Petite causerie autour du sexe
[/quote]
Je tiens à préciser, que par "plaisir", je parlais plus précisément de l’orgasme vaginale.
Une grosse majorité de filles apprends toute seule à jouer avec leur clitoris. Par contre, très peu explorent leur vagin et essayent de découvrir seuls les sensations associées. C'est dommage, parce qu'elles ont l'air de passer à coté de quelque chose de dément...[/quote]
Oui qu'importe! Je parlais de cela également.
Je me caresse le clitoris depuis que j'ai genre 7 ans (même si j'avais aucune conscience de ce que cela représentait), autant dire qu'à 16 ans j'avais un peu fait le tour de la question, mais pour moi le sexe c'était pas ça... Même si c'est très important on est bien d'accord. J'ai été curieuse, moi je voulais savoir ce que ça faisait quand on couchait VRAIMENT avec un homme.
Fin bref, ce que je veux juste dire, c'est que si on est curieux et qu'on recherche le plaisir, on fait tout pour comprendre comment ça marche, et on va se découvrir instinctivement. Je sais pas trop ce que ces femmes qui ne "cherchent pas" attendent de leur partenaire, mais je suppose qu'elles n'ont pas un très bon rapport au plaisir.. j'ai pas le sentiment que c'est ce qu'elles recherchent.
Sérieusement, c'est un mécanisme physique à la base, si on le connaît pas, on peut pas y accéder ni laisser l'autre y accéder.
Se caresser le clitoris, c'est une chose, mais on sait bien qu'il se passe un peu plus que ça quand on a un rapport sexuel donc si on en reste là, pour moi, non, on ne se connaît pas et on ne peut pas espérer que l'autre connaisse mieux que nous.
Je comprends donc ta frustration, même si j'avoue être très étonnée par tous les propos recueillis ici. J'ai toujours eu le sentiment d'être on ne peut plus normale côté sexualité, et pourtant je fais plus au moins partie de la même génération qu'Amelia. J'ai jamais rencontré de gens aussi étriqués, j'avoue aussi que j'ai jamais trop cherché à parler de ces choses avec les gens hormis mes amis proches, et avec eux, aucun problème. Peut-être aussi que c'était plus simple car j'ai presque toujours eu des partenaires plus âgés... Je ne sais pas mais j'avoue être très étonnée, et je trouve vraiment dommage de constater ce décalage entre cette espèce de propagande d'une sexualité toujours plus extrême prônée par notre société et ce qui qu'il se passe réellement..
Je me demande si peut-être, ce n'est pas justement cette tentative trompeuse de faire tomber tous les tabous qui au final, "castre" les gens... La sexualité visuelle est tellement omniprésente que les gens ont l'impression de tout avoir vu et connu et ne font plus les choses par eux-mêmes... Qui sait ?
Je tiens à préciser, que par "plaisir", je parlais plus précisément de l’orgasme vaginale.
Une grosse majorité de filles apprends toute seule à jouer avec leur clitoris. Par contre, très peu explorent leur vagin et essayent de découvrir seuls les sensations associées. C'est dommage, parce qu'elles ont l'air de passer à coté de quelque chose de dément...[/quote]
Oui qu'importe! Je parlais de cela également.
Je me caresse le clitoris depuis que j'ai genre 7 ans (même si j'avais aucune conscience de ce que cela représentait), autant dire qu'à 16 ans j'avais un peu fait le tour de la question, mais pour moi le sexe c'était pas ça... Même si c'est très important on est bien d'accord. J'ai été curieuse, moi je voulais savoir ce que ça faisait quand on couchait VRAIMENT avec un homme.
Fin bref, ce que je veux juste dire, c'est que si on est curieux et qu'on recherche le plaisir, on fait tout pour comprendre comment ça marche, et on va se découvrir instinctivement. Je sais pas trop ce que ces femmes qui ne "cherchent pas" attendent de leur partenaire, mais je suppose qu'elles n'ont pas un très bon rapport au plaisir.. j'ai pas le sentiment que c'est ce qu'elles recherchent.
Sérieusement, c'est un mécanisme physique à la base, si on le connaît pas, on peut pas y accéder ni laisser l'autre y accéder.
Se caresser le clitoris, c'est une chose, mais on sait bien qu'il se passe un peu plus que ça quand on a un rapport sexuel donc si on en reste là, pour moi, non, on ne se connaît pas et on ne peut pas espérer que l'autre connaisse mieux que nous.
Je comprends donc ta frustration, même si j'avoue être très étonnée par tous les propos recueillis ici. J'ai toujours eu le sentiment d'être on ne peut plus normale côté sexualité, et pourtant je fais plus au moins partie de la même génération qu'Amelia. J'ai jamais rencontré de gens aussi étriqués, j'avoue aussi que j'ai jamais trop cherché à parler de ces choses avec les gens hormis mes amis proches, et avec eux, aucun problème. Peut-être aussi que c'était plus simple car j'ai presque toujours eu des partenaires plus âgés... Je ne sais pas mais j'avoue être très étonnée, et je trouve vraiment dommage de constater ce décalage entre cette espèce de propagande d'une sexualité toujours plus extrême prônée par notre société et ce qui qu'il se passe réellement..
Je me demande si peut-être, ce n'est pas justement cette tentative trompeuse de faire tomber tous les tabous qui au final, "castre" les gens... La sexualité visuelle est tellement omniprésente que les gens ont l'impression de tout avoir vu et connu et ne font plus les choses par eux-mêmes... Qui sait ?
Intéressant comme sujet. Le concept d'implication de la part de la partenaire, le moule social qui peut se révéler très oppressant, c'est des choses qui me parlent.
C'est assez incroyable comment certains milieux tentent de formater les gens...
Quittes à parfois les mettre dos au mur; ou tu t'intègres ou tu es mis au ban. Pourtant, la sexualité est quelque chose qui devrait se vivre et se construire naturellement. J'avoue qu'il y a des personnes que je connais bien avec qui je n'en parlais simplement pas (parce que je pensais que ça les mettrait mal à l'aise, en rapport avec leur éducation, leur milieu,...). Puis un jour j'ai mis les pieds dans le plat et maintenant on en rit. Et franchement c'est plus comme avant... C'est vachement mieux!
Pour l'implication, il n'y a pas de secret. En fait, c'est un truc tout con, c'est vraiment le conseil de base qui ressort à chaque fois mais qui à mes yeux est le plus important : Soyez à l'écoute et soyez francs (et patients aussi, une nana va pas se transformer en déesse au pieu en 20 minutes parce que vous lui avez demandé si elle préférait la crème chantilly au nutella).
Le sexe est censé être fun avant tout. Les meilleurs moments au lit dont je me rappelle sont bien souvent ceux où la nana m'as surpris en tentant un truc (même si parfois ça flop, parce qu'une chantilly trop sucrée ça colle à mort
).
Quand on le vit et qu'on sent qu'on est tout les deux dans le moment, c'est quand même plus fun que de faire la planche. Je crois qu'une approche positive et décontractée de la sexualité fais déjà la moitié du boulot.
P.S : Quand au fait de devoir "initier" les filles, c'est vrai que c'est assez troublant, je pense aussi que c'est du à l'évolution des mentalités qui se déroule parfois plus en apparence qu'en profondeur (même si c'est dommage).
- Tu te masturbes?
- T'es fou, je suis pas un mec!
-

C'est assez incroyable comment certains milieux tentent de formater les gens...
Quittes à parfois les mettre dos au mur; ou tu t'intègres ou tu es mis au ban. Pourtant, la sexualité est quelque chose qui devrait se vivre et se construire naturellement. J'avoue qu'il y a des personnes que je connais bien avec qui je n'en parlais simplement pas (parce que je pensais que ça les mettrait mal à l'aise, en rapport avec leur éducation, leur milieu,...). Puis un jour j'ai mis les pieds dans le plat et maintenant on en rit. Et franchement c'est plus comme avant... C'est vachement mieux!
Pour l'implication, il n'y a pas de secret. En fait, c'est un truc tout con, c'est vraiment le conseil de base qui ressort à chaque fois mais qui à mes yeux est le plus important : Soyez à l'écoute et soyez francs (et patients aussi, une nana va pas se transformer en déesse au pieu en 20 minutes parce que vous lui avez demandé si elle préférait la crème chantilly au nutella).
Le sexe est censé être fun avant tout. Les meilleurs moments au lit dont je me rappelle sont bien souvent ceux où la nana m'as surpris en tentant un truc (même si parfois ça flop, parce qu'une chantilly trop sucrée ça colle à mort

Quand on le vit et qu'on sent qu'on est tout les deux dans le moment, c'est quand même plus fun que de faire la planche. Je crois qu'une approche positive et décontractée de la sexualité fais déjà la moitié du boulot.
P.S : Quand au fait de devoir "initier" les filles, c'est vrai que c'est assez troublant, je pense aussi que c'est du à l'évolution des mentalités qui se déroule parfois plus en apparence qu'en profondeur (même si c'est dommage).
- Tu te masturbes?
- T'es fou, je suis pas un mec!
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- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] Intéressant le 30.04.13, 18h30 par amelia
Je pense plutôt que la sexualité féminine a toujours été opprimée et que la situation s'améliore au fur et à mesure heureusement. La preuve en est que tu n'as pas du tout conscience de ce que vivent beaucoup de femmes encore, tu es l’exemple à suivre.Je me demande si peut-être, ce n'est pas justement cette tentative trompeuse de faire tomber tous les tabous qui au final, "castre" les gens... La sexualité visuelle est tellement omniprésente que les gens ont l'impression de tout avoir vu et connu et ne font plus les choses par eux-mêmes... Qui sait ?
Je me retrouve dans le camp des filles qui ont attendu sagement pour explorer l'orgasme vaginal. C’est du gros gâchis quand j’y pense mais c’était dû à une construction erronée de ce dont j’étais capable.
(Je vais reprendre un post que j’ai écrit dans le forum filles sur l’orgasme)
Je joue avec mon clitoris depuis mes 10 ans environ, la culpabilité de le faire a diminué lorsque j’ai appris 3 ans après, grâce à un livre sur la sexualité, que ce que je faisais n’était pas mal.
Et malheureusement, quelques années plus tard, à l’époque où ma seule source d’information était la télévision ou la radio, je découvre via des pseudo-spécialistes qu’il y a deux sortes de femmes: les clitoridiennes et les vaginales. Ainsi, étant une adepte du clitoris, je me range dans le camp des clitoriennes, en pensant malheureusement que le plaisir vaginal n’est pas pour moi. Au final, je ne m’étais jamais masturbé en m’introduisant les doigts où que ce soit.
Et il a fallu que je tombe sur mon compagnon pour me lancer dans l’aventure du vaginal. Comme il avait dans son passé pris l’habitude de provoquer des orgasmes vaginaux puissants, il s’est acharné pour que j’y crois et pour me le faire découvrir.
Au début, malgré cela, je ne pouvais pas m’empêcher de voir l’orgasme vaginal comme un mythe (et je suppose que lors des pénétrations, je devais exercer une importante résistance par la pensée). Ensuite, plus je me laissais aller à l’idée, plus je me concentrais sur mon vagin pendant les rapports ou la masturbation et plus je sentais que l’intérieur de mon vagin s’éveillait et que je pouvais avoir un contrôle sur ses muscles.
Et puis, ma vie a changé en août dernier: à 27 ans, j’ai découvert le terrassant orgasme vaginal! Attention, il a quand même fallu pour cela mettre le paquet, avec le duo cannabis et plug anal. Là, je n’ai pas pu y résister... Et j’ai pu enfin penser: “J’EN SUIS CAPABLE!” Un blocage a volé en éclats!
Sinon, pour donner un exemple de ce qu'il est possible de rencontrer, j'aimerai parler de certaines de mes amies dont j’ai été éloigné un temps (qui ont mon âge), avec qui je ne peux pas parler de sexe. En effet, quand j’ai abordé le sujet récemment, elles se sont mis à me répondre en métaphores floues ou grâce à des mots non sexués pour évoquer par exemple les règles ou le fait de coucher avec un mec. Elles ont en fait gardé le langage que l’on utilisait ensemble au lycée toutes timides que nous étions. Cette conversation m’a tellement épuisé que je n’ai pas recommencé.
De plus, par certains de leurs commentaires, j’ai décelé qu’elles peuvent prendre le sexe comme une monnaie d’échange, du style: “si je me force à faire ceci, il sera obligé de faire cela”. Aïe!
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] A lire le 06.05.13, 14h16 par Terrigan
@levi le sexe se pratique de plus en plus jeune, je vois des jeunes filles au collège qui on 12-13 ans dire ouvertement "j'ai sucer mon mec " à leur copine, mais quand il s'agit d'en parler pour déconner ou sérieusement sur la masturbation etc là il n'y a plus personne..
En fait pour certains mecs (je parle pas de moi
) trouve sa dégradant qu'une fille se masturbe apprenne à se connaître, suivant l'éducation qu'on a eu. Personnellement, c'est peut être mon avis de coquin, mais une fille qui apprend à se découvrir, qui vas dire ce qu'elle aime, comment le faire etc, est beaucoup plus attrayant et enrichissant au point de vue expérience sexuelle qu'une fille qui croit que tout vas tomber du ciel
!!
Concernant l'orgasme vaginal, c'est surtout comme le dit zoé que beaucoup de filles croient que c'est un mythe et ne se laisse pas aller, sa revient à ce que dit amélia "jouit mais pas trop fort" (je vais te copyright cette phrase )
Une fille qui découvrira le sexe, du moins que ça fait peu de temps qu'elle pratique, ne se laisse pas aller, il faut du temps avant de s'accepter et d'être plus coquine..
La surprise et l'excitation des choses nouvelles peut parfois amener à découvrir l'orgasme vaginal et d'autres sources de plaisir..
PS: c'est comme la sodomie qui est très tabou chez les filles..
En fait pour certains mecs (je parle pas de moi


Concernant l'orgasme vaginal, c'est surtout comme le dit zoé que beaucoup de filles croient que c'est un mythe et ne se laisse pas aller, sa revient à ce que dit amélia "jouit mais pas trop fort" (je vais te copyright cette phrase )
Une fille qui découvrira le sexe, du moins que ça fait peu de temps qu'elle pratique, ne se laisse pas aller, il faut du temps avant de s'accepter et d'être plus coquine..
La surprise et l'excitation des choses nouvelles peut parfois amener à découvrir l'orgasme vaginal et d'autres sources de plaisir..
PS: c'est comme la sodomie qui est très tabou chez les filles..
En effet, on entend parfois des filles très jeunes parler de leurs expériences avec leurs copains, est-ce que c'est bien ou mal? Là (pour une fois), je n'ai pas vraiment d'avis tranché, je pense par contre que ça va avec l'évolution de la société, les images que nous renvoient les médias, c'est peut-être même une façon de se révolter. C'est aussi un âge où on s'apprend femme, on découvre notre féminité, on la surjoue ou on la cache, elle devient un fardeau ou un avantage. On se questionne sur tout ce qu'elle implique, on devient capable de donner la vie, d'éveiller du désir chez les hommes, et ça aussi, il faut apprendre à le canaliser et le gérer. C'est un nouveau "pouvoir" qui s'accompagne souvent d'une période de doutes et de perte d'innocence. Notre sexualité peut même devenir monnaie d'échange. Il y a des filles qui transpirent la féminité et d'autres qui la domptent ou qui l'apprennent. Ce rapport et cette acceptation dirigent nos rapports avec les hommes en partie. Et finalement ce questionnement, on ne l'a pas qu'à 13/14 ans. Je l'ai parfois. Quand on me regarde comme un bout de viande ou que je me fais traiter de salope parce que je refuse de donner mon nom ou numéro. Et là encore ce rapport amour/haine que j'entretiens avec mon corps, parce qu'autant je m'en sers pour séduire, quand je me parfume, quand je mets de la belle lingerie ou un décolleté, ce corps devient un outil, autant il peut devenir encombrant, parce que je sens qu'il peut pousser à l'agression chez certains hommes. Il n'y a qu'à voir le nombre de viols qu'il y a de nos jours.
Ces filles mentent aussi un peu, parce que le sexe, ça impressionne, ça fait "grande" et ça donne une sensation de maturité et de transgression, au même titre que fumer ou boire à outrance, ou les 3 en même temps, le trio gagnant.
Bon alors Guillaume, un petit coquin ahaha?
Ton point de vue est intéressant, il prouve que chez les garçons de notre âge, c'est encore mal vu, peut-être aussi parce que ça doit leur donner la sensation d'être privé d'un privilège qui relève de leur virilité. Ou la peur de ne plus servir à grand chose, ça je ne peux pas dire, je n'ai pas de pénis aux dernières nouvelles :p. Et l'orgasme vaginal oui existe, puisque le vagin est innervé, peu mais quand même, donc d'un point de vue anatomique, il est possible. la catégorisation existe, même ici on nous range dans des cases.
Surtout, il est important de savoir que tout le corps est un terrain de jeu. Par exemple, je pourrais avoir un orgasme rien que si quelqu'un me touche les cheveux, ou un massage des mains, parce que j'ai un truc avec les contacts main à main. On a des zones érogènes diverses et qui nous sont propres, l'intérieur des cuisses, les épaules, le cou, l'arrière du genou, et j'en passe. Je suis aussi terriblement sensible au parfum, un homme qui sent bon m'hypnotise, donc le plaisir finalement n'est pas qu'uniquement sexuel d'un point de vue anatomique. Comme le respect, la confiance sont capitaux. Il y a tellement de façons de faire l'amour, passionné, tendre, bestial, fun, ça peut commencer par des mots, une fraise, du chocolat, une odeur, tout est question de sensibilité. Une épaule découverte, un murmure, un baiser peuvent être bien plus érotique qu'un banal coït. S'écouter finalement.
Et "jouis mais pas trop fort", bon c'est ma phrase, mais je t'autorise officiellement à l'utiliser si tu me cites en tant qu'auteur à chaque fois :p. Et pourtant je la trouve vraie, ce besoin d'être toujours mesurée. Parfois j'ai envie de crier, de dire qu'on a le droit d'être excessif, entier, d'aimer comme jamais, jouir comme personne avant nous.
Amélia
Ces filles mentent aussi un peu, parce que le sexe, ça impressionne, ça fait "grande" et ça donne une sensation de maturité et de transgression, au même titre que fumer ou boire à outrance, ou les 3 en même temps, le trio gagnant.
Bon alors Guillaume, un petit coquin ahaha?
Ton point de vue est intéressant, il prouve que chez les garçons de notre âge, c'est encore mal vu, peut-être aussi parce que ça doit leur donner la sensation d'être privé d'un privilège qui relève de leur virilité. Ou la peur de ne plus servir à grand chose, ça je ne peux pas dire, je n'ai pas de pénis aux dernières nouvelles :p. Et l'orgasme vaginal oui existe, puisque le vagin est innervé, peu mais quand même, donc d'un point de vue anatomique, il est possible. la catégorisation existe, même ici on nous range dans des cases.
Surtout, il est important de savoir que tout le corps est un terrain de jeu. Par exemple, je pourrais avoir un orgasme rien que si quelqu'un me touche les cheveux, ou un massage des mains, parce que j'ai un truc avec les contacts main à main. On a des zones érogènes diverses et qui nous sont propres, l'intérieur des cuisses, les épaules, le cou, l'arrière du genou, et j'en passe. Je suis aussi terriblement sensible au parfum, un homme qui sent bon m'hypnotise, donc le plaisir finalement n'est pas qu'uniquement sexuel d'un point de vue anatomique. Comme le respect, la confiance sont capitaux. Il y a tellement de façons de faire l'amour, passionné, tendre, bestial, fun, ça peut commencer par des mots, une fraise, du chocolat, une odeur, tout est question de sensibilité. Une épaule découverte, un murmure, un baiser peuvent être bien plus érotique qu'un banal coït. S'écouter finalement.
Et "jouis mais pas trop fort", bon c'est ma phrase, mais je t'autorise officiellement à l'utiliser si tu me cites en tant qu'auteur à chaque fois :p. Et pourtant je la trouve vraie, ce besoin d'être toujours mesurée. Parfois j'ai envie de crier, de dire qu'on a le droit d'être excessif, entier, d'aimer comme jamais, jouir comme personne avant nous.
Amélia
Chut faut pas le dire c'est un secret
Ah bon je croyais que tu en avais un car tu raisonnes comme un mec
Arrête de réviser pour tes derniers partiels d'anat là, on sent que tu es à fond dedans je taquine
Non plus sérieusement en fait, je pense c'est plutôt une question de s'amuser, et de voir que ce n'est pas dégradant de faire ça.


Ah bon je croyais que tu en avais un car tu raisonnes comme un mec

Arrête de réviser pour tes derniers partiels d'anat là, on sent que tu es à fond dedans je taquine
Non plus sérieusement en fait, je pense c'est plutôt une question de s'amuser, et de voir que ce n'est pas dégradant de faire ça.
C'est tellement vrai, on voit plus cela chez les filles plus jeunes, peut être pour ça que je préfère les filles plus vieilles que moi, qui sont plus ouvertes d'esprit et qui se lâche beaucoup plus, je généralise peut être mais sur la plupart c'est vrai, et je sais pas j'ai pas de vagin, mais si on est trop sur la retenue on ne peut pas profiter pleinement et atteindre le 7ème ciel.. Tu as oubliée la voix aussi, une voix sensuelle peut mener un homme au sommetce besoin d'être toujours mesurée. Parfois j'ai envie de crier, de dire qu'on a le droit d'être excessif, entier, d'aimer comme jamais, jouir comme personne avant nous.

Motus et bouche cousue, c'est promis
Je raisonne comme un mec? ha celle là, on me l'a jamais faite! Le Krav Maga, ça déforme :p
J'irai peut-être mettre une photo sur le topic des photos des FTS addicts, on verra, histoire de te prouver que je suis une fille :p (ce qui me plait bof, c'est qu'on ne sait pas trop qui passent exactement sur ce topic et autant certains j'ai confiance, ceux qui postent souvent autant les autres, je sais pas :/ )
Ouais, je sais, je suis trop à fond, heureusement que ça se finit bientôt, parce que l'humour P1, ça craint, j'ai un vrai florilège de blagues pas drôles, déjà que d'habitude, ça vole pas haut.
C'est un schtroumpf qui se prend un arbre et qui se fait un bleu
(allez ça va je sors...)
Bien sur que c'est drôle et amusant et pas dégradant, mais bon je crois qu'on est pas encore aussi libres qu'on voudrait bien le faire croire ou le penser. Paroles de mon canard duffy duck vibrant rose :p
Pour se lacher, il faut aussi "la" rencontre. Et la voix, le regard, un éclat de rire, un compliment, une allusion bien placée et pouf, plus d'Amélia
. C'est la magie d'une rencontre, une alchimie, qui peut commencer par une séduction physique et poursuivre en intellectuelle. Pour moi un orgasme n'est pas que réservé au sexe, j'ai des orgasmes culinaires, littéraires, poétiques, intellectuels, sportifs, musicaux, spirituels, c'est ressentir cette émotion qui transporte, transcende et vous enveloppe, parfois même avec une pointe de souffrance, cet orgasme qui se fait doux et progressif ou brutal et terrassant. Celui qu'on cache et contient pour le garder comme un secret ou celui qu'on crie, presque animal, se rappeler qu'on est vivant.
Finalement, c'est surement lié à mon caractère contradictoire, entier. Je suis un mystère pour moi-même, je ne me comprends pas toujours et mon plaisir, si je sais le provoquer, peut parfois surgir de nulle part. (et un facteur hormonal aussi, à certaines périodes, j'ai des idées pas nettes au moindre truc
). C'est peut-être en acceptant qu'on ne peut pas toujours le controler, qu'on se sent plus libre, débarrassé de cette pression "mince je n'ai pas d'orgasme..."
Et on ne l'a pas dit, mais l'orgasme n'est pas toujours essentiel dans le rapport sexuel, on peut prendre énormément de plaisir sans pour autant qu'"il" soit là.
Amélia

Je raisonne comme un mec? ha celle là, on me l'a jamais faite! Le Krav Maga, ça déforme :p
J'irai peut-être mettre une photo sur le topic des photos des FTS addicts, on verra, histoire de te prouver que je suis une fille :p (ce qui me plait bof, c'est qu'on ne sait pas trop qui passent exactement sur ce topic et autant certains j'ai confiance, ceux qui postent souvent autant les autres, je sais pas :/ )
Ouais, je sais, je suis trop à fond, heureusement que ça se finit bientôt, parce que l'humour P1, ça craint, j'ai un vrai florilège de blagues pas drôles, déjà que d'habitude, ça vole pas haut.
C'est un schtroumpf qui se prend un arbre et qui se fait un bleu

Bien sur que c'est drôle et amusant et pas dégradant, mais bon je crois qu'on est pas encore aussi libres qu'on voudrait bien le faire croire ou le penser. Paroles de mon canard duffy duck vibrant rose :p
Pour se lacher, il faut aussi "la" rencontre. Et la voix, le regard, un éclat de rire, un compliment, une allusion bien placée et pouf, plus d'Amélia

Finalement, c'est surement lié à mon caractère contradictoire, entier. Je suis un mystère pour moi-même, je ne me comprends pas toujours et mon plaisir, si je sais le provoquer, peut parfois surgir de nulle part. (et un facteur hormonal aussi, à certaines périodes, j'ai des idées pas nettes au moindre truc

Et on ne l'a pas dit, mais l'orgasme n'est pas toujours essentiel dans le rapport sexuel, on peut prendre énormément de plaisir sans pour autant qu'"il" soit là.
Amélia
Tu as intérêt sinon le petit canard rose vibrant bye bye
y'a plus simple pour prouver que tu es une fille
La je pense que tu peux sortir et ne plus jamais faire de blague.. Les féministes se croient libre et véhicule cette image de liberté..
Non je ne pense pas que "la" rencontre te lâche plus qu'autre chose, tu es restée au pays des bisounours ?
Tu pars très loin amélia
, on arrive à visualiser la scène , par rapport à l'orgasme beaucoup de filles n'acceptent pas de ne pas contrôler, elles ne se laissent pas aller et comme tu dis un orgasme n'est pas nécessaire, certaines se mettent trop la pression pour avoir l'orgasme..
Les orgasmes liés au sport les meilleurs

y'a plus simple pour prouver que tu es une fille

La je pense que tu peux sortir et ne plus jamais faire de blague.. Les féministes se croient libre et véhicule cette image de liberté..
Non je ne pense pas que "la" rencontre te lâche plus qu'autre chose, tu es restée au pays des bisounours ?

Tu pars très loin amélia

Les orgasmes liés au sport les meilleurs

- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Mdr !! le 30.04.13, 22h10 par amelia
Duffy dit qu'il a peur et demande ce que tu vas lui faire le pauvre :p
"la"rencontre peut être multiple, et prendre le visage de beaucoup d'hommes. Mais en amour, oui je crois à la personne, mais c'est un autre débat et j'assume mon coté bisounours vilain
Ma vie est faite d'orgasme que veux-tu ahahahah. Un orgasme culinaire est exceptionnel, un fondant au chocolat avec une compotée de fraises, le chaud et le froid qui s'allient, du coulant et du craquant, le sucré et l'acidité avec une pointe d'amertume et de corsé, voire boisée suivant le chocolat utilisé, la fraicheur de la fraise, qui se fait bonbon avec le chocolat qui prend des airs caressants... mmmmh...
Et l'orgasme littéraire quand je lis Bérénice:
Dans un mois, dans un an, comment souffrirons-nous,
Seigneur, que tant de mers me séparent de vous ?
Que le jour recommence et que le jour finisse,
Sans que jamais Titus puisse voir Bérénice,
Sans que de tout le jour je puisse voir Titus ?
Ses mots doux à l'oreille, qui cachent tant d'injustice, d'amour et de souffrance...
Orgasme sportif, après 2h de footing.
Enfin, on s'éloigne du sujet là mais bon , le plaisir se cache partout!
"la"rencontre peut être multiple, et prendre le visage de beaucoup d'hommes. Mais en amour, oui je crois à la personne, mais c'est un autre débat et j'assume mon coté bisounours vilain

Ma vie est faite d'orgasme que veux-tu ahahahah. Un orgasme culinaire est exceptionnel, un fondant au chocolat avec une compotée de fraises, le chaud et le froid qui s'allient, du coulant et du craquant, le sucré et l'acidité avec une pointe d'amertume et de corsé, voire boisée suivant le chocolat utilisé, la fraicheur de la fraise, qui se fait bonbon avec le chocolat qui prend des airs caressants... mmmmh...
Et l'orgasme littéraire quand je lis Bérénice:
Dans un mois, dans un an, comment souffrirons-nous,
Seigneur, que tant de mers me séparent de vous ?
Que le jour recommence et que le jour finisse,
Sans que jamais Titus puisse voir Bérénice,
Sans que de tout le jour je puisse voir Titus ?
Ses mots doux à l'oreille, qui cachent tant d'injustice, d'amour et de souffrance...
Orgasme sportif, après 2h de footing.
Enfin, on s'éloigne du sujet là mais bon , le plaisir se cache partout!
amelia a écrit :En effet, on entend parfois des filles très jeunes parler de leurs expériences avec leurs copains, est-ce que c'est bien ou mal? Là (pour une fois), je n'ai pas vraiment d'avis tranché, je pense par contre que ça va avec l'évolution de la société, les images que nous renvoient les médias, c'est peut-être même une façon de se révolter.
Amélia
Pour le coup, j’ai quelques éléments de réponse. Rien d’indépassable ou d’absolue, bien sûr...
Tout d'abord un rappel: Une fiche sur l’évolution de l’âge du premier rapport
http://www.ined.fr/fr/tout_savoir_popul ... rt_sexuel/

On y voit que l'âge du premier rapport chez les hommes à très peu changé (il a baissé d'un an et demi en 50 ans). L'évolution chez les femmes est nettement plus visible (- 3 ans en 50 ans) mais correspond surtout à une disparition de l'écart qu'il y avait avec les hommes (dans la tendance égalitariste qui est la notre). Donc bon la sexualité vraiment précoce d'a pas l'air d'être un phénomène de masse.
Il y a quelques études qui montrent une corrélation entre l’âge du premier rapport et la qualité des relations sentimentales à l’âge adulte, par exemple celle-ci: http://www.dailymail.co.uk/sciencetech/ ... ships.html
Il y apparaît que ceux qui ont découvert le sexe plus tôt ont des relations de moins bonne qualité une fois adulte. Évidemment, corrélation n’est pas raison, et il existe de multiples trajectoires individuels. On peut quand même citer trois arguments qui ont du sens, à mes yeux.
1) Le manque de maturité. Un acte sexuel est tout sauf anodin, et un jeune esprit n’est pas forcément très bien équipé pour l’appréhender. Cela peut laisser une vision du sexe un peu boiteuse à l’avenir.
2) Les difficultés matérielles. Personnellement, j’ai du mal à imaginer la découverte de la sexualité à deux lorsque l’on habite chez ses parents. Parce que cela nécessite:
- soit de le faire quand ils ne sont pas là. Ce qui veut dire que c’est leur agenda qui va déterminer la fréquence et la durée des rapports sexuels
- soit de le faire, discrètement à coté d’eux. Ce qui impose un discrétion fort peu émancipatrice sans oublier l’influence castratrice qu’ils peuvent avoir sur les jeunes (et moins jeunes...) esprits.
Dans les deux cas, cela peut provoquer de réflexes de retenues, de précipitation et de discrétion forts peu propices à l’apparition du “lacher-prise”. Personnellement, j’ai aidée à faire découvrir l’orgasme à une fille parce que j’avais... un studio. Et que c’était la première fois qu’elle avait l’intimité nécessaire pour se laisser aller.
3) Une sexualité précoce PEUT être le fruit d’un mal-être plus profond (par exemple causé par des parents toxiques). Dans ce cas, il n’est pas étonnant d’observer des relations foireuses à l’âge adulte.
Personnellement, j’ai eu une relation avec une femme qui avait découvert le sexe à 14 ans (elle avait 23 ans, à l’époque). C’était, et de très loin!, le pire coup au pieu que j’ai connu . Du genre à ne vouloir le faire que dans le noir et pour qui la levrette consistait à un mec immobile et la fille qui fait quelques timides mouvements de va et viens (j’ai pour ma part une vision un peu plus... animé de l’acte). Appliquées à elle, les raisons 1) et 3) semblaient complètement pertinentes.
Ce ne prouve rien, et j’imagine qu’il y a d’innombrables contre-exemple, mais quand même, je reste circonspect sur des rapports trop précoces (pour fixer les idées, disons avant la majorité sexuelle: 15 ans, 3 mois).
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] Absolument le 02.05.13, 00h12 par amelia