Just thoughts.
Une chose qui me frappe dans mon attitude, et qui est complètement anti game, c'est que je suis quelqu'un de gentil.
C'est un truc qui découle naturellement du lâcher prise et de la confiance: on devient ultra bienveillant envers soi même et, par voie de conséquence, envers les autres.
Il m'arrive de faire des erreurs quand je suis avec les autres, de dire des trucs qui sont complètement hors contexte, à côté de la plaque. Avant, je me serais pris la tête: "Mais qu'est ce que j'ai dit ? Que vont ils penser de moi ?". Mais maintenant, quand ce genre de chose m'arrive, ça me fait sourire parce que je m'en fous.
Je pense que la différence entre l'AFC et le mec bien dans sa peau réside dans le fait que l'un a besoin de l'extérieur, et l'autre non.
L'AFC va donc être gentil et soumis avec les demoiselles car il veut que celles ci bouchent un trou d'estime à l'intérieur de lui.
Le mec bien dans sa peau est gentil et bienveillant parce que c'est quelque chose qui découle naturellement de lui même. Tout simplement parce qu'il est heureux dans le moment présent, et qu'il voit les autres qui galèrent, et il essaye donc de les amener dans le même état que lui.
Le premier veux prendre, même indirectement, alors que le second est dans une pure dynamique de don, simplement parce qu'il a déjà tout donc rien à prendre.
C'est là que le game s'arrête. Parce qu'il est tout à fait possible d'aimer les gens, de leur apporter quelque chose, sans être needy. Et c'est attirant.
My 2 cent.
[J] Journal de Blackangel
Bon, le verdict un peu amer c'est que la demoiselle est casée depuis un bon moment. Pourtant j'ai pas rêvé, j'ai eu des IOI de malade.
Ok. Same player, try again. C'est peut être mieux parce que j'ai l'impression que je tombais en OI. Dans le meilleur de cas, je continuerai un peu à faire sa connaissance. Mais j'ai plus envie de me prendre la tête pour une fille.
Et puis merde quand même, je sais pas si j'ai des tendances schizophrènes (lol), mais j'ai l'impression que je suis vraiment attirant. Donc stop la prise de tête inutile.
Let's play the game.
Ok. Same player, try again. C'est peut être mieux parce que j'ai l'impression que je tombais en OI. Dans le meilleur de cas, je continuerai un peu à faire sa connaissance. Mais j'ai plus envie de me prendre la tête pour une fille.
Et puis merde quand même, je sais pas si j'ai des tendances schizophrènes (lol), mais j'ai l'impression que je suis vraiment attirant. Donc stop la prise de tête inutile.
Let's play the game.
Petit changement de point de vue, il faut que je laisse ça quelque part pour ne pas oublier:
Il faut que j'arrête d'attendre d'être dans un état parfait avant d'aborder. J'attends toujours le state, comme le saint graal, qui me permettra de me bouger et de m'amuser.
Mais c'est plutôt l'inverse que je devrais faire: Aborder pour trouver le mojo. Et plus j'ai le mojo, plus j'aborde (et mieux j'aborde
). Voilà le cercle vertueux à mettre en place.
Il faut que j'arrête d'attendre d'être dans un état parfait avant d'aborder. J'attends toujours le state, comme le saint graal, qui me permettra de me bouger et de m'amuser.
Mais c'est plutôt l'inverse que je devrais faire: Aborder pour trouver le mojo. Et plus j'ai le mojo, plus j'aborde (et mieux j'aborde
). Voilà le cercle vertueux à mettre en place.
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Le mojo et le state c'est un peu de la bétise... Tu ne choperas pas plus ou moins avec ça, c'est juste un truc pour te rassurer. Tu multiplies juste les chances en abordant plus.
Tu peux développer stp ? Je suis absolument pas d'accord avec ça 
J'ai dévoré les 500 pages du livre "The Game" de Neil Strauss en quelques jours. J'arrive à la fin, et je suis tombé sur une réplique d'Eric Weber, le premier a avoir écrit un bouquin sur la séduction, qui m'a littéralement scié:
A méditer ...Style : Votre désespoir existentiel ?
Eric : Voilà comment je le comprends : en tant qu'animaux sociaux, nous nous débattons tous avec un complexe d'infériorité. Le jour où nous nous apercevons que cette impression touche tout le monde, cette douleur s'en va, et ce complexe invalidant disparaît, dans une certaine mesure.