Bonsoir les amis,
j'espère que tout se passe bien pour vous.
Je passais faire un peu de lecture ici, je me suis dit que j'allais prendre 5 minutes pour vous saluer, vous remercier une autre fois, et vous faire un petit point de la situation, environ 3 mois après l'ouverture du topic.
C'est pour moi le moins que je puisse faire pour vous remercier.
Si mon histoire peut en aider d'autres, amen.
Lorsque je suis entré dans son cabinet, cette femme m'a très vite mis à l'aise.
J'étais sous pression, les traits tirés, le cerveau en compote, les machoires serrées, les muscles crispés.
Il faut dire que ces dernières semaines, mes " angoisses " ( puisque je ne parviens qu'à les nommer de la sorte ) s'étaient accentuées sensiblement.
De nouvelles rencontres, des dérapages - même si moindres que ceux du passé - et surtout une sensation limite de rejet envers ma partenaire. Couplés à une fatigue physique intense due à 4 semaines continues de maçonnerie. Voilà pour le tableau... Ce n'est pas très jovial, la fin du post ne le sera pas d'avantage, le ton est donné.
Cette psychothérapeute me parle au départ d'auto-sabotage, de mécanisme de défense, qu'on appelle communément la peur de l'engagement. A cela, elle me conseille de prendre l'oxygène là où il se trouve, et que si mes envies d'ailleurs sont si pesantes, pourquoi ne pas y succomber ? Mais ne rien dire à la partenaire ... Et puis elle me fait parler, encore, me pose des questions, me met sur des pistes, et change son fusil d'épaule. Ce n'est pas tant l'idée de m'engager avec quelqu'un qui me fait peur, mais plutôt de m'engager avec elle. Perçue comme quelqu'un qui ne me comble pas pleinement. Dans le sens où peut-être la relation ne me convient pas, étant donné que j'en suis arrivé à faire des blocages sur des défauts physiques ( qui sont là, je ne suis pas dans l'invention ).
Elle m'a encouragé à être égoïste, à ne pas laisser durer la situation mais surtout : VIVRE. Selon elle, quand on vibre c'est quand on aime, et je ne vibre plus ... Y'a sûrement un lien très fort entre nous, mais de mon côté ça ne va pas plus loin, je suis dans du confort, du matériel, un choix de sagesse, comme elle dit. En restant avec, je le fais par sens du sacrifice, pour ne pas " faire de mal ". Du coup je m'en fais à moi-même.
Et le jour où je rencontrerai vraiment une fille qui me fait " wouah " ça sera la goutte d'eau qui me fera comprendre que j'avais tout faux ...
Si y'a des questions je rentrerai plus dans les détails, en l'absence de question, je vais digérer tout ça, tenter les dernières recommandations d'usage pour être fixé, et prendre les décisions qui s'imposent.
Is she THE one ?
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] Cool le 09.03.15, 22h55 par Poivron
- [+1] Bonne idée le 09.03.15, 23h11 par Lulla
- [0] Sympa :) le 09.03.15, 23h24 par Sathinelilly
- [0] Bonne idée le 10.03.15, 10h53 par splifstarz