Tisi a écrit :Oui sauf que ça ne rentre pas dans le cadre de l'article, qui visait à éduquer au mieux les femmes qui me liraient pour qu'elles puissent agir sur les choses sur lesquelles elles peuvent faire quelque chose, vagin apathique il n'y a pas grand chose à faire dans l'immédiat sauf porter des boules de geisha et faire des exercices, bref rien à voir avec le fait d'être un bon coup ou pas.
Ben je trouve que ça devrait. Ca complèterait bien ton article.
Sinon, est-ce à dire qu'il suffit de quelques modifications comportementales pour être bon coup et qu'un entraînement "de fond" est hors sujet ?
Pour moi c'est un peu la version de "sois gentil, etc.", c'est facile, ça fait plaisir, mais être un vrai homme attirant nécessite un travail de "fond". On est en droit de placer la barre haut dans l'investissement qu'elles ont à faire pour être des bons coups, vu l'inflation des attentes de l'autre côté, tu crois pas ?
Mr.Smooth a écrit :Ce n'étais pas a toi que je répondais mais a luxlisbon en fait...
Au temps pour moi
Le concept vaginal/clitoridien c'est un peu de la pop culture (dédicace a Tulpa) sexuelle.
En fait le clitoris, il ne s'arrête pas a votre résidus de zizi, mais enveloppe carrément le vagin , c'est un organe assez volumineux en fait.
Du coup, certaines sont plus ou moins sensibles a certains points, mais les cas "que clitoris" / "que vaginal" c'est super super rare.
Il y avait un très beau documentaire sur la 5 la dessus, "le clitoris, ce cher inconnu" je crois.
A ver!
En termes de description des manifestations de l'orgasme féminin, je trouve la disjonction pertinente. Maintenant, c'est vrai que comme la simplicité technique rassure vs. la connaissance d'un corps complexe, le concept est devenu "pop", donc galvaudé et/ou peu actionable pour les intéressé(e)s.
Sinon pour Lieutenant, je suis vierge, donc je peux pas te contredire par des faits vécus, mon père m'a cependant parlé de filles qui sont capables de te faire jouir rien qu'avec les contractions... Cependant, même si ça doit être cool, dire que la capacité d'une fille a être un bon coup dépend de sa capacité a contracter son vagin revient a dire qu'un mec est un bon coup car son Woody Wood Pecker est gros.
Non, c'est juste faux.
Toute chose restant égale par ailleurs, je pense que le paramètre taille a de l'importance.
Maintenant, la pondération dans l'alchimie globale, je sais pas, seuls les clientes peuvent le mieux l'estimer (je ne peux changer la taille de ma bite pour faire des essais).
En fait je dis toujours que la taille a moins d'importance que ce que les mecs imaginent, mais plus que ce que les filles avouent. Je pense ne pas avoir tort, mais il faut dire que c'est facile : l'intervalle est large...
Moi je suis par exemple un visuel et un mélomane.
Je suis sur que la manière dont la fille soupirera, gémira (allez c'est la fete) dans me bras, et son regard, sa position, son expression quand on se fera plaisir ça sera super important.
Mais là encore ce ne sera qu'un des paramètres.
Dans l'ensemble, je rejoint les autres en disant que l'amour c'est comme la danse, c'est mieux quand les deux (ou plus) savent des pas, mais surtout quand ils montrent qu'ils aiment danser ensemble, et ce de quelque manière que ce soit.
Quand on fait l'amour, nous sollicitons tous nos canaux sensoriels, mais de manière différente. J'ai bien plus pris mon pied avec les fille quand j'ai limité le visuel à l'excitation et au "sexual state" et que je suis devenu plus kinesthésique. Accessoirement, c'est le fait d'être tombé sur des "bon coups" à forte tonicité vaginale qui m'a fait devenir plus kinesthésique.
Je ne nie évidemment pas tous les à-côtés, justement parce qu'on parle d'une chaîne neuro-musculaire. Avant la tonicité musculaire en soi, il faut recherche la sollicitation nerveuse, progressive, de l'imaginaire de la demoiselle qui doit s'imaginer voir débarquer un surhomme (dans le sens, qui détruit toutes les références passées par son charme) dans son lit, aux préliminaires en bout de chaîne nerveuse, avant la sollicitation charnelle proprement dite.
J'aime ton parallèle avec la danse et il est très vrai. Mais la question à laquelle on cherche à répondre, c'est *pourquoi* on aime danser plus avec cette fille qu'avec une autre. Curieusement, je pense que la fluidité athlétique (démonstratrice de valeurs de réplication et survie) jouera son rôle. C'est peut-être encore plus vrai dans la manière qu'ont les filles d'évaluer la vibe qu'elles ont avec le danseur.