Posté : 03.01.10
Pour moi les hommes ont un bonheur à une dimension, et pour les femmes il y a deux dimensions.
Pour l'homme, le bonheur c'est être bien. Et pour la femme c'est être bien + osciller autour de cet état à un rythme et une intensité qui leur est propre.
Autrement dit pour être complètement heureuse elle a besoin d'être triste. Pleurer pour des trucs à la con, voir des films tristes et s'alimenter des drames des autres.
Du coup évidemment apporter des solutions avec les meilleurs intentions du monde n'arrangera rien, c'est comme la priver d'oxygène.
Du coup je pense que les filles qui présente un grand besoin de variation dans leur bonheur sont dures à gérer, et le problème (pour vous), n'est pas réglable, c'est juste comme ça qu'elle est.
Je pense que les filles instables qui choisissent des mecs stables se nourissent du drame qu'elles provoquent chez eux dans leur effort pour la réparer ou pour réparer la relation. Elles peuvent même participer à l'effort, mais la finalité n'est pas de régler le problème mais de maintenir la situation dramatique en mouvement car c'est comme ça qu'elles se sentent vivre.
Pour l'homme, le bonheur c'est être bien. Et pour la femme c'est être bien + osciller autour de cet état à un rythme et une intensité qui leur est propre.
Autrement dit pour être complètement heureuse elle a besoin d'être triste. Pleurer pour des trucs à la con, voir des films tristes et s'alimenter des drames des autres.
Du coup évidemment apporter des solutions avec les meilleurs intentions du monde n'arrangera rien, c'est comme la priver d'oxygène.
Du coup je pense que les filles qui présente un grand besoin de variation dans leur bonheur sont dures à gérer, et le problème (pour vous), n'est pas réglable, c'est juste comme ça qu'elle est.
Je pense que les filles instables qui choisissent des mecs stables se nourissent du drame qu'elles provoquent chez eux dans leur effort pour la réparer ou pour réparer la relation. Elles peuvent même participer à l'effort, mais la finalité n'est pas de régler le problème mais de maintenir la situation dramatique en mouvement car c'est comme ça qu'elles se sentent vivre.