FTS

Faut arrêter avec le physique, les vraiments moches tout comme les vraiment beaux ne sont qu'un faible pourcentage. Pour la plupart nous sommes simplement normaux, donc on ne pars ni en avance, ni en retard.

PS: ceux qui se considère comme moches, sont rarement les plus moches. Pour vous en convaincre, écoutez un peu les filles. Il y en a bien quelques une qui se trouvent elles-mêmes pas terribles que je me tapperais bien.

asles a écrit : C'est quoi la différence entre être un looser et ne pas être un winner ?tu peux expliquer ?parce que moi j'en vois pas... :?

À mon avis, la différence entre ne pas être un winner ou un looser est la même différence subtil qu'entre un problème et une attente, en vente.

C'est à dire que dire "Je suis un looser" exprime une problèmatique qui demande une solution (un besoin).

Tandis que dire "Je ne suis pas un winner" expose le cadre de celui qui parle, sans forcément exprimé un besoin plus que latent (c'est à dire une attente).

Plus vaguement, et plus PNLment aussi, on pourrait dire que la première affirmation assume un point de vue négatif (mauvais en PNL) et le deuxième un point de vue positif...

puppet_master a écrit :Plus vaguement, et plus PNLment aussi, on pourrait dire que la première affirmation assume un point de vue négatif (mauvais en PNL) et le deuxième un point de vue positif...

Mon cher, je me permet de vous faire remarquer que vous omettez une dimension de la négation assez courante en PNL. Ne pensez pas à une boîte bleue.

Je crois qu'on tombe forcément sur un écueuil si on se pose la question "est-ce que le physique est important ?" comme une question fermé ne pouvant accepter comme réponse qu'une valeur comprise quelquepart entre oui et non, et ce sans prendre compte du context.

Pour m'expliquer, je me permet d'exprimer ma vision des choses :

le physique, est une composante d'un dragueur. Quand on considère les choses comme ça, on voit alors qu'un bon dragueur peut être bon parce qu'il est très beau et c'est tout, ou moche et très doué.

Ëvidemment, ce sont deux exemples extrèmes...

Par extension de ce point de vue, on peut évaluer un dragueur en faisant une moyenne pondérée de toutes ses composantes (physique, style, tchatche, humour, etc...)

Bien entendu, cette évaluation n'a de sens qu'aux yeux d'une fille en particulier, puisque toutes les composantes n'ont généralement ni la même valeur, ni la même importance aux yeux de deux filles différentes. Pour évaluer le niveau moyen d'un dragueur, il faudrait alors faire une évaluation par rapport à la moyenne des filles...

Pour être un peu plus clair, je précise par l'exemple ce que j'entend par valeur et importance d'une composante :

Untel est très beau aux yeux d'une fille et moins beau pour une autre. Différence de valeur de la composante beauté.

Unetelle trouve que le physique est très important, Uneautretelle trouve que ce qui compte par dessus tout c'est l'humour. Différence d'importance de la composante beauté (puisque Uneautretelle trouve que l'humour est plus important).

Ainsi, cette façon de voir les choses met en évidence que selon les types de dragueurs possible, on peut obtenir moults réponses différentes à la question "est-ce que le physique est important ?" si on la considère comme une question fermée telle que je l'ai définie plus haut.

Exemples de réponses, selon le type de dragueur :

Pour un mec très beau et peu doué : oui, le physique est très important.
Pour un mec très moche et très doué : non, le physique est pas du tout important.
Pour un mec moyen partout : le physique est moyennement important.

Évidemment, tout ceci n'est que théorique mais permet de se faire une idée plus objective de la réalité et met à jour au moins une des raisons pour laquelle a pu apparaître un débat en apparence stérile sur la question de savoir si le physique est important...

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! Je me permet de poster dans le forum "blah blah" une explication du style que j'ai adopté dans ce message, afin de ne pas alourdir inutilement le sujet traité ici d'un débat sur ma façon de m'exprimer.
Si vous avez des commentaires à faire sur celle-ci (on m'en a déjà fait beaucoup...) merci d'attendre que j'ai finit de rédiger cette explication, et d'en parler là-bas : on évitera ainsi du travail au(x) modérateur(s) par ailleurs surchargé de travail par des gens qui ne respectent rien, ces derniers temps ^^)

Valmont a écrit :Mon cher, je me permet de vous faire remarquer que vous omettez une dimension de la négation assez courante en PNL. Ne pensez pas à une boîte bleue.

Heu... Mon cher.

J'avoue ne pas avoir pensé à cet aspect de la PNL en rédigeant le message que vous citez.

Cependant, il est probable que si cette "dimension" ne m'est pas venue à l'esprit c'est simplement qu'elle n'avait pas d'importance dans mon explication, qui ne s'en trouve pas fausse pour autant...

Pour explicitaion : la dimension dont on parle ici est celle qui donne à la phrase "je ne suis pas un winner" un impact supplémentaire, théorique et non mesurable sur l'inconscient : en effet l'hypnose ericksonnienne qui est une des spécialités que la PNL repompe (ou recompile, selon les points de vue...) considère que l'inconscient est incapable de percevoir la négation.

Pour ma part, je considère que dire que "l'inconscient est incapable de percevoir la négation" est une approximation relativement valable...

puppet_master a écrit :Pour ma part, je considère que dire que "l'inconscient est incapable de percevoir la négation" est une approximation relativement valable...

Ce qui m'amène à la question: A ce moment là ne pourrais-ton pas utiliser la suggestion "je ne suis pas un winner" pour se convaincre d'être un winner ?
A mon avis c'est tout là la signification du mot approximation utilisé ce-dessous. En effet, je pense que pour être moins approximatif, il faut tenir compte de la notion de résistance de l'inconscient au suggestions. Selon une théorie qui me propre, l'inconscient aurait plus tendance à percevoir la négation dans une situation qui réenforce ses croyances actuelles que dans une situation qui y est opposée. Autrement dit pour une personne pensant "je suis un looser", la suggestions "je ne suis pas un winner" serait interprétée comme tel par son inconscient, alors que pour une personne dans la croyance est "je suis un winner", la suggestion négative précédente aurait un effet nul.

Je vais essayer de te répondre dans la rubrique blabla, de façon plus approfondie...

Valmont a écrit : Ce qui m'amène à la question: A ce moment là ne pourrais-ton pas utiliser la suggestion "je ne suis pas un winner" pour se convaincre d'être un winner ?.

On conseille toujours d'utiliser une affirmation positive pour maximiser ses chances, en raison de la non-compréhension de la négation par l'inconscient ; mais OUI je te le confirme, si tu te dis "je ne suis pas un winner", le mot "winner" aura plus d'effet que la négation dans à peu près TOUS LES CAS.
Donc c'est pas la meilleure méthode car tu opposes conscient et inconscient ce qui pertube les progrès, mais paradoxalement, il vaut mieux se dire "je ne suis pas un WINNER" pour s'en convaincre tout de même un peu !

Valmont a écrit : A mon avis c'est tout là la signification du mot approximation utilisé ce-dessous. En effet, je pense que pour être moins approximatif, il faut tenir compte de la notion de résistance de l'inconscient au suggestions. Selon une théorie qui me propre, l'inconscient aurait plus tendance à percevoir la négation dans une situation qui réenforce ses croyances actuelles que dans une situation qui y est opposée. Autrement dit pour une personne pensant "je suis un looser", la suggestions "je ne suis pas un winner" serait interprétée comme tel par son inconscient, alors que pour une personne dans la croyance est "je suis un winner", la suggestion négative précédente aurait un effet nul.

C'est intéressant comme raisonnement mais ce n'est pas vrai, dans l'essentiel des cas, pour imprégner l'inconscient. Le mot dont vous vous imprégner aura toujours plus de force, quelque soit le cas, sur la négation, je l'ai vérifié des milliers de fois.

Par contre, en effet, quelqu'un qui fonctionne "par opposition", qui est toujours négatif, dubitatif, résistant, remettant tout en doute, et bien on pourra contourner ses résistances plus facilement avec des phrases négatives.

Ex :
Elle (fille toujours négative) : je suis résistante à l'hypnose, de toutes façons j'arrive pas à me relaxer avec ces conneries, etc"
Moi : "je comprend... tu as raison, tout ca c'est des conneries, ne ferme pas les yeux maintenant, c'est bien, résistes à mes suggestions, ne te détend pas trop vite, ne cherche pas à sentir si ce sont tes pieds ou tes mains qui se détendent en premier" ...

Je sais pas si vous saisissez l'astuce, mais puisque la fille veut toujours s'opposer, elle va chercher à s'opposer à ces choses aussi, hors la négation de la négation est positive : ainsi j'UTILISE sa résistance pour la pousser doucement mais sûrement vers l'état désiré...

Je ne voudrais pas vous donner de mauvaises idées, non, non, ne le faîtes pas, n'utilisez pas toutes ces malices avec les filles, allons ne les excitez pas de cette façon, n'évoquez pas toutes ces choses qui les font frémir ce n'est pas votre intention, lol... !

CoolPua a écrit :Je ne voudrais pas vous donner de mauvaises idées, non, non, ne le faîtes pas, n'utilisez pas toutes ces malices avec les filles, allons ne les excitez pas de cette façon, n'évoquez pas toutes ces choses qui les font frémir ce n'est pas votre intention, lol... !

Admirable cette dernière phrase

On conseille toujours d'utiliser une affirmation positive pour maximiser ses chances, en raison de la non-compréhension de la négation par l'inconscient ; mais OUI je te le confirme, si tu te dis "je ne suis pas un winner", le mot "winner" aura plus d'effet que la négation dans à peu près TOUS LES CAS.
Donc c'est pas la meilleure méthode car tu opposes conscient et inconscient ce qui pertube les progrès, mais paradoxalement, il vaut mieux se dire "je ne suis pas un WINNER" pour s'en convaincre tout de même un peu !

Mais personnellement, pour des affirmations personnelles, je ne me risquerais pas à les tourner de manière négative. Mais comme tu dis, il vaux mieux...

Sur l'opposition conscient-inconscient donnée ci-dessus (qui reviens un peu au même, mais me paraît meilleur que mon explication), c'est pour cette raison que Ross Jeffries dans un de ces bouquins proposait de tourner les affirmations à la deuxième personne: "tu". Cela permettrait ainsi de contourner une partie de la résistance causée par l'usage de la première personne (je). Personnellement, je fais en sorte de n'utiliser que des affirmations positives, incluant un "mouvement" (ex: "de plus en plus") et en mélnagenant les mêmes affirmations à la première et la deuxième personne.

Les méthodes qu'a développé Milton H. Erickson pour contourner les résistances sont absolument bluffantes, y compris hors hypnose !
Les expliquer ici en détail seraient trop long mais j'invite tous les futurs PUA ici présent à les étudier à fond si vous voulez menez l'esprit des filles là où vous le voulez, sans même qu'elles s'en rendent compte

En effet Valmont, les affirmations doivent toujours être formulées positivement si l'on veux être sûr de leur effet.

Le "de plus en plus" est un levier puissant, c'est une technique d'approfondissement : on ne se contente pas de l'effet produit A, par ex, on prend appui sur A pour arriver à B, puis de B à C successivement, puisque que c'est toujours "de plus en plus ;-)