FTS

tibdeconne a écrit :TCD kezako? Et tu habites où pour avoir que des psys surbookés ?

Thérapie comportementale cognitive (ou méthode Linehan). Enfin, une thérapie pour le TPL (trouble de la personnalité limite). C'est sur Paris, et je suis en Bretagne, les psys qui pratiquent la Thérapie comportementale cognitive (TCC) sont débordés aussi, car ils ne le font pas tous.

PS : Fini. J'en peux plus, j'suis à bout. Je bois, comme d'habitude. Foutu vice. Je l'ai senti mal, je n'ai pas supporté, car malgré tout, je l'aime celui-là.

Loading a écrit :Petite précision, on s'est rencontrés en institut psy. Il était là pour alcool, drogues, et violence. Son psychiatre a avoué avoir peur de lui... "J'ai peur que vous vous leviez pour me frapper."

Bon, je ne vais rien ajouter de nouveau si ce n'est une anecdote personnelle. Mais c'est pour t'encourager à suivre les bons conseils des membres.

Ma mère a fait la même chose. Une rencontre avec un timbré en institut psy. Résultat final : elle était enfermée dans la chambre du type quasi 24/24. Elle se faisait parfois frapper et a même eu droit au flingue.

Heureusement, mon beau-père était un ancien flic et après quelques coups de fil, il a obtenu l'adresse du type et y a envoyé une patrouille.

Ce genre de types ne t'apportera rien de bon dans ta vie. Tu risques de te détruire à rester avec.

Loading a écrit : Le quitter en attendant LA rencontre, tout en craignant sa vengeance ?

Tu peux être certaine qu'il t'emmerdera un court moment pour que tu lui reviennes. C'est souvent la réaction de types de son genre.

Loin de moi de vouloir te faire peur. Au contraire, c'est pour te préparer mentalement à cette possibilité et à y faire face.

Loading a écrit :Il sait que quand il me dit qu'il ne pourrait pas vivre sans moi, ça me force à me -tenez vous bien- persuader moi-même que j'ai aussi besoin de lui, et que je l'aime.

Tu vois, tu le comprends toi-même. Je sais que c'est difficile, mais tu vas devoir trouver la force de résister, jeune padawan ^^.

Loading a écrit :PS : Fini. J'en peux plus, j'suis à bout. Je bois, comme d'habitude. Foutu vice. Je l'ai senti mal, je n'ai pas supporté, car malgré tout, je l'aime celui-là.

Courage. T'es plus forte que tu ne le penses.

Balzac a écrit :Bon, je ne vais rien ajouter de nouveau si ce n'est une anecdote personnelle. Mais c'est pour t'encourager à suivre les bons conseils des membres.

Ma mère a fait la même chose. Une rencontre avec un timbré en institut psy. Résultat final : elle était enfermée dans la chambre du type quasi 24/24. Elle se faisait parfois frapper et a même eu droit au flingue.

Heureusement, mon beau-père était un ancien flic et après quelques coups de fil, il a obtenu l'adresse du type et y a envoyé une patrouille.

Ce genre de types ne t'apportera rien de bon dans ta vie. Tu risques de te détruire à rester avec.

Ah mais dans sa chambre, je sautais sur ses armes avant lui. Mais pour moi.

Tu peux être certaine qu'il t'emmerdera un court moment pour que tu lui reviennes. C'est souvent la réaction de types de son genre

Il a insisté oui, il m'a dit qu'il me pardonnait et tout, mais je suis allée jusqu'au bout, en pleurs, certes, mais j'y suis allée.

Loading a écrit :PS : Fini. J'en peux plus, j'suis à bout. Je bois, comme d'habitude. Foutu vice. Je l'ai senti mal, je n'ai pas supporté, car malgré tout, je l'aime celui-là.

Courage. T'es plus forte que tu ne le penses.

Hum, oui, on verra si je reste debout.

TCD :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9r ... ialectique

Mais la thérapie de couple entre ces deux toxicos tellement auto-destructeurs qu'ils ne sont même pas foutus de prendre leur traitement, alors là oui, ça promet !

Ouais, je vais voir pour la thérapie de couple. Je dois déjà faire une thérapie familiale, ma psy m'a donné un carton avec un numéro, ils font aussi les couples.

Si je peux me permettre...
Je n'ai pas lu toutes les réponses, mais le premier post est déjà suffisamment clair: je ne pense pas qu'une psychologie de couple change quoi que ce soit, parce que vous n'êtes pas un couple. Vous n'avez pas de problèmes de couple, vous avez avant toute chose des problèmes personnels. Vous n'êtes pas un couple, vous vous êtes trouvés à un moment où vous aviez besoin de quelqu'un et votre rencontre vous fait du bien dans votre mal. Mais ce n'est pas le fondement d'un couple sain.

Tu en as l'air plus que consciente et en même temps tu sembles perdue dans un certain surréalisme à vouloir sauver votre couple qui n'en est pas un… Commence par te sauver toi-même.
Désolée si j'ai l'air dure, mais c'est la base de tout. Tu ne peux pas aimer sainement (ni être aimée d'ailleurs) tant que tu ne te soigneras pas.
Rien que le fait que tu acceptes tout ce que tu as relaté ici montre à quel point tu es malade (et lui aussi).

Les personnes peuvent changer, mais pas les relations. D'une fois qu'on a franchi autant de limites, on ne revient plus en arrière. Ca ne veut pas dire que vous êtes voués à cela toute votre vie, individuellement. Vous pouvez décider de recommencer une nouvelle vie, loin l'un de l'autre, en réapprenant la vie avec des autres personnes, et reprendre de bonnes bases sur ce à quoi devraient ressembler les relations humaines.
Il faut que tu réapprennes à te respecter et à t'aimer.

Parce que :
1. Ce n'est pas de l'amour

_J'ai des horaires à respecter pour chaque chose.
_Je n'ai pas le droit de chanter du tout, ou de jouer de la guitare quand je veux.
_Je n'ai pas le droit d'écouter ma musique, je dois le suivre comme un chien, faire l'amour quand IL veut, m'habiller comme-ci, comme-ça.
_Je n'ai pas le droit de voir des amis masculins. Ni même avec lui, "c'est trop risqué".
_Je dois boire ça, et manger ça.
_Prendre du poids (je n'y parviens pas).
_Faire un enfant,

2. Ceci n'est pas normal:

PS : Fini. J'en peux plus, j'suis à bout. Je bois, comme d'habitude. Foutu vice. Je l'ai senti mal, je n'ai pas supporté, car malgré tout, je l'aime celui-là.

Hum, oui, on verra si je reste debout.

Ah mais dans sa chambre, je sautais sur ses armes avant lui. Mais pour moi.

=> Tu es malade et tu as besoin de t'occuper de toi, dans un environnement sain:
mets fin à votre histoire, vraiment. Et concentre-toi sur toi pour le moment, laisse tomber les relations jusqu'à ce que tu soies réellement mieux, sinon tu risques de retomber exactement dans le même schéma.

Courage, vraiment.

Verdict sans appel: quitte-le.

Un compagnon, ce n'est pas quelqu'un qui interdit, c'est quelqu'un qui accompagne. Je ne comprends même pas comment tu peux te poser la question de rester avec lui, je suppose que tes difficultés personnelles expliquent que t'aies eu du mal à y voir clair.

Quitte-le, tout de suite, sans revenir en arrière.

MaryeL a écrit :Si je peux me permettre...
Je n'ai pas lu toutes les réponses, mais le premier post est déjà suffisamment clair: je ne pense pas qu'une psychologie de couple change quoi que ce soit, parce que vous n'êtes pas un couple. Vous n'avez pas de problèmes de couple, vous avez avant toute chose des problèmes personnels. Vous n'êtes pas un couple, vous vous êtes trouvés à un moment où vous aviez besoin de quelqu'un et votre rencontre vous fait du bien dans votre mal. Mais ce n'est pas le fondement d'un couple sain.

Tu en as l'air plus que consciente et en même temps tu sembles perdue dans un certain surréalisme à vouloir sauver votre couple qui n'en est pas un… Commence par te sauver toi-même.
Désolée si j'ai l'air dure, mais c'est la base de tout. Tu ne peux pas aimer sainement (ni être aimée d'ailleurs) tant que tu ne te soigneras pas.
Rien que le fait que tu acceptes tout ce que tu as relaté ici montre à quel point tu es malade (et lui aussi).

Les personnes peuvent changer, mais pas les relations. D'une fois qu'on a franchi autant de limites, on ne revient plus en arrière. Ca ne veut pas dire que vous êtes voués à cela toute votre vie, individuellement. Vous pouvez décider de recommencer une nouvelle vie, loin l'un de l'autre, en réapprenant la vie avec des autres personnes, et reprendre de bonnes bases sur ce à quoi devraient ressembler les relations humaines.
Il faut que tu réapprennes à te respecter et à t'aimer.

Je vais reprendre contact avec ma psy... Elle m'a tellement dit provocatrice (carapace Ô chère carapace) que j'ai continué le mouvement en arrêtant mon traitement. Elle m'a dit de ne pas venir pleurer si j'étais mal, et j'ai encore plus joué à ce minable jeu, je lui ai fait faut bon, je ne suis pas venue pleurer. Pas venue du tout. Et ça ne va pas.
En fait, j'ai déjà pris du recul, grâce à vous, et à deux-trois amis qui nous connaissaient et qui ont été choqués.
Il a dit à ses amis que j'étais allée voir ailleurs. Du coup, j'ai eu le droit à des... Demandes. Du genre "je sais que tu vas voir ailleurs. Tu peux venir quand ici ? J'aimerai te donner du plaisir." J'ai eu plusieurs demandes de ce type... J'ai répondu que je n'étais pas une pute gratuit ni payante et qu'il me fallait des sentiments pour "aller voir", mais ils insistent, et ça me blesse d'être cet objet.

=> Tu es malade et tu as besoin de t'occuper de toi, dans un environnement sain:
mets fin à votre histoire, vraiment. Et concentre-toi sur toi pour le moment, laisse tomber les relations jusqu'à ce que tu soies réellement mieux, sinon tu risques de retomber exactement dans le même schéma.

Courage, vraiment.

Oui, tu as raison. Je vais prendre du recul, respirer. Continuer les relations, mais amicales, et pas trop poussées, car dans tous les domaines, j'ai tendance à foncer vers qui me veut tout en m'oubliant.

Kero : C'est fait.

Bravo oui.
Le mec te drogue et tout, même en le quittant tu devrais prendre des mesures. S'il a été en hp pour violences il est dangereux.
Si tu l'aimes c'est un peu le syndrome de Stockholm. Tu es son otage et son esclave si tu restes sous sa coupe. Alors tant que tu peux mets de la distance entre lui et toi et ne réponds jamais à ces appels ou tentatives de te joindre parce que s'il est arrivé à te faire accepter ça c'est qu'il sait exploiter tes faiblesses psychologiques et il essaiera sûrement pour te revoir et te reprendre.

Vois ton médecin, reste entourée, tu as besoin de soutiens.
Bon courage

Je viens d'apprendre qu'il n'a quitté qu'officiellement son ex, et que pendant notre relation, pendant mes absences, il la voyait. Plus que moi. Et ils continuaient à s'aimer, à coucher ensemble. Je peux dire qu'on est quittes ?

Cherche même pas à faire tes comptes avec lui : mets le derrière toi, purement et simplement. Zappe le de ta vie et en avant.