Petite parenthèse sur mon journal.
Il y a peu, j’ai été mise au défi d’écrire une nouvelle sur la rencontre épistolaire, fantasmée de deux inconnus, avec l'opportunité

d’être publiée.
Vos avis m’importent bien entendu, donc je me lance en décidant qu’il s’appelle Antoine…
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Lui
Notre première rencontre serait à Paris. Tu me donnes rendez-vous dans un café en bas de ton hôtel, mais je ne sais pas encore que c'est ton hôtel. Tu es assise là, au fond de ce petit café presque vide en pleine journée, habillée d'une robe noire moulante qui laisse deviner des formes qui me laissent déjà songeur.
Tu restes assise et je me contente d'un baiser sur ta joue, un baiser simple mais sensuel pour te dire bonjour. Un petit moment de silence où nous nous observons. Tu te mords un petit peu la lèvre avec un regard interrogateur. Nous commençons à réaliser que la personne que nous avons en face de nous est la personne qui nous a fait fantasmer ces derniers jours.
Nous commençons à discuter en nous caressant un peu les mains...c'est étrange, nous ne nous sommes jamais vus et pourtant nous ne pouvons nous empêcher d'être très tactiles. Nous discutons de choses futiles... nos esprits sont bien trop occupés à retenir nos ardeurs dans ce petit café parisien... je sens tout d'un coup ton pied...nu... remonter le long de ma jambe. Un frisson s'empare de moi, suis-je bien en train de vivre ce doux rêve ??...
Moi
Antoine, mes invités partis au petit jour, j'ai laissé glisser ma robe (comment sais-tu que j'adore le noir ?), une bretelle puis l'autre... mes seins pointés vers un rayon de lune coquine... Un dernier verre à la main, j'ai fermé les yeux bercée par une soudaine chaleur au bas des reins... ton visage près de moi, ta langue titillant mon auréole droite, puis gauche... ta bouche célébrant mon ventre, descendant petit à petit... J'ai pris ta tête entre mes mains, l'encourageant ainsi à poursuivre cette ascension à l'envers... et doucement tes lèvres ont pris possession de mes lèvres, baiser intime, passionné... tu as levé les yeux vers moi et ta langue délicate a effleuré mon petit bouton...
Lui
... je vois tes yeux papillonner, tes mains se font de plus en plus insistantes, presque au point d'enfoncer tes ongles dans mon crâne. Ma langue se fait joueuse, je varie le rythme, parfois je m'arrête... juste pour voir tes yeux me suppliant de retourner goûter à ton doux nectar. Je ne me fais pas prier, mais j'aime te voir à la fois agacée et bouillonnante de désir à chaque fois que je m'arrête. Tu es debout, je suis à genou, complètement dévoué à ton plaisir.
Je décide de ne plus te laisser de répit au bout de longues minutes de jeux avec ton petit bouton. Je me montre soudain plus dominant, et remonte avec ma langue le long de ton corps, n'oubliant pas de goûter à chaque centimètre qui me ramène à ta bouche. Ma main agrippe tes cheveux, doucement mais passionnément. Soudain, mes deux mains se dirigent vers tes cuisses. Je te soulève et te porte jusqu'à la table où restent quelques vestiges de la soirée passée tout en partageant un baiser des plus passionné avec toi. Nous ne contrôlons plus nos corps et les baisers se font beaucoup plus profonds, beaucoup plus humides, presque sauvages... Je te laisse reposer les pieds au sol et te retourne face à la table.
Tu commences à ressentir mon excitation en passant la main sur mon pantalon. Une main que je m'empresse de prendre et de poser sur la table face à toi. Je suis derrière toi, mon corps contre le tien, et d'une légère pression j'allonge ton ventre sur la table. Je chuchote à ton oreille de te laisser encore quelques minutes envahir par mes jeux de langues. Je vois tes yeux coquins comprendre que je suis très joueur et que ce soir sera le nôtre.
Moi
Mon sexe humide à souhait ne supporte pas que tu le délaisses un seul instant... tu le sais, ton petit sourire m'indique que c'est toi le maître du jeu... Une main prisonnière peut-être mais l'autre se pose sur toi. Tu t'écartes légèrement, acceptant ainsi de la laisser s'égarer sur un renflement prometteur. Ton torse nu presse mon dos, ce contact me rend folle et ma main caresse de haut en bas ton pantalon tendu par un sexe que tu vas m'implorer de libérer...
Je me dégage de ton emprise et te fais face à présent. Notre seul contact est ma main sur toi. Je te regarde intensément, lis-tu le désir dans mes yeux ? Je te veux absolument. J'ai besoin de ta peau, de tes lèvres, de ta main qui emprisonne à présent un de mes seins. Je te respire, j'approche de ton torse et y dessine une aquarelle avec mes lèvres.
Lui
Je comprends que tu as envie de découvrir ce que cache cette protubérance sous mon pantalon. Ta langue descend doucement le long de mon torse pendant que tes mains déboutonnent délicatement cette prison devenue douloureuse à force de désir. Tu te mets à genou, en descendant mon pantalon, admirant mon sexe tendu sous mon boxer noir.
Tu libères mon sexe définitivement en baissant mon boxer jusqu'à mes pieds et tu restes silencieuse en l'admirant quelques secondes. Je vois à tes yeux que tu en deviens gourmande et que tu t'apprêtes à me dévorer. Un simple petit baiser sur le bout de mon intimité comme pour lui laisser un petit répit avant de l'engloutir... tes mains s'agrippent à mes fesses durcies par la tension du désir. Les miennes caressent ton visage et passent dans tes cheveux... ta langue part de la base de mon sexe pour remonter jusqu'à son extrémité...
Moi
Tu es magnifique, dressé devant mon visage, émouvant dans son arrogance... non il faut attendre encore quelques secondes avant de franchir le barrage de mes lèvres.
J'aime ce moment savoureux, un homme et la preuve tangible de son désir... totalement jouissif pour moi... rien n'existe plus, une seule chose importante, ce sexe merveilleux que je veux déguster et pas qu'avec ma bouche... A tes pieds, je te happe délicatement, j'entoure ton gland de mes lèvres et je ne bouge pas, je savoure ce contact, cette douceur ferme... ma langue fait lentement le tour de ton gland, s'attardant un instant sur ton petit filet délicat... ton bassin avance, mais non c'est moi qui décide... Je te regarde, ton sexe en bouche, l'impatience de tes yeux m'amuse et me comble d'aise. Doucement tu glisses au fond de ma gorge, je prends ainsi ta mesure avec un plaisir infini. Une main sur tes fesses, l'autre à la base de ton sexe, tu ne peux m'échapper. Je reviens en arrière, aspirant délicatement ton gland au passage. Tu es luisant de ma salive, j'en profite pour te lécher tout le long, de côté, je joue de la langue sur ce bel arc tendu... au passage, j'embrasse tes bourses, une à une et les honore d'un coup de langue qui te fais te cabrer. Mutine, j'en gobe une, elle est douce et j'en suis déjà folle. Tu deviens encore plus dur et je n'ai qu'une envie maintenant, te pomper en accélérant le rythme au fur et à mesure...
Lui
Ton rythme est parfait. Tu sais jouer de moi et arrive à me repousser jusqu'à la limite en retirant ta bouche au bon moment pour ne pas provoquer une fin trop rapide... la vision de mon sexe trempé de ta salive est tellement excitante. Je vois qu'il est à ton goût, et ta bouche de plus en plus généreuse est le témoin de ta satisfaction... je sens que je vais avoir beaucoup de mal à tenir, ta bouche experte me pousse dans mes derniers retranchements.
Il suffit ! Je retire avec un grand regret mon sexe de ta gorge, il est hors de question que j'atteigne le plaisir ultime sans t'avoir fais l'amour avec la passion qui me dévore. Je m'accroupis à ton niveau et t'embrasse encore plus fougueusement qu'avant. Mon sexe complètement dressé le long de ton ventre, j'en suis à un stade quasi bestial... ma bouche gobe littéralement une partie de ton cou... je le mordille et remonte vers ton oreille droite. Je titille ton lobe du bout de ma langue et le croque doucement...pendant ce temps, l'une de mes mains s'est aventurée entre tes jambes...ton sexe est trempé de désir et mes petites saccades du bout de l'index sur ton petit bouton te donnent des frissons...tu ne contrôle plus ton corps et l'excitation provoque des ondes de tétanie sous mes caresses... le souffle court, je te chuchote "je n'en peux plus Perle, laisse moi te faire l'amour tout de suite..."
Moi
Je te veux Antoine, viens, s'il te plait... je m'entends te supplier de me prendre... incroyable... le moindre contact avec ta peau, ta bouche m'électrise. Bien avant que tu me prennes, je suis à toi, mon sexe trempé te réclame, il a faim de toi à un point inimaginable. Je me relève, pousse d'une main les verres encore sur table, je te regarde par-dessus mon épaule, tu es derrière moi, ta main entoure ma taille fermement, je frotte mes fesses contre ton dard, son contact me fait vaciller. D'un doigt expert tu dégages mon sexe d'un reste de dentelles et tu l'introduits au fond de moi. Petit mouvement de va et vient... un deuxième doigt viens rejoindre le premier, je me cambre, trop heureuse de me sentir envahie de cette façon cavalière. Si tu continues ainsi je vais venir... trop tôt encore, la fête ne fait que commencer. "Antoine, non..." Tes doigts quittent mon sexe et tu les portes à ta bouche, tu les lèches lentement, avec gourmandise, puis tu m'embrasses et nos langues mêlées à mon jus donnent le signal...
Puis tu agrippes mes hanches, tu me maintiens le haut du corps sur la table, mes fesses sont tendues vers toi, tu les écartes, tu introduits ton sexe entre mes lèvres secrètes et d'un coup tu me pénètres...
Lui
Ton sexe, chaud, humide et serré autour du mien ...c'est un pur moment de bonheur. Je te pénètre jusqu'au fond, doucement, et reste un instant à te contempler, ton dos... ta nuque... ta crinière... tu me lance un regard comme pour me défier, me défier de prendre le contrôle de ton corps, toi la femme insoumise, me défier de repousser tes limites... je commence alors avec un rythme lent et je savoure chaque coup de reins qui te font plisser les yeux de plus en plus...tu te mors la lèvre pour empêcher de laisser partir un premier cri qui serait signe d'une victoire trop vite acquise pour moi... Le rythme s'accélère peu à peu, mes mains se font plus fermes autour de tes hanches, je commence à prendre le contrôle. Ton sexe est de plus en plus trempé, chacun de mes assauts n'en deviens que plus puissant...La table commence à trembler... tu ne retiens plus ton plaisir et tes soupirs se font de plus en plus bruyants pour se transformer en petit cris... je te sens venir petit à petit mais qu'est-ce que tu crois? Que je vais te laisser jouir à la première occasion ? L'orgasme le plus puissant est celui qu'on a repoussé plusieurs fois...
Je ralentis le rythme, agrippe tes cheveux et te ramène avec autorité tout contre mon corps. Je sors mon sexe du tien et le dresses contre ton dos...je te chuchote "je suis loin d'en avoir fini avec toi ma Perle..." sur quoi je renchérie en laissant une main dans tes cheveux et remontant l'autre sur l'un de tes seins... j'en pince le bout tout en mordant ton oreille...tu sens le souffle court de mon excitation résonner sur ton tympan...
Moi
Il faut que je me ressaisisse, ce garçon me rend folle, il a une façon de jouer avec son sexe en moi qui me rend malade de désir... je coule de désir... il me laisse pour l'instant sur ma faim mais je lui en suis reconnaissante, il sait se maîtriser afin de m'emmener plus loin, plus haut... merveilleux...
Tu es derrière moi Antoine, ton corps me trouble, ma peau appelle ta peau, ma bouche veut à nouveau embrasser ton gland humide, sentir cette première goutte qui perle, l'aspirer, la déguster... je tente de me retourner mais ta caresse sur mon sein se fait plus insistante. Tu as mouillé ta paume de salive et ce massage divin me fait pointer...je le sens jusqu'au plus profond de mon sexe...
Je me dégage "toi aussi tu vas souffrir Antoine". Mon doigt humide s'aventure en suivant la raie de tes fesses. J'en apprécie la rondeur au passage mais je ne m'arrête pas. C'est ton petit anneau que je veux flatter. Doucement j'en fais le pourtour. N'ai crainte, je sais être douce, très douce. Un mouvement de rein et ton sexe cogne ma poitrine, dur si dur... Le temps de mouiller abondamment mon doigt qui repart vers l'arrière et j'accueille ton arc au fond de ma gorge...
Lui
Cette caresse, si intime, me trouble. Mais la façon que tu as de gober mon sexe en me laissant sentir le fond de ta gorge généreuse me donne envie d'aller toujours plus loin avec toi. C'est une caresse inédite, une porte que je n'ai ouverte à personne, mais ton doigt se faisant de plus ne plus insistant, je te laisse le glisser un peu plus loin. Je rentre dans un état second, tu es si féline, je sens que presque tout est permis et je fais tomber peu à peu mes barrières.
Je me cramponne à toi, tu as décidé de laisser ta bouche grande ouverte pour m'accueillir et me laisser donner le rythme pour visiter ta gorge. Je laisse parfois sortir mon sexe inondé de ta salive pour le laisser se reposer sur ton visage...mais tu n'en peux plus, tu veux juste le dévorer sans me laisser de répit, alors tu t'écartes à chaque fois et le reprend en bouche...cette bouche qui est en train de m'emmener au paradis tandis que ton doigt humide masse ma prostate...je n'en peux plus, je suis en passe d'exploser...il faut que je reprenne mes esprits.
Dans un moment de lucidité je stop tout ! Autoritairement, j'attrape ta crinière et te relève jusqu'à moi "Aaah c'est donc à ça que tu veux jouer...très bien...alors jouons...". J'agrippe tes fesses te porte subitement pour t'asseoir sur la table et ramène tes genoux au niveau de tes épaules. Je me rue sur ton sexe ouvert de désir. J'aspire ton petit bouton, le mordille, ne lui laisse aucun répit...mais j'ai bien d'autres idées en tête...ma langue descend le long de tes lèvres... plus bas encore... j'ose... ma langue se fait de plus en plus insistante autour de ta feuille de rose jusqu'au point de la rendre aussi tendre que ton sexe. De temps en temps je remonte le long de ton sexe, l'aspire et redescend doucement entre tes fesses. Mes mains humides qui malaxaient tes seins s'arrêtent... je glisse un pouce dans ta bouche que tu suce avec gourmandise...
Moi
Ta langue agile me ravage, pointue par moment, large et enveloppante à d'autres... mon bouton à doublé, que dis-je triplé de volume, des ondes de plaisir parcourent mon corps tout entier, elles viennent du plus profond de moi...
Je tète ton pouce avec ferveur, lui faisant subir un traitement auquel ton sexe n'aurait pu résister malgré ton endurance... mon orgasme s'approche dangereusement, mais non pas comme ça... il faut que ta bouche quitte vite mon bouton, ma porte secrète aussi qui je le sens bien, se détend bien malgré moi...
Porte secrète... mais vais-je te la refuser, Antoine, je ne sais pas, je ne sais plus, tu as le don de m'ôter toute volonté, j'ai envie de me donner à toi totalement, en toute impudeur, encore et encore...
Pour faire diversion, je t'attire vers moi et caresse ton dos en partant de tes épaules, en descendant le long de ta colonne, englobant de mes paumes tes fesses musclées... je me concentre sur ton corps, le temps de reprendre mon souffle... et mes esprits. Nos bouches s'unissent dans un long baiser, une même envie de morsure... nos corps luisent de sueur, ton odeur m'enivre, j'ai envie de lécher le moindre centimètre de ta peau...
Lui
Ta diversion parvient à me faire oublier quelques instant mes intentions de te repousser dans tes derniers retranchements... tu es devenue toi aussi animale, tu lèches mon torse, le mordant, plantant tes ongles dans mon dos... Nos corps sont trempés rendant glissant chacun de nos baisers, nous ne contrôlons plus rien.
Soudain, je t'allonge sur la table, et te met sur le côté...tu es légère, j'aime cette sensation d'avoir l'impression de faire ce que je veux de ton corps. Tes deux jambes sont allongées l'une sur l'autre, relevées bien haut, et tu retournes ton torse pour me regarder droit dans les yeux. Je m'agrippe à ta cuisse et pénètre jusqu'au fond de ton sexe... je sens que tu es au bord de l'orgasme, c'est le moment pour moi de faire rugir la femme qui me rend fou, comme pour la remercier d'être qui elle est et de me laisser la chance de lui faire l'amour...
Mon rythme est tout de suite assez rapide, plus la patience de te faire languir. Mes assauts sont puissants, et chacun d'entre eux te laisse échapper un petit cri, de plus en plus fort...le jeu de tout à l'heure m'amuse, je t'ai vu douter de toi même, douter de ce que tu me laisserais te faire. Alors je te lance un regard complice et je suce mon pouce encore humide de ta salive...mon pouce redescends le long de ta fesse et commence à titiller ta petite porte... je te sens complètement abandonnée, soumise à ma volonté et donc le glisse tout doucement à l'intérieur tout en continuant mes coups de reins...ça y est, tu perd le contrôle, tu t'agrippes, te tords de plaisir en longs feulements... nous y sommes, tu atteins un orgasme surpuissant partant de ton intimité et envahissant chaque extrémité de ton corps pendant que j'accélère encore le rythme pour le prolonger... tu me lances un regard comme pour me supplier d'arrêter ce qui renforce mes ardeurs. Je garde ce rythme rapide et puissant, ce qui décuple cet orgasme que tu pensais déjà à son pic...je ramène tes deux jambes autour de mes hanches et m'étale sur toi pour partager un nouveau baiser gourmand tout en léchant les quelques perles de sueur qui coulent le long de ta poitrine...
Moi
Cette position si propice à une pénétration profonde ne pouvait que me combler… Tes coups de reins m'affolent, je sens ton sexe me remplir complètement, à fond, je suis prisonnière de ton rythme, ta main sur ma cuisse me soude à la table, je te regarde, tu es magnifique en train de me labourer sans répit, tes bourses martèlent mes fesses ajoutant au plaisir qui monte, qui monte...
Sans vergogne ton pouce a forcé mon anneau, ce sont trois doigts qui maintenant caressent l'intérieur de mes chairs au rythme de ton sexe... prise totalement par toi, je me laisse envahir puis submerger par cette lame de fond qui m'emporte et me délivre d'un orgasme tant espéré, tant attendu... cet orgasme qui de par son ampleur investit mon être entier, mon âme et éclate en un long cri libérateur... je ne suis plus que jouissance... tu viens sur moi toujours en moi, ce qui prolonge les ondes du plaisir que tu viens de me donner.
Tu as su te retenir une fois de plus mais je sais que tu ne pourras plus bien longtemps. Ton coeur bat la chamade... à moi maintenant... Nous glissons à terre et je te chevauche, les mouvements de mon bassin dessinent des arabesques, mon sexe avale le tien à un rythme que tu ne maîtrises pas " Antoine tu es mon doux prisonnier".
Tu regardes mes seins se balancer, tu les caresses, tu t'y agrippe... je continue à presser ton sexe dans le mien sans relâche, mon regard ne quitte pas le tien, je veux que tu rendes les armes et que tu me donnes ta liqueur chérie...
Lui
Ma belle Perle, comme tu le sais, il faut savoir faire languir pour atteindre le vrai plaisir...et ce soir je dois m'absenter...la suite de notre doux moment ne tardera cependant pas trop...
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Voilà le résultat de mon imagination… jouable ou ridicule ?