[Q] Comment développer son social prof, quand il est a 0,5%?
Par mes réactions je fais simplement comprendre que cela me dérange, j'ai essayé la douceur, ça m'a gavé très vite de répéter 100 fois la même chose.
J'adapte tout le temps mon dialogue et il devient hypocrite, je préfère la franchise. Ettre dans le faux ça me saoule.
Non pas que je ne veuille pas m'ouvrir, mais bon je sais à quoi m'attendre avec ce type de personne, alors plutôt que de perdre mon temps, je préfère ne pas parler. Mes vrais potes j'en ai quelques uns et un seul ami.
Changer d'air c'est ce que je fais, il n'y a pas assez de filles dans les soirées, donc je vais ailleurs.
J'adapte tout le temps mon dialogue et il devient hypocrite, je préfère la franchise. Ettre dans le faux ça me saoule.
Non pas que je ne veuille pas m'ouvrir, mais bon je sais à quoi m'attendre avec ce type de personne, alors plutôt que de perdre mon temps, je préfère ne pas parler. Mes vrais potes j'en ai quelques uns et un seul ami.
Changer d'air c'est ce que je fais, il n'y a pas assez de filles dans les soirées, donc je vais ailleurs.
Je suis d'accord avec toi, il ne faut pas pour autant devenir hypocrite.
C'est quoi le genre de truc que tu repetes 100 fois ? Car c'est pas evident de voir à quoi tu fais allusion
C'est quoi le genre de truc que tu repetes 100 fois ? Car c'est pas evident de voir à quoi tu fais allusion
Quand je répète 100 fois de ne pas me lancer des trucs sur la tête en soirée ou de me faire chier, bah au bout d'un moment je perds patience et je cogne, je n'ai pas le choix, ou bien je m'en vais.
As tu essayé la riposte graduée ? cad trouver des alternatives intermediaires entre rien dire et te casser ou cogner ?
Une des alternatives est de rentrer faire toujours jeu egal : le type te lance un truc tu fais pareil (eventuellement en pire). Une bonne repartie bien verte en general ca fait aussi son effet. et il faut que tu saches suivre à egale repartie ou un peu plus la nuisance qu'on te fait. Le tout, très important sans dramatiser. Montrer que tu n'as aucun scrupule a tres plus con qu'eux, que ca t'es indifferent.
Il est important qu'en face ils voient qu'il a des limites à ne pas franchir. Si tu arrives à l'extremité de frapper ou partir, c'est que quand tu repettes 100 fois, le message il passe pas. t'es manifestement pas convainquant.
Je me suis retrouvé dans des situations qui aurait pu etre comparable quand j'ai fait surveillant dans un lycee.
Les premiere journées sont extrement importante c'est là ou ils te testent. En general ils essayent un peu tout et n'importe quoi, c'est normal, j'ai fait pareil au meme age.
si tu te fait marcher dessus la premiere fois tu te feras toujours marcher dessus. Il vaut mieux etre dur dès le debut pour ne plus avoir à l'etre ensuite. En general cela marche bien.
"Mefie toi du premier mouvement, c'est souvent le bon" Talleyrand
Il faut absolument que tu travailles ta premiere impression, si y a un mec qui te fait chier une fois, si tu n'arrive pas à le rembarer cette fois là, c'est terminé. Il ne doit meme pas avoir l'idée de revenir.
On dit aussi que les autres (en particulier lorsqu'ils sont en groupe) c'est le miroir de soi même. Ils réagissent en fonction de ce que tu émanes. Si il ne te respectent pas, peut etre c'est parce que tu ne te respectes pas toi meme, ou que tu degage un manque de confiance.
Une des alternatives est de rentrer faire toujours jeu egal : le type te lance un truc tu fais pareil (eventuellement en pire). Une bonne repartie bien verte en general ca fait aussi son effet. et il faut que tu saches suivre à egale repartie ou un peu plus la nuisance qu'on te fait. Le tout, très important sans dramatiser. Montrer que tu n'as aucun scrupule a tres plus con qu'eux, que ca t'es indifferent.
Il est important qu'en face ils voient qu'il a des limites à ne pas franchir. Si tu arrives à l'extremité de frapper ou partir, c'est que quand tu repettes 100 fois, le message il passe pas. t'es manifestement pas convainquant.
Je me suis retrouvé dans des situations qui aurait pu etre comparable quand j'ai fait surveillant dans un lycee.
Les premiere journées sont extrement importante c'est là ou ils te testent. En general ils essayent un peu tout et n'importe quoi, c'est normal, j'ai fait pareil au meme age.
si tu te fait marcher dessus la premiere fois tu te feras toujours marcher dessus. Il vaut mieux etre dur dès le debut pour ne plus avoir à l'etre ensuite. En general cela marche bien.
"Mefie toi du premier mouvement, c'est souvent le bon" Talleyrand
Il faut absolument que tu travailles ta premiere impression, si y a un mec qui te fait chier une fois, si tu n'arrive pas à le rembarer cette fois là, c'est terminé. Il ne doit meme pas avoir l'idée de revenir.
On dit aussi que les autres (en particulier lorsqu'ils sont en groupe) c'est le miroir de soi même. Ils réagissent en fonction de ce que tu émanes. Si il ne te respectent pas, peut etre c'est parce que tu ne te respectes pas toi meme, ou que tu degage un manque de confiance.
- Te lancer des trucs sur la tête?
- Ne pas te faire chier?
Tu pourrais donner des exemples complets et précis, parce que là, j'avoue ne pas vraiment comprendre.
D'une manière générale, ni notre monde, ni les gens ne sont parfaits. Se faire apprécier des autres passe nécessairement par un minimum d'empathie à leurs égards et cela même s'ils ne le "méritent" pas forcément.
Bien évidemment, il faut aussi poser des limites à ce que tu peux accepter et ce que tu n'accepteras pas, mais je pense sincèrement que la violence reste une "solution" de dernier recours.
Cela dit, si les gens que tu fréquentes sont vraiment désagréables, tu as toujours la possibilité de changer de fréquentations.
- Ne pas te faire chier?
Tu pourrais donner des exemples complets et précis, parce que là, j'avoue ne pas vraiment comprendre.

D'une manière générale, ni notre monde, ni les gens ne sont parfaits. Se faire apprécier des autres passe nécessairement par un minimum d'empathie à leurs égards et cela même s'ils ne le "méritent" pas forcément.
Bien évidemment, il faut aussi poser des limites à ce que tu peux accepter et ce que tu n'accepteras pas, mais je pense sincèrement que la violence reste une "solution" de dernier recours.
Cela dit, si les gens que tu fréquentes sont vraiment désagréables, tu as toujours la possibilité de changer de fréquentations.
@stresam: t'as de GROS problème mon gars. Toi et moi on a les mêmes problèmes sauf que moi je suis à la sortie du tunnel.
Moi j'etais pas dans les mecs qui te faisaient chier au collège, j'était plutôt dans ta catégorie de losers-parias. Je me suis battu toute mon enfance/adolescence avec une seule idée en tête:
"Il faut souffrir pour apprendre" et crois moi, des souffrances et des combats personnels j'en ai eu ma dose.
Encore aujourd'hui tout ces problèmes sont la base des soucis de mon inner game. Jalousie, Frustration, Haine envers les autres, incompréhension...
La PNL va nous aider. Pour le moment nous réagissons à certaines choses d'une certaine façon parce que nous avons une représentation faussée (il va se moquer de moi si je dit ça... ect)
Il faut changer ce genre de choses pour ne plus avoir peur de telles situations, c'est ce qu'on appelle développer sa confiance en soi.
Moi j'etais pas dans les mecs qui te faisaient chier au collège, j'était plutôt dans ta catégorie de losers-parias. Je me suis battu toute mon enfance/adolescence avec une seule idée en tête:
"Il faut souffrir pour apprendre" et crois moi, des souffrances et des combats personnels j'en ai eu ma dose.
Encore aujourd'hui tout ces problèmes sont la base des soucis de mon inner game. Jalousie, Frustration, Haine envers les autres, incompréhension...
La PNL va nous aider. Pour le moment nous réagissons à certaines choses d'une certaine façon parce que nous avons une représentation faussée (il va se moquer de moi si je dit ça... ect)
Il faut changer ce genre de choses pour ne plus avoir peur de telles situations, c'est ce qu'on appelle développer sa confiance en soi.
En soi, c'est louable. Le problème consiste dans la nuance qu'il y a entre le perfectionnisme maniaque et le "perfectibilisme". J'estime qu'il faut privilégier la seconde option, nommée d'un néologisme de mon invention, qui consiste en une ligne de conduite qui veut que tu es un être perfectible, et à chercher un perfectionnement constant. Tu laisses l'impression de privilégier la première option, qui (dans le sens que je lui donne) correspond à l'attitude qui veut qu'on reconnaît qu'on a des défauts, mais qu'on considère ceux-ci comme impardonnables:- Je recherche la perfection physique, je fais beaucoup de sport pour y arriver, mais aussi culturelle, je lis énormément, les livres représentent un bugdet non négligeable.
Il faut bien comprendre que d'accepter ses défauts n'est pas incompatible avec le fait de travailler à les éliminer.Si je ne suis pas parfait je pète une durite et je me mets en colère comme jamais je ne le fais parfois à ne plus arriver à me contrôler.
Je t'invite à méditer les paradoxes suivants:
1- Un défaut est simplement un défaut (voir pour certains une preuve d'humanité); la perte de contrôle est une faillite. La faillite est un affront à ta perfection bien plus grave qu'un simple défaut. Or, c'est ton refus du défaut qui te pousse à la faillite.
2- En perfectionnant ce qui semblent être tes forces (ton corps et ton esprit), tu négliges ce qui est ta véritable faiblesse, c'est-à-dire le travail sur ton intelligence sociale. Tu effectues une acrobatie intellectuelle pour te faire croire (et à toi seul) que tes faiblesses sont des forces (ou des preuves d'intégrité, ce qui revient au même). Tu parles comme si tu estimais que tes principes font obstacle au développement de ta sociabilité; comme tu tiens à tes principes, tu ne veux pas développer tes habiletés sociales, ça paraît logique. Or, ta faiblesse sociale préexiste ces principes. Tu les as construits comme autant de moyens de défense pour te rendre acceptable tes échecs en matière d'intégration sociale. En somme, tu t'es enfermé dans un cercle vicieux.
et dans autre message:Cependant je ne cherche pas à m'imposer dans un groupe, bien au contraire je déteste les leaders de toute sorte, les chefs....... Bref je n'ai pas d'ordre à recevoir et ce de qui que ce soit. Pour moi chacun est libre de s'épanouir au sein d'un groupe sans être influencé par un leader, d'ailleurs si il y a un leader, j'essaie de lui faire quitter cette place.
Car je pense que c'est soumettre les autres par des chemins tellement détournés que c'est gerbant, une sorte de totalitarisme psychologique implicite. Je ne supporte pas les choses oppressantes et autoritaristes, en gros la contrainte.
Excuse-moi, mais c'est de la merde en barre, de la croyance limitante dans toute sa splendeur.
D'une part, tu n'as rien compris à ce qu'est le leadership. D'autre part, tu en fais une analyse anarchiste déplacée.
Je commence par la fin, rapidement parce que je veux pas m'étendre sur les idéologies politiques. Je n'aborde le sujet que parce que tu en as fait le pilier central de tes croyances, auquel tu ramènes toutes tes analyses. (sois dit en passant, plus d'humanisme et moins de dogmatisme te ferais beaucoup de bien).
L'anarchisme est une idéologie qui s'oppose à toute forme d'autorité illégitime et institutionalisée. L'autorité exercée par le leader d'un groupe est ni l'une, ni l'autre.
La majorité des leaders de groupe exercent leur leadership de façon insconsciente ou semi-consciente. Cela est dû au fait que le leadership est associé à des traits de personnalité. Les gens qui suivent un leaders ne s'y soumettent pas , ils le suivent parce qu'il les mène dans la direction dans laquelle ils veulent aller et qu'il leur facilite les choses. Toute personne possédant les qualités d'un leader tend généralement à voir se former un groupe autour de lui. Les gens qui font parti de ce groupe font ce choix librement, parce qu'ils estiment que ce groupe les mènera à leur destination. Le nombre de personnes qui possèdent un niveau de leadership acceptable est certes minoritaire par rapport à l'ensemble de la population (en étant très généreux, gros max 12-15%) mais il est néanmoins suffisamment élevé pour offrir une vaste diversité. En somme, chacun choisi chaussure à son pied et leader à sa personnalité.
Le rôle fondamental d'un leader dans un groupe est de le mettre en mouvement, pas de décider de la direction dans laquelle le groupe va. C'est la raison pour laquelle la caractéristique première du leader est d'être une personne qui possède un haut niveau d'énergie, car il lui en faut beaucoup pour vaincre l'inertie inhérente à tout groupement humain.
Il y a bien certains leaders qui exercent leur rôle de façon autoritaire. Cela forme souvent les groupes les plus instables et les moins performants, parce que ça crée de la rancoeur. Mais c'est loin d'être un trait constant. Un bon leader stimule les qualités des membres du groupe et les tire vers le haut. Et par mon expérience, ils sont assez nombreux à être ainsi.
Personnellement, si je fais le bilan des groupes dans lesquels j'ai traîné, je constate que tous admettaient la contradiction, et que certains carburaient à la contradiction. C'est l'exacte contraire du soi-disant totalitarisme que tu dénonces.
La présence d'un leader dans un groupe est aussi fondamentale qu'un moteur à une voiture ou une roue à un monocycle. Quand tu prétends que "quand il y a un leader, [tu] t'arranges pour lui faire quitter cette place", tu démontres ton incompréhension du phénomène. D'abord, il y en a toujours un. Si tu parviens à "faire quitter sa place" au leader d'un groupe, tu n'auras jamais que joué le rôle d'un parasite dans le groupe en le coupant de son élément le plus énergique. Ensuite, la période, plus ou moins longue selon le groupe, pendant laquelle ce dernier restera sans leader n'est qu'une transition: il y aura forcément quelqu'un pour prendre la place, même par défaut et à son corps défendant. Moi qui n'ai jamais été attiré par le leadership, ça m'est déjà arrivé, simplement parce que je ne supportais plus l'inertie de mon groupe. Ou alors le groupe se désintègre, ça peut arriver aussi. Mais dans un cas comme dans l'autre, tu seras moralement fautif.
En ce qui concerne l'humour, tu te plantes complètement aussi, mais je passe puisque mon post commence à être long.
Je vais te dire quelque chose avec lequel tout le monde ne sera pas forcément d'accord ici:
Tu n'as pas besoin d'un gros réseau social pour te faire une copine.
Ca aide (surtout pour faire des rencontres), mais ce n'est pas une obligation. En revanche, il t'est absolumment nécessaire de développer ton intelligence sociale.
Je connais un gars qui est un vrai solitaire, il n'a pas plus de deux ou trois amis et il reste chez lui pendant une très grande partie de son temps, il ne ressent pas le besoin de fréquenter ses semblables. Et bien ce gars-là non seulement est marié avec une HB8 intelligente, sympa et tout avec laquelle il est depuis près de dix ans et toujours solidement accrochée, mais il y a plein de filles qui voudraient bien prendre la place de sa femme. Pourquoi?
Essentiellement parce que, contrairement à toi, il a une intelligence sociale élevée. Il est perspicace lorsqu'il s'agit de comprendre les autres. Il n'en fait jamais trop (et jamais plus qu'il ne faut), et fait toujours ce qui est nécessaire. Toute sa communication subconsciente (BL, ton de la voix, etc...) envoie des messages essentiels: "nous ne sommes pas amis, mais je suis ouvert à toi, il t'est possible de gagner mon respect si tu le mérites. Je t'écoutes, te comprends et commente avec pertinence. Tu es humain. J'ai confiance en moi et suis en plein contrôle de la situation."
Tu es encore bien loin d'un tel niveau.
Quant à moi, tu as deux priorités immédiates, qui ne sont ni de te faire une copine, ni de te faire des amis.
1- Apprend à voir au-delà de ton carcan idéologique. Tu déshumanises les gens avec et tu fais de nombreuses erreurs de jugement.
2- APPREND A TE CONTRÖLER!!!!!!!!!
L'orgueil peut être un bon moteur pour ça si tu sais l'utiliser à bon escient. Rappelle-toi: chaque fois que tu perds contrôle, c'est une faillite.
Les deux mis ensemble te permettront de réduire la rage au fond de ton coeur et la haine de tes semblables. Quand ils commenceront à comprendre que tu peux les aimer et que tu t'aimes toi-même, leur comportement changera.
PS: le choix de ne pas avoir de permis de conduire et de préférer aller à pieds ou à vélo pour des raisons environnementales n'est pas un motif de mépris. J'ai fait le même et personne ne me méprise pour ça.
Bon on va dire que je suis trop gentil, que mon temps de réaction avant de cogner fort laisse de la marge. Mais je tape fort quand je riposte désormais après avoir mis en garde pas mal de fois. En fait je ne supporte rien, comme je ne fais rien aux autres, je ne supporte pas qu'on me les brise. Après je ne sais pas quoi répondre c'est délicat, je dirai même que je ne sais pas quoi penser.
Bon pour résumer en soirée quand on me lance 20 fois des cacahuètes derrière la tête, je commence à perdre patience ou bien quand on veut me pincer les tétons à cause de la muscu quand j'ai les deux mains prises.
Je suis relativement tolérant mais au bout de la vingtième fois je n'arrive plus à me retenir.
Bon pour résumer en soirée quand on me lance 20 fois des cacahuètes derrière la tête, je commence à perdre patience ou bien quand on veut me pincer les tétons à cause de la muscu quand j'ai les deux mains prises.

100% d'accord avec Vortex
Probablement, le jour ou tu n'auras plus besoin de cette perfection, tu auras reglés tes problèmes.
Au lieu de chercher à masquer indéfiniment tes defauts par une perfection, apprivoise les et fait en une force.
Des defauts cela se met en valeur. Car la perception des qualités et des defaut est quelque chose de relatif. Puisque tu te plait à vouloir penser à contre courant, c'est assez paradoxal que tes defauts te pèsent autant.
C'est quoi tes pensées à contre courant ?
Faire du velo c'est tres politiquement correct je trouve.
Et il faut absolument que tu trouves une posture intermediaire entre rien faire et tout peter
Probablement, le jour ou tu n'auras plus besoin de cette perfection, tu auras reglés tes problèmes.
Au lieu de chercher à masquer indéfiniment tes defauts par une perfection, apprivoise les et fait en une force.
Des defauts cela se met en valeur. Car la perception des qualités et des defaut est quelque chose de relatif. Puisque tu te plait à vouloir penser à contre courant, c'est assez paradoxal que tes defauts te pèsent autant.
C'est quoi tes pensées à contre courant ?
Faire du velo c'est tres politiquement correct je trouve.
Et il faut absolument que tu trouves une posture intermediaire entre rien faire et tout peter
Bon je vais tenter de répondre à ton post assez riche Vortex, mais ça va être laborieux.
Moi je recherche la perfection, car je pense que dans les buts de l'Homme il y a l'idée de transcendance qui pourra amener le Salut de l'humanité, la preuve en est avec mes lectures, j'essaie par ce biais de réussir à comprendre le mieux possible le monde dans lequel j'évolue, mais notre antropocentrisme inconscient fait que je ne supporte plus l'humanité et que peu à peu je m'en détache. Hum, pour ce qui est du sport, je souhaite pouvoir vivre pour mes convictions le plus longtemps possible, de même pour les lectures. Non je ne pense pas pas que mes faiblesses sont des forces bien au contraire sinon je ne m'efforcerai pas de les corriger. Non mais je vois bien que dans le quotien mes principes sont un frein certain dans toutes mes relations et interaction avec le monde extérieur, je ne vais pas renier mes principes pour aller vers les autres. Non je pense tout simplement qu'il y a inadéquation d'aspiration avec les autres et non une volonté d'excuser mes difficultés d'intégration. Je ne suis pas dans un cercle vicieux, loin de là, je vis mes idées à fond, et ça ne plaît pas aux autres et ils sont donc obligés de me montrer du doigt. Bon c'est sur que les possibles de sociabilisation fondent comme neige au soleil, je ne vais pas en boîte, pas dans les bars, pas dans les soirées fashions, en gros, je ne me sens bien que dans la société alternative et subversive et ça je peux te dire que peu de personnes comprennent, elles sont hermétiques à mon discours, pourtant je ne suis pas le genre de personne à vouloir imposer mes idées par la force bien au contraire je suis plutôt de tendance libertaire pour résumer le tout globalement. Ce qui fait que je me renferme est tout simplement que je mesure la conséquence de mes actes sur le système global auquel nous appartenons et que par respect pour tous, je préfère m'abstenir car je pense que la Terre est à tous et que certaines choses ne sont pas à faire.
Non pas de la croyance limitante. Qui a le droit de me donner des ordres ou de me parler comme à un chien car il possède le pouvoir de m'asservir par divers moyens? Personne. Non pas que je n'ai rien compris au leadership, pour ma personne je n'en vois pas l'utilité ça me gonfle plus qu'autre chose. Pourquoi coller l'étiquette anarchiste? Je suis un électron libre. Je pense que mes idées sont tout simplement justes et je vis ces idées à fond. Bon je te fais une liste non exhaustive de ce qui me tiens à coeur ---->>>> anti militarisme, anti cléricalisme, contre les armes et le nucléaire, ecologie, lutter contre la précarité, inégalités et les discriminations. Je ne vois pas de dogmatisme là-dedans? Je ne suis rien à la lettre, j'y vais avec mon coeur tout en prenant du recul. Si mon énumération ressemble à du dogmatisme et non à de l'humanisme alors je ne sais plus quoi faire, enfin côté militantisme je n'ai sûrement pas de leçon à recevoir, je ne fais nullement mon éloge, je dis simplement ce que je fait, je sais faire la part des choses je te l'écrirai en Mp si tu le souhaite.
Pour moi le leadership est tout simplement illégitime. De quel droit le leader choisit de prendre cette position au sein d'un groupe? Moi je ne vois rien de légitime et je ne prends pas cette place car chacun est libre de laisser son libre arbitre s'épanouir, qui suis-je pour considérer que je peux guider les autres? Personne. Pour moi de ce que j'ai pu en voir la majorité des leadership n'est que le résultat de déterminismes hérité d'une trajectoire d'une position sociale dominante qui s'exprime déjà dans les plus basses echelles des microcosmes sociaux. Je vois cela comme la reproduction de la domination des classes dominantes sous une autre forme et à une autre echelle, cela m'est inssupportable car en dehors des cadres et des normes sociétaux, on est libre et être encore confronté à cela est de trop pour moi. Personnellement je ne vois pas qui me ménera à destination à part ma détermination et ma motivation personnelles. Un leader qui se contredit n'est pas à sa place car il n'y a plus légitimité à être leader, car c'est la preuve que tout le monde est capable de faire des choix équivalents. Quand il m'arrive de prendre la place de leadership je quitte le groupe car je me dis que les autres n'ont pas besoin de ça et moi non plus. Pour te dire dans un groupe quand je vois les moindres balbutiements de leadership je le quitte. Fautif de quoi? Les autres sont assez grands pour être autonomes dans leurs actes.
Je me plante de quelle manière pour l'humour? Je n'en ai pas, tant pis.
Pour le gars qui a une Hb8, il a de la chance je pense. Non pas que je ne comprenne pas les autres, c'est que je suis très vite lassé. Quand j'étais jeune je montrais de l'intérêt pour les autres mais comme je l'ai dit plus haut, à force d'être rejeter, bah je suis devenu comme ça, mysanthrope sur les bords et détestant les Hommes. Je trouve que tout cela ressemble à une attitude hautaine prétentieuse, mais qui peut se permettre de s'estimer comme tel ou même comme utile pour ses semblables? Personne. Je ne recherche pas à atteindre cela et je ne veux pas devenir comme ça.
Pas d'idéologie, c'est trop réducteur. Si je déshumanise les gens c'est que c'est eux qui m'ont poussé à devenir comme je suis, je ne fais pas d'erreurs de jugement, car justement si j'ai peu de potes c'est que ce sont les bons et que je ne me suis pas trompé sur leur compte.
Je veux bien me contrôler. Mais alors que les gens arrêtent de se croire seuls au monde et qu'ils prennent conscience que leurs intéractions peuvent géner les autres.
J'aime tout le monde à partir du moment qu'il ne me nuit pas.
Pour l'environnement toi non, moi oui, ça amusait les gens de la ridicule portée de mes actes alors quand on est cerné par les cons à quoi bon leur parler?
Moi je recherche la perfection, car je pense que dans les buts de l'Homme il y a l'idée de transcendance qui pourra amener le Salut de l'humanité, la preuve en est avec mes lectures, j'essaie par ce biais de réussir à comprendre le mieux possible le monde dans lequel j'évolue, mais notre antropocentrisme inconscient fait que je ne supporte plus l'humanité et que peu à peu je m'en détache. Hum, pour ce qui est du sport, je souhaite pouvoir vivre pour mes convictions le plus longtemps possible, de même pour les lectures. Non je ne pense pas pas que mes faiblesses sont des forces bien au contraire sinon je ne m'efforcerai pas de les corriger. Non mais je vois bien que dans le quotien mes principes sont un frein certain dans toutes mes relations et interaction avec le monde extérieur, je ne vais pas renier mes principes pour aller vers les autres. Non je pense tout simplement qu'il y a inadéquation d'aspiration avec les autres et non une volonté d'excuser mes difficultés d'intégration. Je ne suis pas dans un cercle vicieux, loin de là, je vis mes idées à fond, et ça ne plaît pas aux autres et ils sont donc obligés de me montrer du doigt. Bon c'est sur que les possibles de sociabilisation fondent comme neige au soleil, je ne vais pas en boîte, pas dans les bars, pas dans les soirées fashions, en gros, je ne me sens bien que dans la société alternative et subversive et ça je peux te dire que peu de personnes comprennent, elles sont hermétiques à mon discours, pourtant je ne suis pas le genre de personne à vouloir imposer mes idées par la force bien au contraire je suis plutôt de tendance libertaire pour résumer le tout globalement. Ce qui fait que je me renferme est tout simplement que je mesure la conséquence de mes actes sur le système global auquel nous appartenons et que par respect pour tous, je préfère m'abstenir car je pense que la Terre est à tous et que certaines choses ne sont pas à faire.
Non pas de la croyance limitante. Qui a le droit de me donner des ordres ou de me parler comme à un chien car il possède le pouvoir de m'asservir par divers moyens? Personne. Non pas que je n'ai rien compris au leadership, pour ma personne je n'en vois pas l'utilité ça me gonfle plus qu'autre chose. Pourquoi coller l'étiquette anarchiste? Je suis un électron libre. Je pense que mes idées sont tout simplement justes et je vis ces idées à fond. Bon je te fais une liste non exhaustive de ce qui me tiens à coeur ---->>>> anti militarisme, anti cléricalisme, contre les armes et le nucléaire, ecologie, lutter contre la précarité, inégalités et les discriminations. Je ne vois pas de dogmatisme là-dedans? Je ne suis rien à la lettre, j'y vais avec mon coeur tout en prenant du recul. Si mon énumération ressemble à du dogmatisme et non à de l'humanisme alors je ne sais plus quoi faire, enfin côté militantisme je n'ai sûrement pas de leçon à recevoir, je ne fais nullement mon éloge, je dis simplement ce que je fait, je sais faire la part des choses je te l'écrirai en Mp si tu le souhaite.
Pour moi le leadership est tout simplement illégitime. De quel droit le leader choisit de prendre cette position au sein d'un groupe? Moi je ne vois rien de légitime et je ne prends pas cette place car chacun est libre de laisser son libre arbitre s'épanouir, qui suis-je pour considérer que je peux guider les autres? Personne. Pour moi de ce que j'ai pu en voir la majorité des leadership n'est que le résultat de déterminismes hérité d'une trajectoire d'une position sociale dominante qui s'exprime déjà dans les plus basses echelles des microcosmes sociaux. Je vois cela comme la reproduction de la domination des classes dominantes sous une autre forme et à une autre echelle, cela m'est inssupportable car en dehors des cadres et des normes sociétaux, on est libre et être encore confronté à cela est de trop pour moi. Personnellement je ne vois pas qui me ménera à destination à part ma détermination et ma motivation personnelles. Un leader qui se contredit n'est pas à sa place car il n'y a plus légitimité à être leader, car c'est la preuve que tout le monde est capable de faire des choix équivalents. Quand il m'arrive de prendre la place de leadership je quitte le groupe car je me dis que les autres n'ont pas besoin de ça et moi non plus. Pour te dire dans un groupe quand je vois les moindres balbutiements de leadership je le quitte. Fautif de quoi? Les autres sont assez grands pour être autonomes dans leurs actes.
Je me plante de quelle manière pour l'humour? Je n'en ai pas, tant pis.
Pour le gars qui a une Hb8, il a de la chance je pense. Non pas que je ne comprenne pas les autres, c'est que je suis très vite lassé. Quand j'étais jeune je montrais de l'intérêt pour les autres mais comme je l'ai dit plus haut, à force d'être rejeter, bah je suis devenu comme ça, mysanthrope sur les bords et détestant les Hommes. Je trouve que tout cela ressemble à une attitude hautaine prétentieuse, mais qui peut se permettre de s'estimer comme tel ou même comme utile pour ses semblables? Personne. Je ne recherche pas à atteindre cela et je ne veux pas devenir comme ça.
Pas d'idéologie, c'est trop réducteur. Si je déshumanise les gens c'est que c'est eux qui m'ont poussé à devenir comme je suis, je ne fais pas d'erreurs de jugement, car justement si j'ai peu de potes c'est que ce sont les bons et que je ne me suis pas trompé sur leur compte.
Je veux bien me contrôler. Mais alors que les gens arrêtent de se croire seuls au monde et qu'ils prennent conscience que leurs intéractions peuvent géner les autres.
J'aime tout le monde à partir du moment qu'il ne me nuit pas.
Pour l'environnement toi non, moi oui, ça amusait les gens de la ridicule portée de mes actes alors quand on est cerné par les cons à quoi bon leur parler?