu un échec mais j'ai su en tirer profit), j'ai des potes (en soirée, j'ai fait ça, j'ai fait ci, l'autre jour j'ai aidé des potes à déménager.Enfin ça peut rassurer certaines personnes de se dire qu'on connait certains bars, qu'on est entouré, qu'on connaît des lieux sympas à explorer, à partager, pour s'amuser, se découvrir, rencontrer du monde etc. Au final tout dépend de ce qu'on cherche mais en tout cas, en ce qui concerne les sujets banals, dans le cas d'une relation sérieuse, il faut savoir montrer son intérêt sans trop vite vouloir se projeter. L'excès de conversation profonde tendant à laisser supposer que les sujets de conversation ne décolleront jamais. Parfois aussi, parler de faits permet d une pas rentrer dans les confidences trop lourdes sur lesquelles il est difficile de rebondir, quand on se présente, il faut que les promesses soient belles et que tout ne soit pas dit pour entretenir la réserve, l'envie d'en apprendre sur l'autre et l'intimité psychique de chacun car l'objectif n'est pas de tout dire).


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Ensuite, tout dépend du ton utilisé, je sais pas si j'ai répondu à la question, mais l'humour est hyper important, l'écoute et la capacité à rebondir en partant d'un élément de conversation livré plus tôt afin de le tourner en dérision. Ce qu'il faut en fait c'est réduire la distance, mettre à l'aise, instaurer un climat de confiance, faire la promesse de moments inoubliables et donner à l'autre l'envie de plus nous connaître (et pourquoi pas de nous revoir aussi).

De manière générale, un interlocuteur perspicace sent ces choses là, tout est une question de bon sens (c'est ce que d'autres appellent du feeling). La sincérité je pense est une grande qualité ainsi que l'humour qui a son utilité sociale pour instaurer la complicité ainsi que pour détendre.
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [0] Merci ! :) le 15.05.18, 15h51 par okashi
  • [+1] Constructif le 15.05.18, 19h27 par Hillel
  • [+3] Post de qualité le 15.05.18, 21h52 par Onmyoji

Je pense donc que pour avoir 100% de réussite il y a des sujets plus intéressants que d'autres.
Je pense que par "sujet" tu entendais plutôt personne/intention/dynamique/interaction parce que, c'est plus ou moins prouvé que les mots qu'on utilise ont moins de poids que tout le reste, ne serait-ce que dans la prise d'information, mais ta question est intéressante, j'en veux bien les retours. : )

@Avalanche, je pense que t'as tout résumé là dedans:
je me fiche de savoir sil [...] chaque sujet en fait s'il n'est pas relié à une vision, à une philosophie de vie, à un objectif vecteur de sens ou en rappel à son vécu, ses ambitions, n'a aucun sens. Il faut que le choix comme le sujet abordé soit inscrit dans un contexte et que le fait puisse être interprété à travers une vision ou un sens qu'on veut lui insuffler. [...] Et non un discours descriptif qui ne mène à rien et qui ne sert au final qu'à confronter des vécus sans qu'il y ait eu une digestion de la chose.
Et tout ce que t'as dit. Bon, à part peut-être juste la partie "relation sérieuse" haha.

Fin', c'est comme ça que je mène et suis animée par la plupart de mes conversations. Je peux m'intéresser à fond quand quelqu'un me parle de jardinage, si tant est qu'il m'amène à ressentir et en penser quelque chose, à faire que je le perçois en action, en émotion, en vécu, comme je peux trouver que c'est le sujet le plus ennuyeux du monde si on se borne à en parler comme un vieux bouquin explicatif que j'aurai pu dégoter sans aide.

C'est intéressant ce que tu dis parce que, dans une conversation, je vois le lien qu'on cherche à créer, et que dans une confrontation en presque monologue, finalement on ne se rencontre jamais. On joue au miroir, au pire, mais on ne fait pas entrer l'autre dans un univers (à deux). Le défaut de parler en des termes négatifs fait qu'on projette l'autre en des termes négatifs.

Écouter vraiment l'autre, et pas juste entendre, c'est important aussi (dixit, l'écoute active). Rebondir sur ce qu'il nous dit comme un signe d'intérêt, s'en emparer pour lui signaler qu'on peut communiquer, qu'on est ouvert et accueillant dans l'échange, et non pas enfermé dans un genre de contemplation. En prime, tu peux t'attacher à des "privates joke", ou des choses privées, intimes, qui n'appartiennent qu'à vous et qui permet à la personne de t'identifier dans la masse.

La légèreté au début, oui, c'est important. Je trouve que ça permet de laisser un espace pour "jauger" et mieux adapter son discours. Sortir du trop intime, à l'exception de si tu vises juste et que t'as du bol parce que vous vous êtes bien trouvés, c'est pas toujours fait de façon adaptée et pas facile à recevoir. L'intimité, c'est un stade à franchir avant de commettre, je trouve. Mais faut pas s'en détacher totalement pour autant, parce que ça permet la connexion émotionnelle.

L'humour c'est le baume de tout. "Femme qui rit", hein. Puis, quelqu'un qui nous fait rire, c'est rassurant. Ça enlève des barrières, ça nous fait songer à de la complicité, ça amorce les conflits. Parfois il faut savoir faire rire, et parfois se montrer sérieux. Parfois toucher, parfois émouvoir. En fait, je trouve qu'à partir du moment où tu arrives à faire ressentir de l'émotion dans tes interactions, t'as tout gagner. Savoir raconter des, son, histoire.

Et puis parfois, je l'ai déjà dit ailleurs mais, savoir aussi ne rien dire. Laisser les silences. Les blancs c'est pas forcément naze. Ça peut être oppressant, mais si tu mènes certaines expériences, tu verras qu'en fait ça peut enclencher un tas de trucs chouette dans la conversation, l'interaction.

En conclusion, il n'y a pas de sujet banal. Il y a des gens banals, il y a des sujets dépersonnalisés. A la limite, le seul sujet banal c'est de parler météo. Et encore que, tu peux jouer avec.

Sujet à éviter... pour moi, le gros fil rouge ce sont les ex. C'est un champ de mine auquel on s'expose volontiers. Autant, pour parler d'une façon de fonctionner ou d'être ou faire part de son vécu si on nous pose une question, ok. Mais c'est un pari risqué parce que, si on sent qu'il y a un truc pas encore déconstruit, ou bien que tu parles en de mauvais terme qui fait dire que "ah non, je veux pas qu'il parle de moi comme ça un jour", ou bien que ça sert d'élément de comparaison... c'est cuit.

Tout ce qui a à trait à la politique, la religion... bref, les sujets sensibles, à moins que t'aies des points communs dessus, mais tu le découvres rarement en tout premier rendez-vous.

Sa beauté physique dans la vibe "je te trouve trop belle". Ou "Pourquoi t'es avec moi à ce rendez-vous?" "Pourquoi tu t'es intéressée à moi?" "Pourquoi moiiiii???". Bref, tout ce qui est à destination de rechercher sa validation.

Ah et:
Par exemple, cela ne va pas plaire aux mélomanes, mais je trouve que la musique est un sujet banal.
La musique c'est tout sauf banal. T'as pas un sujet plus riche de suggestions émotionnelles, sensuelles, sexuelles, à transmettre qu'à travers la musique (ou toutes les pratiques artistiques de façon générale). Essaye de parler d'instrument et de frottage de corde et d'habilité de doigt, ou de sonorité et de frisson et de vibrations et les femmes te répondront ce qu'elles pensent de la banalité. Fin', moi je dis ça je dis rien.
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [+3] Constructif le 15.05.18, 22h55 par Onmyoji
  • [+1] Absolument le 16.05.18, 00h55 par Avalanche
"Personne ne peut vous faire sentir inférieur sans votre consentement"
- Eleonor Roosevelt

C’est exactement ça Hillel, des sujets dépersonnalisés ! La rencontre doit se faire au niveau du sens et non au niveau d’un alignement de vécu. Je pense que c’est un alignent de pensées qui met d’accord sur le devenir d’une relation (amoureuse ou non hahah j’ai bien noté). ;)

Ecouter c’est important pour montrer à l’autre qu’on accorde de l’importance à son cheminement, à son vécu, ses choix, et à sa personnalité, son identité. Un jour j’ai écrit un post sur la beauté intérieure en lisant un article sur le site psychologies. Et même quand don recherche un plan cul, on ne peut nier la beauté d’une personne qui pousse à vouloir une relation plus sérieuse face elle (attention alerte bisounours dans 3, 2, 1) :
La beauté intérieure, profondeur de l'esprit ou complexité de l'âme, c'est ce que les autres devinent de vos victoires sur vos tiraillement intérieurs (vos démons, vos angoisses, vos complexes, vos insécurités et vos silences).
La beauté intérieure c'est le respect manifeste que vous portez aux autres, à vous-même et à votre système de valeurs. Elle est synonyme de courage, de loyauté, d'humilité et de respect dans le sens le plus large du terme, c'est la bienveillance et la noblesse de l'âme dans son plus bel apparat.

Si la beauté physique rend joueur, fait naître le désir, donne envie de défier, de tester les limites de l'autre ou de les repousser, pour consommer l'autre avec les yeux, la beauté intérieure vous rend sage, compatissant, parfois même admiratif, jusqu'à vous transformer et vous rendre beau à votre tour. Parce qu'elle touche notre coeur, et nous fait accepter les limites de l'autre à savoir, son individualité. Fréquenter une personne qui a une belle âme, nous inspire et nous rend plus beau à notre tour. Lorsqu'on fréquente une personne physiquement belle, on n'est pas assuré de devenir aussi belle que elle, ou tout du moins, de perdre en laideur.

J’ajoute qu’une personne ambitieuse et qui a réussi dans la vie, on peut l’envier, l’admirer, s’en inspirer et même la jalouser, elle peut être physiquement belle, désirable, et attirante pour ses nombreuses qualités, mais elle ne nous touchera pas, parce que la beauté intérieure, est étroitement liée àla sensibilité, mais aussi à la compréhension de l’autre.

L'ami idéal c'est celui qui possède la juste proportion de beauté intérieure. L'amant idéal, c'est celui qui possède la dose suffisante de beauté physique. Au confluent des deux, en proportion qui ne regarde que celui qui aime, il y a l'amour, celui qui émeut le coeur et les yeux.
Suggestion de consommation musicale (c’est gratuit, de l’amour liquide. Dieuuuu ça en envoie).

George Michael - One More Try
Sacrifice - Elton Jonh

:awesome: :yuno:
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À noter, que parler de ses exs, c’est prendre le risque d’évoquer un sujet sensible, qui une fois de plus sera sujet à interprétation. Ce qui en dit beaucoup sur son niveau d’expérience, de compréhension de soi, d’humilité, de capacité de prise de recul, de remise en question ainsi que son d’écoute et sa compréhension de l’autre.

Savoir écouter c’est je crois aussi important que de communiquer. Parce que ça veut dire qu’on est capable d’enregistrer ce qui nous est dit et de l’enregistrer. Dans une relation où les deux s’expriment sans que l’un ou l’autre ne prenne en considération les paroles de l’autre, c’est un perpétuel monologue qui se joue. Ça finit par la séparation de deux inconnus trop heureux d’avoir mis fin à leurs projections respectives au terme d’années de monologue interrompu.

Mais bon, pour en revenir au premier date (on s’emballe pas et je n’ai pas oublié ta question), écouter c’est pas seulement rebondir, c’est détecter l’ennui morbide d l’autre et sa non réceptivité. C’est comme la sexualité, on utilise, on teste les réactions, on observe, on écoute et on avance avec l’autre, c’est comme ça que se construit la confiance. Avec l’avantage des private joues qui va accélérer la complicité et accroitre le sentiment d’exclusivité entre les partenaires.

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