Re: (Q) L'envie vs le besoin
Posté : 03.11.17
Merci pour vos témoignages masculins.
Le pouvoir de l'imagination : à cultiver absolument pour soi mais pas que. Plus nous saurons l'entretenir, plus il nous servira en cas de relation intéressante. La lassitude dans un couple est bien souvent le fait de partenaires qui ne se donnent plus l'opportunité de jouer.
La masturbation : souvent décrite avec condescendance. C'est oublier un peu vite qu'elle nous donne une parfaite connaissance de notre corps, de ce qui nous fait grimper et nous serons donc plus à même de donner les clés de notre plaisir à un partenaire.
La confiance en soi : quel bonheur de plaire à un partenaire et de lui plaire. Cela donne des ailes en renforçant notre souhait de partager avec lui. La notion de besoin est loin, l'envie ne se contente pas de sexuel.
Je ne sais néanmoins si l'on peut parler d'une fausse importance accordée à une vie sexuelle. Boire, se nourrir sont en effet des besoins vitaux. Le sexe non, preuve est les abstinents qui ont mis une croix sur le sexe. Pas automatiquement par obligation.
Je suis plus nuancée.
Si avoir du sexe c'est exister par rapport à une norme (?) cela me semble dommage.
Si ne pas avoir de sexe c'est parce que nous en rêvons sans se donner les moyens, c'est tout aussi dommage.
A chacun de savoir vraiment ce dont il a besoin/envie, savoir aussi ce qu'il est prêt/capable d'apporter à un partenaire, être au clair sur ses attentes de l'autre sans se contenter de miettes. Bref une question d'équilibre à trouver.
Moins tu baises, moins tu baises.
C'est certainement vrai, d'où l'importance d'entretenir sa libido, même seul.
Une machine bien entretenue peut repartir au quart de tour si l'occasion se présente ;)
Le pouvoir de l'imagination : à cultiver absolument pour soi mais pas que. Plus nous saurons l'entretenir, plus il nous servira en cas de relation intéressante. La lassitude dans un couple est bien souvent le fait de partenaires qui ne se donnent plus l'opportunité de jouer.
La masturbation : souvent décrite avec condescendance. C'est oublier un peu vite qu'elle nous donne une parfaite connaissance de notre corps, de ce qui nous fait grimper et nous serons donc plus à même de donner les clés de notre plaisir à un partenaire.
La confiance en soi : quel bonheur de plaire à un partenaire et de lui plaire. Cela donne des ailes en renforçant notre souhait de partager avec lui. La notion de besoin est loin, l'envie ne se contente pas de sexuel.
Je ne sais néanmoins si l'on peut parler d'une fausse importance accordée à une vie sexuelle. Boire, se nourrir sont en effet des besoins vitaux. Le sexe non, preuve est les abstinents qui ont mis une croix sur le sexe. Pas automatiquement par obligation.
Je suis plus nuancée.
Si avoir du sexe c'est exister par rapport à une norme (?) cela me semble dommage.
Si ne pas avoir de sexe c'est parce que nous en rêvons sans se donner les moyens, c'est tout aussi dommage.
A chacun de savoir vraiment ce dont il a besoin/envie, savoir aussi ce qu'il est prêt/capable d'apporter à un partenaire, être au clair sur ses attentes de l'autre sans se contenter de miettes. Bref une question d'équilibre à trouver.
Moins tu baises, moins tu baises.
C'est certainement vrai, d'où l'importance d'entretenir sa libido, même seul.
Une machine bien entretenue peut repartir au quart de tour si l'occasion se présente ;)