La loi de l'attraction : vous connaissez, vous pratiquez ?

Note : 19

le 24.04.2019 par stacy_21

10 réponses / Dernière par Annah6878 le 27.04.2019, 12h36

Etat d'esprit / psychologie / dev perso / vie intérieure.
Un forum pour celles et ceux qui s'intéressent au dev perso, à l'équilibre intérieur, à la psychologie. Surmonter ses blocages, ses croyances limitantes, nourrir et développer ses forces, etc.
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Allez, je cite Google pour commencer, histoire d'expliquer :

"La Loi de l'Attraction est la croyance qu'en se concentrant sur des pensées positives ou des pensées négatives, les gens peuvent apporter des expériences positives ou négatives dans leur vie.

Cette croyance est fondée sur l'idée que les personnes et leurs pensées sont à la fois de la « pure énergie », et que, par le processus de « l'énergie attire une énergie semblable » une personne peut améliorer sa propre santé, sa richesse, et ses relations personnelles.

Un élément clé de cette pensée est de changer efficacement ses schémas de pensée négative en « ressentant » (par la visualisation créatrice) que les changements souhaités se sont déjà produits.

Cette combinaison de pensées et d'émotions positives est censée permettre d'« attirer » des expériences et des opportunités positives en se mettant en résonance avec la « Loi » énergétique proposée."

Qu'en pensez-vous, utilisez-vous cette loi au quotidien ?

Je suis avide de récits !

C'est un peu la méthode coué, nan ? :)
Comme avec l'écrasante majorité des théories ( j'insiste sur le mot, on ne parle pas de loi ) de psychologie / dev perso, je suis dubitatif. Mais j'adorerais que ça marche. Toi, Stacy, le pratiques-tu ?

Une vieille sophrologue m'a dit il y a quelques années pendant une séance "pour que quelque chose se produise il faut le vouloir, le désirer". Ma vieille grand-mère m'a aussi dit ça un jour où je lui confiais mon inquiétude sur une situation dont je craignais qu'elle n'évolue jamais "ne t'inquiète pas, si tu continues de le vouloir, ça finira forcément par aller mieux"

J'ai pratiqué, pour voir, et ça a marché.

Moi j'explique ça plus simplement que par des histoires d'énergie. Quand je désire quelque chose, que je souhaite que ça se produise, en fait je suis déjà en train de créer cette réalité, je lui donne de la place, je m'ouvre aux indices, aux opportunités qui vont me guider vers cette réalisation...

Il y a aussi des gens qui conseillent de ne rien attendre, rien espérer, et que c'est à ce moment là que la vie commence. Paradoxalement j'en ai fait l'expérience aussi. Il faut peut être renoncer au résultat mais pas au moyen. Par exemple : renoncer à vouloir rencontrer l'homme de sa vie, mais continuer de vouloir faire des rencontres.
Renoncer à plaire à sa belle mère, mais continuer de vouloir avoir des rapports plus agréables avec les gens sans se nier.

Qu'est ce que tu souhaiterais pour toi ?
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [+1] Intéressant le 24.04.19, 22h38 par FK
  • [+2] Absolument le 24.04.19, 23h18 par Sathinelilly
  • [+1] +1 le 25.04.19, 01h58 par Thedaze
  • [+2] Post responsable le 25.04.19, 08h05 par Onmyoji
  • [+1] Intéressant le 25.04.19, 08h45 par Jalapeno

Pour aller dans le sens de Voucny, quelqu'un a très bien dit: le talent, c'est la préparation qui rencontre l'opportunité.
Inconsciemment, quand on a "déjà réalisé" l'objectif, on voit moins les choses à réaliser pour y parvenir comme des obstacles que comme des étapes. Et le cerveau se met déjà sur le problème.
Après, il faut que ça reste raisonnable, même avec cet état d'esprit on ne réalise jamais des choses qui sont hors de portée objectivement. On se met juste dans l'état où l'on réalise que ça ne l'était que subjectivement.
Il y a aussi une bonne part de chance, mais au moins agir ainsi permet de tirer son ticket de loterie. C'est sûr que rester dans son canapé à se morfondre ne donne aucune chance d'avancer vers son but (ou alors on est vraiment chanceux ...)

Ce qu'internet ne dit pas, c'est l'effet Barnum qu'il peut y avoir derrière tout ça. Et beaucoup de "pratiquants" de sa forme plus mystique ont toujours une bonne explication pour les fois où ça ne marche pas. Qui peuvent être culpabilisantes. Du style "tu n'y as pas cru assez fort", ou "c'est pas vraiment ce que tu voulais" ou "pas vraiment ce dont tu as besoin".
Je suis donc très partagé. Autant je peux comprendre et apprécier la version psychologique, autant je me méfie de la version mystique, qui peut être nuisible pour des personnes fragiles (sans même aller dans les explications sur l'énergie, je laisse cette croyance à ceux qui veulent y croire...).

Enfin, si l'on doit garder quelque chose, c'est que se conditionner positivement envers son but aide sans doute à l'atteindre si par ailleurs on s'en donne les moyens. Quel que soit le vecteur réel.
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [0] A lire le 25.04.19, 13h16 par Annah6878

Oldboy a écrit :C'est un peu la méthode coué, nan ? :)
Comme avec l'écrasante majorité des théories ( j'insiste sur le mot, on ne parle pas de loi ) de psychologie / dev perso, je suis dubitatif. Mais j'adorerais que ça marche. Toi, Stacy, le pratiques-tu ?
Et bien... Je vais vous faire part de mon expérience personnelle.

Dans ma famille nous sommes cinq enfants. Tous fondamentalement différents et pourtant bercés avec les mêmes traumatismes de l'enfance. Bien entendu, avec les ressentis qui nous sont propres au vue de notre âge au moment des faits (je ne m'attarde pas là dessus).

Ma soeur Clara, s'est vu répété pendant très longtemps qu'elle était "bête" et "nulle" et dans le but de vouloir lui inculquer "l'auto-dérision" on lui a "tapé" (dans le sens figuré du mot) dessus très longtemps. Sauf que, ça n'a eu l'effet escompté et que maintenant ça a ancré en elle des traumastismes très profonds. Elle a créé autour d'un cocon où elle se sent en sécurité : appartement, travail, chat. Il n'y a de place pour rien autour. Elle vit sa vie sans se projeter plus loin que le bout de son nez, sans projet particuliers, sans aucune ambition, sans prise de risque de peur de l'échec.
Je dirais que de manière générale c'est une personne assez négative sur sa propre personne et sur les gens en général.

Mon frère Manuel (un an de plus que Clara) s'est vu répéter les mêmes choses (on y est tous passé) mais d'un tempérament beaucoup plus combatif et beaucoup plus positif, il a complètement changé les choses. Au lieu d'en souffrir il a exploité toute cette souffrance pour en faire une force. C'est quelqu'un d'ambitieux, toujours à la recherche de nouvelles sources de savoir, qui exploite pleinement son potentiel dans la vie de tous les jours, dans ses paroles et dans ses actes. Quelqu'un de profondément positif.
Et sa vie est complètement différente : une maison magnifique (il a bossé comme un fou pour la retaper du sol au plafond, pris des cours de plomberie via youtube, fabriqué des meubles sur mesure), un travail qui le comble de bonheur, une petite copine très sympa. C'est résolument quelqu'un de positif (et j'insiste là dessus).
Il est comme tout le monde et quand quelque chose de pénible lui tombe dessus, il essaye toujours d'en retirer le bon (exemple : il a un accident de voiture. Sa réaction : Ah bah tant pis, je vais bosser plus dur et m'en payer une plus belle).
C'est une force naturelle qu'il a en lui (et quelle chance me direz-vous).

Tout ça pour en venir au fait suivant : Je pense effectivement que quelqu'un de positif (dans ses paroles, dans ses actes), de motivé et de bosseur obtiendra toujours plus de succès que quelqu'un résolument tourné vers le négatif (je n'ai pas ci, je n'ai pas ça, j'envie untel, j'aimerais faire ceci mais c'est trop dur).

Je pense qu'on est tous capables de transcender notre réalité uniquement par la force de notre volonté : tu veux apprendre une langue étrangère : GO. Ouvre un livre, télécharge une application, explore, découvre, et surtout : travail.

Cette "loi" pour moi c'est juste une manière d'expliquer que quelqu'un qui en veut et qui a la niac aura toujours plus de résultat positif que quelqu'un qui se contente d'être spectateur de sa vie.

D'un point de vue personnel, je m'efforce quotidiennement de voir le côté positif des choses. Le mauvais arrive (bien entendu), mais je ne me focalise pas dessus. Si j'ai un problème j'essaye de le résoudre au plus vite, de faire ce qu'il faut pour pouvoir m'en débarrasser. Je ne dis pas que c'est simple tous les jours, mais je pense qu'avec une attitude positive on s'évite beaucoup de mal.
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [+1] A lire le 25.04.19, 14h29 par Onmyoji
  • [0] C'est pas si simple le 27.04.19, 12h09 par Annah6878
  • [+1] +1 le 30.11.20, 16h21 par Locknar

Dans l'idée oui, c'est mieux d'être positif.... mais soyons nuancés.

On peut pas être tout le temps "high". C'est contre nature. C'est anti physiologique :
Un des mouvements de base qui nous maintient en vie, la respiration, c'est inspire (ouvre) expire (ferme). Le succès dans nos entreprises vient à mon avis davantage d'un équilibre entre ces phases, qu'un maintien artificiel dans une des deux.

Concernant ta fratrie, je trouve que c'est très difficile de poser un regard juste sur ses frères et sœurs, tant on voit en eux nos propres manques, ou nos propres aspirations. Si ça se trouve ta sœur est très bien avec son chat, et n'est ce pas finalement tout ce qui compte ?
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [+1] Pertinent le 25.04.19, 18h25 par Onmyoji
  • [+1] Pertinent le 26.04.19, 10h11 par Perlambre
  • [+1] Ca va mieux en le disant le 27.04.19, 12h12 par Annah6878

Pour ma part, je crois aux cercles vertueux... On parle souvent des cercles vicieux, et bizarrement, ceux-là ne sont jamais mis en cause...pourquoi l'inverse ne serait-il pas vrai?..

L'énergie que dégagent les gens provoque des choses chez les autres, forcément... Quelqu'un d'épanoui et de bien dans sa vie irradiera forcément du positif qui n'aura pas les mêmes conséquences sur les autres, qui ne lui renverront pas la même chose etc...etc... Il m'est arrivé de croiser des gens qui m'ont donné la pêche pour la journée rien qu'avec un sourire, probablement que ce jour là j'ai aussi renvoyé à d'autres personnes quelque chose qui aura modifié la leur?... De la même manière qu'être casse couille incite fortement les autres à être désagréables en retour, il est logique qu'être ouvert incite un peu les autres à l'être aussi?.. (sauf si ce sont des sales cons :mrgreen: ...ça arrive :lol: ) Et de mon expérience perso, ce sont souvent ces situations/périodes auxquelles apparaissent des propositions...

Ceci dit je ne pense pas qu'il suffise de se convaincre qu'on va bien pour que ce soit le cas... Honnêtement, je me demande même dans quelle mesure on est décideur de ça pour soi. Je veux dire par là qu'il y a des phases durant lesquelles on a beau tout faire pour aller bien, rien ne suffira pour que ce soit vraiment le cas... et inversement... à d'autres périodes, les efforts fournis payent au centuple et ouvrent tout un tas de choses et de gens...
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [+1] Intéressant le 26.04.19, 09h02 par voucny
  • [+1] En effet le 26.04.19, 10h13 par Perlambre

voucny a écrit :Dans l'idée oui, c'est mieux d'être positif.... mais soyons nuancés.

On peut pas être tout le temps "high". C'est contre nature. C'est anti physiologique :
Un des mouvements de base qui nous maintient en vie, la respiration, c'est inspire (ouvre) expire (ferme). Le succès dans nos entreprises vient à mon avis davantage d'un équilibre entre ces phases, qu'un maintien artificiel dans une des deux.

Concernant ta fratrie, je trouve que c'est très difficile de poser un regard juste sur ses frères et sœurs, tant on voit en eux nos propres manques, ou nos propres aspirations. Si ça se trouve ta sœur est très bien avec son chat, et n'est ce pas finalement tout ce qui compte ?
Oui en effet, on ne peut pas toujours être à fond.
Bien sûr qu'il y a des moments dans la vie qui sont difficiles et où il faut accepter le chagrin, le vivre à fond pour pouvoir ensuite mieux rebondir.
Mon père est mort en 2013, ça m'a dévasté. J'ai pleuré comme une nouille tous les jours pendant des mois.
J'avais besoin d'extérioriser mon chagrin. Je commençais la journée avec le coeur lourd, les souvenirs pleins la tête et la sensation que j'allais jamais m'en remettre.
Mais malgré tout quand j'arrivais au travail, je me disais "aller, let's go, bosse, mets y toute ton énergie et arrête de pleurer". Je pense que je le faisais parce que j'avais pas envie que les autres me voient ainsi. Parce que quand tu es mal, ça se voit, ça se sent.

Qui n'a jamais vécu cette journée de merde par excellente où tu te lèves le matin et tu te cognes le petit doigt de pied dans la porte de la salle de bain, tu renverses ton café sur ta chemise, la voiture démarre pas.. bref la journée où on se dit "j'aurais peut être du rester au lit aujourd'hui". Et comme par hasard tout le reste de la journée c'est : la même chose.
On se concentre sur le négatif et c'est ce qu'on attire.

Une autre journée où je me lève de bonne humeur parce que j'ai bien dormi, le soleil brille dans le ciel, je sais qu'aujourd'hui j'ai des trucs de sympas prévu et je sais pas.. juste je suis heureuse.
Je croise des gens qui me sourient et j'ai l'impression que tout va bien. C'est... un engrenage non ? Vous voyez ce que je veux dire ?

Concernant la partie sur mes frères et sœurs, c'est vrai que c'est plus facile comme exemple parce que ces deux là sont clairement à l'opposé l'un de l'autre. Ma sœur essaye effectivement de se convaincre qu'elle est heureuse comme ça, mais alors, pourquoi est-ce qu'elle pleure chaque fois qu'on en vient à parler de sa vie, de la manière dont elle a choisi de se protéger du reste du monde pour ne plus avoir à souffrir ?
C'est une carapace, un sentiment de sécurité qui la rassure. Elle en à conscience dans une certaine mesure. Est-ce qu'elle est heureuse ? La réponse est non.

J'aurais pu prendre n'importe quel exemple, parce que dieu sait que j'en ai plein sur des amis et des gens que je connais, mais celui-ci me semblait particulièrement parlant :-)
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [+1] Constructif le 26.04.19, 09h53 par voucny
  • [+1] Effectivement le 26.04.19, 10h16 par Perlambre

Se convaincre que tout va bien alors que ce n’est pas le cas peut être une façon de lutter contre l’adversité ou même une façon de se protéger contre un trop grand chagrin par exemple. C’est un peu un réflexe de « survie », une façon de se montrer fort par rapport à son entourage car l’on refuse de s’apitoyer sur son sort, de se faire plaindre.

Une telle attitude n’est pas mauvaise en soi, elle peut donner l’élan pour effectivement ne pas sombrer et à ce niveau c’est vrai que nous pouvons être plein de ressources.
A la condition de ne pas s’illusionner en oubliant de traiter les racines du mal-être. Avec l’idée (le souhait ?) qu’elles disparaîtront comme par enchantement de par le simple pouvoir de notre volonté. Cela marchera un temps et quand nous nous y attendrons le moins, ce mal-être a de fortes chances de se rappeler à notre bon souvenir…

Perlambre a écrit :Se convaincre que tout va bien alors que ce n’est pas le cas peut être une façon de lutter contre l’adversité ou même une façon de se protéger contre un trop grand chagrin par exemple. C’est un peu un réflexe de « survie », une façon de se montrer fort par rapport à son entourage car l’on refuse de s’apitoyer sur son sort, de se faire plaindre.

Une telle attitude n’est pas mauvaise en soi, elle peut donner l’élan pour effectivement ne pas sombrer et à ce niveau c’est vrai que nous pouvons être plein de ressources.
A la condition de ne pas s’illusionner en oubliant de traiter les racines du mal-être. Avec l’idée (le souhait ?) qu’elles disparaîtront comme par enchantement de par le simple pouvoir de notre volonté. Cela marchera un temps et quand nous nous y attendrons le moins, ce mal-être a de fortes chances de se rappeler à notre bon souvenir…
Je suis entièrement d'accord avec toi, il y a une nuance entre le fait de se donner l'illusion que tout va bien, chercher à s'en persuader alors que c'est faux, et savoir que c'est pas la joie mais choisir de ne pas le montrer à tout prix pour éviter d'éclabousser les autres avec ses propres problèmes...
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [+1] Constructif le 27.04.19, 12h13 par Onmyoji

J’aime l’idée d’insuffler une dynamique positive à son inconscient pour forcer la réalité à s’y conformer. Mais avec toutes les nuances déjà apportées sur le sujet je vois mal la pensée automatique tirer vers le haut sans le risque de culpabiliser dans le cas d’un down trip, où l’on serait tenté à l’inverse de parler de manque de volonté alors que les choses me paraissent plus complexes.

Telle que je la vois, la loi de l’attraction se résume en une phrase : « vouloir c’est pourvoir ». En soi, j’approuve la pente positive qu’elle invite à prendre et e trouve ça super courageux de dire okay, j’ai vécu truc compliqué (mort d’un proche dans le cas de Stacy21 mais je suis plus forte, pour avancer je dois me faire violence), mais s’il s’agit d’un objectif qu’on se fixe type développement personnel (si je veux devenir millionnaire il suffit que je le veuille), à un moment, je veux bien que la personne ait toute la volonté du monde et qu’elle bosse jusqu’à pas d’heure, qu’elle soit sans vie et qu’elle mette tout son argent de côté, si elle ne devient pas millionnaire, l’estime personnelle elle va où ?

Et puis, pour ne pas répéter Onmyoji, au delà du fait que la volonté ne corrige pas les traits de personnalités qui empechent les gens de grimper l’echelle sociale parce que chaque personne se heurte à limites qu’elle ne peut pas déplacer, il y a aussi le fait que la volonté ne suffit pas à expliquer la réussite des personnes. Le travail et le mérite ne font pas tout. Les relations sociales et la capacité à nouer des relations professionnelles est aussi un facteur non négligeable, et je pense qu’assez de personnes vivent ça pour savoir que même en voulant avoir les meilleures relations avec les autres, on ne devient pas charismatique, en le voulant. On ne devient pas charismatique en claquant des doigts. Tout comme les plus intelligents ne sont pas les plus riches, ni les plus méritants d’ailleurs, mais ceux qui réunissent certaines fois plus de capacités sociales qui leur permettent de gravir plus vite et mieux les échelons. Pour moi il y a charme et charisme.

En ce qui concerne le charisme, je ne pense pas qu’il s’apprend, contrairement au charme qui lui peut s’acquerir.

Quant à dire qu’un mec qui n’a pas réussi manquait probablement de volonté, pour moi c’est comme la bienpensance, qui sait ce qu’il a traversé et quels ont été les moyens à da disposition ?

La volonté se mesure-t-elle proportionnelement au mérite finalement ? Qu’en est-il du lien de causalité avec la réussite... ?
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [+2] Constructif le 27.04.19, 12h52 par Onmyoji

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