Re: Un nouveau départ... Back in ze gueyme!!
Posté : 20.01.13
Salut à tous,
Je reviens après deux semaines d'absence. Force est de constater qu'il ne s'est pas passé grand chose dans mes contacts avec le sexe opposé. C'est étrange, cela ne me fait ni chaud ni froid. Pas de frustration, rien. Je me sens heureux. Allô docteur, suis-je normal?
Je me suis lancé dans l'écriture de ce journal pour me foutre un coup de pied au cul, mais en fait j'ai pas envie de le faire. J'ai pas envie de m'imposer des choses, de me mettre la pression.. Je me dis à quoi bon au final..
Je me suis énormément mis la pression plus jeune. Grâce à cette faculté, j'ai accompli beaucoup de choses (même des choses qui ne me servent à rien aujourd'hui et dont je n'ai rien à carrer). Aujourd'hui, à 33 ans, je ne suis plus capable de faire ça, tant mieux d'ailleurs.
Cela fait un an que je suis au chômage et je ne me suis jamais autant éclaté de ma vie. J'ai pu me consacrer à fond à mes passions et je crois que rien ne me fait plus kiffer que ça. Je n'ai jamais eu autant d'amis et de potes autours de moi qui me respectent et apprécient ma compagnie.
Problème: j'arrive en fin de droits et je vais devoir retrouver rapidement du travail. Je passe des entretiens d'embauche sans grande conviction et sans surprise je n'ai pas le poste (Une seule offre d'emploi m'avait réellement intéressée mais cela ne s'est pas fait). Normal, je n'ai pas vraiment le choix, je suis dans la plupart des cas plus dans le besoin que dans l'envie réelle.
Coté nanas, c'est pareil, pas vraiment l'envie de me forcer à aborder, de forcer quoi que ce soit. (c'est marrant, c'était justement ma spécialité à l'époque, me forcer) J'ai l'impression à chaque fois qu'on force les choses qu'on s'éloigne de l'instant présent et que l'on rentre dans le calcul, tuant toute spontanéité.
En faisant cela, c'est comme si il s'instaurait immédiatement une sorte de rapport de force un peu malsain (avec des filles en galère d'ailleurs, les filles plus intéressantes et équilibrées ne portent aucun intérêt à une telle "frame").
Pour avoir vu où ça mène, je n'ai plus envie de rentrer dans de tels rapports humains.
Mon objectif actuel serait plutôt de mettre de l'activité dans ma "passivité" actuelle. C'est à dire d'accroître mon intelligence sociale de façon à mieux profiter de chaque moments. Egalement vaincre ma peur du succès qui, je pense, me bloque plus que la peur de l'échec.
Tout cela afin de rester naturel auprès des filles à qui je plais et concrétiser les occasions au lieu d'aller "mendier" auprès d'inconnues.
Je reviens après deux semaines d'absence. Force est de constater qu'il ne s'est pas passé grand chose dans mes contacts avec le sexe opposé. C'est étrange, cela ne me fait ni chaud ni froid. Pas de frustration, rien. Je me sens heureux. Allô docteur, suis-je normal?
Je me suis lancé dans l'écriture de ce journal pour me foutre un coup de pied au cul, mais en fait j'ai pas envie de le faire. J'ai pas envie de m'imposer des choses, de me mettre la pression.. Je me dis à quoi bon au final..
Je me suis énormément mis la pression plus jeune. Grâce à cette faculté, j'ai accompli beaucoup de choses (même des choses qui ne me servent à rien aujourd'hui et dont je n'ai rien à carrer). Aujourd'hui, à 33 ans, je ne suis plus capable de faire ça, tant mieux d'ailleurs.
Cela fait un an que je suis au chômage et je ne me suis jamais autant éclaté de ma vie. J'ai pu me consacrer à fond à mes passions et je crois que rien ne me fait plus kiffer que ça. Je n'ai jamais eu autant d'amis et de potes autours de moi qui me respectent et apprécient ma compagnie.
Problème: j'arrive en fin de droits et je vais devoir retrouver rapidement du travail. Je passe des entretiens d'embauche sans grande conviction et sans surprise je n'ai pas le poste (Une seule offre d'emploi m'avait réellement intéressée mais cela ne s'est pas fait). Normal, je n'ai pas vraiment le choix, je suis dans la plupart des cas plus dans le besoin que dans l'envie réelle.
Coté nanas, c'est pareil, pas vraiment l'envie de me forcer à aborder, de forcer quoi que ce soit. (c'est marrant, c'était justement ma spécialité à l'époque, me forcer) J'ai l'impression à chaque fois qu'on force les choses qu'on s'éloigne de l'instant présent et que l'on rentre dans le calcul, tuant toute spontanéité.
En faisant cela, c'est comme si il s'instaurait immédiatement une sorte de rapport de force un peu malsain (avec des filles en galère d'ailleurs, les filles plus intéressantes et équilibrées ne portent aucun intérêt à une telle "frame").
Pour avoir vu où ça mène, je n'ai plus envie de rentrer dans de tels rapports humains.
Mon objectif actuel serait plutôt de mettre de l'activité dans ma "passivité" actuelle. C'est à dire d'accroître mon intelligence sociale de façon à mieux profiter de chaque moments. Egalement vaincre ma peur du succès qui, je pense, me bloque plus que la peur de l'échec.
Tout cela afin de rester naturel auprès des filles à qui je plais et concrétiser les occasions au lieu d'aller "mendier" auprès d'inconnues.