Re: Refuser le dictat du travail
Posté : 31.05.16
Je ne vais rentrer dedans personne. Et la question "faut bien gagner sa vie" est la plus prégnante, et c'est le gros point noir de la valeur travail, ce qui en fait une aliénation : on ne peut évidemment pas y couper, et je balaye pas la question.
Juste, dans une grande utopie, qui ferait le travail qu'il fait si on avait la liberté de ne pas avoir a "gagner sa vie" ?
Lorsqu'on enlève toutes ces contraintes (y compris l'obligation pragmatique d'avoir de quoi bouffer), le travail ne devient qu'une valeur molle, vide de sens, si ce n'est l'épanouissement de soi et dans ce cas, peut-on encore parler de "travail" ?
Après ça, il reste les vieilles valeurs de méritocratie, qui veut qu'on n'a que ce qu'on mérite, que le monde appartient a ceux qui se lèvent tôt, blablablabla.
En conclusion, il n'est évidemment pas question de "supprimer" le travail, mais repenser la valeur qu'on y donne (sans parler de dogmes politiques et les conneries très XXème siècle qu'on peut entendre en cette période pré-électorale).
Juste, dans une grande utopie, qui ferait le travail qu'il fait si on avait la liberté de ne pas avoir a "gagner sa vie" ?
Lorsqu'on enlève toutes ces contraintes (y compris l'obligation pragmatique d'avoir de quoi bouffer), le travail ne devient qu'une valeur molle, vide de sens, si ce n'est l'épanouissement de soi et dans ce cas, peut-on encore parler de "travail" ?
Après ça, il reste les vieilles valeurs de méritocratie, qui veut qu'on n'a que ce qu'on mérite, que le monde appartient a ceux qui se lèvent tôt, blablablabla.
En conclusion, il n'est évidemment pas question de "supprimer" le travail, mais repenser la valeur qu'on y donne (sans parler de dogmes politiques et les conneries très XXème siècle qu'on peut entendre en cette période pré-électorale).