Salut,
je vois un psy 1fois/semaine, et vu que c'est ma deuxième séance, il m'a demandé de faire une liste de mes défauts/qualités, c'est dur de se juger soi-même. Pour faire le résumé de l'épisode précédent, je me suis inscrit à une salle de sport, afin de résoudre mon problème de poids, mais je stagne sur mon problème de relationnel.
J'ai envie de progresser sur ce point, mais j'ai toujours du mal. Je vous explique :
Je n'ai pas de mal à aborder les gens, j'arrive pas à être intéressant. J'ai toujours cette impression de n'avoir rien à raconter, alors que dans ma tête c'est l'extraversion mais quand je suis dans le moment j'ai rien à dire, j'ai toujours ce sentiment d'infériorité. J'ai toujours de peur de me prendre un vent ou un stop, ou de passer pour un con. C'est fou, mais c'est vrai. Quand j'essaie de m'incruster dans une conversation, je dit toujours quelque chose qui plombe l'ambiance, ou bien j'endors les gens. Je suis trop passif, très long à la détente.
Aussi j'ai un problème de sensibilité ou je suis trop "Fragile", je ne prends jamais de risques je reste toujours dans la facilité. Je suis hyperémotif, trop sensible, je me fait trop d'idées sur l'amour (PS : Je ne suis pas OI), l'AFC de base quoi.
Par exemple la fille dont je vous ait parlé dans ma classe, on se taquine on discute et tout, mais par manque d'expérience et de conversation, je n'ai rien à lui dire, donc l'intérêt qu'elle me portait au début, j'ai l'impression qu'il s'est estompé, mais il est pas mort, elle me lance souvent des regards, et tout ça, mais vu que j'ai peur de montrer mon côté dragueur ou amant, j'ai peur de tomber en FZ. Mais c'est une fille assez bizarre, vous pouvez me conseiller de tout lui avouer ce que je ressent mais je vais me prendre un stop ça c'est sur, c'est une fille avec qui faut être dans la subtilité, j'ai analysé sa manière d'être, et je vois à peu près comment elle est. Pour la charmer, faut plutôt être dans le jeu de la séduction et du détachement, mais mon manque d'expérience et d'assurance ne me le permet pas.
Et dans les relations en général, je ne sais pas m'y prendre, je dis toujours des banalités, j'ennuie les gens, je n'attire pas d'intérêt, je ne sais pas rentrer dans un délire, enfin les choses basiques quoi. Et j'ai tendance à être chiant, car je suis un peu taquin, mais je répète souvent les mêmes routines de taquineries donc...
Comment prendre confiance en soi ?
Comment devenir intéressant ?
Comment briser la glace ?
Comment être moins peureux ?
Je vous demande des conseils, si vous pouvez me donner un conseil qui permettrait de me lancer et de corriger ces défauts je m'y attaque dès maintenant, c'est des questions que je me pose.
Ah oui et pour clore cette épisode, j'ai envie de me défaire d'un préjugé, alors SVP soyez convaincant, car c'est un frein et un cercle vicieux dans lequel je suis embarqué. Alors lisez bien et je suis désolé à l'avance si je m'y prends mal :
J'ai toujours pensé que les filles s'intéressent toujours aux salauds, aux mecs qui sont entourés de filles (ce qui n'est pas précisément faux), et que les gens s'intéressent toujours aux salaud, que c'est lui qui réussit dans la vie.
Oh mon dieu... Je viens de m'éclaircir un point de plus dans mon problème. J'ai toujours eu peur de me montrer affectif envers les gens, car j'ai toujours pensé que ça me rendrait faible, vulnérable, et que les filles ne s'intéresseraient plus à moi. L'approbation des filles, je m'en soucie trop, c'est ce qui me bloque aussi. J'ai toujours pensé que pour avoir l'attention des filles et ne pas être FZ, faut être salaud et avoir des discussions superficielles, et être vague dans les discussions (garder un mystère, quoi.), et ne pas trop se dévoiler. C'est des points important que je viens de répertorier, comment s'en débarrasser de ces préjugés ? Ah oui, et j'ai tendance à parfois mentir un peu pour me valoriser aux yeux des gens, je sais c'est mal, mais tout ce qui est dit sur ce forum est pur vérité donc ne vous en faites pas sur ce point. J'aime parler devant les gens dire "je fais ci, je fais ça" sans agir en conséquence, donc je perds toute crédibilité aux yeux des gens.
Bref l'épisode est clos, sur ce...
Mon journal/ Mes Progressions
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] La suite, vite ! le 18.10.15, 23h50 par Buck
Badgooguy, faut que tu soies un peu plus patient.
Tu reviens encore avec les mêmes questions, et on te donnerait les mêmes réponses.
Tu as accepté de remettre tes croyances sur la table, et c'est un pas énorme, mais elles ne s'effaceront vraiment que quand tu auras vécu et touché du doigt ces choses là.
Mais pour en arriver là il faut que tu continues sur ta voie. Il faut que tu acceptes que cela va prendre du temps. Il faut que tu t'armes et que tu te rappelles que le chemin pour devenir cet homme là est aussi important que ton but.
Détends toi, tu as du temps et ça va payer. Continue le psy, abuse de la salle de sport, et si tu peux trouve un sport collectif ou un sport en club. Apprends à écouter, c'est souvent bien plus important que savoir quoi dire. Plutôt que de dire "la bonne phrase au bon moment", essaye plutôt de poser une question à ton interlocuteur... Intéresse toi à ce que l'autre dit plutôt qu'à ce que toi tu vas dire... Tu verras ça change beaucoup de chose.
Tu reviens encore avec les mêmes questions, et on te donnerait les mêmes réponses.
Tu as accepté de remettre tes croyances sur la table, et c'est un pas énorme, mais elles ne s'effaceront vraiment que quand tu auras vécu et touché du doigt ces choses là.
Mais pour en arriver là il faut que tu continues sur ta voie. Il faut que tu acceptes que cela va prendre du temps. Il faut que tu t'armes et que tu te rappelles que le chemin pour devenir cet homme là est aussi important que ton but.
Détends toi, tu as du temps et ça va payer. Continue le psy, abuse de la salle de sport, et si tu peux trouve un sport collectif ou un sport en club. Apprends à écouter, c'est souvent bien plus important que savoir quoi dire. Plutôt que de dire "la bonne phrase au bon moment", essaye plutôt de poser une question à ton interlocuteur... Intéresse toi à ce que l'autre dit plutôt qu'à ce que toi tu vas dire... Tu verras ça change beaucoup de chose.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Constructif le 08.10.15, 21h30 par Blusher
- [0] +1 le 08.10.15, 21h42 par sebz9999
- [0] 100% d'accord le 10.10.15, 10h21 par BadGoodGuy
Suite...
Voilà en fait pour ce nouvel "épisode" je ne vous demande pas de conseils, mais soyez juste attentifs à ce que je vais déblatérer. Mais si vous voulez vous exprimer, allez-y, si ça peut m'aider !
Je suis actuellement en vacances et j'ai rien de prévu, sachant que à cause du lycée ça me les a plombé, du fait que je doit trouver un stage, et j'ai beaucoup de RDV importants que je ne doit impérativement pas rater. Bref là n'est pas vraiment le sujet.
Pour faire clair, j'ai pris le taureau par les cornes, et j'ai attaqué l'un des principaux problèmes mon poids, je me suis inscrit à une salle de sport et à vrai dire, ça me fait un bien fou dans mon esprit, ça me permet de me vider.
Mais je pense que mon égo me bouffe tellement l'esprit que je n'arrive pas à avancer, et c'est une pièce de plus dans ce puzzle géant, je peux vous donner un exemple tout bête, et c'est aussi lié à mes croyances limitantes qui me pourrissent la vie.
Et mon problème est aussi que je me focalises trop sur le fait de vouloir trop plaire aux filles. C'est un frein trop puissant qu'en ce moment, je n'arrive à contrôler. Quand je veux placer une blague dans une discussion de groupe, je me dit toujours que je vais passer pour un rigolo ou pour un relou si ma blague ne fait pas rire les filles en question.
Je me prends trop au sérieux, quand il y a des filles. Et j'ai même tendance à ne plus être moi-même, à être maladroit dans ce que je dit, j'ai le syndrome du "comédien" enfin j'ai déjà entendu cette expression du mec qui n'est pas lui-même. Quand je parle avec des filles de mon lycée, j'ai tendance à les taquiner, (à en abuser même), je reste trop superficiel, je ne crée pas d'intimité, par peur sûrement.
Ah oui, et j'ai tendance à trop penser que si j'étais trop gentil avec les filles je ne serait pas respecté et je serai vu que comme un simple ami, et pas comme un amant.
Oui je sais que ce ne sont que des croyances, j'y croit pas, mais paradoxalement cette croyance me hante donc, oui j'y croit mais je veux ne pas y croire. Cela me fait chier, car ça me coince dans ma quête de la réussite sociale.
Et j'ai peur d'être gentil en fait, parce que j'ai connu des mésaventures à être gentil avec les gens, et quand je voit tous ces salauds qui chopent à la pelle, ça nous mets des idées néfastes en tête.
Avant j'étais quelqu'un d'ouvert, j'hésitais pas à montrer mes émotions, je créait du lien avec les gens, je parlait de tout et de rien, mais je pense que les idées néfastes que j'ai sur la séduction et les relations en général me freinent à mort et tant que je ne m'en débarrasserai pas, je resterai sur la touche. ça me fait chier d'être comme ça, j'en devient limite dépressif, je ne vois personne, et ça m'a rendu tout timide, et phobique social sur les bords. Dommage, car dans le fond je sais que je ne suis pas quelqu'un de mauvais, mais c'est juste un manque d'affirmation de soi que j'aimerais éradiquer.
Et je pense que la perte de poids, sera un grand palier pour y remédier !
Je vous souhaite bonne journée/soirée aux lecteurs, et merci à tous de m'avoir éclairci sur certains points. J'ai quand même eu une marge de progression, vous m'avez déjà beaucoup remis en question comparez mes anciens topics à mes plus récents et vous verrez déjà à quel point j'ai avancé. C'est peut-être pas le résultat que j'ai tant attendu, mais tout vient à point à qui sait attendre. Et ça je ne peux que vous en remercier, je pense qu'avoir découvert ce site a été un signe divin, ça m'aidera à m'améliorer dans ma future vie. Vos conseils m'ont été plus que précieux, et vous avez éradiqués de nombreuses croyances néfaste qui me hantaient. J'espère pouvoir devenir l'homme que j'ai envie d'être, et devenir équilibré, aimé et aimable, et respecté, mais avant tout respectueux. Le chemin est long mais le bout du tunnel en vaut la chandelle, du moins je l'espère.
PS: Ah oui et The_PoP désolé j'avais pas vu ton message, oui la patience est de mise, mais je suis de nature trop pressé, je fais les choses trop vite, je veux des résultats immédiats en fait, mais bon je prends sur moi cette fois-ci. Et merci d'être intervenu.
Voilà en fait pour ce nouvel "épisode" je ne vous demande pas de conseils, mais soyez juste attentifs à ce que je vais déblatérer. Mais si vous voulez vous exprimer, allez-y, si ça peut m'aider !
Je suis actuellement en vacances et j'ai rien de prévu, sachant que à cause du lycée ça me les a plombé, du fait que je doit trouver un stage, et j'ai beaucoup de RDV importants que je ne doit impérativement pas rater. Bref là n'est pas vraiment le sujet.
Pour faire clair, j'ai pris le taureau par les cornes, et j'ai attaqué l'un des principaux problèmes mon poids, je me suis inscrit à une salle de sport et à vrai dire, ça me fait un bien fou dans mon esprit, ça me permet de me vider.
Mais je pense que mon égo me bouffe tellement l'esprit que je n'arrive pas à avancer, et c'est une pièce de plus dans ce puzzle géant, je peux vous donner un exemple tout bête, et c'est aussi lié à mes croyances limitantes qui me pourrissent la vie.
Et mon problème est aussi que je me focalises trop sur le fait de vouloir trop plaire aux filles. C'est un frein trop puissant qu'en ce moment, je n'arrive à contrôler. Quand je veux placer une blague dans une discussion de groupe, je me dit toujours que je vais passer pour un rigolo ou pour un relou si ma blague ne fait pas rire les filles en question.
Je me prends trop au sérieux, quand il y a des filles. Et j'ai même tendance à ne plus être moi-même, à être maladroit dans ce que je dit, j'ai le syndrome du "comédien" enfin j'ai déjà entendu cette expression du mec qui n'est pas lui-même. Quand je parle avec des filles de mon lycée, j'ai tendance à les taquiner, (à en abuser même), je reste trop superficiel, je ne crée pas d'intimité, par peur sûrement.
Ah oui, et j'ai tendance à trop penser que si j'étais trop gentil avec les filles je ne serait pas respecté et je serai vu que comme un simple ami, et pas comme un amant.
Oui je sais que ce ne sont que des croyances, j'y croit pas, mais paradoxalement cette croyance me hante donc, oui j'y croit mais je veux ne pas y croire. Cela me fait chier, car ça me coince dans ma quête de la réussite sociale.
Et j'ai peur d'être gentil en fait, parce que j'ai connu des mésaventures à être gentil avec les gens, et quand je voit tous ces salauds qui chopent à la pelle, ça nous mets des idées néfastes en tête.
Avant j'étais quelqu'un d'ouvert, j'hésitais pas à montrer mes émotions, je créait du lien avec les gens, je parlait de tout et de rien, mais je pense que les idées néfastes que j'ai sur la séduction et les relations en général me freinent à mort et tant que je ne m'en débarrasserai pas, je resterai sur la touche. ça me fait chier d'être comme ça, j'en devient limite dépressif, je ne vois personne, et ça m'a rendu tout timide, et phobique social sur les bords. Dommage, car dans le fond je sais que je ne suis pas quelqu'un de mauvais, mais c'est juste un manque d'affirmation de soi que j'aimerais éradiquer.
Et je pense que la perte de poids, sera un grand palier pour y remédier !
Je vous souhaite bonne journée/soirée aux lecteurs, et merci à tous de m'avoir éclairci sur certains points. J'ai quand même eu une marge de progression, vous m'avez déjà beaucoup remis en question comparez mes anciens topics à mes plus récents et vous verrez déjà à quel point j'ai avancé. C'est peut-être pas le résultat que j'ai tant attendu, mais tout vient à point à qui sait attendre. Et ça je ne peux que vous en remercier, je pense qu'avoir découvert ce site a été un signe divin, ça m'aidera à m'améliorer dans ma future vie. Vos conseils m'ont été plus que précieux, et vous avez éradiqués de nombreuses croyances néfaste qui me hantaient. J'espère pouvoir devenir l'homme que j'ai envie d'être, et devenir équilibré, aimé et aimable, et respecté, mais avant tout respectueux. Le chemin est long mais le bout du tunnel en vaut la chandelle, du moins je l'espère.
PS: Ah oui et The_PoP désolé j'avais pas vu ton message, oui la patience est de mise, mais je suis de nature trop pressé, je fais les choses trop vite, je veux des résultats immédiats en fait, mais bon je prends sur moi cette fois-ci. Et merci d'être intervenu.
Ensuite là où tu parles de syndrome du comédien, ce qu'il te faut c'est :
du lâcher-prise, du lâcher-prise et encore du lâcher-prise.
Tu cherches tellement à être le gars séduisant à l'extrême que tu oublies le plus important : profiter de l'instant présent.
Je te conseille de lire ceci : http://www.frenchtouchseduction.com/il- ... -meme.html
Reste zen. De la merde on en a tous dit, et on n'est pas mort. Prends des risques, explores de nouvelles possibilités.
Ca va venir.
Tu as clairement raison sur ce point là, et crois-moi faut c'est je pense que c'est un problème ultra majeur. Et aussi du fait de mon inexpérience sociale, et ces croyances limitantes je n'arrive pas à créer de lien avec les gens tellement que je suis bourré de complexes et de ces fameuses croyances qui me bloquent. Sur le moment je n'ai rien à dire aux gens, je suis tout calme, je m'auto-censure dans ma tête c'est l'angoisse, je suis tout nauséeux, il m'arrive même d'avoir envie de pleurer (même à ce moment où j'écris). Je me sens toujours faible d'esprit.
Ah oui et je dois aussi vous dire que je viens de tomber OI, contre mon gré. La fameuse fille dont je vous ai parlé. C'est aussi en partie à cause de ça que j'angoisse parfois. J'ai toujours peur de ne pas lui plaire, et je discute assez souvent avec elle, mais je ne vais jamais loin dans la discussion. (Je montre pas mon intérêt) De peur de me prendre un râteau. Je reste trop sur la touche, je ne prends jamais aucun risque et quand je la vois pas, ça me mets un coup au moral, car je me pose trop de question sur, si elle voit quelqu'un, si elle a quelqu'un etc, j'ai déjà un peu flirté avec elle mais tout en gardant des limites (Ce qui m'étonne le plus, c'est que je ne suis pas si mauvais en flirt) donc je lui pas montré un grand intérêt, mais je ne lui ai pas montré du désintérêt. Donc c'est donnant-donnant.
Ces croyances limitantes me pourrissent la vie à un point, je vais essayer d'en parler à mon psy, ça tombe bien ce soir je le vois. J'ai déjà franchi beaucoup d'étapes mais il faut que j'éradique ou que j'apprenne à gérer certains de mes problèmes :
- L'affirmation de soi
- Hypersensibilité (à la critique aussi)/ Hyperémotivité
- Mon poids (J'y travaille et à vrai dire, j'en suis pas mécontent, j'ai déjà perdu 1,5kg en 1 semaine sachant que je viens de commencer ça fait une semaine).
-Ma possible phobie sociale (Parmi tous les symptômes que j'ai pu lire, la totalité des symptômes je les ai). Ah oui et c'est peut-être aussi ça qui me donne cette peur d'être gentil.
Je suis de nature à baisser les bras trop vite, et surtout je démoralise trop vite, et quand j'ai pas le moral (ce qui est souvent le cas) je suis toujours motivé à rien faire, et à procrastiner. Ce qui est dommage...
Bon allez sur ce...
J'vais écrire cette suite pour vous parler, d'un de mes fâcheux problèmes qui me pollue.
C'est la procrastination et la recherche de la facilité. Vous allez comprendre.
Je remets toujours tout à demain, bien que je m’efforce à tout faire au moment venu, je reporte à 1h plus tard, et 1h plus tard je reporte à 1h plus tard et le cercle continue de tourner.
C'est devenu limite un réflexe aussi naturel que la respiration, par exemple pour ce qui est de mes devoirs je les reporte, et les re-reporte, en gros c'est soit je les fait pas et je me tape un zéro, ou bien je les fait en cours ou dans le pire des cas à 23h à la veille des cours du lendemain.
Oui et même pour ce qui est d'aller à la salle de sport, je me trouve toujours des excuses pour ne pas y aller ou au meilleur des cas, je me force à y aller, mais le pire du pire, c'est que je n'ai rien de mieux à faire, et pourtant j'arrive à avoir une excuse pour ne pas y aller.
Cela a failli gâcher mon année scolaire, sachant que comme un idiot, au lieu de chercher un stage le plus tôt possible (qui est obligatoire au passage), je m'y suis mi aujourd'hui sachant que j'aurais pu commencer en septembre et avoir une place sans qu'il y ait trop de concurrence et de place déjà prises. Mais au lieu de ça j'ai cherché comme un idiot toute l'aprem, et vu que j'ai eu (pour la première fois) un trèfle à 4 feuilles qui me suivait aujourd'hui, j'ai trouvé une place mais j'ai quand même galéré.
Petite parenthèse : Pour ce qui de cette recherche de stage, je suis toujours angoissé, avant de me présenter face au patron et j'ai tendance à fuir, rien qu'à l'idée d'être dehors devant les gens, me faisait peur, et me donnait des montées de larmes pour aucune raison. C'est pour ça que je reportais, c'était plus par peur, que par fainéantise, même si c'était un mélange des deux.
Et pour anecdote, je ne suis jamais à l'aise en stage, je ressent une angoisse et un malaise profond sans savoir pourquoi alors que les gens sont cools avec moi. J'ai des envies de pleurer sans aucune raison, je me dit pourquoi je ne serait pas chez moi ? C'est là où je me sent le plus à l'aise. Je ne crie pas à la phobie sociale, mais y a des facteurs qui ne mentent pas.
Et pour clore le sujet, je vais vous parler de ma facilité à abandonner, à me trouver des excuses ou bien à chercher la solution de facilité.
L'exemple tout bête que je vais vous donner, est aussi valable pour tous les défis que je relève dans la vie.
Tout à l'heure j'étais à la salle de sport, je m'entraînais comme d'hab, j'ai fait ma séance de tapis, qui s'est bien passée, même si je me suis forcé pour la faire. Ensuite j'ai prit la machine suivante, je suis monté sur le vélo, je me mets à pédaler, et au bout de quelques minutes, je sent des brûlures aux cuisses, et c'est en général à ce moment là où ça travaille et où il faut persévérer, mais non, comme un idiot je commençait à me chercher des excuses toutes bêtes du genre "ouais, mais je peux faire mieux demain, je me force pas trop" "pourquoi rester à la salle, alors qu'à la maison je peux regarder une bonne série ? ".
Je baisse les bras, j'ai aucun mental, ça me démoralise, je peux vous jurer que dans le bus j'étais au bord du craquage, j'avais des putains de montées de larmes (comme si l'on m'avait annoncé la mort d'un proche), des larmes coulaient, mais je me retenait tellement que j'en avait mal à la gorge. Rien que là je vous écrit au bord des larmes.
Je le supporte plus, je veux toujours avancer, mais j'y arrive pas, je n'arrive pas à me pousser, j'ai jamais le moral pour faire quoi que ce soit, je me sent comme un zombie, je sent avoir perdu une partie de mon âme, je suis vide, et je peux vous le jurer que je pleure pour un rien, je craque, j'en ai marre, je ne songerait jamais au suicide, mais ça commence à me taper sur les nerfs, je me lamente sur mon sort, je me dit que demain va être mieux pour me consoler, mais je stagne toujours.
Sur ce...
PS : Je ne sait pas pourquoi, mais là je pense être tombé en dépression. Et faut que j'en parle à mon psy avant de me mettre des idées suicidaires dans la tête, ou pire que je me mettes à boire de l'eau de javel ou bien que je me taille les veines. Passez une bonne soirée, et merci d'avoir pris le temps de lire ce pavé.
C'est la procrastination et la recherche de la facilité. Vous allez comprendre.
Je remets toujours tout à demain, bien que je m’efforce à tout faire au moment venu, je reporte à 1h plus tard, et 1h plus tard je reporte à 1h plus tard et le cercle continue de tourner.
C'est devenu limite un réflexe aussi naturel que la respiration, par exemple pour ce qui est de mes devoirs je les reporte, et les re-reporte, en gros c'est soit je les fait pas et je me tape un zéro, ou bien je les fait en cours ou dans le pire des cas à 23h à la veille des cours du lendemain.
Oui et même pour ce qui est d'aller à la salle de sport, je me trouve toujours des excuses pour ne pas y aller ou au meilleur des cas, je me force à y aller, mais le pire du pire, c'est que je n'ai rien de mieux à faire, et pourtant j'arrive à avoir une excuse pour ne pas y aller.
Cela a failli gâcher mon année scolaire, sachant que comme un idiot, au lieu de chercher un stage le plus tôt possible (qui est obligatoire au passage), je m'y suis mi aujourd'hui sachant que j'aurais pu commencer en septembre et avoir une place sans qu'il y ait trop de concurrence et de place déjà prises. Mais au lieu de ça j'ai cherché comme un idiot toute l'aprem, et vu que j'ai eu (pour la première fois) un trèfle à 4 feuilles qui me suivait aujourd'hui, j'ai trouvé une place mais j'ai quand même galéré.
Petite parenthèse : Pour ce qui de cette recherche de stage, je suis toujours angoissé, avant de me présenter face au patron et j'ai tendance à fuir, rien qu'à l'idée d'être dehors devant les gens, me faisait peur, et me donnait des montées de larmes pour aucune raison. C'est pour ça que je reportais, c'était plus par peur, que par fainéantise, même si c'était un mélange des deux.
Et pour anecdote, je ne suis jamais à l'aise en stage, je ressent une angoisse et un malaise profond sans savoir pourquoi alors que les gens sont cools avec moi. J'ai des envies de pleurer sans aucune raison, je me dit pourquoi je ne serait pas chez moi ? C'est là où je me sent le plus à l'aise. Je ne crie pas à la phobie sociale, mais y a des facteurs qui ne mentent pas.
Et pour clore le sujet, je vais vous parler de ma facilité à abandonner, à me trouver des excuses ou bien à chercher la solution de facilité.
L'exemple tout bête que je vais vous donner, est aussi valable pour tous les défis que je relève dans la vie.
Tout à l'heure j'étais à la salle de sport, je m'entraînais comme d'hab, j'ai fait ma séance de tapis, qui s'est bien passée, même si je me suis forcé pour la faire. Ensuite j'ai prit la machine suivante, je suis monté sur le vélo, je me mets à pédaler, et au bout de quelques minutes, je sent des brûlures aux cuisses, et c'est en général à ce moment là où ça travaille et où il faut persévérer, mais non, comme un idiot je commençait à me chercher des excuses toutes bêtes du genre "ouais, mais je peux faire mieux demain, je me force pas trop" "pourquoi rester à la salle, alors qu'à la maison je peux regarder une bonne série ? ".
Je baisse les bras, j'ai aucun mental, ça me démoralise, je peux vous jurer que dans le bus j'étais au bord du craquage, j'avais des putains de montées de larmes (comme si l'on m'avait annoncé la mort d'un proche), des larmes coulaient, mais je me retenait tellement que j'en avait mal à la gorge. Rien que là je vous écrit au bord des larmes.
Je le supporte plus, je veux toujours avancer, mais j'y arrive pas, je n'arrive pas à me pousser, j'ai jamais le moral pour faire quoi que ce soit, je me sent comme un zombie, je sent avoir perdu une partie de mon âme, je suis vide, et je peux vous le jurer que je pleure pour un rien, je craque, j'en ai marre, je ne songerait jamais au suicide, mais ça commence à me taper sur les nerfs, je me lamente sur mon sort, je me dit que demain va être mieux pour me consoler, mais je stagne toujours.
Sur ce...
PS : Je ne sait pas pourquoi, mais là je pense être tombé en dépression. Et faut que j'en parle à mon psy avant de me mettre des idées suicidaires dans la tête, ou pire que je me mettes à boire de l'eau de javel ou bien que je me taille les veines. Passez une bonne soirée, et merci d'avoir pris le temps de lire ce pavé.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Courage le 21.10.15, 09h13 par Bald_Soprano
Effectivement ton post résume bien ton soucis de procrastination et un certain manque de volonté.
Mais courage, t'as le droit de perdre parfois, le seul truc qu'il faut pas c'est lâcher.
Les efforts sont pénibles, et les récompenses arrivent toujours tard.
Mais tu sais quoi, l'effort on finit par y prendre goût. Lâche pas, ça va venir.
Et pour ton entrainement physique, tu sais quoi ? essaye au calme dans ta chambre, un tapis de sol et deux haltères ou bouteilles d'eau, tu te cales un épisode de série ou un film, et tu fais tes exercices. Pépère comme une routine. La série ou le film va te calmer le cerveau et tu pourras bosser pépère. Tout ce que tu fais en la matière est à ce stade toujours mieux que ce que tu ne fais pas.
Pour l'école, sors toi les doigts, confronte ton ego par rapport à tes résultats réels. Oublie ce que tu peux penser sur le potentiel, ton potentiel ne sera que ce que tu en réaliseras. Le reste c'est une notion abstraite, partiale, et subjective qui permet de justifier tout et n'importe quoi. Alors bosse. Retrouve une hygiène de vie bien.
Ne te couches pas trop tard, fais du sport, surveille ta bouffe (très dur), et bosse ce que tu as à bosser à intervalle régulier.
Petit tips pour te motiver. Tu t'achètes un tableau Veleda. Tu notes chaque jour ce que tu as à faire, ce que tu veux faire au feutre. Tu ne l'effaces que quand c'est fait. Facile. Tu verras c'est puissant.
Pour ce qui est du reste, essaye juste d'en faire un peu moins dans le mélodrame. Tu ne joues pas ta vie à chaque pas. Relis ton journal, tu remarqueras les récurrences de tes sujets de prédilection sur lesquels tu tournes en rond comme un poisson rouge dans son bocal. Nos réponses n'ont pas changées.
Tu es jeune et tu es en train de reprendre ta vie en main. Chouette. Mais persévère un peu. Va lire l'article très intéressant de Frenchkiss sur la gratification immédiate et ses dangers.
Allez bon courage, je ne reviendrais pas poster ici avant de voir du changement. Sinon c'est juste que tu n'es pas prêt et que je perds mon temps. Fonce Alphonse, ça va le faire ! Et arrête de te prendre la tête, pour le moment tu penses mal
Mais courage, t'as le droit de perdre parfois, le seul truc qu'il faut pas c'est lâcher.
Les efforts sont pénibles, et les récompenses arrivent toujours tard.
Mais tu sais quoi, l'effort on finit par y prendre goût. Lâche pas, ça va venir.
Et pour ton entrainement physique, tu sais quoi ? essaye au calme dans ta chambre, un tapis de sol et deux haltères ou bouteilles d'eau, tu te cales un épisode de série ou un film, et tu fais tes exercices. Pépère comme une routine. La série ou le film va te calmer le cerveau et tu pourras bosser pépère. Tout ce que tu fais en la matière est à ce stade toujours mieux que ce que tu ne fais pas.
Pour l'école, sors toi les doigts, confronte ton ego par rapport à tes résultats réels. Oublie ce que tu peux penser sur le potentiel, ton potentiel ne sera que ce que tu en réaliseras. Le reste c'est une notion abstraite, partiale, et subjective qui permet de justifier tout et n'importe quoi. Alors bosse. Retrouve une hygiène de vie bien.
Ne te couches pas trop tard, fais du sport, surveille ta bouffe (très dur), et bosse ce que tu as à bosser à intervalle régulier.
Petit tips pour te motiver. Tu t'achètes un tableau Veleda. Tu notes chaque jour ce que tu as à faire, ce que tu veux faire au feutre. Tu ne l'effaces que quand c'est fait. Facile. Tu verras c'est puissant.
Pour ce qui est du reste, essaye juste d'en faire un peu moins dans le mélodrame. Tu ne joues pas ta vie à chaque pas. Relis ton journal, tu remarqueras les récurrences de tes sujets de prédilection sur lesquels tu tournes en rond comme un poisson rouge dans son bocal. Nos réponses n'ont pas changées.
Tu es jeune et tu es en train de reprendre ta vie en main. Chouette. Mais persévère un peu. Va lire l'article très intéressant de Frenchkiss sur la gratification immédiate et ses dangers.
Allez bon courage, je ne reviendrais pas poster ici avant de voir du changement. Sinon c'est juste que tu n'es pas prêt et que je perds mon temps. Fonce Alphonse, ça va le faire ! Et arrête de te prendre la tête, pour le moment tu penses mal
The_PoP a écrit :Effectivement ton post résume bien ton soucis de procrastination et un certain manque de volonté.
Mais courage, t'as le droit de perdre parfois, le seul truc qu'il faut pas c'est lâcher.
Les efforts sont pénibles, et les récompenses arrivent toujours tard.
Mais tu sais quoi, l'effort on finit par y prendre goût. Lâche pas, ça va venir.
Et pour ton entrainement physique, tu sais quoi ? essaye au calme dans ta chambre, un tapis de sol et deux haltères ou bouteilles d'eau, tu te cales un épisode de série ou un film, et tu fais tes exercices. Pépère comme une routine. La série ou le film va te calmer le cerveau et tu pourras bosser pépère. Tout ce que tu fais en la matière est à ce stade toujours mieux que ce que tu ne fais pas.
Oui c'est vrai, mais j'avance pas à pas. La fainéantise est un point culminant dans ma progression. Mais c'est bien plus qu'une simple fainéantise, on dirait un mélange de manque de motivation, de déprime et de flemme. Mais aujourd'hui à la salle de sport, j'ai pris le taureau par les cornes et à vrai dire, ça m'a redonné le sourire d'avoir souffert, je vais essayer de rester sur cette bonne habitude en appliquant la fameuse règle des 21 jours.
Pour l'école, sors toi les doigts, confronte ton ego par rapport à tes résultats réels. Oublie ce que tu peux penser sur le potentiel, ton potentiel ne sera que ce que tu en réaliseras. Le reste c'est une notion abstraite, partiale, et subjective qui permet de justifier tout et n'importe quoi. Alors bosse. Retrouve une hygiène de vie bien.
Oui c'est clair, mais cette mauvaise habitude est comme celle d'un fumeur de longue date, ça va être galère mais, tant qu'il y a le résultat, le reste j'm'en fous.
Ne te couches pas trop tard, fais du sport, surveille ta bouffe (très dur), et bosse ce que tu as à bosser à intervalle régulier.
Le sommeil est un point culminant, mais j'y arrive clairement pas, je suis trop pensif la nuit, c'est impossible de dormir, avant 00h-1h du mat, mais je suis un lève-tôt. 8h je suis debout. Pour ce qui est de l'alimentation, j'y surveille au grain et pour tout t'avouer je m'en sort pas si mal, et à vrai dire ce qui m’étonne le plus, c'est pas le fait que j'ai arrêté toutes ces cochonneries, mais c'est du fait que j'arrive à m'en passer. Pour ce qui est du sport j'y prend goût peu à peu, lentement mais sûrement.
Petit tips pour te motiver. Tu t'achètes un tableau Veleda. Tu notes chaque jour ce que tu as à faire, ce que tu veux faire au feutre. Tu ne l'effaces que quand c'est fait. Facile. Tu verras c'est puissant.
Merci bien, j'y penserait !
Pour ce qui est du reste, essaye juste d'en faire un peu moins dans le mélodrame. Tu ne joues pas ta vie à chaque pas. Relis ton journal, tu remarqueras les récurrences de tes sujets de prédilection sur lesquels tu tournes en rond comme un poisson rouge dans son bocal. Nos réponses n'ont pas changées.
Oui ça c'est vrai que je surenchérit trop les choses de la vie, rien que des fois il m'arrive d'essayer d'esquiver le voisin pour ne pas avoir à lui dire bonjour. Je le déteste ? Non loin de là. J'essaie toujours d'éviter les gens et à vrai dire ça commence à m'effrayer.
Tu es jeune et tu es en train de reprendre ta vie en main. Chouette. Mais persévère un peu. Va lire l'article très intéressant de Frenchkiss sur la gratification immédiate et ses dangers.
Oui et je te remercie d'avoir pris le temps de m'écouter, et dès qu'il y a du neuf je mettrait tout au plat ici. Allez sur ce, bonne soirée !
Allez bon courage, je ne reviendrais pas poster ici avant de voir du changement. Sinon c'est juste que tu n'es pas prêt et que je perds mon temps. Fonce Alphonse, ça va le faire ! Et arrête de te prendre la tête, pour le moment tu penses mal
BadGoodGuy a écrit :The_PoP a écrit :Effectivement ton post résume bien ton soucis de procrastination et un certain manque de volonté.
Mais courage, t'as le droit de perdre parfois, le seul truc qu'il faut pas c'est lâcher.
Les efforts sont pénibles, et les récompenses arrivent toujours tard.
Mais tu sais quoi, l'effort on finit par y prendre goût. Lâche pas, ça va venir.
Et pour ton entrainement physique, tu sais quoi ? essaye au calme dans ta chambre, un tapis de sol et deux haltères ou bouteilles d'eau, tu te cales un épisode de série ou un film, et tu fais tes exercices. Pépère comme une routine. La série ou le film va te calmer le cerveau et tu pourras bosser pépère. Tout ce que tu fais en la matière est à ce stade toujours mieux que ce que tu ne fais pas.
Oui c'est vrai, mais j'avance pas à pas. La fainéantise est un point culminant dans ma progression. Mais c'est bien plus qu'une simple fainéantise, on dirait un mélange de manque de motivation, de déprime et de flemme. Mais aujourd'hui à la salle de sport, j'ai pris le taureau par les cornes et à vrai dire, ça m'a redonné le sourire d'avoir souffert, je vais essayer de rester sur cette bonne habitude en appliquant la fameuse règle des 21 jours.
Pour l'école, sors toi les doigts, confronte ton ego par rapport à tes résultats réels. Oublie ce que tu peux penser sur le potentiel, ton potentiel ne sera que ce que tu en réaliseras. Le reste c'est une notion abstraite, partiale, et subjective qui permet de justifier tout et n'importe quoi. Alors bosse. Retrouve une hygiène de vie bien.
Oui c'est clair, mais cette mauvaise habitude est comme celle d'un fumeur de longue date, ça va être galère mais, tant qu'il y a le résultat, le reste j'm'en fous.
Ne te couches pas trop tard, fais du sport, surveille ta bouffe (très dur), et bosse ce que tu as à bosser à intervalle régulier.
Le sommeil est un point culminant, mais j'y arrive clairement pas, je suis trop pensif la nuit, c'est impossible de dormir, avant 00h-1h du mat, mais je suis un lève-tôt. 8h je suis debout. Pour ce qui est de l'alimentation, j'y surveille au grain et pour tout t'avouer je m'en sort pas si mal, et à vrai dire ce qui m’étonne le plus, c'est pas le fait que j'ai arrêté toutes ces cochonneries, mais c'est du fait que j'arrive à m'en passer. Pour ce qui est du sport j'y prend goût peu à peu, lentement mais sûrement.
Petit tips pour te motiver. Tu t'achètes un tableau Veleda. Tu notes chaque jour ce que tu as à faire, ce que tu veux faire au feutre. Tu ne l'effaces que quand c'est fait. Facile. Tu verras c'est puissant.
Merci bien, j'y penserait !
Pour ce qui est du reste, essaye juste d'en faire un peu moins dans le mélodrame. Tu ne joues pas ta vie à chaque pas. Relis ton journal, tu remarqueras les récurrences de tes sujets de prédilection sur lesquels tu tournes en rond comme un poisson rouge dans son bocal. Nos réponses n'ont pas changées.
Oui ça c'est vrai que je surenchérit trop les choses de la vie, rien que des fois il m'arrive d'essayer d'esquiver le voisin pour ne pas avoir à lui dire bonjour. Je le déteste ? Non loin de là. J'essaie toujours d'éviter les gens et à vrai dire ça commence à m'effrayer.
Tu es jeune et tu es en train de reprendre ta vie en main. Chouette. Mais persévère un peu. Va lire l'article très intéressant de Frenchkiss sur la gratification immédiate et ses dangers.
Oui et je te remercie d'avoir pris le temps de m'écouter, et dès qu'il y a du neuf je mettrait tout au plat ici. Allez sur ce, bonne soirée !
Allez bon courage, je ne reviendrais pas poster ici avant de voir du changement. Sinon c'est juste que tu n'es pas prêt et que je perds mon temps. Fonce Alphonse, ça va le faire ! Et arrête de te prendre la tête, pour le moment tu penses mal
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] La suite, vite ! le 23.10.15, 12h40 par Buck
Salut à tous,
j'écris la suite de mon journal pour vous parler de mon état actuel. Je suis actuellement sous traitement antidépresseur depuis un peu plus de 28 jours, au début le traitement avait des effets plus ou moins bons, mais la dépression est tellement sévère qu'il faut patienter un peu avant d'avoir les effets positif du traitement (Seroplex). J
J'arrive plus trop à positiver, mes relations sociales en sont au même stade, mon anxiété sociale idem, et ma surcompensation due à ma timidité maladive me rend tellement bizarre aux yeux des gens que je le fait fuir. Mon thérapeute m'a conseillé de m'attaquer au soin de ma dépression (qui est une conséquence de mon anxiété sociale), avant de m'attaquer à mon problème principal cité entre parenthèses.
Sinon pour ce qui est de ma perte de poids, y a du bon, j'ai perdu 7kg ce mois-ci et ça s'est vite fait remarquer, du moins au niveau du visage et sur de nombreuses parties du corps. Mais avec mon état dépressif, j'essaie de poursuivre au mieux mon régime, sans trop gaffer, surtout qu'au moindre écart, la culpabilité me hante tellement, que j'en perds le moral, sachant que le moral je le perds pour n'importe quoi.
Bref tout ça pour clarifier ma situation actuelle, sur ce...
PS: Désolé si le pavé est plus court que d'habitude, je n'ai pas grand chose à vous dire, mais si y a du neuf je vous fais signe. ^^
j'écris la suite de mon journal pour vous parler de mon état actuel. Je suis actuellement sous traitement antidépresseur depuis un peu plus de 28 jours, au début le traitement avait des effets plus ou moins bons, mais la dépression est tellement sévère qu'il faut patienter un peu avant d'avoir les effets positif du traitement (Seroplex). J
J'arrive plus trop à positiver, mes relations sociales en sont au même stade, mon anxiété sociale idem, et ma surcompensation due à ma timidité maladive me rend tellement bizarre aux yeux des gens que je le fait fuir. Mon thérapeute m'a conseillé de m'attaquer au soin de ma dépression (qui est une conséquence de mon anxiété sociale), avant de m'attaquer à mon problème principal cité entre parenthèses.
Sinon pour ce qui est de ma perte de poids, y a du bon, j'ai perdu 7kg ce mois-ci et ça s'est vite fait remarquer, du moins au niveau du visage et sur de nombreuses parties du corps. Mais avec mon état dépressif, j'essaie de poursuivre au mieux mon régime, sans trop gaffer, surtout qu'au moindre écart, la culpabilité me hante tellement, que j'en perds le moral, sachant que le moral je le perds pour n'importe quoi.
Bref tout ça pour clarifier ma situation actuelle, sur ce...
PS: Désolé si le pavé est plus court que d'habitude, je n'ai pas grand chose à vous dire, mais si y a du neuf je vous fais signe. ^^
Tu es peut-être un peu déçu que les médicaments ne fassent pas plus d'effet plus vite ?
Est-ce que tu trouves que tu vois assez ton psychiatre, et qu'il te fait avancer ?
Est-ce que tu pourrais trouver une activité sociale à faire qui soit rassurante pour toi, comme par exemple être dans une association qui fait quelque chose qui te plait ? Tu pourrais y cotoyer un cercle de gens qui seraient toujours les même, que tu apprendrais à connaître et dont tu aurais ainsi moins peur, et qui ne seraient pas forcément de ton âge ni de ton lycée, ce qui pourrait peut être te mettre moins la pression ?
Est-ce que tu pourrais essayer de faire progresser ton aisance sociale par une technique de tout petits pas, en te mettant chaque semaine de mini défis ?
Peut-être qu'à ce titre, une thérapie comportementale et cognitive t'aiderait davantage au moins dans un premier temps ?
Pour ton poids je comprends que tu sois content d'avoir perdu 7kg mais je t'encourage très fort à parler de ça avec ton médecin généraliste. Attention aux carences !! Des compléments alimentaires seraient peut être une bonne idée. La carence en magnésium est quasi étatique en France tellement elle est répandue, et ce n'est qu'un exemple parmi d'autre.
Bon courage
Est-ce que tu trouves que tu vois assez ton psychiatre, et qu'il te fait avancer ?
Est-ce que tu pourrais trouver une activité sociale à faire qui soit rassurante pour toi, comme par exemple être dans une association qui fait quelque chose qui te plait ? Tu pourrais y cotoyer un cercle de gens qui seraient toujours les même, que tu apprendrais à connaître et dont tu aurais ainsi moins peur, et qui ne seraient pas forcément de ton âge ni de ton lycée, ce qui pourrait peut être te mettre moins la pression ?
Est-ce que tu pourrais essayer de faire progresser ton aisance sociale par une technique de tout petits pas, en te mettant chaque semaine de mini défis ?
Peut-être qu'à ce titre, une thérapie comportementale et cognitive t'aiderait davantage au moins dans un premier temps ?
Pour ton poids je comprends que tu sois content d'avoir perdu 7kg mais je t'encourage très fort à parler de ça avec ton médecin généraliste. Attention aux carences !! Des compléments alimentaires seraient peut être une bonne idée. La carence en magnésium est quasi étatique en France tellement elle est répandue, et ce n'est qu'un exemple parmi d'autre.
Bon courage