Tous ne le sont pas, mais beaucoup on une tendance au sentimentalisme (il n'y a qu'à voir les demandes d'aides, c'est une question qui est souvent abordée). Après, faut pas non-plus tomber dans l'autre extrême kero. Il y a une différence entre "tendance au sentimentalisme" et "déprimé affectif".kero a écrit : Primo: tous ceux qui sont ici ne sont pas des déprimés affectifs, malades de sentimentalisme, près à faire les larves devant leur dulcinée.
L'exemple de l'alcool n'est peut-être pas le meilleur, mais il était le plus proche de l'idée. Le coup des sms (comme ceux donnés dans l'exemple) auraient pu être écris par Bob, tu ne trouves pas? Tu le dis toi-même: "Alors, évites les mièvreries", c'est tout ce que je disais exactement. Juste parce qu'on ne montre pas une dépendance effective on devient un "connard"?kero a écrit : Deuxio: même s'il est vrai que certains le sont, ce que tu préconise ne s'applique pas en l'espèce, et le parallélisme avec l'alcoolisme est des plus douteux. Car si on suit ta logique, le gentil garçon (notre Bob d'un certain article), pour réussir avec les femmes, ne devrait faire rien d'autre que se transformer en insigne connard.
On est d'accords, c'est ce que je disais aussi, il faut trouver le juste milieu. La question est: "Est-ce vraiment nécessaire d'envoyer un message (ou 100 roses comme le dit FK) pour qu'elle sache ça?"kero a écrit : Et plusieurs réponses montrent bien cette difficulté à trouver un juste milieu. Faire dans la miévrerie à outrance, c'est chiant. Jouer l'éternel détaché, navré, mais ce n'est pas mieux. Il n'y a rien de mal à envoyer un message, même pour faire savoir qu'on pense à elle. Maintenant, la question n'est pas dans le principe, la question est dans la manière de faire et dans la fréquence. Dans la calibration, quoi.
Est-ce que le façon dont on se comporte n'est pas suffisant?