sebz9999 a écrit :( Animal, je voulais noter ton post par " mauvais esprit " et pas par " mauvais forum )
De mon expérience, il y as de forte chance que tu ne soit en rien différent du reste de tes amis ou de ceux qui compose le gros de la société[/i]. Très certainement, ton activité " intellectuelle extrême" n'ais surement rien d'autre qu'une échappatoire a ton inadaptation sociale. Le mécanisme étant : je suis inadapté social car je suis trop intelligent, ce qui est une ritournelle sémantique qui t'exclurais de facto des autres. Je ne suis pas apte a dire que c'est précisément ton cas, mais c'est ce que m'évoque tout court texte, je parle plus de ressenties personnel, c'est approximatif, je le reconnais, mais je pense que ça pourrais te donner quelques pistes.
Ta sur-intellectualisation supposé est certainement concentré sur une échappatoire a ta véritable problématique, qui est : que tu ne possède pas ou peu de compétence sociale ( Hormis les cas des génies extrême ) Il te faut te poser la question la dessus : as tu une activité cérébrale supérieur a la moyenne, ou est tu en réalité comme tout le monde, ta suractivité cérébrale est-elle mise en place comme une échappatoire. Il te faut certainement admettre que tu est comme tous le monde. Ton problème n'ais pas d'ordre intellectuelle mais sociale, et l'un et l'autre ne sont pas forcément lié. Ton inactivité que tu noi dans la réflexion n'ais pas obligatoirement une marque d'intelligence ou de différenciation.
Je déterre ce topic, car c'est intéressant d'avoir un recul dessus.
Quand je suis chez moi ouais, je pense à plein de trucs. Plein d'informations qui passent mais je ne sais pas forcément toutes les traiter. Si on ramène l'intelligence au côté performance, efficacité, clairement non je ne suis pas un génie. D'après mes souvenirs j'ai passé un test de QI jeune et j'étais un peu en-dessous de la moyenne. J'ai toujours eu de bons résultats scolaires (15, sans travailler jusqu'en seconde) mais je n'étais pas meilleur qu'un autre pour résoudre des problèmes mathématiques. Même dans mon domaine d'étude (informatique) et des années de pratique je ne suis pas au niveau de jeunes ados qui après un an d'entraînement participent à des olympiades internationales. Bref tout ça pour dire que j'admets être un peu loin de la surdouance même si j'ai réussi quelques trucs sympas dans ma vie ;)
Par rapport au côté social j'arrive pas en fait à me définir par rapport à une catégorie bien définie. Genre les rockeurs, sportifs, artistes... j'ai plein de casquettes mais fondamentalement je suis paumé pour me ranger dans une catégorie, un style de vie à part entière.
Le problème que j'ai je pense c'est la trouille. Je ne me lâche pas suffisamment ou alors à des moments vraiment pas propices à ça. Que ce soit à l'université ou dans des associations, je connais beaucoup de monde mais je ne vais pas beaucoup plus loin. C'est pire encore quand je suis dans des soirées organisées par des associations dont je suis membre. Je me sens empoté, voilà le bon mot. Donc je reste le plus en retrait possible pour ne pas dire, faire de conneries ou de trucs surfaits.
Mon problème avec les filles vient de là, c'est clair comme de l'eau de roche. Et je me plaignais il y a quelques semaines d'être tardif niveau sexualité, mais en n'y réfléchissant ce n'est pas ça le problème. Le problème c'est que j'ai peur et que je n'ose pas y aller, foncer. J'ai beau avoir envie d'une fille, j'ai peur quand on commence à se rapprocher l'un de l'autre, et à se coller. Je suis perdu et je ne sais plus quoi faire. J'ai peur de la caresser, peur de la tripoter, peur de l'embrasser, peur aussi qu'elle refuse cela et qu'elle en parle à tous ses amis, et qu'elle me colle une réputation pas terrible.