Quand j'étais petit, tout jeune ado, j'étais toujours amoureux de la plus belle fille de la classe. Comme tout le monde. Reparlez en aux mecs avec qui vous étiez au collège si vous les croisez, c'est édifiant. Aucun game, AFC (pourquoi je l'étais, je m'en fouts), et aucun flirt pendant longtemps.
Une fois goûté le plaisir des filles (j'ai embrassé une fille et dégraffé un soutif 90D pour la première fois le même soir

) vers 16 ans, j'ai compris qu'il faudrait que ça recommence le plus souvent possible.
Seulement j'avais eu B par un pur coup de chance. Cette fille est chaude comme une baraque à frites et j'étais au bon endroit au bon moment. Retour à la vie réelle, au lycée, j'en ai ramé avec les filles "normales". Du coup, j'ai baissé mes critères esthétiques et je me suis tapé quelques petites grosses, parce que c'étais ça ou rien.
Seulement, les petites grosses ne sont pas moins chiantes à vivre que les HB. D'où un revirement dans ma recherche. Quitte à ce qu'elles soient chiantes, autant qu'elle soient jolies. D'où une relation avec B++ LSE attention whore pendant 4 ans.
Du coup, nouvelle recherche (je suis très empirique comme garçon) : une pas chiante et jolie.
Mais j'ai aussi appris avec les petites grosses. J'avais choppé un soir une B (bien au dessus de mon niveau de l'époque) c'est pas pour autant que je savais sarger. Et puis, si tu as un taux open/fuckclose de 100% avec des B, chapeau bas. Mais je ne suis pas sûr que ce soit le cas.
Zizou n'a pas attendu d'avoir un Roteiro, des crampons sur mesure, le maillot des bleus et le stade de France pour deigner taper dans le ballon...
Et pour l'anecdote, c'est une C+ qui m'a fait la plus agréable BJ de ma vie. Expérimentez les gars. Visez la HB bien entendu. Mais snober le reste de la création, c'est du One-Itis théorique.