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(Clavier anglais pas d accent)
C est clair pas seulement avec les femmes. Du meme genre que chanter dans la rue ca demande un autre genre de courage/confiance.
Bon j ai pas encore suivi ton journal donc je ne comprends pas le pourquoi du comment, en tout cas si tu es inconfortable a le faire mais le fais tout de meme, n oublie pas de te feliciter des moindres actions dans ce sens que tu fais.
C est clair pas seulement avec les femmes. Du meme genre que chanter dans la rue ca demande un autre genre de courage/confiance.
Bon j ai pas encore suivi ton journal donc je ne comprends pas le pourquoi du comment, en tout cas si tu es inconfortable a le faire mais le fais tout de meme, n oublie pas de te feliciter des moindres actions dans ce sens que tu fais.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Intéressant le 19.03.14, 01h07 par tibdeconne
tibdeconne a écrit :Aujourd'hui, j'ai commandé un café au mcdo, et sans déconner j'ai bien mis 10 minutes à donner une excuse bidon pour me le faire changer.Aujourd'hui, alors que je parlais de ma tendance naturelle à me mettre un frein dans ma vie du fait de mon manque de confiance en moi, elle m'a conseillé de faire quelque chose pour m'amener à changer la donne. Concrètement, commander quelque chose à un endroit et demander à ce qu'il soit changé pour une raison quelconque.
Bref, l'approach anxiety ne concerne pas que la drague.
Cherche les réponses en toi!
Fais gaffe, y'a un poulet crevé dans ton café.tibdeconne a écrit :Aujourd'hui, j'ai commandé un café au mcdo, et sans déconner j'ai bien mis 10 minutes à donner une excuse bidon pour me le faire changer.Aujourd'hui, alors que je parlais de ma tendance naturelle à me mettre un frein dans ma vie du fait de mon manque de confiance en moi, elle m'a conseillé de faire quelque chose pour m'amener à changer la donne. Concrètement, commander quelque chose à un endroit et demander à ce qu'il soit changé pour une raison quelconque.
Bref, l'approach anxiety ne concerne pas que la drague.
Un mec que je connais a bossé chez McDo, ça fait 3 semaines que j'y ai pas mis les pieds.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Lol le 21.03.14, 00h34 par tibdeconne
- [0] le 23.03.14, 18h58 par AigleFour
J'ai méga la pêche en ce moment, j'ai repris le taff et ça me fait du bien de plus passer mes journées chez moi à me lever à 15h et à me branler les couilles.
Puis à coté de ça je vais choper un studio en sous-loc à Paris par un pote, donc je verrai plus la tronche de ma mère et je vais plus me galérer à devoir rentrer chez en RER ou noctilien, donc ça aussi c'est cool.
Dans les autres grandes nouvelles, je raconte que de la merde depuis 3 jours et je me remets d'un week-end alcoolique où je voyais le monde à travers une bouteille de vin avec des potes.
Et je crois que j'ai jamais eu autant envie de baiser, putain c'est ouf, certainement le printemps qui veut ça. J'ai recontacté des filles avec qui j'ai déjà couché pour concrétiser cela, et je vais en revoir une petite que j'avais rencontrée l'été dernier
Ya une fille dans mon équipe, c'est même pas que j'ai envie de coucher avec, c'est que si je le fais pas ma vie est foutue... Elle est brune aux yeux bleus et a le charme d'une fille un peu timide, quand je la vois et lui parle j'ai juste envie de la démonter sur place...
Seul problème elle est de Lille et est venue à Paris habiter avec son mec.
Mais je ne crois pas me tromper en me disant que je lui plais bien, quelque chose que je ressens dans son attitude. Autant il y a 4 ans je galérais à mort pour voir si je plaisais à une fille, autant aujourd'hui c'est quelque chose sur lequel je suis sûr de ne pas me tromper.
Pour la p'tite histoire. J'étais parti avec un pote en Roumanie en 2009 faire un chantier de jeune pendant 2 semaines, où on était 4 Français dont une fille super mignonne. Et je n'ai compris que je lui plaisais qu'à la fin, au moment où on s'est quitté...
La bonne nouvelle, c'est que là elle a trouvé un boulot à Paris donc je vais pouvoir la revoir. Et pour le coup je me dis pourquoi pas me poser un peu avec elle.
La mauvaise nouvelle, c'est qu'elle aussi a un mec, et ce depuis un paquet de temps...
A part ça j'avais pris un café il y a six mois avec une fille que je vais revoir bientôt, et je parle à quelques filles sur badoo.
Je dois avouer qu'à l'heure actuelle j'ai bien envie d'un peu de stabilité et de complicité
Puis à coté de ça je vais choper un studio en sous-loc à Paris par un pote, donc je verrai plus la tronche de ma mère et je vais plus me galérer à devoir rentrer chez en RER ou noctilien, donc ça aussi c'est cool.
Dans les autres grandes nouvelles, je raconte que de la merde depuis 3 jours et je me remets d'un week-end alcoolique où je voyais le monde à travers une bouteille de vin avec des potes.
Et je crois que j'ai jamais eu autant envie de baiser, putain c'est ouf, certainement le printemps qui veut ça. J'ai recontacté des filles avec qui j'ai déjà couché pour concrétiser cela, et je vais en revoir une petite que j'avais rencontrée l'été dernier

Ya une fille dans mon équipe, c'est même pas que j'ai envie de coucher avec, c'est que si je le fais pas ma vie est foutue... Elle est brune aux yeux bleus et a le charme d'une fille un peu timide, quand je la vois et lui parle j'ai juste envie de la démonter sur place...
Seul problème elle est de Lille et est venue à Paris habiter avec son mec.
Mais je ne crois pas me tromper en me disant que je lui plais bien, quelque chose que je ressens dans son attitude. Autant il y a 4 ans je galérais à mort pour voir si je plaisais à une fille, autant aujourd'hui c'est quelque chose sur lequel je suis sûr de ne pas me tromper.
Pour la p'tite histoire. J'étais parti avec un pote en Roumanie en 2009 faire un chantier de jeune pendant 2 semaines, où on était 4 Français dont une fille super mignonne. Et je n'ai compris que je lui plaisais qu'à la fin, au moment où on s'est quitté...
La bonne nouvelle, c'est que là elle a trouvé un boulot à Paris donc je vais pouvoir la revoir. Et pour le coup je me dis pourquoi pas me poser un peu avec elle.
La mauvaise nouvelle, c'est qu'elle aussi a un mec, et ce depuis un paquet de temps...
A part ça j'avais pris un café il y a six mois avec une fille que je vais revoir bientôt, et je parle à quelques filles sur badoo.
Je dois avouer qu'à l'heure actuelle j'ai bien envie d'un peu de stabilité et de complicité

- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Like ! le 25.03.14, 22h33 par AigleFour
- [0] La suite, vite ! le 21.04.14, 23h53 par Zaik
Il y a un an sur ce journal je parlais de mes problèmes d'estime de soi, ayant réalisé que mon problème n'était pas les relations avec les femmes, mais mon estime de soi. Les relations avec les femmes n'étaient (et sont toujours) que la partie émergée de l'iceberg.
Décidant de prendre le problèmes à bras le corps, j'ai commencé par voir une psy spécialisée en thérapie comportementale et cognitive l'été dernier, puis une autre en début d'année. Dans les deux cas je n'ai pas trouvé que c'était réellement adapté à mon cas, apparemment les TCC sont adaptées pour une névrose précise, type phobie sociale, ce qui n'est pas mon cas.
Me renseignant un peu plus sur les différents types de thérapie, je me suis renseigné sur l'hypnothérapie, et j'ai fait une première séance d'hypnose avec une hypnothérapeute.
De ce que j'ai lu, ce type de thérapie est à la fois courte et efficace dans la mesure où l'on touche directement l'inconscient.
Donc on a passé la première séance à discuter de mes attentes, elle m'a donné quelques conseils sur des choses qui m'inquiétaient pour m'aider à avancer, et on a attaqué la séance d'hypnose.
Au terme de ma première séance j'ai senti une légère amélioration, certes minime mais c'est toujours ça de pris.
J'ai bon espoir qu'en continuant cette thérapie ça m'aidera réellement à avancer.
Décidant de prendre le problèmes à bras le corps, j'ai commencé par voir une psy spécialisée en thérapie comportementale et cognitive l'été dernier, puis une autre en début d'année. Dans les deux cas je n'ai pas trouvé que c'était réellement adapté à mon cas, apparemment les TCC sont adaptées pour une névrose précise, type phobie sociale, ce qui n'est pas mon cas.
Me renseignant un peu plus sur les différents types de thérapie, je me suis renseigné sur l'hypnothérapie, et j'ai fait une première séance d'hypnose avec une hypnothérapeute.
De ce que j'ai lu, ce type de thérapie est à la fois courte et efficace dans la mesure où l'on touche directement l'inconscient.
Donc on a passé la première séance à discuter de mes attentes, elle m'a donné quelques conseils sur des choses qui m'inquiétaient pour m'aider à avancer, et on a attaqué la séance d'hypnose.
Au terme de ma première séance j'ai senti une légère amélioration, certes minime mais c'est toujours ça de pris.
J'ai bon espoir qu'en continuant cette thérapie ça m'aidera réellement à avancer.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Bonne idée le 02.05.14, 00h38 par Blusher
- [0] Intéressant le 02.05.14, 03h50 par Onmyoji
- [0] Bonne idée le 02.05.14, 19h06 par Camihot
- [0] Bonne idée le 02.05.14, 20h14 par Zaik
Edit : fatale error 15000.
Je sais pas comment j'ai fait je repondais au topic sur le mal etre et j'ai pollué ton journal sans faire expres, sorry thib.
Je sais pas comment j'ai fait je repondais au topic sur le mal etre et j'ai pollué ton journal sans faire expres, sorry thib.
Il y a une différence entre savoir pourquoi (dans mon cas je dirais que c'est à cause de mes parents) et être capable de surmonter ce pourquoi.Bien souvent les gens savent pertinement pourquoi ils se sentent mal, seulement refusent de se l'avouer et d'agir dessus. Parce qu'il y a une certaine forme de confort dans la tourmente et l'auto apitoiment, voire l'appel a l'apitoiment d'autrui.
Je me le suis suis avoué, j'ai essayé d'agir dessus, et pourtant j'ai toujours autant de blocages.
Et puis, pourquoi est-ce qu'une angoisse n'aurait pas une origine inconsciente?
Pour autant je pense qu'on ne va pas voir un therapeute parce qu'on se sent mal. Mais parce qu'on est cliniquement malade. La nuance est importante a mes yeux.
Je comprends pas, d'un coté tu dis que tous les gens qui vont voir un thérapeute sont dépressifs ("cliniquement malade"), de l'autre coté tu dis qu'ils feraient mieux de pas prendre de cachetons.Combien de personnes sont envoyees chez un therapeute pour se faire prescrire des pillules plutot que prendre leurs angoisses en main ? Chose que je vois comme une politique de l'autruche.
Je pense perso que si les français etaient plus pro actifs vis a vis de leurs soucis, nous ne serions pas les premiers consommateurs de cachetons en europe.
Mais tu n'es pas dit qu'on pouvait aller voir un thérapeute justement pour traiter ses angoisses sans prendre de cachetons?
Un thérapeute ne te fait pas prendre de cachetons, il n'y a que le psychiatre qui le fait. Un thérapeute essaye de te soigner justement par d'autres moyens. Et justement avec un thérapeute on est dans une démarche active, c'est ça qui est beau.
Tu ne trouves pas ça positif qu'en allant voir un thérapeute on essaye justement de voir ce qui ne va pas et d'agir dessus?
EDIT: pas grave

- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] +1 le 14.05.14, 07h46 par Zaik
Oui une angoisse peut etre d'origine inconsciente, pour autant je pense que c'est rarement effectivement le cas.
Tu accomodes mes propos :
Je n'ai dit nulle part que tous les gens allant voir un therapeute etaient cliniquement malades, a fortiori le contraire.J'ai dit que selon moi, idealement, seuls les gens cliniquement malades consulteraient un therapeute. Et que de nombreuses personnes n'etant pas vraiment dans la pathologie pourraient largement s' en passer s' ils se prenaient plus en main plutôt que deleguer l'amelioration de leur bien etre a autrui.
Je vois la France comme un gros pays d'hypocondriaques et d'assistés, et les visites chez le psy sur un coup de deprime rentrent totalement dans cette vision..
Apres cela reste ma vision des choses et rien d'autre .
Tu accomodes mes propos :
Je n'ai dit nulle part que tous les gens allant voir un therapeute etaient cliniquement malades, a fortiori le contraire.J'ai dit que selon moi, idealement, seuls les gens cliniquement malades consulteraient un therapeute. Et que de nombreuses personnes n'etant pas vraiment dans la pathologie pourraient largement s' en passer s' ils se prenaient plus en main plutôt que deleguer l'amelioration de leur bien etre a autrui.
Je vois la France comme un gros pays d'hypocondriaques et d'assistés, et les visites chez le psy sur un coup de deprime rentrent totalement dans cette vision..
Apres cela reste ma vision des choses et rien d'autre .
Disons que voir un thérapeute n’empêche en rien de se prendre en main, je trouve la pratique plutôt complémentaire en fait.
C’est un moment de débrief, de réflexion, de prise de recul.
Le vrai problème c’est les gens qui voient un psy, se bourrent la gueule de médoc, mais qui ne font aucun effort à coté pour se remettre en question et avancer.
C’est un moment de débrief, de réflexion, de prise de recul.
Le vrai problème c’est les gens qui voient un psy, se bourrent la gueule de médoc, mais qui ne font aucun effort à coté pour se remettre en question et avancer.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] 100% d'accord le 14.05.14, 10h41 par Camihot
- [0] +1 le 14.05.14, 11h59 par Fate
C'est exactement ce que je voulais dire, il faut à la fois traiter le fond et la forme.Cellar Door a écrit :Disons que voir un thérapeute n’empêche en rien de se prendre en main, je trouve la pratique plutôt complémentaire en fait.
C’est un moment de débrief, de réflexion, de prise de recul.
On va passer par l'action et connaître de nouvelles expériences pour avancer=> aller aborder les filles dans la rue ou voyager par exemple, ça c'est pour la forme, ce qui aura tout de même une influence sur le fond.
Et à coté aller voir un thérapeute c'est traiter le fond.
Ce qu'il faut aussi voir c'est que traiter le fond en profondeur aura aussi un impact sur la forme, en gagnant en confiance en soi on sera potentiellement plus rassuré et donc on ne réagira pas forcément de la même façon aux échecs de la vie, et on n'agira pas forcément de la même façon non plus.
Exactement, c'est pour ça que je pense qu'un thérapeute est bien plus utile qu'un psychiatre, voir un thérapeute est déjà une démarche active.Le vrai problème c’est les gens qui voient un psy, se bourrent la gueule de médoc, mais qui ne font aucun effort à coté pour se remettre en question et avancer.
De plus, les médocs ne sont qu'un palliatif, c'est un peu comme éteindre un incendie sans s'occuper de la cause de l'incendie.
Pour avoir connu des personnes qui n'allaient vraiment pas bien à un certain moment de la vie et qui sont passés par des phases où elles prenaient des médocs, et maintenant n'en prennent plus, ça les a calmés à un moment mais il est évident que le manque de confiance et donc le mal-être plus profond est toujours présent.
Donc les médocs c'est bien sur le court terme s'il y en a vraiment besoin, mais pas sur le long terme.