FTS

the artiste a écrit :Mouef!!! Mais t'as pas peur de te retrouver en friend zone.

Là on parle de direct, donc pour aborder... ce n'est pas 5minutes de discussion qui vont faire de toi un "ami".

Tout à fait. Je parle de la considérer comme une pote, dans le ton employé, je l'ai bien précisé.

Mais ça reste du direct, et je rappelle que en direct game tu as clairement dit à la fille que tu l'abordes parce que y a un truc chez elle qui t'intéresse.

Quand tu es au clair avec toi même sur ce que tu veux quand tu abordes des filles dans la rue, tu n'as pas ce genre de considération. Il faudrait peut-être que tu regardes par là en fait.

Mouef!!! Mais t'as pas peur de te retrouver en friend zone. Je le fais généralement avec les gens que je croise dans la rue. Mais quand j'essaye (rarement) sur une target, je me mets dans la tête que c'est une pote, et là, on ressent dans l'interaction que je ne cherche pas à la séduire mais plus à passer un chouette moment avec ma pote de régiment! Du coup, c'est plus comme si je faisais de l'indirect. Et là, c'est la porte ouverte à la galère: ambiguité sur ce que je veux d'elle (amie ou FC), ça prends des plombs pour avancer, je me prends la tête sur le transitionning, on s'échange nos FB, on se revoit 6 mois après, elle se retrouve limite choqué que je commence à la voir de manière sexuelle, etc...
What else?

Ouais mais non, c'est parce que tu le considères comme tel que c'est comme ça. Comme déjà dit, là tu abordes en direct game donc tu as déjà clairement énoncé tes intentions dès le début, elle sait que t'es pas là pour jouer au scrabble.
Tu peux tout à fait être en mode pote avec fille et l'attirer tout de même, tu n'as pas forcément besoin de sexuer verbalement pour l'attirer.
Le truc fondamental pour qu'une fille te trouve attirant, c'est d'abord l'attitude. Le non-verbal est plus puissant que le verbal

the artiste a écrit :Enfin, juste une petite note perso, je déteste faire de l’interviewing, poser encore et toujours les même questions me saoule, même si je me surprends à le faire souvent… du style « qu’est ce que tu fais dans le coin ? »…

Si ça te saoule, c'est que tu n'es peut-être pas à fond pour faire la connaissance de la nana et/ou qu'elle te plaît moyen. Si la fille te plaît énormément, tu reçois une petite décharge électrique dans ton corps et tu portes ton attention afin que l'interaction se passe (bien articulé, pas être needy, être léger,...).
Plutôt que de poser ce genre de questions, essaie d'imaginer ce qu'elle était en train de faire avant de te rencontrer soit parce qu'elle se trouve à rue X de quartier Y, soit parce qu'elle porte un certain type de vêtement, soit parce qu'elle tient à la main un sac de boutique, etc.

Exemple:

Hydrogene a écrit :M: opener DG
Elle: Blablabla
...
M (avec le sourire, voyant qu'elle sort de l'agence de voyage): Je vous ai vu sortir de l'agence et je parie que vous avez réservé vos prochaines vacances pour les Maldives, ses plages de sable blanc, son eau turquoise et son soleil.
E: Blabla... (si elle est de bonne humeur et qu'elle reste, elle va rire, te dire qu'elle venait voir sa petite soeur qui vient de commencer son job d'été. Puis tu la tease, présentation, projection, NC,...)

Venusian a écrit :N'hésitez pas à demander le prénom rapidement, ça aide grandement. "sacrée Aurélie va !"

Le prénom, il faut vraiment lui demander avant de repartir, par politesse bien sûr dans le cadre de la présentation et surtout le réutiliser quand on en a l'occasion IRL. Je trouve que c'est vraiment puissant que de prononcer le prénom d'une personne de temps en temps dans les discussions. Ca montre que je m'adresse à elle (donc de fait qu'elle "a obligation inconsciemment" d'être présente avec nous), qu'elle ne s'imaginera pas (trop) qu'elle est un simple petit cul de plus à ma collection, et puis vous vous démarquez des autres personnes. Je fais pareil depuis plusieurs années dans ma vie de tous les jours avec mes potes ou des personnes avec qui j'ai le feeling. Je place le prénom plusieurs fois dans la conversation non pas pour appeler la personne mais pour lui faire comprendre en gros:

Hydrogene a écrit :Eh, je suis avec toi, je m'adresse à toi, ça me fait plaisir d'être là avec toi et de mieux te connaître, tout ça avec l'attitude sincère qui va avec sinon ça ne marche pas. (...si vous voyez ce que je veux dire)

Et souvent, j'ai des réactions (on le voit dans le regard ou l'attention nouvelle qui est portée) d'étonnement positif comme si la personne se réveillait ou bien qu'elle prenait conscience du moment en ma présence. Bah, ouais, faut s'imaginer que pour a plupart des personnes et des filles (même les plus mignonnes), leurs vies ne sont pas si géniales que ce qu'on s'imagine surtout quand elles se coltinent des boulets qui les tirent vers le bas.

J'en remettrai une couche, en précisant que si vous observez bien, culturellement nous appelons très rarement les gens par le prénom dans les discussions. C'est pour cela, en passant, que je trouve ridicule dans les séries françaises les gens qui s'appellent par leur prénom constamment, c'est pas réaliste.

Mais du coup, ça a un réel impact, ça marque lorsqu'on l'utilise. Usez en !

Hydrogene a écrit :
Si ça te saoule, c'est que tu n'es peut-être pas à fond pour faire la connaissance de la nana et/ou qu'elle te plaît moyen. Si la fille te plaît énormément, tu reçois une petite décharge électrique dans ton corps et tu portes ton attention afin que l'interaction se passe (bien articulé, pas être needy, être léger,...).
Plutôt que de poser ce genre de questions, essaie d'imaginer ce qu'elle était en train de faire avant de te rencontrer soit parce qu'elle se trouve à rue X de quartier Y, soit parce qu'elle porte un certain type de vêtement, soit parce qu'elle tient à la main un sac de boutique, etc.
Exemple:

Hydrogene a écrit :M: opener DG
Elle: Blablabla
...
M (avec le sourire, voyant qu'elle sort de l'agence de voyage): Je vous ai vu sortir de l'agence et je parie que vous avez réservé vos prochaines vacances pour les Maldives, ses plages de sable blanc, son eau turquoise et son soleil.
E: Blabla... (si elle est de bonne humeur et qu'elle reste, elle va rire, te dire qu'elle venait voir sa petite soeur qui vient de commencer son job d'été. Puis tu la tease, présentation, projection, NC,...)

Alors... je tiens à préciser que je suis pas mauvais en street... (43,9% de numclose par rapport aux open en Mars de cette année).
Du coup quand je dis que l'interviewing me saoule, c'est parceque c'est chiant et pour moi et pour la nana. Du coup, je fais exactement ce que tu viens de dire plus haut.

De plus je cherche à trouver ce qui fait la différence pour le top des sets (HB9/10)... J'ai l'impression que tout se joue sur ce que tu dégages du fait de ton Inner Game...

What else?

the artiste a écrit :
De plus je cherche à trouver ce qui fait la différence pour le top des sets (HB9/10)... J'ai l'impression que tout se joue sur ce que tu dégages du fait de ton Inner Game...

C'est exactement ce que je t'ai dit: ce que tu dis importe peu, le plus important est l'attitude. Le jour où t'auras intégré ça t'auras tout compris.

De plus je cherche à trouver ce qui fait la différence pour le top des sets (HB9/10)... J'ai l'impression que tout se joue sur ce que tu dégages du fait de ton Inner Game...

Tout est là, oui. Et ça fait pas la différence qu'avec les très jolies filles !

Alors... je tiens à préciser que je suis pas mauvais en street... (43,9% de numclose par rapport aux open en Mars de cette année).
Du coup quand je dis que l'interviewing me saoule, c'est parceque c'est chiant et pour moi et pour la nana. Du coup, je fais exactement ce que tu viens de dire plus haut.

Bah ça c'est clair que l'interrogatoire froid est chiant. Il faut s'amuser, et que ça soit agréable pour tout le monde.

Sinon, en relisant ton topic initial, un truc qui m'a fait tilter : tu dis t'éjecter lorsque tu ressens un blanc. Je suis prêt à parier que ce que tu ressens comme un "blanc" n'est qu'un silence tout à fait normal dans une conversation. Et je vois tout à fait de quoi tu parles, ça me parle aussi, et ça peut m'arriver.
Il s'agit là d'assumer pleinement l'interaction, d'autant plus que tu précises que la nana est intéressée et reste là.

Si tu savais la puissance et l'efficacité d'un "blanc" dans la conversation quand tout le reste est en place (sourire, corps ancré au sol, regard...)... Ce sont ces moments là qui me font aimer le SPU.

tibdeconne a écrit :

the artiste a écrit :
De plus je cherche à trouver ce qui fait la différence pour le top des sets (HB9/10)... J'ai l'impression que tout se joue sur ce que tu dégages du fait de ton Inner Game...

C'est exactement ce que je t'ai dit: ce que tu dis importe peu, le plus important est l'attitude. Le jour où t'auras intégré ça t'auras tout compris.

Une des difficultés qui se pose, et qui est nécessaire pour améliorer son inner game, c'est d'avoir une auto-perception de soi et des limites à franchir.

Ici, vous formez une communauté et êtes conscients des efforts à faire sur :
- le body language
- l'attitude lors de l'interaction
- le delivery lors de la conversation
car c'est visible pour tout un chacun.

Mais on manque souvent (excusez-moi d'adopter un ton professoral) tous les éléments de l'inner game qui sont des marqueurs psycho-sociaux, sur lesquels vous ne disposez pas de référence, y compris dans la communauté, et que les HB9/10 1) détectent a foison chez vous 2) peuvent comparer à de nombreux autres mâles de très haut niveau de leur entourage (à commencer par leur papa).
Je dirais que c'est là que réside la spécificité des filles du haut du panier, là où pour les autres, elles peuvent sentir ces trucs mais ne disposent pas d'assez de référence pour bien vous évaluer.

Je citerai (non exhaustif):

- les processus de pensée, le recul, l'"observing ego". C'est une marque de leader d'hommes, complémentaire au charisme. On cite souvent ce dernier, on oublie souvent ces premiers.

- la gestion des émotions : similaire sur le principe au premier quand il s'agit de soi, mais il faut aussi gérer les émotions des autres. C'est un entraînement à acquérir et ça ne vient pas si naturellement si vous n'adoptez pas quelques clés de compréhension au préalable.

- les descripteurs culturels : en 2 phrases une HB9/10 sait si vous avez un vocabulaire de 100, 200 ou 1000 mots et en déduit instinctivement de quel genre de milieu vous provenez et ce que vous pouvez lui apporter de ce point de vue (et vous vous doutez bien qu'à partir d'un certain niveau, elle a le choix de vous sélectionner sur cette base parmi 83 autres critères). De manière générale, les aptitudes à la communication sont à l'intersection inner/outer, mais sont très facilement sondables. Chez des gamins de 3 ans vous mesurez déjà des écarts abyssaux en la matière d'un enfant à l'autre. Pourquoi c'est important ? Capacités d'élocution = intelligence + provenance de milieu aisé

- la capacité d'influence sur son environnement / distortion de la réalité / cadrage de la perception (aka charisme) : vous prenez la réalité et vous la décrivez comme une situation favorable à vos objectifs et agréables pour ceux qui vous suivent. J'avais un meilleur résultat en proposant à des filles de se baigner dans une fontaine que d'aller boire un verre (on l'a jamais fait : l'objectif était bien compris et la perspective bien plus amusante), même s'il faut bien lire l'état émotionnel en face sous peine de faire un truc weird : vous pouvez proposer à froid de boire un verre alors qu'il vaut mieux avoir détecté un micro-signe de non-indifférence pour parler de se baigner dans une fontaine.

(Edit/rajout)
Tout ça, c'est aussi de l'inner game. Je me désole à chaque fois qu'on parle du sujet d'entendre "Le BL, le regard, la fresh attitude". Pensez-vous que décrire un bon commercial par "le BL, le regard, la fresh attitude" c'est suffisant ? C'est une caricature de vendeur d'encyclopédies à domicile. C'est normal, quand on vend des encyclopédies à des mamies, de buter sur la difficulté de vendre des avions de combats à des importateurs gouvernementaux.
Il y a toute cette partie "câblage" de votre cervelle (j'en ai certainement oublié) qui rentre en ligne de compte.
Et pour que ça vienne naturellement, il faut être déjà conscient que ça existe et que ça importe. C'est fondamental dans le développement personnel, notamment pour ceux parmi vous qui aspirent un jour à diriger.

J'ai pas vu les dernières productions de Blusher donc je ne sais pas s'il le professe toujours, mais je sais qu'il était très fort sur ce dernier point (edit : la partie distortion "fun" de la réalité) : relisez ses FRs.

- les descripteurs culturels : en 2 phrases une HB9/10 sait si vous avez un vocabulaire de 100, 200 ou 1000 mots et en déduit instinctivement de quel genre de milieu vous provenez et ce que vous pouvez lui apporter de ce point de vue (et vous vous doutez bien qu'à partir d'un certain niveau, elle a le choix de vous sélectionner sur cette base parmi 83 autres critères). De manière générale, les aptitudes à la communication sont à l'intersection inner/outer, mais sont très facilement sondables. Chez des gamins de 3 ans vous mesurez déjà des écarts abyssaux en la matière d'un enfant à l'autre. Pourquoi c'est important ? Capacités d'élocution = intelligence + provenance de milieu aisé

En partant avec ce postulat, tu pars perdant d'entrée. Si je traduis simplement ce que tu nous dis là, une très jolie fille aurait une capacité d'empathie au dessus de la moyenne et détecterai en quelques secondes si ça va le faire pour elle ou pas.
En d'autres termes, attention les filles qui sont des avions de chasse sont des super Jedi.

J'ai envie de dire, mais au diable cette théorie fumeuse, allez-y, foncez sur les avions de chasse qui passent dans votre espace aérien.
Et encore je passe sur le message sous-jacent putride qui veut qu'on a de meilleures capacités d'élocution lorsqu'on est pas con et issu d'un milieu aisé.