Dépassement de soi, guérir de ses phobies

Note : 6

le 02.12.2011 par Tisi

8 réponses / Dernière par Iskandar le 15.03.2012, 12h08

Etat d'esprit / psychologie / dev perso / vie intérieure.
Un forum pour celles et ceux qui s'intéressent au dev perso, à l'équilibre intérieur, à la psychologie. Surmonter ses blocages, ses croyances limitantes, nourrir et développer ses forces, etc.
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J'ai une sainte horreur des pleurnichards, vous savez ces gens faibles, qui se vautrent dans la passivité mais se plaignent constamment d'un situation qui perdure par leur faute car ils ne font rien pour y remédier (bien qu'a l'origine s'ils s'y retrouvent c'est pas nécessairement de leur faute).

Parce que voyez je suis persuadé qu'on peut se soigner psychologiquement sans dans les cas les plus graves relevant de la psychiatrie bien entendu, ça s'apparente a du dev perso, mais la méthode est simple il faut se sortir les doigts du cul, c'est pas plus compliqué que ça, je sais, c'est pas facile mais on a rien sans rien.

J'en ai moi même fait l'expérience en 2007 j'étais au lycée en terminale, j'étais parti de chez mes parents depuis deux ans et je vivais à 500 bornes de chez eux, j'essayais tant bien que mal de joindre les deux bouts avec le peu de thunes qu'ils me donnaient, mais ça valait le coup j'étais parti de chez eux, j'habitais avec ma copine, j'étais heureux même avec ces problèmes de thunes.

Nous étions a 8 mois de la fin de l'année et donc du bac quand ma mère cette charmante hystérique a commencé a proférer pas mal de menaces en guise d'encouragement dans le style
ouais je te préviens si t'as pas ton bac on te coupe les vivres tu vas te retrouver à la rue c'est plus la peine de compter sur nous
Charmant vous en conviendrez, moi j'ai pris la menace au sérieux je sais qu'elle en est capable d'autant que quelques mois plus tot elle avait exigé que je lui rende les clés de la maison parce que "c'est pas chez toi ici! Rends moi les clés".

Je vous laisse juste entrevoir la pression que cette connasse venait de me mettre, puis au bout de quelques temps il s'est passé un truc, je ne pouvais plus supporter les cours, rester assis au lycée en cours c'était devenu un véritable calvaire:
je transpirais dans les deux litres à la minute de partout et surtout des mains, dès que je m'asseyais j'avais une très grosse envie de pisser, du genre de celles que vous avez après avoir descendu deux pintes de bière, mais quand j'allais aux chiottes rien, voire la sensation d'avoir la grosse grosse chiasse mais là encore pour "rien" ou la gerbe, avec en prime sensation d'étouffement très oppressante.

De vraies crises de panique que j'arrivais plus ou moins a contenir et qui disparaissaient dès que je n'étais plus en cours, très vite j'ai fini par ne même plus aller au lycée, et puis par ne même plus prendre la peine de trouver des excuses, je suis resté chez moi pendant les 6 derniers mois de l'année, j'ai quand même eu mon bac (oui je sais je suis un génie 8) (avec une grosse bite)) j'ai passé les épreuves sous anxiolytiques et ça s'est bien passé.

Mais cette peur d'aller en cours, de me planter, ça a fini par grandir, le mal était fait et ça s'est étendu au simple fait de sortir de chez moi, quand c'était pour faire des courses pas trop loin pas de problème, mais si pour aller loin de chez moi et me taper deux heures de transport, c'était juste pas possible.

Ça n'a pas été trop problématique pour ma première année d'étude vu que je pouvais travailler de chez moi, qu'on avait pas de cours, et que la plupart des rendus se faisaient automatiquement suffisait d'enregistrer son boulot sur les serveurs de l'école, j'avais juste a me déplacer pour les "exams".

Mais à la fin de l'année quand j'ai du faire un stage, j'allais devoir passer 1h chaque matin dans les transports, c'était pas tellement a coté de chez moi, en plus évidemment dans un entreprise, je n'ai plus eu le choix, il a bien fallu que je me force, au cours de mon stage l'entreprise a changé d'adresse et c'était encore plus loin, là aussi il a bien fallu que je me fasse violence, rester sur place c'était pas trop un problème vu que ça se passait à la cool je bossais en jean chaussettes et on écoutait du AC/DC toute la journée avec mon patron.

Et voilà le résultat en quelques semaines je m'en suis débarrassé, je vais pas vous cacher que c'est foutrement violent, c'est dur, ça semble durer une éternité, mais au moins c'est efficace, toujours plus efficace que de s'apitoyer sur son sort et de faire des montagnes de son cas, de se dire qu'on a besoin d'un psy, d'années de psychothérapie lourde et intensive.

Le cerveau c'est une putain de machine, qui s'adapte toute seule, quand on se confronte a ses peurs, elles finissent par disparaitre, c'est en gros ce qu'on répète depuis des années ici, se sortir les doigts, aller au charbon, mouiller le maillot, et ça fait jamais de mal de le rappeler.

Cheers
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    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [0] Pertinent le 02.12.11, 21h11 par LittleNeapolis
  • [+1] A lire le 03.12.11, 13h34 par Crooked
  • [+1] Absolument le 04.12.11, 21h08 par Thruster
  • [0] Tout ça pour dire quoi ? le 04.12.11, 21h25 par AFC Eric
  • [0] Il y'a du vrai... le 04.12.11, 21h44 par MonsieurJaguar
  • [+1] Il y'a du vrai... le 05.12.11, 19h54 par Tyrone
  • [0] Trop dogmatique le 08.12.11, 17h33 par Ice Mc
  • [0] le 09.12.11, 09h36 par Iskandar
  • [0] Pertinent le 09.12.11, 17h57 par Santamaria
Témoignage assez intéressant. Au niveau de la mentalité je me reconnais dans ce que tu dis : je méprise les ""faibles d'esprit"". Seulement voilà, aux innombrables inconnus dont les problèmes m'importent peu s'ajoutent des personnes auxquelles je tiens et qui sont des fois confrontées à ce genre de problème de peur, de dépassement de soi qu'ils n'arrivent pas à faire. Même si ma réaction est sensiblement la même pour tout le monde (ça m'énèèèèèrve), ça m'affecte et c'est là que j'aimerais approfondir :

Quand tu étais au fond du gouffre, tu penses vraiment qu'un type qui se serait ramené pour te dire de te sortir les doigts du cul t'aurait fait changer d'avis aussitôt ? Est-ce que tu aurais aimé entendre ça dans tes instants de peur panique ?

Alors, que faut-il dire à ce genre de personnes ? D'accord, il n'y a que elles même qui pourront vaincre leurs peurs au final, mais que pouvons nous dire de plus efficace pour les aider à se mettre au charbon ? D'ailleurs, est-ce notre rôle, en tant que proches, amis, ou boyfriend, de les aider ?
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [0] Constructif le 02.12.11, 21h11 par LittleNeapolis
  • [0] Intéressant le 04.12.11, 19h22 par MonsieurJaguar
Ce membre a été banni de FTS, en raison de manquements répétés au règlement. Un membre peut être banni automatiquement si sa note descend trop bas (ou trop vite), ou manuellement par un modérateur. Les propos de ce membre n'engagent que lui et ne reflètent pas les opinions des utilisateurs de FTS.
Barta a écrit : Quand tu étais au fond du gouffre, tu penses vraiment qu'un type qui se serait ramené pour te dire de te sortir les doigts du cul t'aurait fait changer d'avis aussitôt ?
Ça dépend a quel moment aussi, avant mon bac surement pas puisque la menace était toujours là, c'était plus facile de pas aller en cours, quitte a me planter par la suite, mais au moins chez moi je me sentais bien, après mon bac la menace n'était plus réelle et j'avais développé une peur irrationnelle de partir trop longtemps trop loin de chez moi, cette "méthode" ne fonctionne pas quand les risques sont réels.
Barta a écrit : Est-ce que tu aurais aimé entendre ça dans tes instants de peur panique ?
Sans doute que j'aurais aimé lire une expérience comme la mienne
Barta a écrit : Alors, que faut-il dire à ce genre de personnes ? D'accord, il n'y a que elles même qui pourront vaincre leurs peurs au final, mais que pouvons nous dire de plus efficace pour les aider à se mettre au charbon ? D'ailleurs, est-ce notre rôle, en tant que proches, amis, ou boyfriend, de les aider ?
Rien, rien et non.

Quoi que tu puisses dire à la personne le simple fait que tu la connaisse va te "décrédibiliser" en quelque sorte, c'est pour ça que les psy ne nouent jamais de contact autre que thérapeutique avec leurs patients, on accepte toujours plus facilement une solution qui vient d'une personne tierce, c'est débile, mais c'est comme ça.

Tout ce que tu peux faire, c'est donner la solution, si la personne en fait la demande, mais quelqu'un qui se complait dans ses malheurs tout en ne demandant pas d'aide ne veut pas être "soigné" et on ne peut pas aider quelqu'un contre sa volonté on s'oppose toujours a une résistance très forte, alors la solution elle est simple, ceux qui te demandent de l'aide tu la leur donne, si ça leur plait pas qu'ils se démerdent, les autres qui ne veulent pas de ton aide, tu les laisse crever.
Tisi, je ne nie pas la force de tes blocages psychologiques, ni le courage qu'il t'a fallu pour les dépasser. Après, le savoir empirique reste conditionné à l'expérience : or, là, il s'agit de ta propre expérience, donc d'un seul exemple que tu nous proposes pour illustrer qu'on peut s'en sortir si on se fait violence.
La réalité, c'est aussi que certains essaient de se faire violence, et n'y arrivent pas. Par exemple, j'ai une amie sujette aux crises d'angoisse dans les transports en commun, et elle vit dans le fin fond du 93 pour aller bosser dans le 7è arrondissement ; autant te dire que la violence, elle se l'inflige tous les jours (puisqu'elle ne peut pas prendre sa voiture, vu les bouchons monstre et l'impossibilité de se garer près de son taff). Ça fait trois ans qu'elle en est au même point, qu'elle est parfois obligée de prendre un taxi pour faire demi-tour, qu'elle arrive au boulot avec quasiment toujours 1h de retard (car elle est obligée de sortir de la rame quand l'angoisse arrive), blanche comme un linge. Elle prenait des trucs aux plantes censés l'aider, et même si elle a quelques problèmes avec son mari, globalement sa vie de couple et de famille se portait pas trop mal.
Ben elle a bien été obligée un jour de se sortir les doigts du cul, mais d'une autre manière : en osant demander l'aide d'un spécialiste. On va bien voir un ophtalmo quand on a un problème aux yeux, on va bien voir un gynéco quand on a un problème entre les jambes, pourquoi on n'irait pas voir un psy quand on a un problème dans la tête ? Ce n'est pas honteux, et je ne trouve pas que ce soit un moyen de s'apitoyer sur son sort, au contraire. Les séances peuvent parfois être très douloureuses, parce qu'on explore des parts de nous qu'on essaie de se cacher (et si on essaie de se les cacher et de les enfermer dans l'inconscient, c'est bien parce que ça nous traumatise), parce qu'on doit se mettre en face de vérités qu'il est difficile à assumer, à porter ; et là, le boulot du psy, c'est de nous dire d'arrêter de nous cacher la vérité, mais d'avancer avec, de l'accepter.
Crois-moi, et même si je trouve ton attitude tout à fait admirable (c'est difficile de s'en sortir seul quand on est confronté à des crises d'angoisse), je pense qu'il ne faut pas négliger l'importance et l'intérêt de l'aide psychologique ou psychiatrique, qui est parfois le seul moyen de s'en sortir pour certains.
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  • [+1] Post responsable le 04.12.11, 21h26 par Marley-Marl
  • [0] Ca va mieux en le disant le 08.12.11, 17h30 par Ice Mc
  • [0] Constructif le 10.12.11, 12h51 par pastelle
Petit aparté : j'aime pas quand tu traites ta mère de "connasse"

Sinon, oui, il faut avoir un esprit positif, mais cet esprit ne fait pas tout, c'est un travail de longue sape (et j'en sais quelque chose). Moi-même, je déteste l'école - j'ai pourtant toujours eu d'excellentes notes - mais j'ai un blocage inexpliqué encore (sentiment d'enfermement ? Conformisme ?). Bref, je suis en deuxième année de DUT et je commence à apprécier, à force de travail sur moi, le fait d'aller en cours, d'autant qu'à l'université, niveau relation, c'est l'pied ! Mais, affronter la peur est un combat long et difficile donc je demande à tous ceux qui sont timides ou qui ont des angoisses comme moi de ne rien lâcher et d'améliorer l'environnement autour (sport, alimentation, travail sur soi, fringues...) pour avoir un surplus de force nécessaire pour briser l'angoisse :wink:
S'il existe aujourd'hui des associations comme MEDIAGORA ou des thérapies comportementalistes (TCC), c'est que la simple volonté ne suffit pas à guérir d'une phobie sociale chez certaines personnes. Il y a vrai travail d'accompagnement à faire.
Je peux t'assurer que je me suis fait violence à plusieurs reprises en me confrontant aux situations sociales redoutées ; alors certes j'ai avancé certes fois et progressé, mais d'autres fois je me suis encore plus enfoncé (ex : déclenchement d'une peur paralysante se concluant par un malaise vagal).
Conclusion : si un jour j'avance d'un pas mais la fois suivante un autre jour, je recule de 10 pas au point d'avoir encore plus d'anxiété, je ne sais pas quelle est la meilleure solution.
L’objectif de la TCC est de faire des confrontations des expériences dont on peut tirer profit, et non plus des traumatismes ou des confirmations de son impuissance à faire face.
La simple prise de médicaments ou les rémissions spontanées rares mais possibles peuvent soulager et permettre un recul des symptômes, mais non d’authentiques guérisons.
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [+1] A lire le 09.12.11, 09h39 par Iskandar
J'ai pas du tout les psys en grande estime... Cependant, de ce que je retire de mon expérience personnel avec eux, un point très juste que ton post souligne à mon avis, c'est que si vous n'avez pas un comportement très proactif en allant voir un psy, et plus largement, en travaillant sur soi (et donc aussi en utilisant FTS par exemple), ça ne sert à rien, voire ça peut être contre-productif.

Sinon, pour le reste du post de Tisi, c'est de la connerie totale ! Pourquoi tant de haine ? J'ai pu expérimenter ce que shooter écrivait ici:
Shooter, en parlant des phobies sociales a écrit :Et les confrontations de ses peurs sont le plus souvent épuisantes et toxiques car loin de se calmer, les peurs pourront persister et même augmenter.
dans ce topic: timidite-phobie-sociale-hyperemotivite- ... 27148.html

Tisi, tu as eu de la chance, tant mieux pour toi. Mais c'est pas le cas de tout le monde. J'avais une légère phobie. Je me suis confronter à ma zone d'inconfort. Résultat: elle a augmenté (pas trop, heureusement tout de même). Si j'ai toujours été loin du malaise vagal, le pire a été atteint avec un comportement "automatique" (c'est-à-dire que je suis allé au charbon avec une volonté indéfectible; il a fallu 30 secondes avant que ma conscience puisse enfin remarquer que j'avais usé d'un comportement d'évitement, et que le lieu où je me trouvais n'était pas le lieu où j'avais choisi d'aller).

Je conclurai en ajoutant 2 choses: 1) Comme je ne sais plus qui le disait: "Ne sortez pas de votre zone de confort: élargissez-là" ! 2) Le plus important, c'est de comprendre ce qu'on a avant de foncer tête baissée, sinon, gare au crash. (Ou sinon, de vous fier au facteur chance...)
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [0] Pas convaincu le 09.12.11, 16h59 par Tyrone
Un petit coup d’œil, peut-être aussi, sur ce post d'Olivier qui éclaire sur les mécanismes du cerveau :

la-neuroplasticite-vt26930.html
Je suis en train de relire un bouquin sur les phobies et ça m'a rappelé ce topic. Avec le recul, à la relecture, je trouve encore plus que jamais que c'est du grand n'IMPORTE QUOI (d'ailleurs, je ne me rappelle même plus pourquoi j'ai pas negnoté). :yuno:

C'est vrai qu'il y a certains qui s’apitoient sur leur sort, qui veulent avant tout qu'on les écoute se plaindre (et bon, ce genre de gars on en a vraiment rien à foutre). Mais il y a aussi des gens qui ont de vrais problèmes.

Un message initial qui partait du cas personnel de l'auteur, qui, je le pense toujours, a eu beaucoup de chance, et généralisait et mélangeait des choses complexes et qui n'ont absolument rien à voir.

Bref, c'est peu être un peu sans intérêt de ressortir ce topic maintenant, mais bon...

Edit: bon, allez, je vais détailler un peu c'est quoi le problème principale.

Déjà, l'expérience de Tisi n'a rien à voir avec de la phobie sociale. Des crises d'angoisse, va savoir... Mais pas de la phobie sociale.

Si la phobie se caractérise par une peur d'une situation sociale précise, de nombreuses autres émotions comme la honte entrent en jeu. Et notamment, on constate souvent une même séquence de comportement: le phobique réprime les émotions engendrées (prends sur lui donc, et se sort les doigts du cul pour faire face, comme un guerrier :D ), a honte, se cache, parfois de manière extrêmement habile, car il a peur du jugement des autres, qu'il a tendance à voir comme des agresseurs potentiels (de manière plus ou moins indirecte). Le tout en adoptant des stratégies qui peuvent être très subtiles, mais aussi (très) handicapantes pour sa vie sociale.
Surtout, un schéma que l'on constate aussi est une tentative d'expliquer de manière rationnelle un trouble complètement irrationnel et en plus inconnu de beaucoup de gens. Je veux dire, l'éreutophobie par exemple. C'est la peur de rougir. Vous voyez un gars rougir sans aucune raison. Vous allez penser à quelque chose qui va vous rendre menaçant pour le rougisseur ? Alors pourquoi avoir peur ? Qui il y a-t-il à craindre à rougir ? Souvent, le malade peut trouver une explication logique, cohérente, et surtout... complètement à côté de la plaque. Beaucoup expliquent prendre pleinement conscience du problème à partir du moment où ils entendent d'autres témoignages. Toutes leurs belles théories s’effondrent lorsqu'ils constatent que si les justifications et explications diffèrent, les conséquences et les comportements sont pareils.
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