Etre plus énergique & spontanné quand on est l'inverse
Attention, tout de même: ça passe bien mieux pour une fille que pour un mec d'être réservé et calme. Ce sont des traits de caractères qui étaient parmis les premières qualités recherchées chez les femmes avant les années 70, et je doute que ça ait complètement changé depuis malgré le passage du féminisme.
Chez un mec, être réservé nécessite au minimum de faire passer ça pour du détachement ou du snobisme, et surtout pas pour de la timidité. Chez une fille, la timidité peut être "mignonne," pas chez un mec. Enfin, pas chez un mec, entre mecs (un mec timide avec une fille ça peut passer du moment que ça ne le paralyse pas, c'est très Hugh Grant).
Chez un mec, être réservé nécessite au minimum de faire passer ça pour du détachement ou du snobisme, et surtout pas pour de la timidité. Chez une fille, la timidité peut être "mignonne," pas chez un mec. Enfin, pas chez un mec, entre mecs (un mec timide avec une fille ça peut passer du moment que ça ne le paralyse pas, c'est très Hugh Grant).
Il y a un gouffre en timidité et calme. Et la différence se trouve dans le ton de la voix et le langage du corps, ce que j'ai dit plus haut.
Personnellement, je suis passé du mec en retrait et réservé en toutes circonstances avec ses ptites lunettes d'intello, qui ne supportait pas voire méprisait les boîtes de nuit et refusait de boire de l'alcool afcisé à mort au mec extraverti Party Man, au look extravagant et décoiffant, qui fait son show sur les podiums de discothèques à danser avec des gogo danseuses, collé serré en taquinant des poupounes qui en redemandaient
. (Je ne parle même pas des cuites que je me suis tapées...). Je suis devenu le total opposé de ce que je pensais être au fond de moi-même rien qu'à cause d'un changement de look (Merci FTS et la notion de Peacock) et j'ai constaté le pouvoir extraordinaire que cette transformation impactait au niveau de l'image que ça renvoyait aux autres.
Alors Malsain, moi je te le dit, que c'est possible de passer de calme voire timide à énergique et extraverti en peu de temps quand tu es entouré de potes qui, eux-aussi sont dans cette spirale d'énergie positive que t'entretiens provoquant ainsi une émulation (c'est ce qu'il s'est passé pour moi, quand j'ai découvert FTS, j'en ai parlé à deux potes à qui je leur ai fait découvrir tout ça. On s'est formé une espèce de Brat Pack où on a eu envie d'expérimenter tout ça sur le terrain. Pour moi, ça a fait indéniablement sauté un cadenas et eu un effet libérateur comme un effet euphorisant sans alcool. Et même si ils se sont éloignés de tout ça car ils se sont "casés", ces deux années ont été folles et on n'a jamais autant trippé ensemble.) On s'est mis à faire du sport ensemble, sortir faire la fête bref être tonique et enjoué contrastant avec l'entourage plutôt Geek qu'étaient nos camarades de classe. (Qui eux nous voyaient comme des mecs dilettantes qui se laissaient aller...)
Après m'être longtemps accoutumé à un comportement bêta , j'ai enfin su ce que c'était que de se sentir Alpha et d'attirer des personnes rien que par l'allure, le Body Language et l'aura que l'on dégage, faire des rencontres spontanées (Genre croiser des gens dans la rue qui vous reconnaissent et vous saluent parce qu'ils se souviennent de vous à la soirée bidule alors que vous leur avez jamais adressé la parole de la soirée) juste parce que les gens vous voient comme un mec fun que les mecs trouvent cool et les nanas trouvent stylé et sauvage car papillotant comme une rock star genre le mec qui est juste là pour avoir du plaisir et le partager en bonne compagnie (alors que j'ai toujours eu l'image de mec timide mal fagotté, un peu maladroit et trop gentil avec les filles, asexué quoi). Là, les filles te voient comme un espèce d'astre vers lequel elles ont envie d'orbiter et pas comme un boulet prostré dans son coin ayant peur des réactions de chacun de ses actes. ça m'a totalement désinhibé car l'image que je me renvoyais n'était pas antithétique avec ce que je pensais être au contraire car congruent. Au fond de moi, j'ai su que je n'étais pas un timide maladif esclave d'une croyance limitante inculquée depuis l'enfance qui vole en éclats après m'avoir enchaîné dans une image très limitée de soi.
D'ailleurs, à un repas d'anciens élèves et de camarades d'enfance, on m'a décerné le prix du "mec qui s'était le plus métamorphosé depuis le collège" alors que la majorité n'a pas changé d'un iota. Ils m'ont dit qu'ils ne me reconnaissaient plus. ça veut tout dire...
Alors qu'au fond, je suis enfin devenu moi-même ou en tout cas je vibrais enfin sans ressentir de frustrations en me disant "De toutes façons, t'es pas comme ça" alors que ce n'était qu'un auto-conditionnement et non pas une vérité objective (J'étais trop jeune pour savoir qui j'étais vraiment ou si agir de telle ou telle façon était en accord avec moi-même). Libérer une partie enfouie de ma personnalité et déverrouiller un potentiel que je ne soupçonnais pas qui m'a permis d'avancer vers les autres en tissant des relations sociales et d'avancer tout court.
Après je me suis pas mal calmé et remis le curseur au centre histoire d'être moins foufou, d'être plus équilibré mais cette période m'a fait réfléchir sur ce qu'on croit être et ce que l'on peut être, ça m'a permis d'expérimenter des choses, des envies que je me refusais ou je pensais en contradiction avec ma façon de penser et d'être. Je sais qu'au fond, je ne suis pas un "vrai" timide et que tout ça n'était que le produit de mes peurs et de mes insécurités et pas ma "nature profonde". On ne naît pas timide, on le devient. Je sais que je suis juste un mec qui sait se lâcher à fond en public sans vouloir calculer et appréhender les moindres réactions tout en cultivant un certain calme par ailleurs en petit comité ou en tête à tête.

Alors Malsain, moi je te le dit, que c'est possible de passer de calme voire timide à énergique et extraverti en peu de temps quand tu es entouré de potes qui, eux-aussi sont dans cette spirale d'énergie positive que t'entretiens provoquant ainsi une émulation (c'est ce qu'il s'est passé pour moi, quand j'ai découvert FTS, j'en ai parlé à deux potes à qui je leur ai fait découvrir tout ça. On s'est formé une espèce de Brat Pack où on a eu envie d'expérimenter tout ça sur le terrain. Pour moi, ça a fait indéniablement sauté un cadenas et eu un effet libérateur comme un effet euphorisant sans alcool. Et même si ils se sont éloignés de tout ça car ils se sont "casés", ces deux années ont été folles et on n'a jamais autant trippé ensemble.) On s'est mis à faire du sport ensemble, sortir faire la fête bref être tonique et enjoué contrastant avec l'entourage plutôt Geek qu'étaient nos camarades de classe. (Qui eux nous voyaient comme des mecs dilettantes qui se laissaient aller...)
Après m'être longtemps accoutumé à un comportement bêta , j'ai enfin su ce que c'était que de se sentir Alpha et d'attirer des personnes rien que par l'allure, le Body Language et l'aura que l'on dégage, faire des rencontres spontanées (Genre croiser des gens dans la rue qui vous reconnaissent et vous saluent parce qu'ils se souviennent de vous à la soirée bidule alors que vous leur avez jamais adressé la parole de la soirée) juste parce que les gens vous voient comme un mec fun que les mecs trouvent cool et les nanas trouvent stylé et sauvage car papillotant comme une rock star genre le mec qui est juste là pour avoir du plaisir et le partager en bonne compagnie (alors que j'ai toujours eu l'image de mec timide mal fagotté, un peu maladroit et trop gentil avec les filles, asexué quoi). Là, les filles te voient comme un espèce d'astre vers lequel elles ont envie d'orbiter et pas comme un boulet prostré dans son coin ayant peur des réactions de chacun de ses actes. ça m'a totalement désinhibé car l'image que je me renvoyais n'était pas antithétique avec ce que je pensais être au contraire car congruent. Au fond de moi, j'ai su que je n'étais pas un timide maladif esclave d'une croyance limitante inculquée depuis l'enfance qui vole en éclats après m'avoir enchaîné dans une image très limitée de soi.
D'ailleurs, à un repas d'anciens élèves et de camarades d'enfance, on m'a décerné le prix du "mec qui s'était le plus métamorphosé depuis le collège" alors que la majorité n'a pas changé d'un iota. Ils m'ont dit qu'ils ne me reconnaissaient plus. ça veut tout dire...

Après je me suis pas mal calmé et remis le curseur au centre histoire d'être moins foufou, d'être plus équilibré mais cette période m'a fait réfléchir sur ce qu'on croit être et ce que l'on peut être, ça m'a permis d'expérimenter des choses, des envies que je me refusais ou je pensais en contradiction avec ma façon de penser et d'être. Je sais qu'au fond, je ne suis pas un "vrai" timide et que tout ça n'était que le produit de mes peurs et de mes insécurités et pas ma "nature profonde". On ne naît pas timide, on le devient. Je sais que je suis juste un mec qui sait se lâcher à fond en public sans vouloir calculer et appréhender les moindres réactions tout en cultivant un certain calme par ailleurs en petit comité ou en tête à tête.
deadstar44
ton parcours est intéressant. On sent ce qui est bon pour soi ; souvent on avance par balancier en tapant un peu dans les extremes au départ, pour s'équilibrer apres ...
Mais je pense pas , perso, que le comportement "super-extraverti, extravagant et qui fait son show en soirée" soit un signe de non-timidité. Même si ça peut l'être dans certains cas.
La caractéristique du timide, c'est de jamais oser jusqu'à accumuler beaucoup de frustration pour basculer d'un coup sur le versant inverse, à en faire des tonnes, mais un peu maladroitement, pour attirer l'attention.
Le fait d'être très extravagant avec des costumes "excentriques" peut aussi être un nouveau masque que l'on se fabrique qui revient à une autre façon de protéger son être intérieur qu'on assume pas complètement. Je dis pas que c'est ton cas biensur. Mais je pense que c'est une phase un peu générique, plus ou moins poussée chez les uns ou les autres, chacun à sa manière, dans l'évolution de tous les timides.
Mais c'est pas un jugement que je fais, je pense que c'est bien au contraire de passer par cette phase pour avancer. ça correspond à un besoin pendant une évolution ou l'on a besoin d'expérimenter , d'exprimer ...
Comme dit venusian, il y a un gouffre entre timidité et calme. Celui qui est calme, mais pas timide est bien avec lui-même, assume qui il est, alors il s'affirme sereinement.
Ceci étant, on peut aimer faire le con et être excentrique sans être timide, et en étant bien avec soi-même ...
ton parcours est intéressant. On sent ce qui est bon pour soi ; souvent on avance par balancier en tapant un peu dans les extremes au départ, pour s'équilibrer apres ...
Mais je pense pas , perso, que le comportement "super-extraverti, extravagant et qui fait son show en soirée" soit un signe de non-timidité. Même si ça peut l'être dans certains cas.
La caractéristique du timide, c'est de jamais oser jusqu'à accumuler beaucoup de frustration pour basculer d'un coup sur le versant inverse, à en faire des tonnes, mais un peu maladroitement, pour attirer l'attention.
Le fait d'être très extravagant avec des costumes "excentriques" peut aussi être un nouveau masque que l'on se fabrique qui revient à une autre façon de protéger son être intérieur qu'on assume pas complètement. Je dis pas que c'est ton cas biensur. Mais je pense que c'est une phase un peu générique, plus ou moins poussée chez les uns ou les autres, chacun à sa manière, dans l'évolution de tous les timides.
Mais c'est pas un jugement que je fais, je pense que c'est bien au contraire de passer par cette phase pour avancer. ça correspond à un besoin pendant une évolution ou l'on a besoin d'expérimenter , d'exprimer ...
Comme dit venusian, il y a un gouffre entre timidité et calme. Celui qui est calme, mais pas timide est bien avec lui-même, assume qui il est, alors il s'affirme sereinement.
Ceci étant, on peut aimer faire le con et être excentrique sans être timide, et en étant bien avec soi-même ...
Bonjour,
Je vous remercie de vos réponses ( que j'essaie d’appliquer ).
Voilà ce qui en ressort.
- Tout d'abord, concernant les propos de Cyberseb:
Effectivement, une fois que l'on apprend à régler certains « détails » de sa vie et surtout comment en gérer d'autres ( même quand on ne connait pas la solution ), que l’on RE-trouve ce qui nous tient à coeur, nos motivations, nos valeurs, on l’impression de ne plus nous trainer un boulet au pied tout au long de la journée. Cette énergie nous vient comme la conséquence de tout cela.
Pour l’anecdote, si je dis RE-trouver mes valeurs, mes motivations, c'est que je les ai avais perdu ou plutôt laissé de côté. Je voulais me créer d'autres caractéristiques pouvant plaire aux filles alors que paradoxalement, j'acquiesçais quand on disait qu'il ne fallait pas les mettre sur un piédestal.
J'avais le sentiment étrange de me corrompre, j’étais mal à l’aise à vouloir faire des choses, tenter des trucs qui ne me plaisaient pas. Il faut que je change et que j’arrive à utiliser mes qualités et corriger mes défauts, pour moi-même et pour mon bien.
Maintenant, je fais une nuance entre séduire ( que ce soit de façon passive ou active ) et vouloir plaire à l’autre.
Concernant les autres posts qui se rejoignent sur le fait de profiter et de jouer de mon côté « force tranquille »:
Je suis d’accord mais j’ai du mal à appliquer de ce que vous dites.
Quand je suis calme, j’y arrive.
J’ai lu Eckart Tolle et ce qu’il dit à propos d’habiter et d’être en contact avec son corps m’aide en ce sens.
Je me sens plus ancré dans le sol, plus posé. Bref, je suis plus en confiance et cela rejailli autour j’ai l’impression.
Mais cette présence, pour moi, disparait dès que je deviens plus « vif » (dans le genre déconneur / blagueur). En pareil cas, je me sens moins stable, plus fébrile. Pour illustrer mes propos ( bon, je suis pas homophobe, loin de là même que ce soit bien dit ) j’ai l’impression de passer du mode Homme au mode tapette dans mon comportement. ( et c’est pas top quand on parle avec une fille après l’avoir abordée
)
Enfin, je vais continuer à essayer de trouver mon équilibre et réussir à avoir de la présence peu importe ce que je fais ( dur, dur... )
Je vous remercie de vos réponses ( que j'essaie d’appliquer ).
Voilà ce qui en ressort.
- Tout d'abord, concernant les propos de Cyberseb:
Effectivement, une fois que l'on apprend à régler certains « détails » de sa vie et surtout comment en gérer d'autres ( même quand on ne connait pas la solution ), que l’on RE-trouve ce qui nous tient à coeur, nos motivations, nos valeurs, on l’impression de ne plus nous trainer un boulet au pied tout au long de la journée. Cette énergie nous vient comme la conséquence de tout cela.
Pour l’anecdote, si je dis RE-trouver mes valeurs, mes motivations, c'est que je les ai avais perdu ou plutôt laissé de côté. Je voulais me créer d'autres caractéristiques pouvant plaire aux filles alors que paradoxalement, j'acquiesçais quand on disait qu'il ne fallait pas les mettre sur un piédestal.
J'avais le sentiment étrange de me corrompre, j’étais mal à l’aise à vouloir faire des choses, tenter des trucs qui ne me plaisaient pas. Il faut que je change et que j’arrive à utiliser mes qualités et corriger mes défauts, pour moi-même et pour mon bien.
Maintenant, je fais une nuance entre séduire ( que ce soit de façon passive ou active ) et vouloir plaire à l’autre.
Concernant les autres posts qui se rejoignent sur le fait de profiter et de jouer de mon côté « force tranquille »:
Je suis d’accord mais j’ai du mal à appliquer de ce que vous dites.
Quand je suis calme, j’y arrive.
J’ai lu Eckart Tolle et ce qu’il dit à propos d’habiter et d’être en contact avec son corps m’aide en ce sens.
Je me sens plus ancré dans le sol, plus posé. Bref, je suis plus en confiance et cela rejailli autour j’ai l’impression.
Mais cette présence, pour moi, disparait dès que je deviens plus « vif » (dans le genre déconneur / blagueur). En pareil cas, je me sens moins stable, plus fébrile. Pour illustrer mes propos ( bon, je suis pas homophobe, loin de là même que ce soit bien dit ) j’ai l’impression de passer du mode Homme au mode tapette dans mon comportement. ( et c’est pas top quand on parle avec une fille après l’avoir abordée

Enfin, je vais continuer à essayer de trouver mon équilibre et réussir à avoir de la présence peu importe ce que je fais ( dur, dur... )