FTS

A Blusher:
1. Effectivement, le passé ,... ben il est passé et je ne dois pas vivre dans l'espoir d'y retourner sinon je n'avancerais pas.
2. Ma relation avec elle est effectivement prenante dans ma vie mais je prends du recule et je vais revivre pour moi et faire ce que J'AI envie. C'est d'ailleurs ce qu'elle me dit: "tu ne dois pas vivre pour moi mais pour toi". J'ai pleins d'autres choses dans ma vie que j'avais laissé en suspend. Je vais les reprendre en main.

A gettheone:
Effectivement, je me suis laissé bouffer mais j'ai beaucoup travailler sur moi et fait "d'auto-analyse".
La situation: moi, divorcé depuis quelques mois, ayant vécu avec mon ex pendant 10 et construit une famille avec. Nous étions toujours l'un avec l'autre et nous ne faisions rien de particulier (métro-boulout-dodo), ce qui ne correspondait pas à mon idéale mais une fois de plus, je m'étais laissé bouffer par la vie. J'avais donc un modèle de couple "greffé l'un à l'autre". De plus, mon ex était très dépendante de moi. Après la séparation, j'ai eu 6 mois de céliba et je n'ai pas eu le temps de prendre les habitudes de vie de célibataire endurcie.
Ensuite, je rencontre ma copine, totalement indépendante et mère célibataire depuis plus de 2 ans. Elle me fait entrer dans son cercle intime mais moi, gourmand, je vais encore plus loin car pour moi, c'est normal au vue de ma précédente relation. Du coup, elle se sent envahie et prend du recule (elle m'avait prévenue au début mais je n'avais pas compris). Quand elle s'éloigne, ma grosse peur de l'abandon arrive en force et me fait perdre mes moyens. Je vais donc encore plus dans son intimité et c'est le serpent qui se mord la queue. Maintenant, elle est dans sa tour d'ivoire et n'en sortira que quand elle l'aura décider.
2 solutions pour moi:
1. la quitter
2. être patient et la laisser

Je choisi la 2 car je sais que ça en vaut la peine. Si j'ai choisi d'être avec elle (oui, j'avais le choix entre 2 filles au début et c'est elle qui me convenait), c'est parce qu'elle correspond à la femme qui pourrait partager ma vie. Simplement, comme elle me l'a dit, "une relation se construit avec le temps. C'est comme une maison: on ne mets pas les murs sans avoir coulé de solides fondations".
Je vais donc prendre du recule.

Je m'aperçois surtout que tout est question d'interprétation et de façon de voir les choses. En étant négatif, on réagit mal. En étant positif, on prend mieux les choses.
Merci pour vos conseils. Je ne manquerais pas de vous tenir informé.
Bonne continuation.

Bonjour à tous,

Me revoilà. Finalement, j'ai fini par la quitter car elle n'éprouvait plus de sentiments amoureux et ne savait plus où elle en était. Je souffrais bcp trop de la situation. Je n'ai pas réussi à me recentrer sur moi et être "égoïste" et ferme. J'ai été le dominé et je l'ai perdu. Mais je veux reprendre le dessus et redevenir moi même. Ça me fera le plus grand bien. Et je me dis qu'en prime, elle finira peut être par revenir. On verra bien.
Pour l'instant, je veux penser à moi.
En même temps, nous n'avons pas eu de réelle discussion pour la rupture. C'est sortie lors d'une conversation par tel. je lui ai dit qu'on arrête. Et depuis, pas de discuission. J'ai envie d'aller la voir pour lui montrer que je peux redevenir un dominant et me le prouver aussi.

A mon avis, c'est pas tant une question de dominance que de confiance en soi et d'affirmation de soi.

Sous entendu, c'est pas un rapport de force que tu dois vouloir maîtriser dans tes relations, mais plutôt, cultiver ta force tranquille,car elle te rend plus clairvoyant et serein face aux trous d'air que peut traverser une relation.

Pose toi également la question de la personnalité des femmes que tu rencontres. Une rencontre peut te faire du bien sur le court terme, pour plein de raisons, et pourtant masquer le caractère malsain / toxique de la personne, qui sur le moyen / long terme te ruinera la tête et l'amour propre. Savoir repérer les gens douteux pour ne pas se jeter sous leurs griffes, c'est essentiel.

Je suis totalement en accord avec FK, oublie ce schéma de dominance car c'est toi qui y perdra rien qu'à l'idée, ne serait ce que par principe de vie.