les filles détestent les puceaux après la vingtaine.
Elles veulent du plaisir, prendre leur pied, pas s'occuper d'un gamin.
Non mais alors là c'est ABSOLUMENT faux. Ça dépend des filles déjà. Et ça peut être très agréable d'être l'initiatrice.
J'ai toujours été charmée d'être la première copine d'un mec. C'est super flatteur... Je trouve ça beaucoup plus séduisant que de passer après la énième fille d'un mec qui a une vie sexuelle depuis ses 14 ans.
Je ne comprends pas trop d'où vous viennent ces idées-là. Ça me rappelle la fois où j'ai demandé à mon mec à quel âge il avait eu sa première fois. Il a vraiment hésité à me le dire puis au bout d'un moment il me lâche : 17 ans. Je n'ai rien montré mais en fait j'étais un peu déçue, je trouvais ça jeune. Puis on a discuté, je lui ai confessé plein de trucs sur ma vie sexuelle et à la fin de notre conversation, il me sort : "21" .
Je lui dit "21 quoi ?" . Il me répond : " 21 , ma première fois, c'était à 21 ans ". WTF ? Pourquoi il m'a menti ? Il me dit alors qu'il pensait que c'était mieux de me dire 17 . Ben mauvaise stratégie car même si je m'en foutais complètement de l'âge de sa première fois, 21 ans, ça me plaisait un peu mieux que 17 ans, ça correspondait à l'image du garçon timide qui m'avait charmée.
J'ai lu le sujet en diagonale (désolée), 2-3 remarques :
@Datstalker :
Ta réaction est normale, j'ai eu la même à ton âge. C'est drôle, à 19 ans, certains se sentent vieux et accablés comme s'ils avaient vécu 1000 ans

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Je connais beaucoup de gens qui ont traversé la même période dépressive que j'appelle la dépression post-scolaire ou la dépression du jeune adulte. En fait, tu viens de quitter le cadre très rigide mais sécurisant de la scolarité (primaire et secondaire). On n'est plus un enfant, on ne vit plus chez ses parents, on est majeur avec des droits et des devoirs. Ça fait beaucoup de choses d'un coup. Automatiquement, on fait le bilan de ces années passées et soudain on réalise qu'on ne reviendra plus en arrière. L'école, c'est fini, c'est derrière nous. Pas moyen de corriger des choses mal faites, c'est trop tard. D'où les regrets, la déprime.
En fait, je pense qu'il ne faut pas te culpabiliser d'être ainsi en ce moment, c'est une période normale, un peu comme le baby blues pour la mère qui vient d'enfanter. Il faut juste penser à rééquilibrer le bilan en se remémorant ce qui a été positif. Et ne commencer à s'inquiéter que si malgré le temps qui passe, tu ne parviens pas à aller de l'avant.
Quant aux amourettes du lycée, tu idéalises pas mal. Les amourettes au lycée, c'est pas souvent romantique/fleur bleue, pas dans mon lycée en tout cas. Que des coups arrangés par des pseudos "amies" ou amis du mec. Du genre : Tu veux sortir avec machin ? Un type que tu n'as encore jamais vu, on te le montre de loin et avant même que tu n'aies eu le temps de répondre, le coup est arrangé et tu te retrouves accouplée avec un type que tu ne connais ni d’Ève ni d'Adam. Alors, des fois je pense le contraire de toi. J'aurais préféré ne sortir avec personne plutôt que de gâcher les frémissements des premiers émois amoureux avec des arrangements à la con.
Nom de Zeus, de toute façon, cela ne sert à rien de s'étendre sur cette hypothèse, la machine à voyager dans le temps n'est plus produite par DeLorean...
"Mieux vaut que je me consacre à l'étude de l'autre grand mystère de l'univers : les femmes."