Voyages, Route de la connaissance et Elevation de soi

Nul n'est prophète dans son pays


Deux grandes questions. La première :


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Pourquoi est-il connu que les voyages forment la jeunesse? Arriver à l'étranger, mis à part le coté débrouillard que l'on se doit de maîtriser si l'on ne veut pas rester à la rue.

J'ai du me faire trois ou quatre pays et n'ai rien appris de particulier.. Beaucoup de personnes voyageant disent qu'elles sont "riches dans la tête" car elles ont vu des choses de leurs propres yeux sans qu'on leur ai raconté.

De mon côté je me dis qu'en visitant un temple inca, même avec un guide, quelle serai la différence entre apprendre sur le terrain ou tout simplement en l'apprenant dans les encyclopédies? J'ai visité par ci par là les traces laissées par le passé (cités, grottes, monuments...) et n'ai pas appris des masses de choses. Même si cela est interessant d'un point de vue intellectuel je n'en suis pas revenu èxtasié (chacun son truc certes).

Ou bien la connaissance réside-t-elle dans le fait d'échanger èxpériences (lesquelles encore) avec les étrangers que l'on cotoie?

Je ne sais pas si visiter un pays nous en apprends grace à son passé, ou grace à son actualité, nottement en observant/discutant avec les résidants.

Ma réponse serai qu'en visitant un pays (disons trois mois) on se comporte non plus comme on l'a toujours était mais bel et bien comme un résidant. Donc on développe une nouvelle facon de penser et d'être. Pas modifié, simplement une autre facon de penser en plus de celle que l'on a habituellement. Un peu comme des nouveaux pouvoirs.


Est-ce en cela que réside la force du voyage?

Du feed-back de la part de nos routards?


La seconde :


Quel est d'après-vous le meilleur moyen pour s'élever?

La lecture, l'apprentissage/études (archéologie, histoire, psy, connaissance...), pratiquer la discipline que l'on aime (informatique, foot, art martial...), ou se laisser porter par les vagues de la vie tout simplement sans chercher à comprendre?

Par éxemple un grand sportif ne peut rien faire d'autre que son activité. Mis à part le côté plaisir, records...je pense qu'en pratiquant il avance (vers ou je ne sais pas, peut-être a son propre développement) uniquement de cette manière.


Voire comblé manque, comme le dragueur stéréotypé de Soral.


Pour les autres qui n'ont ni manque a comblé ni grande passion (peut-être est-ce là une chance), quelles seraient les solutions adéquate pour évoluer? Ou comment trouver sa voi (voyages, nouvelles èxpériences...).

Quel est d'après vous le meilleur chemin vers l'élevation de soi?

Je penses que si l'on a pas de passion l'èxpérience de l'étranger est la pour ceux qui souhaitent évoluer. Et peut-être qu'en chemin on découvrira notre voi.

Par éxemple en pratiquant des loisirs je m'éclate mais n'ai pas l'impression d'avancer. En taffant je me dis que c'est chouette mais mis à part le côté "survie" comblé cela ne m'a rien apporter.

Echanger son temps pour faire un job qui nous apporte confort et bien être. OK. Mais ou est l'avancement? Ce serai comme tourner en rond indéfiniement. Voilà pourquoi tout à l'heure je citai le sportif, ou le dragueur qui ne fait que cela sa vie entière peut importe ses raisons, il avance.

La question est : de quelle manière savez-vous que vous avez avancer?

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Questions floues. J'avais hésiter entre :

Qu'est-ce que l'infini?

1) Oui, c'est en habitant dans differents pays que l'on commence a mieux percevoir qui l'on est, d'ou on viens et ou on aimerais aller. En plus d'apprendre des facons de vivre differentes, et parfois devenir plus fort dans sa tete que Conan le Barbarre (quand on peut se demerder dans des pays du tiers-monde, la ou le mot probleme prend souvent une signification plus forte, on revient assez "fort" dans les pays plus riches).

2) En decouvrant ses talents particuliers et en les developpant.
En lisant des livres intelligents, en discutant avec des gens intelligents, et en essayant de vivre de facon intelligente. Repenser a ses actes, aux motivations qui nous ont pousse a les commetre et en les placant face aux lecons que la vie nous apprend. Etc.

D'accord avec icecold. Surtout pour l'ouverture au point de vue d'autrui.

J'ajouterais : En sachant (re)devenir curieux, et en sachant s'etonner de plus petites choses, comme des plus grandes.
Pour cela, je me suis forcé jeune à me poser beaucoup de questions, sur tout. C'est devenu une drogue. Les plus petites choses m'interpellent souvent, et en essayant de les décrypter, de trouver des réponses (auprès de livres, et de personnes intelligentes comme le préconise icecold), je me pose d'autres questions, etc. Avec le temps, on réalise qu'on a une conception du monde bien a soi, originale, mais très construite (très bonne arme de sarge, en prime, quand on réussi à présenter une vision du monde séduisante .) Pour moi, c'est cela avancer. Ca permet en plus de profiter davantage des petites choses, et paradoxalement, d'être pleinement à ce qu'on est.

Voilà pour ma méthode. J'espère que ça t'aura été utile.

Déjà pour le côté débrouillard. Débarquer quelque part où tu ne connais personne t'oblige à t'adapter et à te débrouiller, ce qu'on n'apprend pas à l'école.

J'ai du me faire trois ou quatre pays et n'ai rien appris de particulier..

Ca dépend combien de temps tu es parti et dans quel but. Et ce que tu entends par "apprendre". Si tu pars en tant que touriste en faisant les circuits plus ou moins balisés pour touristes..

De mon côté je me dis qu'en visitant un temple inca, même avec un guide, quelle serai la différence entre apprendre sur le terrain ou tout simplement en l'apprenant dans les encyclopédies? J'ai visité par ci par là les traces laissées par le passé (cités, grottes, monuments...) et n'ai pas appris des masses de choses. Même si cela est interessant d'un point de vue intellectuel je n'en suis pas revenu èxtasié (chacun son truc certes).

C'est là par exemple où ma définition du voyage diffère. Tu as l'air de voir le voyage comme une visite formatée de ce qui est censé être intéressant (musées, monuments,..). Style quand on va à Paris, il FAUT visiter le musée du Louvre. Pourquoi s'obliger de regarder des collections de peinture alors qu'on ne s'y connait pas et qu'on ne s'y intéresse pas plus que ca ?

Personnellement je trouve qu'il n'y a rien de plus chiant que les visites guidées et les circuits pour touristes, surtout quand on les fait alors qu'on y porte un intérêt plus que moyen. Si tu veux visiter un temple inca, fais-le parce que ca t'intéresse vraiment, mais pas parce que tout le monde le fait et que c'est censé être "quelque chose à voir".

Les touristes qui viennent à Paris visitent le Louvre, la Tour Eiffel, Le Palais-Royal, un prospectus à la main et les enfants dans l'autre... et rentrent chez eux en pensant avoir "visité Paris" (ils avouent quand même ne pas avoir eu le temps de tout visité:
il n'ont pas vu le musée Picasso et le musée Rodin).

Découvrir une ville, une région, c'est avant tout quelque chose qui se ressent. Une atmosphère particulière que tu ne retrouves pas ailleurs. Il faut y passer du temps pour bien s'y immerger, ou en tout cas savoir apprécier ce qu'il y a autour de toi.

Ou bien la connaissance réside-t-elle dans le fait d'échanger èxpériences (lesquelles encore) avec les étrangers que l'on cotoie?

Pour reprendre l'exemple de Paris, j'y étais une fois quand j'avais 16 ans, avec ma classe. On a fait le circuit formaté musées/monuments/... et je ne m'en souviens plus. Le moment dont je me rappelle encore par contre est celui où je suis sorti de l'hôtel par la fenêtre la nuit et que je me suis perdu. Les pavés, les lumières oranges, ces gens qui buvaient du champagne sur un pont et qui chantaient, la crainte de me faire agresser...
C'était le seul moment du voyage qui valait la peine.

Je ne sais pas si visiter un pays nous en apprends grace à son passé, ou grace à son actualité, nottement en observant/discutant avec les résidants.

N'importe quoi qui te fasse ressentir l'ambiance du lieu, en saisir le moment. L'atmosphère peut changer d'une rue à une autre. Tu peux aussi t'assoir sur un banc et regarder ce qui se passe autour de toi. Je me souviens une fois à Londres n'avoir pas eu envie de visiter un musée. Je suis resté assis sur un banc dans le hall pendant 2h sans bouger en regardant les gens passer. C'était bien plus passionnant que les œuvres d'art exposées (pour lesquelles je n'avais ni l'intérêt ni les connaissances pour les apprécier vraiment).

Quel est d'après vous le meilleur chemin vers l'élevation de soi?

Si tu veux un réel changement dans ta personnalité tu peux:

- t'engager dans l'armée américaine et partir en Irak
- t'engager dans l'humanitaire (le "vrai", celui où tu vois des gens crever dans l'indifférence autour de toi, pas le pseudo humanitaire où tu vas peindre les murs d'une école en Afrique pour te donner bonne conscience)
- vivre une expérience de mort imminente (si tu y arrives)
- faire et élever des gosses
- etc..

En terme de "changement dans la personnalité", bien plus efficace que tous les conseils de dév perso

Echanger son temps pour faire un job qui nous apporte confort et bien être. OK. Mais ou est l'avancement?

Je pense que le terme "avancer" ne veut rien dire, surtout avec toute l'idéologie qu'il y a derrière à l'époque du dev perso. Yeah, il faut avancer !

En fait ta question est plutôt "comment donner un sens à ma vie" non ?

Question 1: Pourquoi les voyages forment-ils la jeunesse?

Première partie: Heureux qui comme Ulysse

" Les voyages forment la jeunesse " écrivait Montaigne dans ses essais. Et, de par mon expérience, j'en tire la même conclusion. Les voyages de par sa qualité à nous mettre dans un environnement différent de notre culture d'origine peuvent transformer et construire notre identité sur de nombreux aspects tels que la mutation de nos valeurs, une ouverture plus grande de notre esprit, une ouverture à l'autre, le façonnement d'une certaine curiosité intellectuelle et une capacité d'adaptation renforcée.

Mutation des valeurs

Tout voyage d'une certaine durée dans un environnement différent de celui de notre société d'origine entraîne une mutation des valeurs. Je défie quiconque allant vivre un certain temps dans les bidons villes de Caracas ou les rues miséreuses de Calcutta de donner à la vie, à l'argent et à vos croyances les mêmes valeurs qu'antérieurement. Il y a un effritement de notre carapace face à la nouvelle réalité qui nous est présentée. Dès lors, il y a mutation des valeurs ou au moins une relativisation de celles-ci et notre système de valeurs se renforce à chaque nouvelle réalité qu'on lui présente.

En gros, voyager nous présente une fresque de nouvelles réalités propres à enrichir notre esprit de nouvelles expériences qui permettent elles-mêmes de façonner une conception de la réalité plus nuancée et une construction de notre identité plus affirmée.

Ouverture d'esprit

Dans cette même idée de mutation des valeurs, les voyages développent notre ouverture d'esprit. A chaque situation nouvelle, l'esprit s'enrichit et s'épanouit. Il relativise les dogmes et les certitudes de son monde d'antan où au minimum les met en confrontation avec la situation qu'il vit à l'époque actuelle. Le fait d'être dans un pays étranger te force à penser par toi-même et plus à travers le prisme des médias, de tes amis, de ta famille. Tu deviens seul juge de tes actes et des situations que tu rencontres.

Ouverture à autrui

De même, en voyage, tu rencontres de nouvelles personnes et bien souvent tu lies des relations d'amitié avec des personnes que tu n'aurais probablement jamais rencontrées. Et cela contribue de la même façon à une plus grande ouverture d'esprit, à une plus grande tolérance et à une relativisation et un enrichissement de ton système de valeurs.

Curiosité intellectuelle

"En outre, voyager me semble un exercice profitable. l'âme y est continuellement exercée à remarquer des choses inconnues et nouvelles, et je ne sais point de meilleure école, comme je l'ai souvent dit, pour façonner la vie que de lui montrer sans cesse la diversité de tant d'autres vies, fantaisies et usages, et lui faire goûter une si perpétuelle variété de formes de notre nature. Le corps n'y est ni oisif ni surmené, et cette activité modérée le tient en haleine" (Extrait de "Essais" de Montaigne p.87)

Cela me semble clair. La contemplation de nouvelles richesses intellectuelles allant du temple inca au look des autochtones enrichit ton esprit. Tu vois des choses nouvelles et si ton esprit est un tant soit peu agile et avide de savoir, il se pose des questions et donc le voyage déclenche une certaine soif d'apprendre, un désir de comprendre sans égal qui a le mérite de ne point trop user tes yeux dans de vieux livres poussiéreux.

Capacité d'adaptation

L'une des plus grandes qualités de survie d'une espèce est la capacité d'adaptation. Voyager, c'est rencontrer de nouvelles perspectives inconnues jusqu'alors. Dès lors, il te fauttrouver des solutions nouvelles à des problèmes nouveaux. Tout cela ne peut que t'enrichir et t'aider à prendre tes responsabilité comme un homme.

Seconde Partie: L'adaptation à l'étranger

Maintenant, je vais tenter d'expliquer pourquoi tu n'as pas l'impression que le fait de voyager et de découvrir d'autres cultures n'a eu qu'un impact minime sur ta personnalité et ton identité.

Selon Berry (1980, dans Kealy, 1990), il y aurait quatre façons de réagir devant une culture étrangère :

*L’assimilation : on adopte la nouvelle culture tout en rejetant la sienne.

*L’intégration : on s’adapte à la nouvelle culture tout en conservant la sienne.

*La séparation : on conserve sa propre culture tout en évitant les contacts avec la nouvelle.

*La marginalisation : on est incapable de s’adapter à la nouvelle culture, sans pour autant être à l’aise dans la sienne.

En lisant ton poste, j'ai vaguement l'impression à l'instar de Dior que tu suis un parcours "touriste" formalisé. Ce type de formule touristique entraîne généralement une attitude envers l'étranger qui se rapproche de la "séparation". C'est à dire que tu restes bien dans le cocon de ta culture originaire sans avoir de puissants contacts avec la culture visitée. Bien sûr, la séparation n'est pas étanche et même avec un voyage organisé tu peux affiner ton système de valeurs mais il reste considérablement moins influent que de partir de soi-même un peu à l'aventure ou alors "chez l'habitant" ou en Erasmus.

En effet, avec la formule "touriste", tu perds de la richesse des voyages sur de nombreux aspects :

*Mutation des valeurs ---> En touriste, tu ne vois en général que l’aspect touristique du pays que tu visites finalement les agences ne te présentent qu’une vision épurée du pays en cachant tout ce qui pourrait heurter de trop près ta sensibilité d’occidental.

*Ouverture d’esprit ---> Idem que pour le point précédent. Avec un voyage en groupe organisé, tu ne vois finalement le pays qu’à travers le prisme de ta culture, à travers ce qu’en dit le guide et ce qu’il te montre. Et bien que tu puisses garder un certain esprit critique, je ne pense pas qu’un tel voyage puisse contribuer grandement à un élargissement de tes perspectives.


*Ouverture à autrui ---> Les voyages en groupe organisé réduisent les possibilités de rencontre. Tu restes avec ton groupe de départ qui est souvent d’une culture et d’un milieu très proche du tien. Cela n’empêche pas l’enrichissement personnel mais discuter avec un paysan bulgare, un marchand égyptien ou un diplomate africain aura beaucoup plus tendance à t’ouvrir l’esprit e les perspectives.

*Curiosité intellectuelle ---> Un brin réduite car elle s’accompagne souvent du discours assommant du guide et a quelque chose de très formalisé.

*Capacité d’adaptation ---> Elle est fortement réduite par le fait que le guide ou le responsable s’occupe entièrement de votre prise en main. Le côté débrouillardise en est donc un peu étiolé.

Il faut aussi se rappeler qu’à l’époque où Montaigne écrivait la phrase « les voyages forment la jeunesse », nous n’étions pas dans une époque de consumérisme du voyage. Il n’y avait pas ce fast-food du secteur tourisme où les gens visitent Big Ben, le Parthénon, le Louvre et la petite sirène de Copenhague le même week-end, où les gens attachent plus d’importance aux souvenirs et aux histoires qu’ils vont raconter à leurs amis en rentrant qu’au plaisir qu’ils ont pris à faire ce voyage, à vivre le moment présent. Et quel plaisir aurait-il pris alors que les images se succédaient à un rythme d’enfer, que les villes succédaient aux villes et les musées aux musées. Non, pour réellement jouir et profiter de l’expérience d’un voyage, il faut prendre le temps, profiter de l’instant et petit à petit comprendre le nouveau monde dans lequel on vit et cette nouvelle réalité qui s’offre à nous.

Question 2: Quel est le meilleur moyen pour s'élever?

C'est très vague comme terme "s'élerver". Est-ce que tu parles d'une élévation spirituelle, morale, sociale, professionnel ou philosophique ?

Ne sachant pas quelle direction prendre, je vais trancher et supposer que tu parles d'une élévation de soi dans le sens de recherche du bonheur.

Il y a plusieurs écoles en philosophie qu'i s'intéresse à la recherche du bonheur et à l'élévation de l'être humain. Mais si toutes s'accordent pour dire que le bonheur est le but en soi de chaque être humain, toutes ne s'accordent pas sur la définition du bonheur (critère d'utilité, devoir, raison, plaisir, etc). Je ne vais pas toutes les citer à toi de faire ton choix parmi elles (eudémonisme aristotélicien, utilitarisme, épicurisme, hédonisme, système kantien, etc)

Cependant, par expérience, voici quelques pistes pour te donner une direction dans ta recherche du bonheur. A mon humble avis, il y a quelques conditions nécessaires à la recherche et à l'accomplissement du bonheur:
* Accepte-toi tel que tu es ---> Dès à présent, apprends à t'accepter et à t'aimer telle que tu es avec tes vices et tes vertues.

*Carpe Diem--->Carpe Diem= Cueille le jour présent, c'est à dire profite de l'instant. C'est un concept assez présent dans cette communauté. Apprends à profiter de l'instant présent = "Carpe Diem".

*Vis tes rêves au lieu de rêver ta vie ---> Ecris une liste de tout les buts et les rêves de ta vie et essaye d'atteindre ses buts peu importe le temps que ça prendra.

"Un homme intelligent finalement n'est-ce pas le fait d'un homme capable de se donner des buts et de se doter des outils et des moyens nécessaires à la réalisation de ses buts."

Pour moi, ce sont des étapes indispensables à l'élévation de ta personne. Et ells peuvent se résumer en une phrase:

"Sois maître de ton destin et capitaine de ton âme". (Bien sûr, c'est plus facile à dire qu'à faire)

Je remonte cette excellent topic, si quelqu'un peut conseillé quelques livres chui preneur !