Vos essentiels en relation?

Note : 13

le 23.01.2022 par Onmyoji

11 réponses / Dernière par Onmyoji le 29.01.2022, 09h34

C'était plus simple du temps de papa & maman. Pour celles et ceux qui veulent échanger autour de la vie de couple et des relations, et des différentes formes que tout ça peut prendre. Polyamour ou monogamie, relations libres, jalousie, engueulades dans la cuisine, routine, infidélité, la totale.
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J'ai l'impression qu'il y avait un (des) sujet(s) sur cela mais je ne le(s) retrouve pas.
Voilà, j'étais en train de jeter un œil sur une vieille présentation et sur des profils sur un site et j'en suis venu à me dire c'était quand même triste de devoir préciser qu'on recherche quelqu'un d'intelligent (parce que tout le monde aime les cons...), beau (les moches), ouvert d'esprit (les bornés), j'en passe et des meilleures.
Mais en y réfléchissant je pense que ce n'est pas forcément si évident. Ça reste la majorité des gens,
Cela dit chacun à sa compréhension de la chose.

Il y a aussi les goûts et ça, on peut accepter beaucoup de différences, avoir besoin de certaines choses, mais ça reste beaucoup plus flexible que les personnalités et les valeurs.
Quels sont donc vos essentiels en la matière et que mettez vous comme attitudes et actions dans ces termes?
"Les gens déplorent les effets dont ils chérissent les causes"

Malheureusement je trouve qu'il y a une terrible dissonance entre ce qui nous attire et ce que nous recherchons véritablement, savoir pour construire une relation sur le long terme.
Je recherche une personne stable, agréable, altruiste, compréhensive et bienveillante.
Mais je ne vais pas nécessairement être attiré ou plutôt l'intensité émotionnelle va difficilement décoler avec ces qualités.

Je pense que cette dissonance est sans doute encore plus marquée chez les femmes dont le besoin emotionnel ressemble souvent à un puit sans fond. Et c'est pour ça que tout gentils garçons que nous sommes nous devons apprendre à jouer sur l'intensité émotionnelle. Ce qui fait quand même de nous les pires mauvais garçons...

En pratique je recherche une femme qui sait utiliser le masque social et séducteur mais qui fondamentalement a des valeurs très classiques. Une sorte d'alter ego.
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  • [+2] Intéressant le 24.01.22, 15h40 par Onmyoji
  • [+1] Intéressant le 24.01.22, 18h01 par Gafano
  • [+1] Intéressant le 05.03.22, 11h40 par FK

En effet c'est un point très pertinent. Outre les différences lexicales il y a le fait que l'on réfléchit sur deux plans: au niveau attirance et besoin rationnel.
Ma question vise un peu à aligner les deux: je suis relativement exigeant mais fondamentalement bon client. Ce sont plus les défauts qui me bloquent que l'absence de qualités superlatives.
Après ma perception fait sans doute que ce qui n'est que moyen va être considéré comme un défaut.
Mais j'ai du mal à faire le tri entre tous les trucs que je considère comme négatifs mais tolérables, ce qui ne l'est vraiment pas, ce qui ne l'est pas pour l'instant, ce dont j'ai vraiment besoin, et ce que je devrais peut-être reconsidérer.
Par exemple j'ai essayé de sortir avec des femmes qui n'ont pas d'affinité pour le langage, la poésie, l'art, et dans la longueur la communication ne passe plus. En dehors de la sensualité physique et directe, la notion de l'anticipation, du fantasme au travers de la communication, ça ne passe pas avec elles.
Donc comme je sais séduire autrement ça peut se faire au départ mais comme ça m'est plus difficile ou limitant c'est sans doute à éviter, parce que dans la longueur ça marche pas (ou si elles sont trop love alors qu'elles comprennent rien à mon univers là je me dis que juste pour être en relation je suis avec sutlej qui me correspond pas et ça c'est rédhibitoire psychologiquement, ça me fout en l'air).

À côté de ça j'aime pas les fumeuses rationnellement, mais quelqu'un que j'aime bien je lui passe (alors que ça me fait gigantesquement chier).

La jalousie c'est un red flag et pourtant j'aurais tendance à me montrer trop compréhensif. C'est clairement un truc sur lequel mes deux côtés sont pas alignés.

Pareil pour la beauté physique, la féminité sont pour moi très essentiels niveau attirance, sans ça j'ai vraiment du mal à me projeter, à me dire que je vais pas faire une fixette dessus, que je vais pas être attiré et que je vais peut-être tellement vriller que je vais chercher d'autres raisons de me prendre la tête, mais rationnellement je me dis que c'est peut-être très con de pas avoir une relation qui en dehors de ça pourrait justement être un alter ego, une complice complémentaire et parfaite sauf sur le point de l'attirance physique (moche ou pas d'ailleurs... il y a eu des nanas belles et courtisées avec qui je me sentais pas assorti ou chez qui il me manquait un truc, du style, de la féminité dans certaines choses).
Au fond je me dis: "putain la fille a tout ce que j'aime, mais elle me plaît pas physiquement" et ça me fait chier. Parce que si ça se trouve je rate de belles histoires.

J'ai du mal à voir où je suis dans le vrai, là où je devrais être moins coulant ou plus m'accrocher à mes principes.
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  • [+1] Intéressant le 24.01.22, 19h30 par Speedy Smile
"Les gens déplorent les effets dont ils chérissent les causes"

D’accord avec vous. Nous avons sans doute aussi nos contradictions, ce n’est pas exclusivement féminin.

Beauté physique, bien sûr, et aussi qualités humaines, du charme. Absence d’enfants. La culture et la curiosité intellectuelle sont un plus, mais qui devient de moins en moins important à mesure que j’avance en âge.

Je croise de belles femmes célibataires de 20 à 40 ans et il ne me faut pas longtemps pour en comprendre les raisons. Globalement, il y a un terrible manque de savoir faire.

Dans la relation proprement dite, c’est bien sûr la gestion de la réalité, donc du quotidien. Les conflits, inévitables, doivent être rares et de faible intensité.

Ah oui aussi : une bonne insertion sociale individuelle et mutuelle, nécessaire à l’équilibre mental et à celui du couple.

Voilà, c’est à peu près tout ce qui me vient pour le moment. Et pas de blague potache à connotation sexuelle, on n’est plus des mômes :mrgreen:
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  • [+1] Merci ! :) le 25.01.22, 06h51 par Onmyoji

J'aime bien ta réponse parce qu'elle aborde des sujets épineux comme la présence d'enfants issus d'une précédente union*, ou le fait que certaines qualités normalement "attendues" (cf. mon post initial sur l'intelligence) ne le sont pas tant que ça pour toi à la longue. C'est là où j'aimerais bien que tu développes ce qui fait que finalement ça n'est "qu'un plus"?
J'avoue qu'un temps, tant que l'émotion passait et que je pouvais rire, que l'on avait une accroche un peu inexplicable et un charme commun et réciproque, je m'en foutais. Mais il me paraît difficile aujourd'hui d'en faire abstraction sans doute à cause mes propres incapacités à communiquer et maintenir l'intérêt autrement (et j'avoue que j'ai du mal à me dire que je pourrais apprendre parce que les méthodes que j'entrevois ne m'enthousiasment pas).
Mais l'un de mes meilleurs potes, surdoué avec un QI qui frôle certainement les points de Lagrange (si tu me lis;)), avait un avis assez tranché sur la chose. Il m'avait dit "Tu sais, je n'ai jamais été impressionné par l'intelligence d'aucune femme avec qui j'ai été", pourtant j'en avais connu un paquet et il ne sort pas avec des cruches. Alors dans sa position on est tous des enfants un peu idiots, certains à peine moins que d'autres, mais c'est assez significatif: il se "met à niveau", mise tout ailleurs. C'est d'ailleurs pas le genre de gars à se retrouver dans l'entre-soi d'organisations de surdoués (dont beaucoup ne le sont pas vraiment à force d'abaisser la barre). Pourtant c'est le premier à relever les défis et à être stimulé par des conversations un peu poussées.
Et toi, tu dis "avec le temps", comme si tu en avais fait ton deuil où que ta sagesse de quarantenaire t'avait fait prendre conscience que ce n'est pas si important.

Sinon tu mets l'accent sur deux points qui ne sont pas des qualités internes mais interpersonnelles et en effet essentielles à une relation. Une qualité interne comme le dévouement ne suffit pas, il faut aussi savoir bien communiquer.

*pour revenir sur le point des enfants issus d'une relation précédente je m'interroge. D'un côté comme homme je me dis que se retrouver à élever les gosses d'un autre (parce qu'on les élève toujours un peu malgré nous si on se retrouve en couple conventionnel avec leur mère), au détriment de la liberté d'une relation sans attaches, avec tous les écueils que ça implique (la relation au père, aux enfants, à la mère - pas en tant que compagne mais femme mère), c'est un peu le mauvais plan et l'arnaque (parce que certains gars se désengagent quand ils ne sont plus avec la mère, et on se trouve à devoir gérer des problèmes pour des gosses qui ne sont même pas notre sang, et ce volontairement. Je m'étends pas sur le caractère désagréable et péjoratif qu'a cette idée sur moi mais vous aurez saisi).
D'un autre côté, ça implique une certaine dose de confiance de la part de la mère (enfin, j'espère), probablement plus que dans une relation normale, plus de stabilité, de solidité et d'implication pour elle (encore une fois j'ose espérer). Et puis surtout dans mon vécu j'ai été à la place de ces gosses. Avec de bonnes et mauvaises expériences selon celui de mes parents qu'on considèrerait (l'un d'eux a de manière évidente eu meilleur goût et jugement mais je n'en voudrai pas à l'autre pour ça). Je me dis alors qu'un gosse qui sentirait la frustration de sa mère parce qu'elle ne trouverait personne "à cause de lui" parce que tous les gars se sentiraient comme moi souffrirait terriblement (et que les gars seraient probablement des sales cons et je n'exclus pas de l'être). Ou qu'il subirait directement le ressentiment de sa mère (parce que je sais qu'il y a des aigries de ce genre).
Je crois aussi que pour les mêmes raisons que pour le physique je pourrais me sentir con de passer à côté d'une histoire pour ce sentiment d'être lésé relationnellement et pour ma fierté d'homme (qui pourtant est pas un truc que je considère mince, ridicule et à jeter contrairement à l'air du temps).
Ce serait presque sujet à fork, mais ça a aussi sa place ici...
"Les gens déplorent les effets dont ils chérissent les causes"

Je suis aussi plus regardant sur les defaut que l'absence de qualité. Meme si très souvent je trouve que c'est un défaut de ne pas avoir telles qualités ou de les travailler. Tel que la compréhension des codes sociaux, l'empathie, la communication non verbale, la persévérance, la vision de long terme, la soif de connaissance, l'envie de sortir de sa zone de confort, la curiosité culturelle, l'envie de découvrir d'autres modèles de pensées ou d'autre pays...

Mais je pense que la plus grosse intolérance que j'ai développée c'est lorsque je reconnais des défauts dont je me suis débarrassé parce que j'estimais qu'ils nuisaient à ma vie ou à mon épanouissement.
Je pensz que ca vient du fait que quelqu'un m'a expliqué que pour ce débarrasser d'un défaut, d'une mauvaise habitude, de.mauvais réflexes comportementaux, il suffisait d'observer chez les autres ces comportements pour s'en dégoûter et s'en débarrasser définitivement. Cette technique marche très bien pour moi et à chaque fois que je revois de vieux défauts, j'ai droit à ma dose de rappel gratuite et ca ne met pas du tout en valeur à mes yeux la personne qui les a.
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [+2] Intéressant le 25.01.22, 11h45 par Onmyoji

Onmyoji a écrit :
24.01.22
En effet c'est un point très pertinent. Outre les différences lexicales il y a le fait que l'on réfléchit sur deux plans: au niveau attirance et besoin rationnel.
Ma question vise un peu à aligner les deux: je suis relativement exigeant mais fondamentalement bon client. Ce sont plus les défauts qui me bloquent que l'absence de qualités superlatives.
Après ma perception fait sans doute que ce qui n'est que moyen va être considéré comme un défaut.
Mais j'ai du mal à faire le tri entre tous les trucs que je considère comme négatifs mais tolérables, ce qui ne l'est vraiment pas, ce qui ne l'est pas pour l'instant, ce dont j'ai vraiment besoin, et ce que je devrais peut-être reconsidérer.
Par exemple j'ai essayé de sortir avec des femmes qui n'ont pas d'affinité pour le langage, la poésie, l'art, et dans la longueur la communication ne passe plus. En dehors de la sensualité physique et directe, la notion de l'anticipation, du fantasme au travers de la communication, ça ne passe pas avec elles.
Donc comme je sais séduire autrement ça peut se faire au départ mais comme ça m'est plus difficile ou limitant c'est sans doute à éviter, parce que dans la longueur ça marche pas (ou si elles sont trop love alors qu'elles comprennent rien à mon univers là je me dis que juste pour être en relation je suis avec sutlej qui me correspond pas et ça c'est rédhibitoire psychologiquement, ça me fout en l'air).

À côté de ça j'aime pas les fumeuses rationnellement, mais quelqu'un que j'aime bien je lui passe (alors que ça me fait gigantesquement chier).

La jalousie c'est un red flag et pourtant j'aurais tendance à me montrer trop compréhensif. C'est clairement un truc sur lequel mes deux côtés sont pas alignés.

Pareil pour la beauté physique, la féminité sont pour moi très essentiels niveau attirance, sans ça j'ai vraiment du mal à me projeter, à me dire que je vais pas faire une fixette dessus, que je vais pas être attiré et que je vais peut-être tellement vriller que je vais chercher d'autres raisons de me prendre la tête, mais rationnellement je me dis que c'est peut-être très con de pas avoir une relation qui en dehors de ça pourrait justement être un alter ego, une complice complémentaire et parfaite sauf sur le point de l'attirance physique (moche ou pas d'ailleurs... il y a eu des nanas belles et courtisées avec qui je me sentais pas assorti ou chez qui il me manquait un truc, du style, de la féminité dans certaines choses).
Au fond je me dis: "putain la fille a tout ce que j'aime, mais elle me plaît pas physiquement" et ça me fait chier. Parce que si ça se trouve je rate de belles histoires.

J'ai du mal à voir où je suis dans le vrai, là où je devrais être moins coulant ou plus m'accrocher à mes principes.
Personnellement je trouve que c’est un peu maladroit de dire qu’on est attiré uniquement par les gens intelligents. Parce que ça donne l’impression que les autres qui ne sont pas attirés par ça sont plus superficiels ou moins spirituels. C’est un peu comme de mettre sur son CV qu’on a des capacités d’analyse alors qu’il existe des tests pour mesurer ça. C’est comme si on faisait entendre à notre interlocuteur qu’il n’avait pas la capacité à mesurer notre niveau d’intelligence avec ses propres critères. Du coup, l’intelligence c’est loin d’être un critère que je verbaliserai mais que j’apprécierais au regard d’autres critères.

J’ai un problème avec les personnes qui ont un manque de reconnaissance, celles qui vont se cacher derrière une étiquette d’hypersensible, de surdoué, de victime, etc. Je ne dis pas qu’il faille nier le ressenti des autres mais une cause n’implique pas nécessairement une conséquence. De plus, quel que soit le mot dans lequel on se reconnaît un problème n’empêche pas une action corrective. Perso, j’ai vraiment du mal avec les gens qui ont une mentalité ésotérique qui vont se regrouper entre « machins » ou ne restreindre leurs recherches qu’à certains profils au test du MBTI. Même si ça ne change pas au cours de la vie y a des gens de même profil que moi que je déteste viscéralement.

Pour part, je n’ai problème avec les personnes qui n’ont aucune affinité avec l’art, la poésie ou les mots. Je peux facilement passer outre les grosses fautes d’orthographe, puisque je ne suis ni correctrice ni éditrice et déteste qu’on me corrige dont j’applique le même principe aux autres. Chercher la petite bête en permanence peut avoir quelque chose d’épuisant. C’est loin d’être mon délire.

Quand une personne est éprise de passions différentes des miennes, au contraire, ça peut être un plus. Ça peut avoir un côté enthousiasmant de découvrir une activité qu’on ne connaissait pas à travers les passions de cet autre qui nous partage ce qu’il aime.
Speedy Smile a écrit :
25.01.22
Je suis aussi plus regardant sur les defaut que l'absence de qualité. Meme si très souvent je trouve que c'est un défaut de ne pas avoir telles qualités ou de les travailler. Tel que la compréhension des codes sociaux, l'empathie, la communication non verbale, la persévérance, la vision de long terme, la soif de connaissance, l'envie de sortir de sa zone de confort, la curiosité culturelle, l'envie de découvrir d'autres modèles de pensées ou d'autre pays...

Mais je pense que la plus grosse intolérance que j'ai développée c'est lorsque je reconnais des défauts dont je me suis débarrassé parce que j'estimais qu'ils nuisaient à ma vie ou à mon épanouissement.
Je pensz que ca vient du fait que quelqu'un m'a expliqué que pour ce débarrasser d'un défaut, d'une mauvaise habitude, de.mauvais réflexes comportementaux, il suffisait d'observer chez les autres ces comportements pour s'en dégoûter et s'en débarrasser définitivement. Cette technique marche très bien pour moi et à chaque fois que je revois de vieux défauts, j'ai droit à ma dose de rappel gratuite et ca ne met pas du tout en valeur à mes yeux la personne qui les a.
Pour ma part, je suis plutôt d’accord avec Speedy. La jalousie, les trucs quotidiens du couple, c’est vraiment pas ce qui me dérange le plus. C’est vraiment dans les schémas de pensée que s’opèrent la sélection. Je n’ai jamais vécu de problème de jalousie en couple et heureusement parce que je n’ai aucune compassion pour les personnes qui plutôt de s’épanouir dans leur vie tiennent en laisse leur partenaire.

Ce que je cherche dans toute relation :
- c’est l’authenticité,
- beaucoup de clairvoyance
- la capacité à prendre du recul sur ses expériences,
- L’écoute active
- L’empathie
- La loyauté
- L’humilité
- La capacité à exprimer ses pensées et désirs avec conviction,
- la capacité à remettre en cause ses choix
- La capacité à dire non
- la capacité à poursuivre ses rêves sans relâche

En relation amoureuse :
- un style de vie pas trop différent du mien,
- La capacité à envisager des projets a long terme
- L’indépendance d’esprit + l’autonomie
- La capacité à jongler avec les concepts théoriques
- La capacité à relier des concepts pas forcément apparentés
- La bienveillance
- Des choix assumés quel que soit le parcours
- La capacité a ne pas se plaindre en permanence
- La capacité à sortir de sa zone de confort et à résister au syndrome de l’Inde
- L’absence de jugement
- La capacité à gérer son porte monnaie
La capacité à s’émerveiller
- Pour tout ce qui touche au physique c’est assez personnel. Du coup, je vais m’arrêter là.

Toujours un plaisir de débattre avec toi.

Onmyoji a écrit :
25.01.22
C'est là où j'aimerais bien que tu développes ce qui fait que finalement ça n'est "qu'un plus"?

Disons que la capacité à vivre sainement avec d’autres personnes sur le long terme ne s’apprend pas dans les livres. Avoir des centres d’intérêt communs, cela permet certes de se trouver des affinités, de percevoir implicitement que l’on est à peu près issus du même milieu, de meubler les premières conversations.

Ça ne suffit néanmoins pas à développer une réelle complémentarité.

Une bonne connaissance de l’autre sexe, une réelle bienveillance pour ses différences, ça vaut plus que l’érudition.

Dans la mesure du raisonnable et de la réciprocité, savoir ce que l’autre attend de nous et le lui apporter.

Trop de personnes réclament toujours plus sans contrepartie. Il s’agit là plus d’une relation de type parental qu’entre adultes.

Le point des enfants dans les familles recomposées est effectivement délicat. Perso, je ne me vois pas élever les enfants d’un autre. Je comprends le mal être qui peut être le leur mais ne suis sans doute pas le mieux placé pour y remédier. Je pourrais peut-être faire une exception en cas de veuvage.
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [+1] Merci ! :) le 28.01.22, 07h19 par Onmyoji

@ Onmyoji : je comprends, sans te demander d’exposer ton intimité si tu ne le souhaites pas plus avant, que tu as mal vécu certains aspects de la séparation de tes parents. Je lis souvent que la séparation de leurs parents fragilise relationnellement les enfants, ou à tout le moins modifie leur perception des relations homme femme. A contrario, d’autres productions mettent en avant le besoin surtout de voir leurs parents heureux, y compris séparés. Comment l'appréhendes tu?
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [+1] Constructif le 28.01.22, 07h20 par Onmyoji
"Franchis d'un pied ferme la limite de l'ombre, droit comme pour une parade, et souris, même, si tu y parviens"

- Celui qui veut le butin doit avoir une volonté ferme-

Speedy Smile a écrit :
25.01.22
Je suis aussi plus regardant sur les defaut que l'absence de qualité. Meme si très souvent je trouve que c'est un défaut de ne pas avoir telles qualités ou de les travailler.
ça rejoint un peu ma "ligne de base élevée". Et en effet il y a pas mal de choses qu'il me semble même étrange de préciser tant ça devrait être le kit de départ. Mais c'est ignorer
la diversité des expériences. À la limite je pardonne quelqu'un qui est un peu trop dans sa zone de confort ou qui manque de persévérance ou a une lecture trop simple des codes sociaux, que quelqu'un qui manque d'empathie, de soif de connaissance, de curiosité culturelle, d'envie de découvrir d'autres modèles de pensées ou d'autre pays...
Les seconds comme les premiers peuvent toujours s'apprendre mais pour les seconds ça me semble plus difficile, car c'est une tendance naturelle.
Mais je pense que la plus grosse intolérance que j'ai développée c'est lorsque je reconnais des défauts dont je me suis débarrassé parce que j'estimais qu'ils nuisaient à ma vie ou à mon épanouissement.[...]
Je suis plus ambigu sur cela, si j'ai eu ces défauts et que j'ai pu m'en débarrasser je pense qu'il y a de l'espoir. Mais ça va m'inciter
à creuser pour voir comment l'autre fait son chemin par rapport à ça, par exemple en donnant des exemples qui m'ont fait comprendre le problème.
Gafano a écrit :
25.01.22
Personnellement je trouve que c’est un peu maladroit de dire qu’on est attiré uniquement par les gens intelligents. [...] C’est comme si on faisait entendre à notre interlocuteur qu’il n’avait pas la capacité à mesurer notre niveau d’intelligence avec ses propres critères. Du coup, l’intelligence c’est loin d’être un critère que je verbaliserai mais que j’apprécierais au regard d’autres critères.
Oui, "show don't tell". Ta liste matérialise plusieurs critères que je considère comme des marques d'intelligence (la capacité à relier des informations, à appréhender les concepts théoriques, à se projeter). Mais ce qui est surtout étonnant c'est de se dire qu'on est descendus bien bas pour que tant de gens aient besoin de le préciser.
Idem pour la bienveillance d'ailleurs. C'est un chapelet...
J’ai un problème avec les personnes qui ont un manque de reconnaissance, celles qui vont se cacher derrière une étiquette d’hypersensible, de surdoué, de victime, etc. [...]
oui les pseudo zèbres, indigos, autres. Je viens d'une époque où les surdoués c'était 160+ de QI et j'en ai connu quelques-uns dans le privé ou le travail et ils n'étaient pas fiers. Aujourd'hui j'ai l'impression que la barrière est si haute à l'entrée que pour les normaux (parce que même quand on est supérieur à 110, sous 160 on est encore dans le domaine du normal, c'est pas toujours simple de communiquer avec des gens moyens mais le gap n'est normalement pas si insurmontable) qui manquent d'estime de soi c'est un moyen de se singulariser
Je déteste aussi cette mentalité grégaire en plus basée sur du vent et des "horoscopes". Le jour où on m'a proposé un MBTI en entreprise j'ai doucement ri.
Pour part, je n’ai problème avec les personnes qui n’ont aucune affinité avec l’art, la poésie ou les mots. Je peux facilement passer outre les grosses fautes d’orthographe, puisque je ne suis ni correctrice ni éditrice [ ...]
Après je dis pas que j'en ai besoin à chaque seconde mais si tu mentionnes des choses que tout le monde connaît normalement autour du monde ça m'intrigue si on ne connaît pas. Si on ne comprend que le sens propre des mots ça devient compliqué, on ampute le langage. la figuration, les métaphores, la compréhensiondes futurs de style, le second degré sont importants. Après ce n'est pas parce que j'ai travaillé dans l'édition, mais c'est une question de correction envers ses interlocuteurs de s'exprimer avec un minimum d'effort. La personne qui me met un "cdt" pour "cordialement" en signature alors que c'est une configuration automatique, elle ne fait pas "efficace et occupée". Elle a l'air d'une branleuse hautaine qui a de mauvaises manières. Puis je parlais pas nécessairement de faire des fautes (j'en fais aussi à mon grand dam), mais il y a une différence entre écrire trois lignes avec douze fautes basiques et trois pages avec une faute d'accord complexe ou sur une graphie peu commune. Aussi se prévaloir que "ce n'est pas mon métier" je trouve que c'est assez réducteur. Il est des très de choses sur lesquelles tu t'exprimes ou que tu fais alors que ça ne relève en rien de ton champ d'expertise.
Quand une personne est éprise de passions différentes des miennes, au contraire, ça peut être un plus. Ça peut avoir un côté enthousiasmant de découvrir une activité qu’on ne connaissait pas à travers les passions de cet autre qui nous partage ce qu’il aime.
Oui, l'enrichissement mutuel est important.

- L’absence de jugement
Vaut-il mieux ne pas être jugé ou avoir quelqu'un variable de nous dire la vérité et un point de référence pour savoir quand on dévie ou l'on merde.
Tout le monde juge. Toujours. Ça fait partie du fonctionnement de l'esprit humain. Il paraît illusoire de ne pas vouloir être jugè ou de ne pas vouloir le faire. Après on peut se départir de la composante morale qui en dehors des problèmes moraux est inutile.
Mais je veux bien que ceux qui attendent cela m'expliquent. Parce qu'un temps j'ai été tenant de cette idée et à la réflexion ça ne peut pas marcher.
C'est souvent infantile (je ne dis pas que ça s'applique à toi), parce que c'est lié au fait de vouloir être libre de faire ce qu'on veut sans conséquences. Et on est (relativement) libres, mais nos choix ont toujours des conséquences lorsqu'ils impliquent les autres. Ne pas vouloir l'accepter me semble s'exposer à la rencontre brutale avec le réel.
Citadin a écrit :
25.01.22
Toujours un plaisir de débattre avec toi.
De même:)
Disons que la capacité à vivre sainement avec d’autres personnes sur le long terme ne s’apprend pas dans les livres.
Je crois qu'on peut l'apprendre par l'expérience, l'introspection, les livres dédiés ou non au sujet...
Mais comme tout développement personnel il faut en avoir la volonté.
Et bien sûr le savoir-être n'est pas corrélé à l'érudition ou l'intelligence, mais je crois qu'il y a plus de chances que quelqu'un de curieux soit empathique et apprenne donc à avoir de l'intelligence sociale et relationnelle.
Mais ça reste une conviction (ça a sans doute été étudié d'ailleurs, il faut que je cherche)
Avoir des centres d’intérêt communs, [...]
Ça ne suffit néanmoins pas à développer une réelle complémentarité.

Une bonne connaissance de l’autre sexe, une réelle bienveillance pour ses différences, ça vaut plus que l’érudition.

Dans la mesure du raisonnable et de la réciprocité, savoir ce que l’autre attend de nous et le lui apporter.
J'avoue que je suis sans doute biaisé dans ce domaine. Les meilleures relations que j'ai vécues ont été un flow ininterrompu d'échanges de points de vue, d'initiations réciproques, de partage, et d'interactions simplement fluides. On ne se posait pas la question d'être par rapport à l'autre, de se tolérer. Si l'on ignorait un point sur le fonctionnement de l'autre on demandait ou l'on Clarifiait. Bien sûr selon les caractères il y avait parfois des crises ou des déceptions.
Mais toutes les attitudes délibérément négatives, offensives, perverses et médiocres que j'ai pu constater venaient de personnes qui manquaient souvent d'intelligence logique et de maturité émotionnelle (sans parler d'aisance sociale, mais avoir conscience de soi et savoir gérer ses émotions sans envahir, projeter sur les autres, etc).
Trop de personnes réclament toujours plus sans contrepartie. Il s’agit là plus d’une relation de type parental qu’entre adultes.
Oui, le besoin de réciprocité est clairement une chose pour laquelle je n'ai aucune hésitation.
Le point des enfants dans les familles recomposées est effectivement délicat. Perso, je ne me vois pas élever les enfants d’un autre. Je comprends le mal être qui peut être le leur mais ne suis sans doute pas le mieux placé pour y remédier. Je pourrais peut-être faire une exception en cas de veuvage.
J'ai exactement le même sentiment de base. Même si j'ai mes interrogations.

Focus a écrit :
27.01.22
@ Onmyoji : je comprends, sans te demander d’exposer ton intimité si tu ne le souhaites pas plus avant, que tu as mal vécu certains aspects de la séparation de tes parents. Je lis souvent que la séparation de leurs parents fragilise relationnellement les enfants, ou à tout le moins modifie leur perception des relations homme femme. A contrario, d’autres productions mettent en avant le besoin surtout de voir leurs parents heureux, y compris séparés. Comment l'appréhendes tu?
Merci pour ta prévention. La question est très bonne et pertinente: en effet une partie de mes doutes viennent du fait que j'ai été dans ce cas- là. J'étais pas un enfant qui fait un rejet de la "tierce partie" parce qu'il se sent mal de voir son autre parent remplacé ou des étrangers envahir l'espace de la relation familiale, de l'amour paternel ou maternel.
Mon problème a été purement interpersonnel, et spécifique.
Néanmoins pour avoir de la famille par alliance donc, je me rends compte de certains aspects en termes de personnalité qui sont très similaires parce que c'était la culture familiale qui le voulait. Mais aussi du fait qu'il y a beaucoup plus de stabilité mentale et émotionnelle du fait de ne pas avoir été séparé d'un parent (et exposé aux complications émotionnelles de l'autre. ce n'est pas péjoratif pour l'autre, le parent dont j'étais éloigné étant aussi loin d'être parfait en termes de personnalité et d'attitude. C'est juste un constat).
Après, mes parents ont été mieux de se séparer car incompatibles, mais pas plus heureux pour autant je crois. Les galères qui s'en sont suivies, du point de vue de mon éducation, ou de la vie en général, les situations
nocives que j'ai parfois rencontrées comme du bullying ou certaines relations précoces mais toxiques ne se seraient certainement pas produite sans cette séparation. Quand je vois mes "demis" et leurs parcours, je me rends également compte que malgré des esprits très similaires je n'ai pas développé à fond mon potentiel car pas au contact du parent le plus porté à cela. Pas le plus encourageant, mais le plus terre à terre, sans véritable contrebalance. Juste de l'inspiration, mais pas le soutien, l'impulsion, le bon conseil qui change tout. Et je parle en termes d'intellect comme de vie sociale. Malgré quelques (fabuleusement) belles histoires, j'ai surtout eu beaucoup plus de relations peu intéressantes, toxiques, et plus d'amours non réciproques ou d'histoires belles mais inachevées, et plus que je ne le voudrais. Ce qui n'est pas le cas des autres. Qui enchainent des relations intéressantes, dévouées etc. J'ai un peu l'impression d'être l'élève de la fratrie alors que c'est moi l'aîné. Même si en termes d'intelligence sociale ou logique je n'ai rien à leur envier et leur explique parfois des trucs, ils en tirent une bien meilleure expérience que moi.
Et je constate ce genre de choses chez bien des enfants de divorcés de mon âge ou chez les enfants d'amis. Pour moi ça recoupe la statistique. Et je pense que les productions qui mettent l'accent sur le fait de "voir ses parents heureux" c'est une mouvance déresponsabilisante et déculpabilisante (un peu à la Dolto genre "n'essayez pas d'être des parents parfaits". Résultat Carlos...) qui sont loin de la réalité. Quand on est enfant de divorcé que ce soit dans son plus jeune âge ou plus tard on subit. Tout.
Cette idée là c'est pour enlever la pression aux parents (et j'ai tendance à penser, surtout aux femmes puisque c'est très récent et que ce sont elles qui divorcent dans trois cas sur quatre). Mais c'est du gros bullshit.
D'ailleurs souvent après des divorces on a des situations de maltraitance qui apparaissent (ce n'est pas mon cas mais statistiquement on a plus d'enfants battus par des mères divorcées -seules ou avec un nouveau partenaire- qu'en couple avec le père. Ou que par le père). Voire de viols etc. Alors c'est très loin d'être la majorité. Mais si on compte les statistiques d'échec scolaire et/ou délinquance suite aux divorces chez des enfants auparavant dans le haut du panier, je crois que ça bat en brèche complètement ce point de vue nombriliste et égoïste.

Donc il y a bien un effet, bien que je ne sache pas exactement mettre le doigt sur les mécanismes exacts. À part des effets dominos, je vois surtout l'absence d'équilibre et de diversité de points de vue éducatifs (parce que l'autre parent sert toujours d'opposition ou de confirmation au besoin pour se justifier). L'attention beaucoup moins grande et le fait d'être plus livré à soi-même (même si j'étais autonome et que j'avais besoin de personne pour apprendre, que j'étais plus ou moins éduqué avec de très bonnes bases en terme de savoir-être, c'est un apprentissage continu). Le regard des autres du fait qu'on soit enfant de divorcé et peut-être la reproduction de stéréotypes sociaux.
Même si je ne me suis jamais défini/ vu comme enfant de divorcé. Et je n'en ai pas vécu de mal-être directement, plus par les conséquences. Pour moi c'était normal, une organisation comme une autre. L'autre parent était suffisamment présent. Et même si je l'aime il me manquait pas, de souvenir.
Mais à force je me dis que ça a un effet. Parce que j'ai l'impression de l'observer autour et parce que je sais que les enfants de divorcés ont plus de chance de divorcer à leur tour et mon incapacité à trouver une relation durable (en dehors de celles qui le seraient mais rencontrent un million d'obstacles logistiques et émotionnels, ou de celles qui le sont mais pour le pire) en est un exemple by the book si ce n'est dans la forme juridique (je n'ai jamais voulu me marier, pour les raisons que tu comprendras je trouve ça risible comme démonstration de l'amour).
Qui fait que je me pose toutes ces questions dernièrement. Parce que j'ai cherché de longues années quels bons filtres appliquer, ce que je voulais et qui me plaisait ou pas. J'ai testé aussi d'être avec des femmes malgré l'absence de points positifs chez elles ou la présence de points négatifs parce que je me trompais peut-être. Mais le problème est que ça ne fonctionne toujours pas.
Alors je sais que je suis loin d'être parfait, que j'en veux sans doute trop pour ce que je vaux, ou qu'en dehors des filtres le problème pourrait venir de mon attitude (et j'y travaille aussi. Mais en dehors d'une ou deux je n'ai aucune ex considérée comme sérieuse avec qui je n'ai de relations cordiales ou qui ait des reproches sur mon caractère. Dans ces cas là c'est toujours l'envie et la feuille de route du moment, ou la possibilité de concrétiser plus, qui ont été le problème)
Mais le problème le plus fondamental que j'ai pu noter c'est que j'attire souvent fortement des femmes qui ne me conviennent pas. Et que pour les autres, hormis celles qui ont le coup de foudre comme moi, je dois saisir leur attention, et comme les personnes qui sont comme ça sont souvent versatiles je ne suis qu'une passade.
Je pense que c'est sans doute lié aux dynamiques intégrées dans mon enfance. Et même si j'en ai remis en cause pas mal grâce à FTS, je suis quand même dépendant de mes fondations...

Après c'est peut-être une grosse déviation du sujet, à force, mais même si je ne me sens pas "victime", je pense que ça joue aussi dans nos essentiels. Ou dans cette question de mise en couple avec recomposition...
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [+2] Intéressant le 29.01.22, 12h27 par Citadin
  • [0] Like ! le 02.02.22, 23h36 par Gafano
"Les gens déplorent les effets dont ils chérissent les causes"

@Onmyoji
Merci pour ton retour sincère et extrêmement intéressant, il permet une mise en perspective d’autant plus utile qu’elle se nourrit de ton expérience et de ta réflexion sur celle ci.
On entend et lit beaucoup de choses sur le sujet, qui véhiculent c’est vrai parfois beaucoup d'arrières pensées déresponsabilisantes. Dans ce domaine, les agendas des parents télescopent ceux des enfants, qu’ils devraient prioriser. Cela pose aussi la question de la responsabilité de tout parent. Sujet vaste et complexe.
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [+1] Effectivement le 29.01.22, 09h31 par Onmyoji
"Franchis d'un pied ferme la limite de l'ombre, droit comme pour une parade, et souris, même, si tu y parviens"

- Celui qui veut le butin doit avoir une volonté ferme-

Bon après pour moduler mon retour mon observation et mon ressenti sont très spécifiques. En tant que scientifique je peux pas te dire que seule mon observation est valide car ça relève de l'anecdote. Mais je remarque que le discours déculpabilisant dans les sciences sociales est arrivé "récemment". Alors qu'avant ça c'était plutôt factuel et négatif. J'y vois une corrélation plutôt suspecte.
"Les gens déplorent les effets dont ils chérissent les causes"

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