FTS

Faire 10 séances en SPU/NPU, en respectant les règles suivantes:
-s'engager dans la séance pour une session de ce type, et noter combien ça en fait. ça permettra de pas se donner d'excuses, mais rien n'oblige à faire les dix d'affilées.

-accoster tout ce qu'on peut (en gros, tout ce qu'on est capables d'accoster avec succès selon la situation, l'idée c'est pas de faire du crash & burn mais d'être efficace, simplement profiter de toutes les occasions qui nous sont offertes et ne pas hésiter pour le reste, que ce soit en testant des choses limites ou en utilisant du canned, même si ici le canned c'est pas bien;))

-aller le plus loin possible dans les interactions, avec pour but de closer.
Donc ne pas arrêter une interaction tant que la fille nous jette pas, ou qu'on est pas sûr que pour l'instant c'est pas possible d'aller plus loin.
ça évite de perdre du temps dans un cas comme dans l'autre.

-ne pas rentrer avant d'avoir épuisé les possibilités sur le field, ou d'avoir choppé une nana, n'importe laquelle. ça signifie faire 1h de marche s'il faut si ça veut dire qu'on pourra aller dans une boite avec des nanas.
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L'idée de base c'était que les critères, c'est souvent des excuses.
Et surtout, beaucoup de gars jugent les autres sur la "qualité" des nanas qu'ils choppent,
genre "moi aussi je peux chopper du thon tous les soirs". Sauf que dans la réalité, le mec qui choppe du "thon" tous les soirs, il doit être capable aussi de chopper pas mal de nanas moyennes ou même biens, alors que les jaloux niqueront peut-être deux fois par an, et pas de la nana très bonne.
Si on veut savoir si on est bon, on arrête de chercher des excuses avec des "elle me plait pas", qui est peut être vrai et qui fait qu'on arrête des interactions avec des nanas mignonnes ou même moyennes (qu'on apprend à apprécier quand on sort des standards de la mode ou de la recherche de validation), ou qui est peut être une excuse pour cacher sa nullité.
Donc on reste avec tout ce qui répond ou donne des signes d'intérêt, ça n'engage à rien (l'idée, c'est d'aller le plus loin possible, mais on peut s'arrêter juste avant de baiser, tant que la nana était vraiment partante pour et que les préliminaires se passaient bien;) )

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Sur le field, ça m'a permis de voir mon niveau réel quand je bloque pas sur certains points, et de mettre le doigt sur certains sticky points.
J'ai pas été "carré" parce que j'ai mélangé un peu des deux, du solo et de la sarge en groupe, puis j'ai ajouté aussi une nana draguée sur le net qui avait menti sur sa photo, mais que ça me faisait chier d'avoir perdu mon temps à aller voir, vu que tout le travail restait à faire (on avait pris rendez-vous en deux messages, je testais à l'époque une manière d'accelerer les choses).

Je me suis arrêté avant de finir parce que j'avais cerné un peu mieux où j'en étais, quelques points de blocage à travailler, et surtout parce que j'y arrivais plus.
Le point le plus positif, qui m'a été le plus profitable, c'est que j'ai appris vraiment quelle était la limite niveau attitude, personnalité ou physique que je pouvais tolérer ou pas (c'est bien loin des standards qui me paraissent maintenant ultra élevés que je pourrais lire dans les posts de certains ici, mais ça me parait plus réaliste aussi).
ça veut pas dire que j'irai toujours aussi bas, et que j'ai choppé que des moches en faisant ça, mais que si une interaction se passe bien avec une fille moyenne, je ferais pas en sorte que ça marche pas.

Mais actuellement, vu toutes les nanas qui me plaisent sur le field, j'arrive plus à draguer une nana qui me plairait pas en temps normal, juste pour me tester, parce que j'ai l'opportunité. ça m'a quand même permis de résoudre un sticky relié à ça (et que bcp de mecs ont je crois), c'est de garder une attitude séduisante avec n'importe quelle nana, avant je pouvais pas, maintenant, ça passe mieux, même si après je pousse pas loin quand je suis pas intéressé.

Sinon, j'ai appris des trucs sous la pression, mais faut quand même avoir une certaine base et vraiment être dedans pour que ça marche.

Le dernier point c'est sur mon niveau. Maintenant je sais qu'en me poussant vraiment, et en ne renonçant pas face à la difficulté, je peux aller assez loin, avec des nanas qui étaient pas forcément ouvertes à la base (j'ai essayé sur certains groupes de persister au max, de trouver la faille, jusqu'à ce que ça marche ou non) ou qui lors de l'interaction initiale paraissaient pas intéressées (l'objectif initial, c'était plutôt l'ONS, mais dans la pratique j'ai adapté selon les cas, la logistique)

Mais faut pas faire ce truc là pour se donner une note, juste pour savoir où l'on en est psychologiquement après un certain temps passé sur le field. C'est pas un truc que je conseillerais à un débutant, c'est vraiment trop rude, même en cherchant à s'amuser parce qu'on ose à la fin tous les trucs qu'on voudrait jamais faire en temps normal -alors que ça marche...- ; mes deux premieres nuits en solo comme ça, j'ai mis du temps à les digérer, même si ça reste une victoire de s'accrocher jusqu'à l'aube, de réussir à se foutre du regard des autres.


Mais comme le post d'Olivier sur l'inner game dans le topic sur l'interview de Blusher, je pense qu'au bout d'un moment, c'est plus vraiment des aspects "techniques" qui posent problèmes. C'est sûr, on peut toujours améliorer ce qu'on fait et comment on le fait, et certains seront meilleurs que d'autres, mais une fois qu'on a fait des dizaines de sets et eu quelques succès, je crois que la base est maitrisée
(mais là les coachs auront peut être plus à dire sur le sujet, vu qu'ils ne voient pas passer que des débutants...) et que c'est surtout un problème d'inner.

MaryMorgane a écrit :Ça me rappelle mes premières après midi de "SPU"

Waouw tu fais du SPU?? Moi qui croyais que les filles ne lisaient FTS que par curiosité ou envie de connaître les techniques des dragueurs pour pas se faire avoir...Je savais pas qu'elles pratiquaient. ^^

Amaral a écrit :Si tu as l'anxiété de l'approche, multiplier les approches permet de casser cela; donc au départ c'est quand même nécessaire pour pouvoir aborder par la suite sur le chemin du boulot, en balade, en faisant tes courses les occasions que tu te procureras.

Exact, je compte d'abord me débloquer et ensuite je le ferais dans la vie de tous les jours. Là je me lance mais je suis plus frustré qu'autre chose de ne pas avoir plus d'occases. c'est comme la théorie du momentum, plus le temps passe sans que l'on fasse rien, moins on risque de faire. Au bout d'un moment de marche sans avoir abordé personne, je passe en mode automatique et si une HB passe, je suis moins réactif, donc perte de temps et d'énergie.

Amaral a écrit :Par contre Spades si tu tiens vraiment à faire du chiffre, il faut te comporter un petit peu comme les démarcheurs pour Amnesty, WWF et autres: que tu fasses la gueule ou pas, pressé ou non, walklman ou pas, ils sourient et t'abordent

Je pense que tu as raison là dessus, faudrait peut être que je sois plus chacal.
Au nom de tout les players de la campagne et des petites villes, nous t'adressons ce message "Salaud de Parisien, viens visiter nos fields de merde et tu comprendra a quel point Paris c'est génial".
Je compatis sincèrement. Mais à la base je viens de province donc je sais ce que c'est!

Reality a écrit :Une sortie spécial SPU, je suis rarement en dessous des 20 set abordés (sauf les sessions dans les petites villes évidemment).

Effectivement rien à voir à moi. Quelques questions; tu pratiques depuis combien de temps le SPU? A tes débuts combien en faisais-tu? Ratais-tu beaucoup d'occasions? A quelle fréquence te rends tu dans une grande ville?

Bon allez, j'y retourne (même s'il fait moche)...

Waouw tu fais du SPU?? Moi qui croyais que les filles ne lisaient FTS que par curiosité ou envie de connaître les techniques des dragueurs pour pas se faire avoir...Je savais pas qu'elles pratiquaient. ^^

J'en ai fait quand j'étais célibataire (ça date de plus de 10 ans) sans le savoir a l'époque. Bizarrement, même si les filles ont beaucoup plus de résultat (même si il y a apparemment peu de filles qui le font au plus grand désespoir de certains), c'est aussi elles qui auront les réactions les plus violentes en face mais le principe reste le même : tu te lance et tu y vas.

Quantité de très bonnes réponses. Je ne vais pas y revenir.

J'ajouterai cependant mon grain de sel.

Si tu es de nouveau confronté à ce problème (un troupeau de thon qui fait la gueule avec des écouteurs), inverse ton objectif du moment.

Emplie toi de ta plus belle énergie, et essaie de faire naitre un sourire chez une fille faisant la gueule en lui posant une question avec un entrain, une pèche et une chaleur digne des tropiques.

(On appelle cela un 'Pied dans la bouche')

Puis chez une autre. Et encore une autre. Et encore une autre.

(C'est fou, mais les filles qui sourient deviennent belles. Etonnant, non)

Methode secrète pour parler à une fille avec des écouteurs.

On lui sourie. On lui fait gentiment le signe 'Stop' de la main. On tapote son poignet (dégarni de montre) en lui posant une question qu'elle ne peut pas entendre La fille enlève ses écouteurs.
On lui repose alors la question "Tu as l'heure s'il te plait "

Personnellement pour moi le SPU c'est juste un moyen de se forger des couilles.

Quand t'as pas d'appart c'est quasiment impossible d'avoir un résultat concret ( FC ), c'est pour ça que je dépense mon énergie à élargir mes cercles sociaux plutôt qu'à aller en SPU.

Personnellement pour moi le SPU c'est juste un moyen de se forger des couilles.

Je formulerais ainsi : le SPU est avant tout un moyen pour se forger des couilles et on arrive plus rapidement au niveau ou on peut baiser en cercle social qu'en SPU pur.

Quand t'as pas d'appart c'est quasiment impossible d'avoir un résultat concret ( FC )

A ton niveau uniquement.

Je me permets de te dire ça sans prendre de gants car il y a un peu plus d'un an, moi et un wing on commencais à baiser en "cercle sociale" (pas en SPU pur en fait) mais pas en SPU alors qu'on en faisait énormément.

Cependant, comme toi, on reconnaissait que le SPU nous avait beaucoup aidé et que même si on avait pas de résultat concret (fuckclose j'entends) ça nous avait quand même permit d'atteindre un niveau honorable pour baiser en cercle social.

Or ça c'était y'a plus d'un an, on a progressé depuis.

Oui, avoir un appart ça aide, mais on peut très bien allez chez la fille. Je l'ai fais plusieurs fois, et j'ai plein de wing qui le font aussi.

c'est pour ça que je dépense mon énergie à élargir mes cercles sociaux plutôt qu'à aller en SPU.

Si t'a déjà fait beaucoup de progrès via le SPU, c'est vraiment pas le moment d'arrêter

Encore une fois, moi aussi (et un wing à moi) on en est passé par l'étape que tu traverse (et moi aussi pendant un moment j'avais arrêté le SPU en attendant d'avoir un appart), mais vraiment j'insiste : au final, bien sûr que si, c'est tout à fait possible de baiser avec un bon taux de réussite sans avoir d'appart (par exemple le dernier FR que j'ai fais ou j'ai sexe closé la fille, on était allé chez elle au deuxième rendez-vous) (bon mauvais exemple car c'était une date en ligne, mais promis c'est exactement la même chose avec les dates obtenues en SPU).

"Je baise pas (ou pas beaucoup) car j'ai pas d'appart" c'est une très mauvaise excuse. Je l'annonce haut et fort d'autant plus que je l'ai beaucoup utilisé autrefois

Pas de soucis, je te remercie de m'apporter ton expérience !

Néanmoins, je pense que c'est pas à la portée de n'importe quel player, t'as mis combien de temps avant d'y parvenir ?

Pour être honnête, j'ai très rarement entendu qu'un mec y était parvenu, mais si tu me dis que c'est possible alors je veux bien te croire. Finalement je pense reprendre le SPU, avec les jupes et décolletés qui commencent à fleurir c'est plutôt motivant

Merci Reality.

Néanmoins, je pense que c'est pas à la portée de n'importe quel player, t'as mis combien de temps avant d'y parvenir ?

A peu près un an et demi (mon premier fuckclose en SPU pur a été fait un an après mon premier open SPU, il s'est écoulé environ 6 mois ensuite pour atteindre des résultats plus réguliers) (c'est justement dans ces 6 mois que je me disais qu'il fallait avoir un appart pour réussir à baiser) (je ne compte plus les dates que j'ai fais sans baiser, mais genre plusieurs dizaines) (fin bon même maintenant je continue à faire des dates sans baiser, mais la proportion à quand même bien diminué heureusement ^^) (de toute façon, y'a pas de secret : à plus on drague, à plus on baise, et à plus notre taux de "filles baisées/ temps passé à draguer" augmente).

De toute façon, si tu n'as pas le niveau pour baiser autant que tu veux sans appart, ce n'est pas le fait d'avoir un appart qui te fera d'un coup baiser autant que tu veux (moi aussi j'avais eu cet espoir ^^).

Pour être honnête, j'ai très rarement entendu qu'un mec y était parvenu, mais si tu me dis que c'est possible alors je veux bien te croire.

Il me semble qu'il y en a quand même plusieurs sur FTS en ce moment.
Après c'est vrai que FTS est assez pauvre en FR (à fortiori les FR en pur SPU) (ça manque de vrai players à l'ancienne, moi je dis). Ces temps-ci Timaro (peut-être plus sur son blog que sur fts) fais pas mal de fr (avec des vrais morceaux d'orgasmes dedans) sans pour autant toujours ramener les filles chez lui. Et moi le dernier FR que j'ai mis, c'est aussi chez la fille que j'ai baisé (j'ai baisé plus souvent chez les filles que chez moi).

Spades a écrit :Bonjour, en ce moment je sors presque chaque jour et je passe entre environ 1 et 3 heures à arpenter les rues. J'essaie de faire le bootcamp de Oh_Damned, donc c'est du DG. Malheureusement, je fais le constat qu'il y a peu de filles jolies et seules qui me donnent envie de leur parler. Etant débutant, il est vrai que j'en laisse passer certaines (elle a des écouteurs, elle tire la tronche, elles sont à deux (j'ose pas encore), elle rentre dans un magasin, je suis pas assez réactif (je la vois et pouf! elle m'a déjà dépassé...), mais globalement en marchant deux heures, j'en aurais vu passer entre 5 et 10 (jolies et seules) et j'en aurais abordé qu'une, voire deux.

Pourtant je prends des spots qui normalement ne devraient pas manquer de targets (boulevard Haussmann entre 17 et 19h en semaine, centre Pompidou , St Michel, Luxembourg... le week-end).

Je trouve que le rendement: énergie dépensée en une journée / nombre d'approches est très insatisfaisant. Je précise que pour l'instant j'essaie de faire du chiffre pour me débloquer.

C'est pour ça que je voulais comparer avec vous.
1 - Combien arrivez vous à faire d'approches en une session drague de rue?
2 - Combien de filles vous trouvez assez jolies pour avoir envie d'aller leur parler en une session?

Salut,
Je recite ton message car j'aime ton style que je trouve neutre, humble, pas accusateur. Aussi c'est pour éviter de s'écarter du sujet et risquer encore un débat.

Je suis d'accord avec toi, c'est fatigant. Surtout en hiver, où en effet, il n'y a pas tant que ça. Je ne débute pas, mais il m'arrive d'avoir des jours où j'ai vraiment du mal à y aller. Je n'aborde plus les filles qui fument, je n'aborde plus les MILF (enfin j'essaie). Cela fait encore moins. Ça c'est pour des raisons de critères de LTR (même pour un ONS je veux une potentielle LTR).

Les filles avec un mec, les filles à deux, ou trois, dans un groupe avec des mecs, ou avec la famille, ou juste la maman, ou un enfant,etc... je n'ose pas très souvent. Aussi, quand il y a beaucoup de monde : sur le quai du métro, dans une rue bondée, dans la rame de métro, etc... je n'ose pas souvent non plus.
Je me dis "Ne te flagèle pas si tu ne vas pas vers ces personnes".

Personnellement, je t'avoue que ces contextes que je ressens comme très anxiogènes ne sont pas bons pour mon corps, alors je ne me fais pas violence à ces moments là. Et à quoi bon faire compliqué et difficile quand on peut faire simple ?


Pour trouver des filles seules : les grandes correspondances de métro me semblent très bien. Elles sont souvent seules, il y a beaucoup de trafic, il suffit de trouver l'opportunité où elle est un peu isolée.

Je recite ton message car j'aime ton style que je trouve neutre, humble, pas accusateur

Tu dois pas beaucoup aimer les miens alors

Je suis d'accord avec toi, c'est fatigant. Surtout en hiver, où en effet, il n'y a pas tant que ça.

Pas tant de fille que ça en hiver ? A Paris ? Humour ?

Je n'aborde plus les filles qui fument, je n'aborde plus les MILF (enfin j'essaie). Cela fait encore moins.

Je n'aborde jamais les filles qui fument ni les milfs. Les filles qui fument parce que j'aime pas la clope et les Milfs parce que finalement j'aime pas les vieilles.

Ça c'est pour des raisons de critères de LTR (même pour un ONS je veux une potentielle LTR).

Moi aussi je fais ça ! Je pensais être le seul (sérieusement).

Les filles avec un mec, les filles à deux, ou trois, dans un groupe avec des mecs, ou avec la famille, ou juste la maman, ou un enfant,etc... je n'ose pas très souvent.

De toute façon, comme tu le dis plus loin : il ne sert à rien de se compliquer la vie pour rien. Comme le dit Gunwitch si à la place d'aborder une fille avec un groupe, on peut plutôt aborder une fille seule et disponible, ce serait bête de se compliquer la vie pour rien.

Donc pour le coup, préférer aborder les filles seules, ça tombe plutôt bien vu que c'est avec elles que les résultats sont les plus grands. L'agréable se joint à l'utile

Aussi, quand il y a beaucoup de monde : sur le quai du métro, dans une rue bondée, dans la rame de métro, etc... je n'ose pas souvent non plus.

Ça, si je puis me permettre ("si je puis" ? C'est français ça ?) (faut que j'arrête d'essayer de faire des phrases bien tournées, mes phrases bien tournées font bizarre) c'est par contre problématique.

Aujourd'hui, j'ai compté une 15aine de jolies filles (supérieur à 6/10 et dans ma tranche d'âge) à aborder (et encore j'ai pas compté tout le temps, en mode 100% je pense que j'aurais pu en compter 30 ou 40) (j'étais à Lyon). Sauf que la plupart elles étaient sur le quai du métro, dans une rue bondé, etc.

A mon humble avis, si tu ne trouve qu'il n'y a pas beaucoup de filles à aborder, ça ne vient ni de l'hiver, ni des filles qui fument ni des milfs, mais juste du fait qu'il y a trop de situation ou tu n'ose pas trop.

Personnellement, je t'avoue que ces contextes que je ressens comme très anxiogènes ne sont pas bons pour mon corps, alors je ne me fais pas violence à ces moments là.

En même temps, avant ta toute première approche, TOUTE approche était pour toi anxiogène, non ? Donc c'est bien la preuve que c'est uniquement une question d'habitude. Et que pour les situations qui te bloquent encore, il suffit de pratiquer. Non ?

Et à quoi bon faire compliqué et difficile quand on peut faire simple ?

Si je suis d'accord avec la philosophie générale, je répondrais quand même à ta question rhétorique : car on a pas toujours le choix entre compliqué et simple. Si à gauche il y a une fille entouré de gens, avec des écouteurs et avec un air sérieux, et à droite une fille toute seule qui s'ennuie sans écouteur et qui à l'air de s'ennuyer, EVIDEMMENT qu'il faut aborder celle de droite.

OR, c'est quand même rare qu'on ai ce genre de choix. La plupart du temps on a juste la fille au milieu de la foule avec les écouteurs. Donc, si on a le choix entre simple et compliqué, choisir simple OK, mais si on a le choix entre compliqué et rien, ON PRENDS COMPLIQUE (d'autant plus que comme je le dis plus haut ce qu'on trouve compliqué à un moment donné c'est souvent (voire tout le temps) simplement que l'on manque de pratique) (par exemple les filles qui attendent le métro, j'ai eu pas mal de contact close comme ça, d'ailleurs pour l'anecdote personnelle dont tout le monde se fout, il y a une fille sur Facebook que j'avais abordé ainsi et que je dois recontacter un de ces quatre, mais elle était OK pour la date).

Pour trouver des filles seules : les grandes correspondances de métro me semblent très bien.

A condition de pas être un gros boulet qui ne sait pas gérer le temps et de se rendre compte qu'on est à notre arrêt et qu'on n'a pas encore numclosé alors que le game ne pouvait pas mieu se dérouler (ça m'est arrivé y'a pas longtemps, j'étais dégoûté) (encore plus dégouté quand j'ai réagi qu'il m'aurait suffit de descendre à la prochaine station, mais sur le coup mon cerveau n'a pas fonctionné) (je suis con, je sais).

il suffit de trouver l'opportunité où elle est un peu isolée.

Même pas. J'ai encore plus simple : il suffit de l'opener