FTS

T'as juste autre chose a faire de ta vie que de chopper "le vivier qui prends plus de temps".
Vraiment. Il y a du sport à faire, des amis à voir, des études à poursuivre, des musées, des balades, des livres à lire, et du chaos à vivre.

D'autre part, cet autre vivier est sûrement le vivier que tu peux rencontrer en soirée quand tu fait bordel avec tes potes et que tu attrapes des numéros dans la bonne humeur.
Ou de filles que peuvent te le donner en abordage direct si tu t'y prends bien et avec respect.
Ou la fille qui bouge son corps sur la piste de danse de la boîte branchée du coin.

Donc non, t'as pas que ça a faire.
Tans pis, ce sera autre part ou jamais.
La peur de ne pas pouvoir plaire potentiellement est un truc qui flingue un état d'esprit simple, cool et séduisant. Et qui flingue surtout ton temps.

Mr.Smooth a écrit :D'autre part, cet autre vivier est sûrement le vivier que tu peux rencontrer en soirée quand tu fait bordel avec tes potes et que tu attrapes des numéros dans la bonne humeur. Ou de filles que peuvent te le donner en abordage direct si tu t'y prends bien et avec respect. Ou la fille qui bouge son corps sur la piste de danse de la boîte branchée du coin.

J'ai envie te dire que tu casse les........ pour la simple raison que ta foutrement raison sur ce point. J'irais pas te contredire pour une fois. Tu viens de résumer le succès des sites de rencontre en ligne : le confort planqué derrière un ordinateur et la peur de l'approche dans la réalité.

Tu viens de résumer le succès des sites de rencontre en ligne : le confort planqué derrière un ordinateur et la peur de l'approche dans la réalité.

Tu peux le voir comme ça.
Tu peux aussi le voir sans le côté "putain l'humanité fout le camp" alors qu'elle a toujours foutu le camp, que c'est pas si grave.

Tu peux, de façon plus pragmatique, le voir comme UN moyen possible de rencontrer des filles géniales qui te marqueront, tout en vivant ta vie et sans te limiter à celui-ci, en ne faisant pas de la séduction et du plaire le centre de ton temps
Et ça, c'est mon vécu.