Posté : 17.02.08
Ce qui t'arrive s'appelle la prise de conscience.
La prise de conscience est douloureuse.
On se dit que c'était mieux avant. On ne savait pas, donc on ne se souciait pas. Mais pose toi la question : tu préfères lutter pour devenir meilleur ou te complaire dans ta misère ? Se voiler la face n'a jamais été une solution...
Ce n'est pas évident d'accepter la réalité. Mais l'accepter, c'est grandir, murir, et devenir plus fort. Plus fort psychologiquement car tu peux te dire "j'ai déjà vécu pire que ça, alors c'est pas ça qui m'arrêtera". Tu relativises plus, tu abandonnes moins.
Dis toi que c'est un mal pour un bien. Tu souffres, mais tu ouvres les yeux sur une image du monde qui ressemble plus à ce qu'il est vraiment qu'à la façon dont tu te le représentais. Et tout le monde sait qu'avec une information erronnée, on ne peux pas prendre les bonnes décisions.
Ce sont ces états de profond malaise qui m'ont permis d'avoir une réflexion en toute franchise avec moi même, et qui par la suite m'ont permis de débloquer pas mal de complexes et de peurs. C'est passager, ça fait mal, mais ça devient une arme qui t'aide à affronter les difficultés de la vie.
Quand tu ne sais pas, tu préfèreras sans doute passer pour un ignorant l'espace d'un instant en posant la question, et ne plus jamais l'être par la suite. Mais la connaissance ne se limite pas à ce qu'on trouve dans les encyclopédies. Il y a une connaissance plus importante et qu'on ne nous enseigne pas à l'école, c'est comment affronter les épreuves de la vie. On a tellement l'habitude de faire comme les autres face à une situation nouvelle qu'on ne développe pas l'habitude d'affronter les choses seul. Alors quand on doit le faire, ça nous parait trop lourd pour nos frelles épaules. Mais ce n'est qu'une apparence qui disparait bien vite quand l'épreuve est passée, quand on se dit que finalement, ce n'était pas si insurmontable que ça, et que c'est tant mieux que ce soit fait, parce qu'on n'aura plus jamais à repasser par là, parce que maintenant qu'on l'a vécu, on sait.
La prise de conscience est salutaire.
La prise de conscience est douloureuse.
On se dit que c'était mieux avant. On ne savait pas, donc on ne se souciait pas. Mais pose toi la question : tu préfères lutter pour devenir meilleur ou te complaire dans ta misère ? Se voiler la face n'a jamais été une solution...
Ce n'est pas évident d'accepter la réalité. Mais l'accepter, c'est grandir, murir, et devenir plus fort. Plus fort psychologiquement car tu peux te dire "j'ai déjà vécu pire que ça, alors c'est pas ça qui m'arrêtera". Tu relativises plus, tu abandonnes moins.
Dis toi que c'est un mal pour un bien. Tu souffres, mais tu ouvres les yeux sur une image du monde qui ressemble plus à ce qu'il est vraiment qu'à la façon dont tu te le représentais. Et tout le monde sait qu'avec une information erronnée, on ne peux pas prendre les bonnes décisions.
Ce sont ces états de profond malaise qui m'ont permis d'avoir une réflexion en toute franchise avec moi même, et qui par la suite m'ont permis de débloquer pas mal de complexes et de peurs. C'est passager, ça fait mal, mais ça devient une arme qui t'aide à affronter les difficultés de la vie.
Quand tu ne sais pas, tu préfèreras sans doute passer pour un ignorant l'espace d'un instant en posant la question, et ne plus jamais l'être par la suite. Mais la connaissance ne se limite pas à ce qu'on trouve dans les encyclopédies. Il y a une connaissance plus importante et qu'on ne nous enseigne pas à l'école, c'est comment affronter les épreuves de la vie. On a tellement l'habitude de faire comme les autres face à une situation nouvelle qu'on ne développe pas l'habitude d'affronter les choses seul. Alors quand on doit le faire, ça nous parait trop lourd pour nos frelles épaules. Mais ce n'est qu'une apparence qui disparait bien vite quand l'épreuve est passée, quand on se dit que finalement, ce n'était pas si insurmontable que ça, et que c'est tant mieux que ce soit fait, parce qu'on n'aura plus jamais à repasser par là, parce que maintenant qu'on l'a vécu, on sait.
La prise de conscience est salutaire.