Posté : 09.06.08
Je ne vois pas trop l'interet de ce topic. La rupture, ca fait mal, ok. On a deja ecris ce qui aide pour s'en sortir.
On lock?
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Oui nos deux dernier messages ont devié donc on a continué en MP.Je trouve que le sujet part en vrille légèrement... ce dont vous parlez, lier le conscient à l'inconscient, c'est de la PNL, reformulation, gestion des émotions-états internes,...
Ba ué tant mieux pour toi si tu es bien néil y a 2 façons de voir les choses, une optimiste et une pessimiste. C'est ce qui distingue les gens et malheureusement les winners des autres.
Dans le Coran (il me semble) il y a une phrase genre "on ne peut condamner ceux dont le jugement a été pervertie et la vision égaré"Soit, vous vous servez des évènements tristes pour en faire une force et rebondir, soit vous vous laissez détruire par ces évènements.
3615 my lifeAres a écrit : Ba ué tant mieux pour toi si tu es bien néMais si par exemple (exemple extrême, mais courant) tu a été dévalorisé par tes parents durant toute ta petite enfance, et bien cela va s'ancrer dans ta personnalité, et donc te conditionner a réagir en tant que looser, tes ruptures seront plus difficile etc....
Quel handicap ? Déjà, il faut comprendre que notre handicap, c’est nous qui nous le créons dans notre cerveau. Ailleurs que dans notre esprit, il n’existe pas.Ares a écrit : Donc ton salue dans les moments difficile passera par la prise de conscience de ton handicap, et ensuite de trouver les moyens pour lutter contre...sinon ba t'es mort.
Ben si en fait. Je me suis toujours dit que pendant que je me plaignais, j’étais peut-être en train de louper le meilleur moment de ma vie, une femme magnifique, une expérience de fou,…Ares a écrit : Tu serais en oneitis, je ne suis pas sur que ces mots suffirait a te remettre sur pied.
Je sais pas. Je pense que c'est l'instinct de survie qui s'exprime la. Quand t'y réfléchie, dans la petite enfance, quand tu prends des coups, t'a pas vraiment mal. Quand ça deviens vraiment violent, tu pense plus a te protéger, non pas parce que t'a peur de souffrir, mais parce que si tu morflais vraiment trop ça pourrait être mauvais pour ton futur!Comment expliques-tu qu’à 3 ans, je faisais front ? En positivant. En me créant des objectifs, une vision à long terme...
Non bien sur. Mais il y a tu sais, cette mémoire > j'ai vécu une situation qui m'a marqué (en bien ou en mal) > quand le même type de situation se présente a moi, je reproduit inconscient ce qui s'est passé la première fois.Quel handicap ? Déjà, il faut comprendre que notre handicap, c’est nous qui nous le créons dans notre cerveau. Ailleurs que dans notre esprit, il n’existe pas.
Tu va te dire que je cherche toujours a avoir le dernier mots, tu aura sans doute raisons. Mais si tu fais la synthèse de mon premier post, c'est un peu la même chose!Ben si en fait. Je me suis toujours dit que pendant que je me plaignais, j’étais peut-être en train de louper le meilleur moment de ma vie, une femme magnifique, une expérience de fou,…
Je ne dis pas qu’il ne faut jamais être triste mais la vie vaut la peine d’être vécue et pas subie
Je pense que quelqu'un d'à peu prêt équilibré aura souffert et connu des moments de bonheur intense.Vrai ! Je connais des mecs qui en ont chié et qui se laissent pas abattre, d'autre qui en ont chié et qui se laissent abattre, d'autres qui n'en ont pas chié et qui se laissent abattre, et d'autres qui n'en ont pas chié et qui ne se laissent pas abattre...
Pourquoi? Euh... bonne question.
J'ai quand même l'impression que ceux qui en ont chié se laissent moins facilement abattre que ceux qui ont une vie pépère... relativisme? résistance?
Ca dépend oui. Quand un gosse tombe ou qu'il se prend une petite tape parcequ'il a fait une bêtise, il pleure sans réellement avoir mal.Ares a écrit :
Je sais pas. Je pense que c'est l'instinct de survie qui s'exprime la. Quand t'y réfléchie, dans la petite enfance, quand tu prends des coups, t'a pas vraiment mal. Quand ça deviens vraiment violent, tu pense plus a te protéger, non pas parce que t'a peur de souffrir, mais parce que si tu morflais vraiment trop ça pourrait être mauvais pour ton futur!
C'est notre système de croyance, ce sur lequel je me suis toujours battu depuis petit et qui m'avait fait être trop gentil avec mes copines.Ares a écrit :
Mais il y a tu sais, cette mémoire > j'ai vécu une situation qui m'a marqué (en bien ou en mal) > quand le même type de situation se présente a moi, je reproduit inconscient ce qui s'est passé la première fois.
Je sais pas comment s'appelle se phénomène mais bon c'est un truc assez courant chez beaucoup de personne :/ (on dresse les chien comme ça par exemple)
Jouer sur sa représentation des choses. C'est là qu'est la clef. C'est l'ensemble de nos représentations internes, croyances limitantes et visions déformées qui peuvent pousser à se cloitrer dans une situation d'échec.Ares a écrit :
J'essayai de décrire un mécanisme pour chasser les idées noire et les peurs qui peuvent hanter un esprit. Je parlais de l'importance de ne pas les garder en tête a tout prix, car cela tue la personne a petit feu.
Toi, en te disant que la vie vaut la peine toussa, tu fais la même chose! Mais tu a déjà l'espoir et l'envie qui te permettent d'y croire.
Tout à fait mais pour ne pas faire QUE souffrir, il faut déjà apprécier les petites choses et ne pas se laisser dévaster par d'autres.Ares a écrit :
Je pense que quelqu'un d'à peu prêt équilibré aura souffert et connu des moments de bonheur intense.
Je pense que souffrir ça fait parti de la vie, on y a été ou y sera tous confronté.
C'est pas vraiment un problème tant qu'on ne fait pas QUE souffrir.