Re: Journal de NoSeduce
Posté : 21.11.12
C'était pas forcément super mais les 2 personnes que j'ai vues ont quand même créé une impulsion.
Hier, après l'épisode de la fille qui ne m'a pas répondu, je n'ai pas eu le temps d'aller aborder une autre. Je pense que ça aurait été bien. Comme le sauteur à la perche qui refait un saut tout de suite après être tombé. Comme le cavalier qui remonte sur son cheval tout de suite pour ne pas ancrer le mauvais souvenir et être capable de remonter un cheval.
Je pense qu'il y a 2 styles de drague :
Je m'arrêter derrière une fille typée et n'ose pas lui parler mais ça monte en moi. J'allais y aller en mode "adrénaline", mais justement c'est le mode "adrénaline", c'est moins facile à gérer même si ça percute plus. Aussi, elle m'a vu venir donc je laisse tomber pour ne pas l'effrayer.
Le soir, je suis allé à la piscine.
Je vois qu'il y a beaucoup du monde. Tant pis, je nage.
Je suis heureux de ma journée, heureux sur le moment : j'ai récupéré mon portable que j'avais perdu, j'ai mangé avec un bon ami, mon chef et une autre personne qui a besoin de mon étaient content de mon travail.
Il y a plein de filles. Un plaisir pour les yeux. D'habitude je nage entouré de gros crapauds poilus.
Je vais dans le toboggan. Je manque de shooter des enfants qui n'avancent pas.
Je vais dans la piscine à vagues, je m'éclate et embête des petites vieilles qui profitaient des bulles, alors elles partent.
Je vais au jacuzzi. Il y a une petite famille (2 parents et leurs 2 enfants tout petits). Et 4 jeunes femmes !
Je me mets à côté d'une fille typée. Il y a une importante promiscuité (à 9 puis 5 dans un jacuzzi). Je sens une tension sexuelle (en moi en tout cas). Je décide de rester pour exploiter ce ressenti (mode "adrénaline").
Je sors, juste pour m'habituer à marquer ma présence avant d'être pris pour un meuble.
En remettant mes chaussures dehors, je sens une odeur de cyprine... je me demande si c'est moi
Conclusion, j'ai réalisé que j'étais capable de faire 2 petites choses pour me faire un peu violence :
PS : cette piscine n'est pourtant pas dans un endroit chic...
Hier, après l'épisode de la fille qui ne m'a pas répondu, je n'ai pas eu le temps d'aller aborder une autre. Je pense que ça aurait été bien. Comme le sauteur à la perche qui refait un saut tout de suite après être tombé. Comme le cavalier qui remonte sur son cheval tout de suite pour ne pas ancrer le mauvais souvenir et être capable de remonter un cheval.
Je pense qu'il y a 2 styles de drague :
- le mode "blitzkrieg" : je fais référence à la guerre éclair qui a fait gagner les Allemands au début de la guerre en 14-18, où la fille n'a pas le temps de comprendre ce qui se passe,
- le mode "adrénaline", où au contraire, on laisse monter l'envie, on se base sur son désir, ce qui plaît visuellement chez la fille, quitte à utiliser ses érections.
Je m'arrêter derrière une fille typée et n'ose pas lui parler mais ça monte en moi. J'allais y aller en mode "adrénaline", mais justement c'est le mode "adrénaline", c'est moins facile à gérer même si ça percute plus. Aussi, elle m'a vu venir donc je laisse tomber pour ne pas l'effrayer.
Le soir, je suis allé à la piscine.
Je vois qu'il y a beaucoup du monde. Tant pis, je nage.
Je suis heureux de ma journée, heureux sur le moment : j'ai récupéré mon portable que j'avais perdu, j'ai mangé avec un bon ami, mon chef et une autre personne qui a besoin de mon étaient content de mon travail.
Il y a plein de filles. Un plaisir pour les yeux. D'habitude je nage entouré de gros crapauds poilus.
Je vais dans le toboggan. Je manque de shooter des enfants qui n'avancent pas.
Je vais dans la piscine à vagues, je m'éclate et embête des petites vieilles qui profitaient des bulles, alors elles partent.
Je vais au jacuzzi. Il y a une petite famille (2 parents et leurs 2 enfants tout petits). Et 4 jeunes femmes !
Je me mets à côté d'une fille typée. Il y a une importante promiscuité (à 9 puis 5 dans un jacuzzi). Je sens une tension sexuelle (en moi en tout cas). Je décide de rester pour exploiter ce ressenti (mode "adrénaline").
Je sors, juste pour m'habituer à marquer ma présence avant d'être pris pour un meuble.
En remettant mes chaussures dehors, je sens une odeur de cyprine... je me demande si c'est moi

Conclusion, j'ai réalisé que j'étais capable de faire 2 petites choses pour me faire un peu violence :
- demander heure même si j'en ai pas besoin (ce n'est pas dans ma personnalité de mentir, inventer des choses),
- compliment et partir
PS : cette piscine n'est pourtant pas dans un endroit chic...