La vie est faite de virages, d'obstacles à surmonter, d'audace, de surprises et de rencontres décisives. Racontez votre histoire, entrez dans la légende; partagez vos cheminements, vos interrogations, vos rencontres, vos aventures - foirées ou réussies, c'est pas le plus important - et recevez les avis et conseils des autres membres.
tibdeconne a écrit :Il m'est arrivé quelquefois (assez rarement cela dit) de me retrouver dans ce genre de situations. Et du coup je me demande toujours quoi en penser. Est ce que cela ne signifie strictement rien et c'était seulement pour le fun?
Que ce soit sincère de leur part ou pas, n'entre pas dans ce petit jeu avec le premier degré. Il y a toujours une partie test (cf: est-ce que ça fait longtemps que t'as pas baisé et tu es prêt à prendre la première fille qui s'intéresse à toi? Est-ce que t'es un énième boulet crevard? etc.). Ce genre de "révélations" verbalisées, faut les prendre avec des pincettes. Plutôt que de parler, agir.
Dans ce genre de cas (comme tu ne sais pas si elle joue ...mais il y a de grosses chances), c'est plutôt la teaser (si bien sûr, elle t'intéresse!) et partir sur du second degré où toi et elle, c'est impossible, trop de différences, blabla... (cf: barrière) ou alors tu amènes l'interaction sur un jeu de rôle où comment elle s'imagine le prince charmant venant sur son cheval et l'enlever ou encore tu lui demandes les critères de son prince charmant idéal
Bref, amuse-toi sans être méchant, amène du fun, tu te démarqueras des autres.
Tout ce qui est terre à terre, c'est chiant (ou alors c'est une fille pas fun du tout donc peut-être, passe ton chemin) et tu sais très bien que:
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" Les filles, je sais que vous fantasmez toutes sur moi mais on va se calmer, vous le devriez savoir maintenant, que je suis Vierge ( ascendant taureau ), innoncent, pur, immaculé et ... tiens c'est quand meme vrai que tu as de gros seins... Bref, qui reprendra un peu vodka ? "
Sinon, merci les mecs pour vos réponses. Parfois je me demande ce que je ferais sans vous <3
Katsu ayant développé par MP, et étant donné que vous vous accordez tous pour dire à peu près la même chose, je vais résumer ainsi: concrètement on peut dire que c'est un shit-test, et un shit-test sous-entend forcément un intérêt, donc au final mes deux hypothèses sont vraies mais c'est plus positif que négatif.
Merci encore pour les conseils, je les exploiterai la prochaine fois
Pour la suite, j'ai répondu à peu près comme je vous l'ai décrit (vu que je savais pas trop comment réagir)...
Mais disons que dans la suite de la soirée j'ai eu confirmation de l'éventuel intérêt que P. pouvait me porter=> elle m'a prise par le bras en marchant (certainement aidée par les effets de l'alcool), et m'a appelé à plusieurs reprises sans raison aucune. Alors je suis d'accord pour dire que tant que la fille est pas à poil dans son lit on ne peut rien affirmer, mais ça fait toujours plaisir
Je lui ai envoyé un texto en rentrant, qui n'a pas reçu de réponse.
Autre élément que je ne vous ai pas dit: elle est en couple et habite ici avec son mec, mais de ce que j'ai compris ça va pas fort en ce moment.
Comme ça risque d'être assez compliqué, je pense que pour l'instant je ne vais pas aller plus que ça vers elle et voir comment ça se passe lorsqu'on se recroisera en soirée ou autre.
D'un autre coté je me dis que j'ai peut-être déjà foiré le truc.
Et je me rends compte que c'est là que j'ai un gros problème: mon problème n'est pas forcément d'intéresser les filles, puisque j'arrive à en intéresser une partie sans faire grand chose (je m'en étonne toujours d'ailleurs), mais d'arriver à gérer la suite (cf. cette fille de ma classe qui m'a demandé si elle pouvait venir chez moi), et c'est jamais qu'un exemple parmi d'autres.
Je suis plus ou moins dans une situation similaire avec deux filles de mon cours de suédois (une allemande et une grecque)=> je sais que l'intérêt existe mais je me demande comment l'exploiter. Je flippe de pas assurer et j'ai besoin de me rassurer. Et c'est là-dessus que j'ai un gros travail à faire.
Que faire donc à partir du moment où je sais que l'intérêt existe?
Je pense que vous m'avez répondu: go playful, Serial, Hydrogene et Olfff ont donné de bons exemples/de bonnes répliques, à adapter aux différentes situations.
En fait le truc avec toi c'est qu'il faut te forcer a etre plus "relou".
Dans le sens plus "agressif" dans ta demarceh, moins fun fun haha.
Le fun fun haha c'est ton coeur de metier thib. Tu es drole, tu es confident dans le fait que tu es drole et tu en joues.
Moi aussi c'est mon coeur de metier.
Mais le truc c'est que c'est aussi ta zone de confort.
Quand une meuf te prend le bras alcoolisée, tu l'embrasse, si elle dit non osef, mais t'as tenté.
Quand elle t'appelle maintes fois sans raison, tu lui dis " bon sinon part me stalker, clairement c'est quand que tu passes pour que je te fasse l'amour ?" si elle dit non osef, mais t'as tenté.
Je sais combien tu peux etre bordelique et demoniaque...
Mais c'est un bordel auto-centré loman, projette ton aura de discorde sur la meuf, fais lui sentir la chaleur infernale de ta (de)connerie.
Bref, lead, escalade.
Puis dans ces moments ou tu sens que t'as raté un coche, utilise un tip du Jedi.
Blusher a ecrit d'excellent articles sur son site, et dans deux d'entres eux on retrouve un conseil que j'ai moi meme souvent utilisé, et qui est redoutable :
Si tu as raté le coche il suffit de remonter le temps. EC profond, regarder vaguement l'endroit ou vous etiez precedement si vous avez bougé de place, re EC profond :
" Hey, tu te souviens de ce moment....* pause* tout à l'heure ...*pause* pres du canap' * pause* jimmy faisait l'abruti derriere * pause* et on se regardait... puis * pause* ... je crois qu'a ce moment * pause* j'ai eu comme envie..* pause,
(l'idee ici c'est que ton discours ralenti a mesure qu'on remonte dans le temps, que l'echange se recharge en tension sexuelle parce qu'on revit tous les deux l'instant dont tu parles )
* de t'embrasser...
La machine a remonter le temps : debit de parole + high contact. De quoi faire peter les plomb au Doc :
Olfff a écrit :
Je sais combien tu peux etre bordelique et demoniaque...
Tu as un exemple en tête?
Sinon, t'as raison à 100%, du coup tu me pousses à faire avancer la réflexion plus loin.
Le gros problème que j'ai par rapport à ce que tu dis, et notamment du tips que tu m'as donné, c'est que je me vois mal faire ça devant les gens de ma classe, à cause de la pression sociale. Parce que ouais je sais pas où ça peut aller et j'ai pas envie de faire trop de vagues.
Effectivement j'ai un coté "bordélique et démoniaque", mais j'ai aussi un coté qui a besoin d'être rassuré, de savoir où il va. Ce qui explique que je peux avoir un comportement différent selon la personne en face, selon les réactions, selon les personnes avec qui je suis, l'environnement, etc etc...
Par exemple je peux tenter d'embrasser une fille au bout de 20 minutes de date parce que je sais que c'est possible, comme ne rien tenter parce que la fille m'impressionne. Et dans le deuxième cas je chercherai d'abord à me protéger (s'il y a une pression sociale forte par exemple).
Les fois où il m'arrive de "foncer" c'est parce que je pense que les conséquences éventuelles n'auront finalement que peu d'impact, me poussant par là à agir.
D'ailleurs je pense que c'est pour ça que j'aime autant le SPU, parce que pour moi la pression sociale y est pratiquement inexistante.
Un peu comme si j'avais un verrou qui m'empêchait de m'exprimer pleinement. Et j'aimerais bien savoir comment faire sauter ce verrou.
Une sorte de brusque retour à la réalité/mise à nu
J'ai récemment pu assister à de récents évènements, qui en soi n'ont pas beaucoup d'importance mais qui mis bout à bout commencent à faire un sacré paquet de choses, et m'en font réaliser pas mal sur moi-même par la même occasion.
Le premier d'entre eux: deux filles de ma classe, dont j'avais des raisons de croire que je pouvais leur plaire, ont finalement été flirter avec d'autres mecs (une en soirée pas plus tard que tout à l'heure et une autre avec un mec qu'elle a rencontré à l'occasion, en passant très sympa comme mec).
Pas que j'avais particulièrement des vues sur elles, mais allez savoir pourquoi je l'ai mal pris. Un peu comme si j'avais voulu me dire qu'elles étaient à moi et pour finalement me rendre compte que non.
Deuxième évènement (en fait précédant le premier), justement les deux soirées où les deux filles ont flirté avec d'autres mecs (la première vendredi soir et la deuxième samedi soir)=> vendredi soir ça a commencé avec deux filles de ma classe, on tape la discute vite fait, le mec qui va finir avec l'un d'entre elles se ramène. Un mec génial, qui réussissait à captiver les filles avec ses conneries sans problème. Tellement captivant que moi-même j'ai kiffé ce mec.
Samedi soir, suis allé en boite avec plusieurs autres personnes de ma classe, et j'ai pas été foutu d'aborder une seule fille sur le dancefloor, sauf une vite fait, et j'ai pu m'étonner de voir que des mecs approchant la fille par derrière pour danser avec elle ça marchait... Bref.
Qu'est ce que tout ça m'a fait réaliser?
Un tas de trucs. Tout d'abord, j'ai un gros problème de spontanéité quand il s'agit de parler avec des meufs. Autant j'ai relativement peu de problèmes pour communiquer avec des mecs, autant avec les meufs j'y arrive moins bien.
Parce que malgré moi une certaine distance existe toujours? Parce que j'ai toujours peur d'être jugé? Allez savoir.
Pour aller plus loin: cela vient de la vision que j'ai des femmes. J'ai toujours tendance à penser que les femmes sont des êtres fragiles à ne pas choquer. Et du coup dans un environnement à majorité féminine j'ai tendance à pas dire grand chose, donc il faut y rajouter un problème d'affirmation de soi. Finalement je vaux pas beaucoup mieux qu'un certain boulet débarquant sur FTS se plaignant de choper un tas de meufs mais n'étant pas capable de démarrer une relation avec l'une d'elles.
Je pensais avoir réglé ce problème lorsque j'ai atteint mon pic de succès avec les femmes, mais en réalité cela n'était qu'une illusion. La preuve ici j'ai l'impression de repartir complètement à zéro...
Autant à une époque, parce que je bossais comme recruteur de donateur et que je faisais régulièrement du SPU je pouvais parler à des femmes de façon spontanée, autant là je m'en sens incapable. C'est très étrange, j'ai pu passer ce pallier à un moment mais là je repasse en-dessous. C'est là où je me dis que ce n'était qu'une illusion, j'ai l'impression d'avoir à recommencer de façon continuelle et que je dois réapprendre, encore et toujours.
Là comme ça j'envisage différentes solutions: 1) aller voir un psy pour travailler sur mes propres insécurités (ce fameux verrou dont je parlais dans le post précédent). Pas que je me sente particulièrement mal en ce moment mais je me dis que ça pourrait pas me faire de mal de travailler sur moi, vaut mieux prévenir que guérir. Quand je vois qu'une personne proche de moi dans ma famille est en pleine dépression, j'ai pas envie de finir pareil et je me dis qu'il vaut mieux s'en occuper avant que ça puisse arriver.
Problème=> je ne sais pas quel genre de psy aller voir, et je ne sais pas ce qu'il pourra m'apporter (tulpa si tu passes par là...), j'ai clairement pas envie de me shooter aux médocs.
2) aller voir un coach en développement personnel, mais là idem est ce que ça m'aidera réellement? Ou faire du développement personnel tout court, mais comment?
3) faire du théâtre d'impro, pour travailler sur ma spontanéité
Je pense que l'idéal serait de faire un peu de tout. Du coup, vous en pensez quoi? Qu'est ce que vous pourriez conseiller pour travailler sur tout ça?
J'ai besoin de savoir quel chemin emprunter pour m'améliorer.
Remarque que t'es important pour moi, je change pas mon "Yo' !" pour n'importe quoi.
Je crois que j'ai le souci inverse, j'vois en les femmes celles qui peuvent me mener à ma perte, celles qui peuvent me descendre plus facilement que toutes les humiliations que j'ai subi quand j'étais môme. J'me méfie, mais ça me gonfle, parce que je vois un tas de jolies demoiselles qui ne demandent qu'à passer une nuit avec un garçon.
Pour m'être fait clouer par un autre mec en soirée y'a quelques mois, j'ai cru qu'on plantait une pancarte "Second choix" sur ma gueule, et ça m'a franchement mis la rage.
Le psy ou le coach en développement personnel, j'sais pas trop, j'suis jamais allé voir un des deux, sauf le Psy', que j'ai vu qu'une fois pour des tests à la con.
Ca fait mal de se dire qu'en fait, tes chasses gardées ne le sont pas, et qu'on est en concurrence à chaque moment.
Mais faut dépasser ça, en se disant "Y'a trois milliards cinq de mecs et de meufs, okay, j'ai perdu une meuf, mais c'est le cours des choses".
Tu peux pas accompagner Serial pour une mission commando ?
Un truc que je ne comprends pas. T'es en Erasmus, la fin d'année scolaire et pour bientôt (Mai-Juin là-haut). Franchement qu'est-ce que t'en as à faire des jugements de personnes que tu ne reverras plus dans ta vie d'ici quelques semaines.
Sinon prends un ticket de train et va faire un tour à la "Gula Villa" de l'université de Stockholm un jeudi soir et tu prolonges ton week-end par un vendredi/samedi soir à Södermalm, le quartier des bars et boîtes.
Personne ne te connaîtra. Par contre, n'oublie pas ta Visa, ça douille là-bas
Les mecs, je peux voir le soleil briller par ma fenêtre, putain j'ai jamais vu autant de soleil depuis que je suis ici. C'est con mais ça fait grave du bien !
Ah oui, aussi: [youtube][/youtube]
Quoi de mieux pour commencer la journée?
Revenons à nos moutons
Raven, jeune padawan plein de potentiel a écrit :Yo' ma poule !
Remarque que t'es important pour moi, je change pas mon "Yo' !" pour n'importe quoi.
Je crois que j'ai le souci inverse, j'vois en les femmes celles qui peuvent me mener à ma perte, celles qui peuvent me descendre plus facilement que toutes les humiliations que j'ai subi quand j'étais môme. J'me méfie, mais ça me gonfle, parce que je vois un tas de jolies demoiselles qui ne demandent qu'à passer une nuit avec un garçon.
Je pense que dans ton cas comme dans le mien ça part du même sentiment=> les (belles) femmes nous "fascinent" et nous "impressionnent", et tu as toujours un peu peur de ce qui t'impressionne. Le "forçat" décrit par Blusher.
Moi après je justifie ça en disant que je ne veux pas les choquer, toi tu dis que tu te méfies, mais je pense que dans les deux cas ça part d'un manque de confiance en soi et d'un sentiment qu'on ne les mérite pas vraiment.
Dans mon cas j'arrive encore à m'étonner quand je plais à des filles.
Psy', que j'ai vu qu'une fois pour des tests à la con.
Toi ausi il t'a dit que t'avais des capacités mais que tu devais bosser à l'école?
Remarque ça m'a pas empêché de continuer à être un branleur
Hydrogene, le sage a écrit :Un truc que je ne comprends pas. T'es en Erasmus, la fin d'année scolaire et pour bientôt (Mai-Juin là-haut). Franchement qu'est-ce que t'en as à faire des jugements de personnes que tu ne reverras plus dans ta vie d'ici quelques semaines.
C'est pas faux... Mais entre l'admettre et l'intégrer il y a un pas. De toute façon faut que je me fasse un week-end à Stockholm c'est clair
Holden Caulfield, demi-dieu mangeur de pizza a écrit :C'est pas exclusif. Tu peux leur plaire ET elles peuvent aussi flirter avec d'autres mecs, tout comme une fille te plairait alors que t'irais faire ton petit numéro à une autre : ça pose aucun problème, right ?
Je sais que c'est plus facile à dire qu'à faire, mais faut essayer de sortir l'égo de l'équation. T'as pas à mal prendre ce genre de truc, et en plus franchement toi qui a fait du SPU t'as du être habitué à des refus francs et directs qui sont sensément plus violent psychologiquement que ce genre de dissonance entre ton plan et la réalité.
+1, t'as raison à 100%, elles ne me doivent rien. Mais là encore, il y a un pas entre l'admettre et l'intégrer.
Le problème comme tu l'as très bien dit vient de l'ego.
Quand j'étais ado, je me sentais pas super bien dans ma peau (c'est un euphémisme). Et je pensais à ce moment là qu'avoir une copine règlerait mes problèmes de confiance en moi, donc je voulais désespérément avoir une copine. Je voulais être aimé. Et j'ai fini par avoir une copine un peu par hasard à mes 17 ans.
Elle a fini par me larguer parce qu'elle me trouvait "étouffant"=> je projetais sur elle mes insécurités sans le savoir.
Puis une fois on m'a dit que "avant d'aimer quelqu'un, il faut d'abord s'aimer soi-même", j'avais compris ce que ça signifiait mais je pense que je ne voulais pas trop l'admettre.
Puis je suis arrivé sur FTS, quelques années plus tard. Je pensais avoir seulement quelques problèmes avec les filles, donc je me suis lancé dans le game via le SPU.
Je me suis également rendu compte que j'avais un certain besoin de validation, un peu trop poussé.
Si je devais schématiser, ça serait ça: problème de confiance en soi=> problème d'ego=> besoin de validation. En fait dans le fond je n'ai jamais cessé de vouloir être aimé, oui je sais c'est profondément égoïste.
Là je viens de tomber sur le post de Smooth, et j'ai fait exactement ce qu'il décrit, c'est-à-dire prendre le problème à l'envers: draguer des filles pour se sentir bien plutôt que de commencer par se sentir vraiment bien pour draguer des filles.
Et c'est là où je veux traiter le problème à la racine. Je peux continuer à draguer des filles tant que je veux, si je règle pas le problème à la racine je continuerai à me poser des questions.
Et de plus ça risque de me poser des problèmes sur le plus long terme pour une relation de couple, et dans ma vie de façon générale.
Je veux me débarrasser de ce putain de besoin de validation, de ce problème de confiance. Ou du moins le réduire.
Donc je vais prendre un tournant plus "développement personnel" et moins "drague", d'où les différentes possibilités que j'ai énoncées pour y arriver: un psy? Théâtre d'impro? Coach en développement personnel? Autre?