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C'est vendredi soir, début du week-end. Une fête française est organisée. Je m'y rends alors que je bosse le lendemain. La fête se déroule dans un bar en sous-sol. On paye l'entrée puis c'est boissons à volonté+ un plat+ un dessert. Elle est comme d'habitude, bondée. Quatre points principaux : dehors, devant le bar; l'entrée; le bar à boisson, à gauche; et le bar à encas, au fond.
Je connais l'organisateur, j'entre sans payer. Je retrouve quelques amis avec lesquels je discute puis je mêle à la conversation plusieurs autres participants, même inconnus, hommes et femmes. J'ai du bon social proof. Je repère plusieurs demoiselles avec lesquelles je discute le plus normalement du monde. C'est facile d'opener. On est à une fête et pas de refus de contact.
Qu'est ce que tu fais ici ? Le Japon, pourquoi ? Et toi, la France ? blabla...
Je repère K. qui boit seule vers l'entrée, elle est mignonne et j'aime pas voir quelqu'un seul alors que tout le monde s'amuse alors je vais vers elle. On discute. Elle parle un peu français, c'est sympa. Pendant que l'on discute, des gens commence à prendre l'encas. Pas encore nous car on a pas encore faim. Passé 10-15 minutes, on se dirige vers le service. Arrivé vers le bar, l'organisateur m'appelle car il est débordé et me demande de l'aider à servir les boisson. Je m'excuse auprès de K., lui dis de continuer de s'amuser et je dois la laisser en plan. Après ces 20 minutes (ou plus) de folie, l'organisateur me dis que je peux y aller. Je retourne donc fluffer avec tous le monde, amis ou inconnus, hommes ou femmes (dont je n'oublie pas de prendre des numéros, bien-sûr).
En tournant à droite à gauche, je la retrouve. Elle est assise sur une chaise à droite de la salle et elle discute avec une autre demoiselle avec qui j'avais sympathisé au cours de la soirée. L'insertion dans la conversation n'en est que plus facile. K. est au centre, l'autre fille à sa droite, et moi assise à sa gauche. En discutant, je lui touche la main progressivement. De manière à ce qu'on ne le voit pas (cette pression sociale...). Elle est d'abord hésitante puis répond graduellement jusqu'à prendre elle même ma main lors de la discussion.
A un moment de la discussion, je lance à K.:"Il fait chaud ici et si on allait discuter dehors.". L'autre fille comprend

et ne bronche pas. K. est d'accord. On la salue puis on monte les escaliers. Arrivé en haut, dehors... Surprise ! Plein de gens qui parlent... Foulàlàh... "Ca te dirait de t'éloigner, on serait plus peinards pour 'parler' ". Elle me dit : "Oui, t'as raison". Il y a un parking ouvert pas loin bien éclairé (pas glauque), on s'y rend. Arrivé, on s'appuie contre le mur puis le kclose. Le gros frenchkiss et plusieurs fois. En aparté, je lui demande si lors de ses deux mois d'études de français à Paris, elle s'était fait un Français pour voir, pour l'occasion. Elle me répond que non, elle n'en avait pas envie. Héhé.
Sur le ton de la plaisanterie, je lui demande si elle se rappellera demain puisqu'elle est bourrée

. Elle me dit que même si elle a encore bu, elle est consciente. Moi aussi, je suis bourré (mais de par l'atmosphère, pas par l'alcool).
Je tripote aussi (personne aux alentours) et j'ai une bonne surprise : la taille de ses seins. Ya tellement rien ici que j'ai presque arrêté de regarder ça

. Donc en plus d'être mignonne, elle a une bonne poitrine.
Je lui dis :"Ça te dirait de ne pas retourner à la fête et qu'on s'isole un coup, genre karaoké (je commence à être rodé). Elle est d'accord. Je lui dis de m'attendre ici car je dois récupérer mes affaires dans le bar. Je reviens, elle est toujours là. Je lui fais la surprise de ramener des (vrais) gâteaux, fait par un (vrai) pâtissier pour cette fête. Elle est super contente.
On se rend au Karaoké, on chante et on s'amuse. On se tripote aussi. Gâteries de ma part. Pipe, elle a l'air douée mais elle ne la termine pas. Elle me dit :"pas ce soir". Je lui dis :"quand alors, demain ?

" Elle me répond :"peut-être". Elle veut être sûre car là, elle est peut-être un peu pompette. On continue de s'embrasser. On doit rentrer chacun de son côté. Je l'accompagne jusqu'à son vélo. Avant de se quitter, on promets de se voir le lendemain soir puis... Gros frenchkisses francs devant le garage à vélos en pleine rue (!). Elle, elle est plus ouverte ! Puis elle s'en va, chevauchant son vélo.
Le lendemain, samedi donc, je me réveille vers 6h30 pour aller bosser. Et là, catastrophe ! Je constate que l'utilisation de mon téléphone portable est impossible. Je ne peux pas faire les démarches pour le refaire marcher avant 18h30, heure du rendez-vous, car je bosse jusque 18h. Ordinateur mort. Aucun moyen pour la recontacter... à moins que... Je ne peux que lui téléphoner. C'est pas très confortable de se faire réveiller un jour de week-end avant 7h... mais bon, il n'y a que ça. Ouf ! Elle a pas l'air fâché, je lui explique et on confirme le rendez-vous.
Le soir, au point de rendez-vous, j'arrive un peu en avance. Pour te répondre, Boubou, je vois plein de personnes dans ce point de rendez-vous réputé qui se disent :"Kyaaaaaah, ça fait looooooongtemps !!!!" Super contentes de se revoir mais... aucun geste d'amitié. Ces personnes restent à un mètre de distance puis vont s'amuser ensemble. Je revois un pote que j'ai pas vu depuis longtemps... Mais je lui saute dessus moi ! Et bah, pas ici.
Ça m'amuse. Je tente d'expérimenter la méthode japonaise. Je dis bonjour sans la bise. On y va et elle me prend d'elle-même la main. On va dans un bar que je connais. Bonne ambiance, possibilité d'être tranquille. On s'amuse, on discute, on mange bien et on se papouille (en public). On quitte les lieux vers 21h30-22h puis on marche dans la ville (en se papouillant-en public), tout en se dirigeant vers un love hotel ou l'on fclose.
Ps : peut-être qu'elle a voulu expérimenter autre chose. Et c'est tout à son honneur
Ps2 : j'ai pas tout de suite compris l'intervalle d'un jour mais ptêt qu'elle voulait vraiment être sûre avant de le faire. Et pas une erreur car elle était un peu pompette. Où ptêt qu'elle était complétement clean en day 1 car en day 2, il n'y avait aucune différence de comportement.
Ps3 : le coup de téléphone à 7h samedi matin, c'est vraiment opération kamikaze...